ACCUEIL > Lesbiennes > Récit : Isabelle et Valériane
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/07/2025
Histoire précèdente <<<
Isabelle et Valériane
+0
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/07/2025
Découvrez les filles coquines près de chez vous :
Ce récit est écrit quatre mains avec Linsee.
Isabelle et Valériane s'aiment depuis de longues années d'un amour sincère. Bien qu'Isabelle ait le double de l'âge de Valériane, cela n'entame en rien l'amour qu'elles partagent. Valériane est très demandeuse, Isabelle à du mal suivre le rythme que lui impose son jeune amour.
Valériane est déjà rentrer de la banque ou elle travaille, Après avoir pris une douche, elle attend avec impatience le retour de son amour. Valériane, est plus chaude que d'habitude, elle n'en peut plus. Elle monte dans la chambre, et s'étend nue sur son lit. Elle commence à se caresser le corps. Ses mains moites lèchent sa peau satinée, à chaque caresse elle frissonne, en poussant de longs soupirs.
Au bout d'un moment, les attouchements deviennent plus précis. Ses doigts s'insèrent entre les grandes lèvres de sa vulve bouillonnante.
Ils montent et descendent plusieurs fois dans le sillon ruisselant de cyprine , avant de s'emparer de la boule magique. Avec douceur, elle l'agite. La coquine sait faire monter la pression dans son corps, elle a l'art d'agacer son clito et de le faire gonfler.
Soudainement, Valériane se cambre, et s'inflige une violente masturbation. Une grimace, déforme son visage d'ange, elle martyrise son clito avec brutalité telle, qu'elle serre les dents. Ses gémissements sont rauques et bruyants. elle sursaute, elle entend la voiture d'isabelle se garer devant la maison. Elle saute du lit et enfile un peignoir de bain. Elle se hâte d'aller ouvrir ma porte d'entrée. Isabelle en la voyant lui sourit, sans attendre d'être à l'intérieur, les deux se jettent dans les bras l'une de l'autre, et s'embrassent fougueusement, de longues minutes.
Une fois au salon, Valériane serre un verre, les deux se regardent amoureusement comme au premier jour, et trinque. Leurs yeux pétillent comme du champagne
Isabelle a juste le temps de poser son sac, que Valériane l’entraîne dans le salon mal éclairé. Fébrilement avec des gestes maladroits, commence à lui retirer ses vêtements. En souriant Isabelle dit :
-Tu es insatiable Val, laisse moi au moins prendre une douche !
Valériane répond en ravalant bruyamment sa salive :
-Je ne peux pas attendre, je t'aime trop !
Un à un les vêtements d'Isabelle se retrouvent sur le sol . Valériane l'enlace et l'embrasse les langues se nouent le baiser et très, très long. Habilement, Isabelle réussit à s'échapper, et se dirige rapidement vers la salle de bain. Elle s'engouffre dans la douche, et tourne le robinet.
Rapidement son corps se couvre de gouttelettes d'eau fumantes, elle ferme les yeux et relève sa tête vers le pommeau qui gicle, elle se frotte plusieurs fois le visage, en poussant des soupirs de satisfaction. Enfin, elle se badigeonne le corps de gel douche, en s'attardant sur ses parties intimes.
Valériane entre à son tour dans la salle d'eau. Elle contemple le corps de son amour qui se contorsionne sous le jet tiède. Ce corps, elle le connaît autant que le sien, elle le caresse si souvent, que chaque parcelle, chaque recoin, ne lui sont pas inconnus.
Elle la désire comme une folle, la dévore des yeux, en salivant abondamment. Elle entre brusquement dans la douche, se colle à elle et l'embrasse. Le baiser qu'elles échangent, n'est pas simulé. Les deux corps ruissellent de gouttelettes. Isabelle ne peut échapper à la fougue de sa jeune amante, elle ronronne sous les caressent de Valériane.
La tension monte dans les corps fébriles. Les mains habiles de valériane, glissent sur les formes de son amour.
Isabelle, subit avec bonheur les caressent de plus en plus audacieuses de la femme qu'elle aime. la bouche vorace de Valériane, se pose sur les seins pas bien gros d'Isabelle, et aspire à tour de rôle, les mats de chair (très épais d'origine) elle les suce, le tête, en arrachant des gémissements de plus en plus bruyants à Isabelle. La jeunette lui travaille les mamelons jusqu'à plus soif, puis se laisse tomber à genoux face à elle, et lui empoigne les fesses fermement, et la plaque contre.
Elle lui embrasse le ventre, donne des coups de langue sur les perles qui coulent sur son corps, et fouille de la pointe de sa langue le nombril légèrement boursouflé. Valériane semble s’acharner dessus en faisant de forte aspirations. Isabelle geint en grimaçant, la bouche descend lentement sur la fente, la langue agile, passe de nombreuses fois sur les grandes lèvres bien dessinées.
