J'offre mon épouse, les yeux bandés, à un inconnu.

Ça fait pas mal de temps, que j’essaie de convaincre mon épouse, d'autoriser un autre gars, à avoir des relations sexuelles avec elle. Mais elle a l'impression, que, proche de la quarantaine, elle est moins désirable, moins séduisante, pour que quelqu’un s’intéresse à elle, mais surtout, qu’elle n’est pas prête pour ça.
Cela a changé le mois dernier.

Un petit retour en arrière d'abord. Marylou, ma femme est âgée de trente neuf ans, et moi de quarante. Nous sommes mariés depuis dix ans. Elle mesure un mètre soixante neuf, et est assez bien foutue. De superbe seins, accrochée haut, des hanches bien galbées, et des fesses extrêmement fermes.
Lorsque nous nous sommes rencontrés, je dois avouer que, sans être aventureuse, elle était plus expérimentée que moi. Ça n'a guère changé aujourd’hui. C’est pour ça, qu’il faut trouver une solution, pour pimenter nos rapport.
J'étais en ligne en train de parler à mon pote Adrien, de la façon dont je voulais la voir avec un autre homme. Il m'a de suite proposé de m'aider à réaliser mon souhait, ayant été toujours attiré par Marylou.
J'étais un peu incertain quant à sa candidature, car je savais que si ma femme acceptait, ce serai fatalement avec un inconnu. Se sentant exclu,
il m'a dit qu'il avait un plan. Sa société venait d’embaucher un nouveau cadre, célibataire, qui vivait dans un hôtel situé à deux heures de chez nous. Il se prénomme Dany. Il me donna ses coordonnés, et me conseilla de louer une chambre pour le week-end.
Ce que je fis immédiatement.
Je promis à Marylou un week-end en amoureux, sans savoir ce qui allait se passer.
Nous avons posé congé le jeudi et le vendredi pour pouvoir passer un long week-end. Comme on habitait à environ deux heures de l'hôtel, nous sommes partis assez tôt dans l’après-midi. Après nous être enregistrés et avoir réglé notre chambre, j'ai envoyé un message à Dany, pour lui faire savoir que tout se passait comme prévu. Il a répondu qu'il serait en week-end vers dix huit heures, et qu'il attendrait dans sa chambre. Je lui ai dit que ça me convenait, et que je le ferais savoir quand tout serait réglé.

