Ivresse de plaisir

Ce soir là, le temps était plus vieux. J’avais rendez-vous avec elle à la gare en début de soirée. Moi en couple, elle célibataire, nous ne pouvions nous voir qu’à cet endroit et en plus nous devions rester discret.

Alors que j’arrivais tout doucement à la gare, je reçu un sms de mon amie qui me demandait si je ne l’avais pas oubliée. Je lui répondu de suite comment puis-je l’oublier après les conversations torrides que nous avions eu cet après midi et j’ajoutai que rien que d’y penser mon sexe se sentait douloureusement à l’étroit dans mon pantalon.

J’arrivai à la gare avec un bon dix minutes de retard, je me dépêchai de la rejoindre, elle qui m’attendais à l’abri de la pluie. Je voyais rien qu’a sa posture qu’elle avait froid. J’accélérai donc le pas pour la prendre dans mes bras et la réchauffer.

- Bonjour bel ange, lui soufflais-je alors que je plaçais mes mains autour de sa taille.
- Bonjour mon ami, me fit-elle dans un souffle avant de coller ses douces lèvres contre les mienne

Je pris alors sa main, et nous nous dirigeâmes vers ma voiture où nos envies pourrait s’épanouir, lors que nous y arrivâmes, elle inspecta l’endroit.

- Tu ne crois pas qu’on pourrait nous voir ici ?
- Non, le hangar se vide bien a cet heure, dans 5 min il n’y aura plus personnes.

Tout en lui disant cela, je déverrouillai la voiture et l’invita à monter dans celle-ci, par réflexe, par envie ? Elle monta à l’arrière de ma voiture et s’y installa confortablement.

- Tu me rejoints, me souffla-t-elle avec une envie qu’elle ne dissimuler même pas.
- J’arrive, ne soit pas impatiente.

Je m’y le contact de la voiture, réduis la musique pour qu’elle ne soit plus qu’un bruit de fond et je suis allé rejoindre la magnifique créature qui m’attendait. Lorsque je fus assis à ces côtés, je posai ma main sur sa cuisse et la regarda droit dans les yeux. Je pouvais voir le désir qui la consommé, voir son envie de mettre en pratique tout ce dont nous avions parlé plutôt dans la journée ainsi que les jours précédent.

Nos restâmes immobile pendant une minute, peut-être deux, mais le temps n’avait guère d’importance face au désir qui nous consumait. Après cette période de calme, ou nous avons essayé de cerner nos envies, nos lèvres se sont jointes, nos langues fusionnèrent pendant de longue minutes alors que nos mains pudiques partaient à la découverte de l’autre, je ne pourrais par dire combien de temps nous nous sommes embrasser, mais nous n’avions pas envie que cet instant ce termine.

Alors que nos langues se quittèrent, ma bouche alla se perdre autour de son oreille dont je mordillai le lobe avec envie et tendresse, je sentais de plus en plus son envie et tout en continuant de l’embrasser tantôt la bouche, tantôt son cou, sa nuque je commençais à la dévêtir. Je lui ôtai délicatement son top et son soutien-gorge. J’arrêtai alors quelques instant d’embrasser cet ange pour admirer ses seins gonflés par le désir. Je levai alors les yeux vers elle est aperçu son sourire, son envie.

- Tu es si belle, si désirable…
- Montre moi à quel point tu me désires

Je lui souri tout en posant ma bouche sur ses tétons déjà durs, que je dégustai chacun à leurs tour avec avidité, gourmandise. Ils sont comme une drogue dont vous ne pouvez plus vous en passer dès que vous y avait goûté. Alors que je dévorais ses seins, je continuai à la déshabiller caressant délicatement de mes mains son corps.

- Ohhh, mmmh va goûter ma chatte. Me dit-elle dans un soupir

Je ne me fis alors pas prier et en l’embrassant, je descendis vers son intimité dont je pouvais sentir la chaleur à chaque millimètre qui me rapprochait de son fruit descendu. Alors que j’arrivais à hauteur de son clitoris gonflé, je sentis la pression de sa main, m’invitant à la déguster plus rapidement. Je posai alors délicatement ma langue sur son bouton d’amour et commençai un léger va-et-vient ne faisant que l’effleurer. Sentant son jus qui coulait sous l’effet de ma langue, l’entrepris de lui lécher avec douceur sa vulve récupérant ainsi ce délicieux nectar au goût sucré et ce pendant que ses doigts caresser son clitoris à l’affût de tout ce qui pourrait lui procurer de plaisir.

Elle m’invita ensuite à revenir à hauteur de sa bouche ou nous nous embrassâmes à nouveau avec envie, pendant que nos langues se bâtaient, elle me déshabilla et libéra enfin mon sexe dur. Elle le caressa délicatement avec sa main. Doucement, elle descendu vers celui-ci, n’oubliant pas passage de me mordiller le téton ce qui m’arracha un soupir d’aise. Alors qu’elle arriva à mon pénis tendu, elle passa doucement sa langue le long de mon membre, m’offrant ainsi des frissons de plaisirs. Après de délicieux va et vient, elle entreprit de le prendre dans sa bouche, si chaude, que j’avais l’impression que j’allais exploser. Elle englouti mon sexe jusqu'au fond de sa gorge et effectua ainsi des va et vient tantôt rapide, tantôt plus lent.

Je sentais la jouissance monter en moi tel un volcan une éruption dont la lave n’avait plus couler depuis longtemps. Sentant ma jouissance arriver, elle quitta mon sexe, pour m’enlacer dans un autre baiser endiablé.

Nous nous embrassâmes ainsi un long moment, profitant de chaque seconde qui nous était donné, Nos langues, nos mains, nos corps s’enlacèrent irrémédiablement, nous fusionnons dans le désir qui nous réunissez.

Alors que nous continuions de nous embrasser, elle grimpa sur moi, elle posa son sexe contre le sien, je pouvais sentir le désir qui coulait d’elle le long de mon sexe. Elle commença à frotter nos sexes l’un contre l’autre, faisant monter de plus en plus la jouissance qui avait pris possession de nos corps. A mesure qu’elle se frottait contre moi, son souffle se faisait plus court, plus difficile, comme si son corps donner toute l’énergie qu’il avait pour sa jouissance et que plus rien d’autre ne compter.

Je voulais m’enfoncer en elle, prendre possession d’elle de toute mes forces, mais je ne pouvais pas m’y remédier, j’étais le prisonnier de son désir. Je ne pouvais qu’accepter que ses mouvement, ceux-là qui nous pousser vers les haut sommets du plaisir, vers le paradis de la jouissance qui nous été promis.