Isabelle se cabre, Valériane vient de lui aspirer les lèvres vaginales avec force, et se met à les sucer voracement. Isabelle défaille, elle appuie sur la tête de son amour en geignant comme une bête blessée. Elle dit entre deux souffles :
-Oh mon amour, mon amour comme je t'aime, tu me rends folle !
la bouche avide de Valériane dévore la vulve dégoulinante, sa langue s'enfonce le plus loin possible dans le vagin brûlant et le fouille, en faisant geindre Isabelle de plaisir. Elle se cambre relève, la tête pour recevoir sur la visage le jet d'eau apaisant, tout en appuyant fortement sur la tête de son amante.
Mais, lorsque Valériane lui gobe le clito, elle reçoit comme une décharge électrique, qui la fait geindre. Valériane suce et tète la boule de chair avec de plus en plus de violence. Elle la mordille, l'étire avec ses dents en faisant grogner Isabelle comme un anomal agonisant. Pendant de longues minutes, Valériane agace le clito de son amour. Isabelle défaille, son souffle est rauque, sa respiration et rapide. Soudain, elle se cabre et explose de jouissance, c'est si violent qu'elle se laisse tomber à genoux. Elle s'accroche à Val en haletant fortement.
Elle cherche désespérément les lèvres de Val, le baiser est fougueux et dure une éternité. Enfin, il cesse, les deux femmes de relèvent. Isabelle ferme me robinet, elle saisit en tremblant une serviette de bain, et commence à s'essuyer. Valériane, enfile son peignoir et se dirige vers la chambre, elle est suivit par Isabelle. Une fois dans ma chambre, elle jette sur une chaise son peignoir et s'allonge sur le lit. Isabelle nue, s'avance vers elle en souriant et lui dit :
- Maintenant, à mon tour mon amour !
Elle monte sur le lit et s'assied en face de Valériane qui la regarde amoureusement. Elle lui relève doucement une jambe, et commence à lui sucer un orteils. Elle le suce comme un bonbon, enfin, sa langue passe entre les orteils, avant reprendre en bouche un autre orteil, qu'elle salive abondamment, avant de lui faire subir des succions féroces. Valériane soupire de plaisir, en ne quittant pas du regard son amour. la bouche glisse sur le pied en en embrassant chaque parcelle de peau, elle monte lentement sur le tibia, passe le genoux et glisse sur la cuisse, en s'approchant dangereusement du bas-ventre.
Les lèvres effleurent la vulve sans s'arrêter, et monte sur le ventre plat. La langue râpeuse, glisse sur la peau satinée, encore humide. Elle continue la progression, s'attarde sur le nombril, avant d'atteindre la poitrine généreuse de Valériane qui se soulève de plus en plus rapidement.
La Langue habile d'Isabelle, tourne sur les aréoles brunes fortement grenelées. De temps en temps, avec quelques coups de langue bien ajustées, elle agace les mats de chair, qui rapidement double de volume. Enfin, Isabelle se décide, elle aspire un mamelons et le suce comme une affamée, elle l'étire avec ses dents, plusieurs fois avant de le sucer à nouveau.
Elle change souvent de mamelon. Valériane gémit, offre à la bouche vorace de son amour sa poitrine opulente. La bouche rebrousse chemin, redescend sur le torse, le ventre. Isabelle hume fortement les effluves odorantes que rejette la vulve en feu. Mais dès que sa bouche se pose dessus, elle se cabre comme une cheval. Isabelle sait se servir de sa langue, elle lèche la fente, aspire le jus que la vulve ne peut retenir. Elle gobe voracement le clito hyper gonflé et le suce comme une dératée. Valériane geint comme un animal blessé, la bouche de son amour la fait délirer :
-Oui, oui, mon amour bouffe-moi, arrache-moi la chatte, oh comme c'est bon, continue, continue !
Une jouissance terrible traverse le ventre de Val, qui se cambre en gémissant terriblement. Isabelle prend dans un tiroir un gode ceinture. le bougre de bon diamètre et doté d'un double gode. L'un est plus court que l'autre, mais il est bien épais. Sur l'autre en peut y adapter des fourreaux de toutes sortes et de tout diamètres. Isabelle en choisit un avec des picots impressionnants. Elle harnache de l'engin, pousse un gémissement lorsque qu'elle s'enfonce le gode épais dans la chatte.
Elle l'agite devant le visage de Val, qui ravale sa salive, elle est toujours un peu impressionnée par la taille de l'engin, pourtant ce n'est pas faute de l'avoir souvent utilisée.
Elle ouvre largement les cuisses, Isabelle prend place, c'est Valériane qui dirige le gode. Elle le place contre sa fente humide, et regarde son amour avec un air de chien battu
Isabelle, en souriant la regarde et s'accroche à ses hanches, elle pousse doucement sans quitter des yeux Valériane. Une grimace déforme le visage de Val, l'engin s'enfonce lentement dans son ventre, elle pousse d'innombrables gémissements, en se cramponnant à son amante. Lentement l'engin garnit de picots de silicone, s'enfonce entièrement dans son ventre en lui dilatant le vagin. Isabelle peut commencer le va-et-vient.