Comme c'était censé être un week-end de détente, nous sommes allés manger dans un bon restaurant. Entre le vin et les insinuations, je savais que Marylou commençait à se mettre dans l'ambiance, et s’attendait à une nuit de folie, à se faire baiser par son cher et tendre époux.
Il était vingt et une heures quand nous avons regagner nôtre chambre. Dès que nous sommes arrivée, Marylou s’est rendue à la salle de bains, pour se démaquiller. Pendant ce temps, je peaufinais mon plan.
Entre temps, j’avais envoyé un SMS à Dany, lui disant de se tenir prêt, dès mon signal.
Marylou me rejoint, vêtue d’une nuisette transparente.
Je lui dis que j'avais prévu du spécial pour cette nuit. Je la fis se retourner, lui bandais les yeux, et lui demandais de s’allonger sur le lit.
Je lui liais ses poignets à l’aide de sangles, et l’attachais à la tête du lit. J'ai ensuite attaché ses pieds aux montants du lit, jambes écartées. Puis j’ai averti Dany, qu’il pouvait venir.
Dany, la quarantaine, était plutôt séduisant, dégageant une virilité assez exceptionnelle. Tout en lui faisant signe de ne pas faire du bruit, je lui demandais de ne pas parler, que moi seul devait dialoguer avec ma femme pour ne pas éveiller les soupçons.
Je me dirigeais vers le lit, plongeais mon visage entre les jambes de ma femme. Je lui écartais les lèvres intime, léchais l’intérieur, décalottais le clitoris, lui envoyais un souffle chaud dessus, qui la fit frémir de plaisir.
Je fis signe à Dany, que ma femme était prête.
Je devais avoir l'air très nerveux parce qu'il m'a demandé deux fois si j'étais sûr de vouloir vivre ça. Je lui ai dit que oui.
Son sourire disparu rapidement.
-Merde, dit-il à voix basse, j'ai oublié de prendre des préservatifs!
Je pouvais lire la déception sur son visage.
- Êtes-vous propre ? Demandais-je.
Il a dit oui, mais il ne voulait pas risquer de mettre Marylou enceinte…
-C'est bon, je vous fais confiance. Retirez-vous simplement et faites-lui avaler votre charge.
Je pouvais dire qu'il n'était toujours pas sûr, mais je lui ai assuré que tout irait bien. Et avec cela, nous nous sommes approchés de Marylou.
Dany ne pouvait pas la quitter des yeux. Je ne sais pas s'il avait une érection à ce moment là. Il m’a demandé s’il pouvait prendre des photos. Je lui dis qu’il n’y avait pas de problème, et attrapa son téléphone.
Pendant qu'il le faisait, je me dirigeais vers Marylou, passant ma main le long de sa cuisse jusqu'à, sa chatte bouillante. Dany à zoomait, s’est rapprochait de l’entre jambe de Marylou. Il a photographié en gros plan, mon doigt tourner sur son petit bouton entièrement décalotté. Mon épouse tirait sur les sangles en gémissant de plaisir.
-Chérie, est-ce que tu es prêt à te faire sodomiser ce soir.
-Mais...tu sais bien que...
Tout en doigtant son clitoris, j'ai taquiné son petit trou vierge, et bien serré. Dany me regardé avec stupéfaction et a pointé un doigt. J'ai hoché la tête...oui, il allait la faire sauter. Dany n'a pas attendu, et s’est déshabillé. En voyant sa queue en érection, je compris, que Marylou s’apercevrait de suite, que ce n’était pas la mienne.
Dany a grimpé sur le lit à côté de Marylou. Je pouvais voir l'inquiétude sur son visage. Nous avions parlé un jour de faire de l'anal, mais avait toujours était contre la sodomie.
Dany observait chaque centimètre carré de son corps. Je l'ai regardé avec impatience, alors que son premier mouvement était de passer le dos de ses doigts sur sa joue, puis de l'embrasser. Elle a dû l'apprécier, car alors qu'il s'éloignait, elle essayait de le suivre. Il passa ensuite sa main sur sa poitrine, à travers la transparente nuisette. Elle resta immobile alors qu'il commençait à embrasser ses seins, inspira brusquement alors qu'il mordait ses bouts maintenant dressés. Puis il prit le chemin qui menait au nombril, jusqu'au sommet de la chatte. Il ouvrit les lèvres intime, et la sonda doucement. Je ne m'attendais pas à ce qu'il soit si doux. Dans mon esprit, je pensais qu'il voudrait aller beaucoup plus vite, mais
Je pensais qu’il prenait le temps de la préparer, pour mieux s'amuser avec elle.
Je me souviens soudain que j'avais apporté quelques jouets. Un gode de dix huit centimètres, et un vibromasseur de sept centimètres. Je les posa doucement à la portée de Dany. Il prit ce dernier en l'allumant, et le fit courir sur les lèvres de Marylou, qui ouvrit la bouche permettant au jouet de rouler autour de sa sa langue. Une fois qu'il était mouillé, Dany l'a retiré, le plaça au sommet de sa chatte et le déplaça vers le bas en ouvrant les lèvres intimes gonflées de désir. Marylou commençait à se sentir à l'aise et appréciait d'être taquinée. Dany a recommencé à embrasser son corps. De sa main libre, il serra un sein puis l'autre.
Marylou gémissait, tandis que le petit vibro courrait sur la fente humide.
Dany savait qu’elle allait s’offrir. Il avait sa bite complètement dressée.
On pouvait voir les veines engorgées. J'étais émerveillé, alors que je le regardais grimper sur ma femme et s'asseoir sur son ventre, plaçant sa bite entre ses seins, l’enveloppant, la faisant disparaître entièrement, sauf la tête. Il a commencé à se déplacer d’avant en arrière, poussant suffisamment pour son gland atteigne les lèvres de Marylou.
Celle-ci savait exactement quoi faire et a enroulé sa langue autour du haut de la bite. Puis elle l’a aspirée, juste ce qu’il fallait, lui permettant d'entrer dans sa bouche.
Après quelques instants de branlette espagnole, il passa sa main derrière sa tête, la tirant vers son visage. Il enfonça sa queue entre ses lèvres.
Marylou a pris autant qu'elle a pu, alors qu'il s’enfonçait plus profond dans sa bouche. Il commença à utiliser sa prise sur l'arrière de sa tête, pour la faire aller et venir sur son calibre. Marylou n'avait jamais été forcée comme ça auparavant et essayait de reculer, mais la main qui la retenait, était trop puissante.
Dany desserra son étreinte. Je savais ce que Marylou faisait avec sa langue. Elle la faisait courir le long de la hampe, laissant échapper de doux gémissements à chaque poussée. Il a insisté pendant quelques minutes, jusqu'à ce qu'il laisse échapper un gémissement et remplisse la bouche de mon épouse, de sa chaude semence. Je voyais des filets se sperme coulaient sur ses lèvres. Mais elle ne perdit rien, avalant tout, jusqu’à la dernière goutte. Dany a retiré sa bite palpitante de sa bouche, s’est assuré qu'elle avait tout bu. Marylou se lécha les lèvres.

