J'ai envie de lui

J'ai envie de lui : nous ne nous connaissons pas bien encore, il m'a juste embrassé. Ma bouche s'est ouverte quand sa langue a cherché la mienne. Je sentais sa queue grossir, mon corps s'est collé contre le sien. J'aime faire cet effet. Que j'aurais voulu qu'il passe sa main, même vite fait sur mes seins. Il n'a pas osé sans doute. Enfin ce n'est pas vieux, ça ne date que d'hier. Normalement nous devons nous retrouver en fin d'après-midi. Il me tarde tant qu'avant de me lever je me touche la chatte en pensant à tout ce que nous pouvons faire, lui un homme, et moi, une faible femme (comme on dit). Ma main caresse lentement mon abricot: je mouille comme une salope.

J'aime trop me masturber. Je le lui dirais juste avant qu'il me fasse l'amour. Il me demandera de me regarder, et là j'écarterais les jambes comme je le fais ce matin. Me donner du plaisir est normal : j'en jouis et j'aime jouir. Lui aussi doit aimer prendre son pied. J'image sa queue dans sa main monter et descendre le long de son mat. Son autre main doit caresser aussi les couilles. Qui sait peut-être aller sur son cul pour y mettre un ou deux doigts, pile comme je fais.

Et qui sait il se fait mettre lui aussi. J'aimerais le voir nu, en levrette avec une queue entrer dans un cul ouvert pendant qu'il se fait caresser la pine par un autre. S'il aime se faire sodomiser, je suis volontaire pour le branler. Certainement qu'il me sucera le bouton.

Et je me vois aussi avec ma copine Bernadette quand nous faisons un 69, lui derrière moi mettant sa bite dans l'anus ou celui de ma copine. Je verrais comment fait une bite qui encule, et de près encore.

Je n'en peux plus je mets deux doigts dans la figue. Ma main dirige lentement le mouvement. J'aime les doigts au fond de là où naissent les orgasmes. Je ferme mes jambes un peu pour passer l'autre main sous les fesses : je la pose sur le cul. Là oui, c'est bon : j'en veux encore. Je vais trop vite : le sommier grince un peu. Même mes voisins vont savoir que je m'aime, que je me fais du bien, que je me branle. Ça m'excite encore plus d'imaginer les autres me voyant faire. Qui sait, lui aussi aime se faire surprendre pendant qu'il baise ? Je voudrais qu'il soit encore plus cinglé que moi, qu'il aime plein de choses innommables.

J'aimerais beaucoup le voir avec une autre femme, qu'il la fasse grimper aux rideaux en la lui mettant où il aime le plus. Qui sait il n'aime peut être que certaines pratiques particulières? Je ne sais pas moi, par exemple dans l'eau ou la mer. Sous la douche ou le lit. Ou dans une voiture à l'arrêt ou alors en roulant pendant que je le branle ou le suce.

Ça y est je jouis. C'est bon, je n'en ai pas assez : je recommence, même si je suis en retard au boulot. Cette fois je prends le gode, le règle sur la vitesse maximum, dommage pour le petit bruit : jusqu'à présent personne ne m'a fait de remarque sur les vibrations du moment que je l'ai dans le ventre. Ce n'est pas un gode, c'est son sexe qui est en moi. Je le sens bien quand ma main commence à entrer le bout arrondi. Je me la mets comme si c'était la sienne. Les billes tournent à l'entrée de mon con. Je le ferme comme je peux pour mieux le sentir.

Ça y est je il caresse le clitoris. Je pousse encore, il touche le cul. Décidément ce gode est précieux : il me donne tout ce que j'aime. Pourvu que lui aime ce que je me fais. Je sais qu'il va me baiser. Il va me la mettre partout. Ça y est encore une fois je jouis. J'aime me faire jouir ainsi : je jouis de plus en plus vite à chaque fois. Je sais ; je vais mettre l'autre gode, le vieux, dans le cul en le suçant bien avant pour qu'il soit mouillé. Pourvu qu'il ait un copain pour me baiser à deux queues. J'adore me faire prendre ainsi. La première fois j'avais un peu peur quand je me trouvais sur l'amant de l'époque sa pine dans le con. J'étais sur lui quand un autre est venu sur moi, il écartait mes fesses. Je savais ce qu'il cherchait. J'en étais curieuse. Il a craché sur l'anus. Il est entré lentement. Je sentais mes chairs s'ouvrir sans trop de dommage : je me faisais enculer depuis longtemps. J'arrivais à resserrer le vagin pour mieux sentir celle que devant. Arrivait le moment où je ne faisais plus attention de l'endroit du plaisir, mon con ou mon cul. Je me souviens encore de l'orgasme que j'ai eu.

Oh, je jouis encore. Il faut que je sois sage, sinon je vais perde la raison. Je le lui dirais ce soir : je suis une vraie salope, j'aime baiser. J'aime jouir.

J'ai envie de sa queue dans la bouche, de son jus qui coule en longues giclées dans la gorge. Je veux aussi sa bouche sur moi, entre mes cuisses ouvertes pour accueillir sa langue. Sa langue et ses lèvres. Oui, qu'il me suce, qu'on fasse cette merveille d'un 69 ensemble.

Je suis folle. J'ai envie de lui.