Sans brusquerie, le fourreau coulisse dans son ventre en lui arrachant des gémissements de bête blessée. les picots raclent les parois de la gaine en faisant geindre Valériane. Elle connaît très bien cet engin, elle sait qu'avec lui elle peut avoir des jouissances extraordinaires. D'ailleurs, Isabelle s'y emploie.
Elle accélère, les deux femmes gémissent ensemble, le double gode fait bien son office.
Valériane souffle comme un bœuf à chaque enfoncement dans son ventre de la bite factice. Isabelle grimace. La tension dans les deux corps est au maximum. les râles des deux femmes
ressemblent à ceux de bêtes agonisantes. Une jouissance simultanée, fait hurler les deux amantes. Leurs gémissements se mêlent, Isabelle donne encore quelques estocades avec de s'écrouler sur le corps de Valériane.
Les deux femmes emboitées comme jamais halètent bruyamment. Après plusieurs minutes de récupération, les deux corps se séparent. Isabelle retire le gode ceinture, qu'elle donne à Valériane qui choisit pour le gode le plus court un fourreau de bon calibre et lentement se l'enfonce dans le vagin. Elle accroche autour de sa taille le jouet monstrueux, et dit :
-Je vais t'éclater comme tu le mérites. Place sous tes reins l'oreiller, et replie tes jambes sur ton ventre et offre moi, comme tu sais si bien le faire ton anus que je le défonce !
Isabelle adepte de la Sodonie obtempère. Elle aime que se soit violent, et pour cela elle fait confiance à Valériane. Après bien avoir salivée l'anus, Val place contre l'anneau le monstre de silicone, et pousse. Une grimace affreuse déforme le visage d'Isabelle, à chaque fois la pénétration est douloureuse mais il faut souffrir pour avoir de bonne jouissances. Lentement l'engin s'enfonce dans le rectum d'Isabelle, qui ne cesse de grimacer en grognant.
Les picots lui raclent fortement les parois sensibles du rectum, en la faisant gémir. Elle sait qu'il faut en passer par là, avant d'atteindre le summum du bonheur. Valériane commence un doux va-et-vient, la vitesse augmente en se basant sur les gémissements d'Isabelle. Atrocement dilatée, ouverte comme elle aime l'être, Isabelle subit la sodomie tant attendue.
Les coups de reins deviennent violent, à chaque enfoncement Valériane se défonce elle même la chatte, tout en infligeant à son amour un ramonage du cul en règle. les deux amantes gémissent ensemble, leur visage est grimaçant. A chaque coup de reins, elle sursautent. Isabelle jouit la premier en hurlant son plaisir, Val la rejoint dans un délire de gémissements. La bougresse continue de lui défoncer le cul, avec rage. Soudain, elle retire le gode du rectum, et avec violence l'enfonce d'un seul coup dans la ma chatte. Isabelle pousse un cri inhumain, et s'accroche à son amante. Elle donne elle aussi des coups de reins monstrueux. Sa gaine vaginale dilatée fortement, subit les assauts incessants de Val. Isabelle agite son bassin en grognant :
-Oui, oui, mon amour défronce moi, oh comme c'est bon, encore, encore, ouah je vais jouir n'arrête pas !
Valériane hurle :
-Moi aussi je viens ouiiiiiiiiiiiii !
Elle accélère, les deux femmes gémissent ensemble, le double gode fait bien son office.
Valériane souffle comme un bœuf à chaque enfoncement dans son ventre de la bite factice. Isabelle grimace. La tension dans les deux corps est au maximum. les râles des deux femmes
ressemblent à ceux de bêtes agonisantes. Une jouissance simultanée, fait hurler les deux amantes. Leurs gémissements se mêlent, Isabelle donne encore quelques estocades avec de s'écrouler sur le corps de Valériane.
Les deux femmes emboitées comme jamais halètent bruyamment. Après plusieurs minutes de récupération, les deux corps se séparent. Isabelle retire le gode ceinture, qu'elle donne à Valériane qui choisit pour le gode le plus court un fourreau de bon calibre et lentement se l'enfonce dans le vagin. Elle accroche autour de sa taille le jouet monstrueux, et dit :
-Je vais t'éclater comme tu le mérites. Place sous tes reins l'oreiller, et replie tes jambes sur ton ventre et offre moi, comme tu sais si bien le faire ton anus que je le défonce !