-J’ai trouvé ta queue bien grosse, mon trésor.
-A bon, dis-je...pourtant, c’est ma même. L’excitation sans doute.

Dany m'a regardé en souriant. Il s'est déplacé pour s'allonger presque sur le côté avec sa tête entre les cuisses de ma femme. Alors qu'il la touchait, elle cambra ses hanches, lui offrant sa chatte humide. Il s'exécuta en l'embrassant légèrement puis, utilisant deux doigts, écarta les lèvres, et lécha le fond de sa chatte, jusqu’à son clitoris. Marylou se cambra d’avantage, se lit à gémir.

-S'il te plaît...fais moi jouir…je veux jouir.

Une demande que Dany n'allait pas refuser. Il a commencé à la doigter, à la lécher, sucer et mordre sa chatte. Elle appuya ses hanches contre ses deux doigts encrés en elle. Elle respirer profondément, profitant de ce pur instant de bonheur. Sa bouche ouverte, attendait, comme si elle voulait qu’une queue la squatte.
J’aurais tellement aimé que ce soit la mienne, pensais-je.
Dany déplaça sa main libre vers sa poitrine puis, vers son visage, plaçant deux doigts dans sa bouche. Elle les suça, fort.
Juste au moment où je pensais qu'elle allait jouir, Dany s'est éloigné, la laissant haletante, suppliante.

-Oh non...n'arrêtes pas, j’étais si proche...j’allais venir…

En retirant ses doigts, il m'a regardé en souriant, tandis qu'il l’ait dirigés vers le petit trou.