Isabelle adepte de la Sodonie obtempère. Elle aime que se soit violent, et pour cela elle fait confiance à Valériane. Après bien avoir salivée l'anus, Val place contre l'anneau le monstre de silicone, et pousse. Une grimace affreuse déforme le visage d'Isabelle, à chaque fois la pénétration est douloureuse mais il faut souffrir pour avoir de bonne jouissances. Lentement l'engin s'enfonce dans le rectum d'Isabelle, qui ne cesse de grimacer en grognant.
Les picots lui raclent fortement les parois sensibles du rectum, en la faisant gémir. Elle sait qu'il faut en passer par là, avant d'atteindre le summum du bonheur. Valériane commence un doux va-et-vient. la vitesse augmente en se basant sur les gémissements d'Isabelle. Atrocement dilatée, ouverte comme elle aime l'être, Isabelle subit la sodomie tant attendue.
Les coups de reins deviennent violent, à chaque enfoncement Valériane se défonce elle même la chatte, tout en infligeant à son amour un ramonage du cul en règle. les deux amantes gémissent ensemble, leur visage est grimaçant. A chaque coup de reins, elle sursautent. Isabelle jouit la premier en hurlant son plaisir, Val la rejoint dans un délire de gémissements. La bougresse continue de lui défoncer le cul, avec rage. Soudain, elle retire le gode du rectum, et avec violence l'enfonce d'un seul coup dans la ma chatte. Isabelle pousse un cri inhumain, et s'accroche à son amante. Elle donne elle aussi des coups de reins monstrueux. Sa gaine vaginale dilatée fortement, subit les assauts incessants de Val. Isabelle agite son bassin en grognant :
-Oui, oui, mon amour défronce moi, oh comme c'est bon, encore, encore, ouah je vais jouir n'arrête pas !
Valériane hurle :
-Moi aussi je viens ouiiiiiiiiiiiii !
Les deux femmes explosent en même temps
Elle accélère, les deux femmes gémissent ensemble, le double gode fait bien son office.
Valériane souffle comme un bœuf à chaque enfoncement dans son ventre de la bite factice. Isabelle grimace. La tension dans les deux corps est au maximum. les râles des deux femmes
ressemblent à ceux de bêtes agonisantes. Une jouissance simultanée, fait hurler les deux amantes. Leurs gémissements se mêlent, Isabelle donne encore quelques estocades avec de s'écrouler sur le corps de Valériane.
Les deux femmes emboitées comme jamais halètent bruyamment. Après plusieurs minutes de récupération, les deux corps se séparent. Isabelle retire le gode ceinture, qu'elle donne à Valériane qui choisit pour le gode le plus court un fourreau de bon calibre et lentement se l'enfonce dans le vagin. Elle accroche autour de sa taille le jouet monstrueux, et dit :
-Je vais t'éclater comme tu le mérites. Place sous tes reins l'oreiller, et replie tes jambes sur ton ventre et offre moi, comme tu sais si bien le faire ton anus que je le défonce !
Isabelle adepte de la Sodonie obtempère. Elle aime que se soit violent, et pour cela elle fait confiance à Valériane. Après bien avoir salivée l'anus, Val place contre l'anneau le monstre de silicone, et pousse. Une grimace affreuse déforme le visage d'Isabelle, à chaque fois la pénétration est douloureuse mais il faut souffrir pour avoir de bonne jouissances. Lentement l'engin s'enfonce dans le rectum d'Isabelle, qui ne cesse de grimacer en grognant.
Les picots lui raclent fortement les parois sensibles du rectum, en la faisant gémir. Elle sait qu'il faut en passer par là, avant d'atteindre le summum du bonheur. Valériane commence un doux va-et-vient. la vitesse augmente en se basant sur les gémissements d'Isabelle. Atrocement dilatée, ouverte comme elle aime l'être, Isabelle subit la sodomie tant attendue.
Les coups de reins deviennent violent, à chaque enfoncement Valériane se défonce elle même la chatte, tout en infligeant à son amour un ramonage du cul en règle. les deux amantes gémissent ensemble, leur visage est grimaçant. A chaque coup de reins, elle sursautent. Isabelle jouit la premier en hurlant son plaisir, Val la rejoint dans un délire de gémissements. La bougresse continue de lui défoncer le cul, avec rage. Soudain, elle retire le gode du rectum, et avec violence l'enfonce d'un seul coup dans la ma chatte. Isabelle pousse un cri inhumain, et s'accroche à son amante. Elle donne elle aussi des coups de reins monstrueux. Sa gaine vaginale dilatée fortement, subit les assauts incessants de Val. Isabelle agite son bassin en grognant :
-Oui, oui, mon amour défronce moi, oh comme c'est bon, encore, encore, ouah je vais jouir n'arrête pas !
Valériane hurle :
-Moi aussi je viens ouiiiiiiiiiiiii !
Les deux femmes explosent en même temps. En grimaçant, Val continue de défoncer son amour. Enfin le ramonage cesse. Valériane se retire du ventre d'Isabelle et observe un moment le trou béant rejeter le surplus de cyprine. Les deux amantes échangent un baiser fougueux, avant de reprendre une douche.
Isabelle et Valériane s'aiment depuis de longues années d'un amour sincère. Bien qu'Isabelle ait le double de l'âge de Valériane, cela n'entame en rien l'amour qu'elles partagent. Valériane est très demandeuse, Isabelle à du mal suivre le rythme que lui impose son jeune amour.
Valériane est déjà rentrer de la banque ou elle travaille, Après avoir pris une douche, elle attend avec impatience le retour de son amour. Valériane, est plus chaude que d'habitude, elle n'en peut plus. Elle monte dans la chambre, et s'étend nue sur son lit. Elle commence à se caresser le corps. Ses mains moites lèchent sa peau satinée, à chaque caresse elle frissonne, en poussant de longs soupirs.
Au bout d'un moment, les attouchements deviennent plus précis. Ses doigts s'insèrent entre les grandes lèvres de sa vulve bouillonnante.
Ils montent et descendent plusieurs fois dans le sillon ruisselant de cyprine , avant de s'emparer de la boule magique. Avec douceur, elle l'agite. La coquine sait faire monter la pression dans son corps, elle a l'art d'agacer son clito et de le faire gonfler.
Soudainement, Valériane se cambre, et s'inflige une violente masturbation. Une grimace, déforme son visage d'ange, elle martyrise son clito avec brutalité telle, qu'elle serre les dents. Ses gémissements sont rauques et bruyants. elle sursaute, elle entend la voiture d'isabelle se garer devant la maison. Elle saute du lit et enfile un peignoir de bain. Elle se hâte d'aller ouvrir ma porte d'entrée. Isabelle en la voyant lui sourit, sans attendre d'être à l'intérieur, les deux se jettent dans les bras l'une de l'autre, et s'embrassent fougueusement, de longues minutes.
Une fois au salon, Valériane serre un verre, les deux se regardent amoureusement comme au premier jour, et trinque. Leurs yeux pétillent comme du champagne
Isabelle a juste le temps de poser son sac, que Valériane l’entraîne dans le salon mal éclairé. Fébrilement avec des gestes maladroits, commence à lui retirer ses vêtements. En souriant Isabelle dit :
-Tu es insatiable Val, laisse moi au moins prendre une douche !
Valériane répond en ravalant bruyamment sa salive :
-Je ne peux pas attendre, je t'aime trop !
Un à un les vêtements d'Isabelle se retrouvent sur le sol . Valériane l'enlace et l'embrasse les langues se nouent le baiser et très, très long. Habilement, Isabelle réussit à s'échapper, et se dirige rapidement vers la salle de bain. Elle s'engouffre dans la douche, et tourne le robinet.
Rapidement son corps se couvre de gouttelettes d'eau fumantes, elle ferme les yeux et relève sa tête vers le pommeau qui gicle, elle se frotte plusieurs fois le visage, en poussant des soupirs de satisfaction. Enfin, elle se badigeonne le corps de gel douche, en s'attardant sur ses parties intimes.
Valériane entre à son tour dans la salle d'eau. Elle contemple le corps de son amour qui se contorsionne sous le jet tiède. Ce corps, elle le connaît autant que le sien, elle le caresse si souvent, que chaque parcelle, chaque recoin, ne lui sont pas inconnus.
Elle la désire comme une folle, la dévore des yeux, en salivant abondamment. Elle entre brusquement dans la douche, se colle à elle et l'embrasse. Le baiser qu'elles échangent, n'est pas simulé. Les deux corps ruissellent de gouttelettes. Isabelle ne peut échapper à la fougue de sa jeune amante, elle ronronne sous les caressent de Valériane.
La tension monte dans les corps fébriles. Les mains habiles de valériane, glissent sur les formes de son amour.
Isabelle, subit avec bonheur les caressent de plus en plus audacieuses de la femme qu'elle aime. la bouche vorace de Valériane, se pose sur les seins pas bien gros d'Isabelle, et aspire à tour de rôle, les mats de chair (très épais d'origine) elle les suce, le tête, en arrachant des gémissements de plus en plus bruyants à Isabelle. La jeunette lui travaille les mamelons jusqu'à plus soif, puis se laisse tomber à genoux face à elle, et lui empoigne les fesses fermement, et la plaque contre.
Elle lui embrasse le ventre, donne des coups de langue sur les perles qui coulent sur son corps, et fouille de la pointe de sa langue le nombril légèrement boursouflé. Valériane semble s’acharner dessus en faisant de forte aspirations. Isabelle geint en grimaçant, la bouche descend lentement sur la fente, la langue agile, passe de nombreuses fois sur les grandes lèvres bien dessinées.
Isabelle se cabre, Valériane vient de lui aspirer les lèvres vaginales avec force, et se met à les sucer voracement. Isabelle défaille, elle appuie sur la tête de son amour en geignant comme une bête blessée. Elle dit entre deux souffles :
-Oh mon amour, mon amour comme je t'aime, tu me rends folle !
la bouche avide de Valériane dévore la vulve dégoulinante, sa langue s'enfonce le plus loin possible dans le vagin brûlant et le fouille, en faisant geindre Isabelle de plaisir. Elle se cambre relève, la tête pour recevoir sur la visage le jet d'eau apaisant, tout en appuyant fortement sur la tête de son amante.
Mais, lorsque Valériane lui gobe le clito, elle reçoit comme une décharge électrique, qui la fait geindre. Valériane suce et tète la boule de chair avec de plus en plus de violence. Elle la mordille, l'étire avec ses dents en faisant grogner Isabelle comme un anomal agonisant. Pendant de longues minutes, Valériane agace le clito de son amour. Isabelle défaille, son souffle est rauque, sa respiration et rapide. Soudain, elle se cabre et explose de jouissance, c'est si violent qu'elle se laisse tomber à genoux. Elle s'accroche à Val en haletant fortement.
Elle cherche désespérément les lèvres de Val, le baiser est fougueux et dure une éternité. Enfin, il cesse, les deux femmes de relèvent. Isabelle ferme me robinet, elle saisit en tremblant une serviette de bain, et commence à s'essuyer. Valériane, enfile son peignoir et se dirige vers la chambre, elle est suivit par Isabelle. Une fois dans ma chambre, elle jette sur une chaise son peignoir et s'allonge sur le lit. Isabelle nue, s'avance vers elle en souriant et lui dit :
- Maintenant, à mon tour mon amour !
Elle monte sur le lit et s'assied en face de Valériane qui la regarde amoureusement. Elle lui relève doucement une jambe, et commence à lui sucer un orteils. Elle le suce comme un bonbon, enfin, sa langue passe entre les orteils, avant reprendre en bouche un autre orteil, qu'elle salive abondamment, avant de lui faire subir des succions féroces. Valériane soupire de plaisir, en ne quittant pas du regard son amour. la bouche glisse sur le pied en en embrassant chaque parcelle de peau, elle monte lentement sur le tibia, passe le genoux et glisse sur la cuisse, en s'approchant dangereusement du bas-ventre.
Les lèvres effleurent la vulve sans s'arrêter, et monte sur le ventre plat. La langue râpeuse, glisse sur la peau satinée, encore humide. Elle continue la progression, s'attarde sur le nombril, avant d'atteindre la poitrine généreuse de Valériane qui se soulève de plus en plus rapidement.
La Langue habile d'Isabelle, tourne sur les aréoles brunes fortement grenelées. De temps en temps, avec quelques coups de langue bien ajustées, elle agace les mats de chair, qui rapidement double de volume. Enfin, Isabelle se décide, elle aspire un mamelons et le suce comme une affamée, elle l'étire avec ses dents, plusieurs fois avant de le sucer à nouveau.
Elle change souvent de mamelon. Valériane gémit, offre à la bouche vorace de son amour sa poitrine opulente. La bouche rebrousse chemin, redescend sur le torse, le ventre. Isabelle hume fortement les effluves odorantes que rejette la vulve en feu. Mais dès que sa bouche se pose dessus, elle se cabre comme une cheval. Isabelle sait se servir de sa langue, elle lèche la fente, aspire le jus que la vulve ne peut retenir. Elle gobe voracement le clito hyper gonflé et le suce comme une dératée. Valériane geint comme un animal blessé, la bouche de son amour la fait délirer :
-Oui, oui, mon amour bouffe-moi, arrache-moi la chatte, oh comme c'est bon, continue, continue !
Une jouissance terrible traverse le ventre de Val, qui se cambre en gémissant terriblement. Isabelle prend dans un tiroir un gode ceinture. le bougre de bon diamètre et doté d'un double gode. L'un est plus court que l'autre, mais il est bien épais. Sur l'autre en peut y adapter des fourreaux de toutes sortes et de tout diamètres. Isabelle en choisit un avec des picots impressionnants. Elle harnache de l'engin, pousse un gémissement lorsque qu'elle s'enfonce le gode épais dans la chatte.
Elle l'agite devant le visage de Val, qui ravale sa salive, elle est toujours un peu impressionnée par la taille de l'engin, pourtant ce n'est pas faute de l'avoir souvent utilisée.
Elle ouvre largement les cuisses, Isabelle prend place, c'est Valériane qui dirige le gode. Elle le place contre sa fente humide, et regarde son amour avec un air de chien battu
Isabelle, en souriant la regarde et s'accroche à ses hanches, elle pousse doucement sans quitter des yeux Valériane. Une grimace déforme le visage de Val, l'engin s'enfonce lentement dans son ventre, elle pousse d'innombrables gémissements, en se cramponnant à son amante. Lentement l'engin garnit de picots de silicone, s'enfonce entièrement dans son ventre en lui dilatant le vagin. Isabelle peut commencer le va-et-vient.
Sans brusquerie, le fourreau coulisse dans son ventre en lui arrachant des gémissements de bête blessée. les picots raclent les parois de la gaine en faisant geindre Valériane. Elle connaît très bien cet engin, elle sait qu'avec lui elle peut avoir des jouissances extraordinaires. D'ailleurs, Isabelle s'y emploie.
Elle accélère, les deux femmes gémissent ensemble, le double gode fait bien son office.
Valériane souffle comme un bœuf à chaque enfoncement dans son ventre de la bite factice. Isabelle grimace. La tension dans les deux corps est au maximum. les râles des deux femmes
ressemblent à ceux de bêtes agonisantes. Une jouissance simultanée, fait hurler les deux amantes. Leurs gémissements se mêlent, Isabelle donne encore quelques estocades avec de s'écrouler sur le corps de Valériane.
Les deux femmes emboitées comme jamais halètent bruyamment. Après plusieurs minutes de récupération, les deux corps se séparent. Isabelle retire le gode ceinture, qu'elle donne à Valériane qui choisit pour le gode le plus court un fourreau de bon calibre et lentement se l'enfonce dans le vagin. Elle accroche autour de sa taille le jouet monstrueux, et dit :
-Je vais t'éclater comme tu le mérites. Place sous tes reins l'oreiller, et replie tes jambes sur ton ventre et offre moi, comme tu sais si bien le faire ton anus que je le défonce !
Isabelle adepte de la Sodonie obtempère. Elle aime que se soit violent, et pour cela elle fait confiance à Valériane. Après bien avoir salivée l'anus, Val place contre l'anneau le monstre de silicone, et pousse. Une grimace affreuse déforme le visage d'Isabelle, à chaque fois la pénétration est douloureuse mais il faut souffrir pour avoir de bonne jouissances. Lentement l'engin s'enfonce dans le rectum d'Isabelle, qui ne cesse de grimacer en grognant.
Les picots lui raclent fortement les parois sensibles du rectum, en la faisant gémir. Elle sait qu'il faut en passer par là, avant d'atteindre le summum du bonheur. Valériane commence un doux va-et-vient, la vitesse augmente en se basant sur les gémissements d'Isabelle. Atrocement dilatée, ouverte comme elle aime l'être, Isabelle subit la sodomie tant attendue.
Les coups de reins deviennent violent, à chaque enfoncement Valériane se défonce elle même la chatte, tout en infligeant à son amour un ramonage du cul en règle. les deux amantes gémissent ensemble, leur visage est grimaçant. A chaque coup de reins, elle sursautent. Isabelle jouit la premier en hurlant son plaisir, Val la rejoint dans un délire de gémissements. La bougresse continue de lui défoncer le cul, avec rage. Soudain, elle retire le gode du rectum, et avec violence l'enfonce d'un seul coup dans la ma chatte. Isabelle pousse un cri inhumain, et s'accroche à son amante. Elle donne elle aussi des coups de reins monstrueux. Sa gaine vaginale dilatée fortement, subit les assauts incessants de Val. Isabelle agite son bassin en grognant :
-Oui, oui, mon amour défronce moi, oh comme c'est bon, encore, encore, ouah je vais jouir n'arrête pas !
Valériane hurle :
-Moi aussi je viens ouiiiiiiiiiiiii !
Elle accélère, les deux femmes gémissent ensemble, le double gode fait bien son office.
Valériane souffle comme un bœuf à chaque enfoncement dans son ventre de la bite factice. Isabelle grimace. La tension dans les deux corps est au maximum. les râles des deux femmes
ressemblent à ceux de bêtes agonisantes. Une jouissance simultanée, fait hurler les deux amantes. Leurs gémissements se mêlent, Isabelle donne encore quelques estocades avec de s'écrouler sur le corps de Valériane.
Les deux femmes emboitées comme jamais halètent bruyamment. Après plusieurs minutes de récupération, les deux corps se séparent. Isabelle retire le gode ceinture, qu'elle donne à Valériane qui choisit pour le gode le plus court un fourreau de bon calibre et lentement se l'enfonce dans le vagin. Elle accroche autour de sa taille le jouet monstrueux, et dit :
-Je vais t'éclater comme tu le mérites. Place sous tes reins l'oreiller, et replie tes jambes sur ton ventre et offre moi, comme tu sais si bien le faire ton anus que je le défonce !
Isabelle adepte de la Sodonie obtempère. Elle aime que se soit violent, et pour cela elle fait confiance à Valériane. Après bien avoir salivée l'anus, Val place contre l'anneau le monstre de silicone, et pousse. Une grimace affreuse déforme le visage d'Isabelle, à chaque fois la pénétration est douloureuse mais il faut souffrir pour avoir de bonne jouissances. Lentement l'engin s'enfonce dans le rectum d'Isabelle, qui ne cesse de grimacer en grognant.
Les picots lui raclent fortement les parois sensibles du rectum, en la faisant gémir. Elle sait qu'il faut en passer par là, avant d'atteindre le summum du bonheur. Valériane commence un doux va-et-vient. la vitesse augmente en se basant sur les gémissements d'Isabelle. Atrocement dilatée, ouverte comme elle aime l'être, Isabelle subit la sodomie tant attendue.
Les coups de reins deviennent violent, à chaque enfoncement Valériane se défonce elle même la chatte, tout en infligeant à son amour un ramonage du cul en règle. les deux amantes gémissent ensemble, leur visage est grimaçant. A chaque coup de reins, elle sursautent. Isabelle jouit la premier en hurlant son plaisir, Val la rejoint dans un délire de gémissements. La bougresse continue de lui défoncer le cul, avec rage. Soudain, elle retire le gode du rectum, et avec violence l'enfonce d'un seul coup dans la ma chatte. Isabelle pousse un cri inhumain, et s'accroche à son amante. Elle donne elle aussi des coups de reins monstrueux. Sa gaine vaginale dilatée fortement, subit les assauts incessants de Val. Isabelle agite son bassin en grognant :
-Oui, oui, mon amour défronce moi, oh comme c'est bon, encore, encore, ouah je vais jouir n'arrête pas !
Valériane hurle :
-Moi aussi je viens ouiiiiiiiiiiiii !
Les deux femmes explosent en même temps
Elle accélère, les deux femmes gémissent ensemble, le double gode fait bien son office.
Valériane souffle comme un bœuf à chaque enfoncement dans son ventre de la bite factice. Isabelle grimace. La tension dans les deux corps est au maximum. les râles des deux femmes
ressemblent à ceux de bêtes agonisantes. Une jouissance simultanée, fait hurler les deux amantes. Leurs gémissements se mêlent, Isabelle donne encore quelques estocades avec de s'écrouler sur le corps de Valériane.
Les deux femmes emboitées comme jamais halètent bruyamment. Après plusieurs minutes de récupération, les deux corps se séparent. Isabelle retire le gode ceinture, qu'elle donne à Valériane qui choisit pour le gode le plus court un fourreau de bon calibre et lentement se l'enfonce dans le vagin. Elle accroche autour de sa taille le jouet monstrueux, et dit :
-Je vais t'éclater comme tu le mérites. Place sous tes reins l'oreiller, et replie tes jambes sur ton ventre et offre moi, comme tu sais si bien le faire ton anus que je le défonce !
Isabelle adepte de la Sodonie obtempère. Elle aime que se soit violent, et pour cela elle fait confiance à Valériane. Après bien avoir salivée l'anus, Val place contre l'anneau le monstre de silicone, et pousse. Une grimace affreuse déforme le visage d'Isabelle, à chaque fois la pénétration est douloureuse mais il faut souffrir pour avoir de bonne jouissances. Lentement l'engin s'enfonce dans le rectum d'Isabelle, qui ne cesse de grimacer en grognant.
Les picots lui raclent fortement les parois sensibles du rectum, en la faisant gémir. Elle sait qu'il faut en passer par là, avant d'atteindre le summum du bonheur. Valériane commence un doux va-et-vient. la vitesse augmente en se basant sur les gémissements d'Isabelle. Atrocement dilatée, ouverte comme elle aime l'être, Isabelle subit la sodomie tant attendue.
Les coups de reins deviennent violent, à chaque enfoncement Valériane se défonce elle même la chatte, tout en infligeant à son amour un ramonage du cul en règle. les deux amantes gémissent ensemble, leur visage est grimaçant. A chaque coup de reins, elle sursautent. Isabelle jouit la premier en hurlant son plaisir, Val la rejoint dans un délire de gémissements. La bougresse continue de lui défoncer le cul, avec rage. Soudain, elle retire le gode du rectum, et avec violence l'enfonce d'un seul coup dans la ma chatte. Isabelle pousse un cri inhumain, et s'accroche à son amante. Elle donne elle aussi des coups de reins monstrueux. Sa gaine vaginale dilatée fortement, subit les assauts incessants de Val. Isabelle agite son bassin en grognant :
-Oui, oui, mon amour défronce moi, oh comme c'est bon, encore, encore, ouah je vais jouir n'arrête pas !
Valériane hurle :
-Moi aussi je viens ouiiiiiiiiiiiii !
Les deux femmes explosent en même temps. En grimaçant, Val continue de défoncer son amour. Enfin le ramonage cesse. Valériane se retire du ventre d'Isabelle et observe un moment le trou béant rejeter le surplus de cyprine. Les deux amantes échangent un baiser fougueux, avant de reprendre une douche.
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : Isabelle et Valériane
Aucun commentaire pour le moment
Histoire précèdente <<<