-Non, attends, je ne suis pas sure que…

D’une poussée, il introduisit un doigt. Marylou grimaça de douleur. Ce n'était pas du tout la taille d'une bite, mais c'était suffisant. Dany est revenu à des actions plus douces, l'a lentement relâché jusqu'à ce que la légère douleur devienne une merveilleuse sensation. Ramenant ses doigts à sa chatte, il a continué à la manger jusqu'à ce qu'elle ait son premier orgasme de la nuit. Après dix ans de mariage, je ne l'ai jamais vu avoir un orgasme aussi intense.
Soudain, Dany défit les liens qui maintenaient les pieds liées au lit.
Prise dans la tourmente du désir, le corps de Marylou fut pris de violents spasmes, se tordant comme un ver, son clitoris tendu, tournant sur le doigt de Dany. Un deuxième orgasme surgit.
Dany enfoui son visage, absorbant les flots de cyprine, qui sortaient par vagues du corps de Marylou.
Une nuit normale, Marylou et moi aurions fini. Mais Dany en voulait encore. Il était à nouveau dur et avait encore deux trous à baiser. Il s'agenouilla entre ses jambes et me regarda. J'ai hoché la tête pour donner mon approbation, et il n'a pas tardé à faire courir la tête de sa bite de haut en bas de la chatte de ma femme.

-S’il te plaît Steven, baises-moi. Je veux ta bite en moi !

Si elle savait.
Sur ce, la queue de Dany pénétra la chatte de ma femme, la remplissant lentement jusqu'à ce que ses couilles soient contre elle, et qu'elle en ressente les vibrations. Il a commencé à s’agripper à ses hanches, lentement jusqu'à ce qu'il la martèle à pleine vitesse. Elle grogna et gémit à chaque poussée. J'étais en train de regarder ma femme hurler de plaisir à chacun de ses mouvements. Il se courba sur elle, lui mordait le cou. Puis, alors que Marylou commençait à jouir, elle enroula ses jambes autour de Dany, mélangeant ses haletant à ceux de de son amant.

-Oh putain...je viens...oh oui... j'arrive mon amour...vas-y, jouis en moi…
-Vas-y ma chérie, dis-je, fais toi plaisir.

Dany grogna alors qu'il essayait de se retirer. J'ai regardé, abasourdi ma femme le tenir en elle pendant qu'il se vidait copieusement les couilles.
Alors que Marylou laissait tomber ses jambes, Dany se tourna, me jeta un regard. Nous nous sommes regardés un long moment, réfléchissant à la suite de la soirée. Nous respirons fort tous les trois.
Dany s'est retiré et son sperme a commencé à couler sur ma femme. Je ne pouvais pas le croire et lui non plus, qu’il l’avait remplie. Jusqu'à ce que nous nous marions, Marylou n'avait jamais eu de relations sexuelles sans préservatif. Et là, c’est moi qui l’autorisais.
C’est Marylou qui rompu le silence.

-Mon dieu, c'était incroyable...qu’as-tu fait à ta queue, pour être si grosse.

Marylou leva la tête, et Dany en profita pour lui donner un tendre baiser. Alors qu'ils reculaient, je l'entendis murmurer.

-Je pense que je suis prête pour me faire sodomiser, dit Marylou.
-Tu en es sure ma chérie, demandais-je.
-Certaine mon amour, je veux sentir ta queue dans mon petit trou.

Un large sourire éclaira le visage de Dany. Il lui demanda de se mette à quatre pattes, la croupe bien cambrée. Il voulait la prendre en levrette.
Dany enfonça deux doigts dans sa chatte bien mouillée, retira quelques gouttes de cyprine, en imbiba le petit trou. Puis il plaça son gland décalotté juste à l’endroit vierge et serré de l’anatomie de Marylou.
D’une simple poussée, il força la tête de sa bite dans son anus.
Marylou répondit par un crie à cette forte poussée. Puis Dany entama de lents va et vient. Les sons de douleur de Marylou commencèrent à s'estomper, jusqu'à ce que ça devienne des gémissements de plaisir. Dany ralentit pendant un moment, pour que ma femme puisse récupérer.

-Oh mon chéri...comme tu encules ta petite femme...salaud…
-T’aimes ça, mon amour, sentir ma queue dans ton petit trou.
-Surtout qu’en elle est grosse comme ça...t’as pris quoi…

Dany reprit ses martellements, faisant hurler sa partenaire.
Cela ne prit que quelques minutes à Marylou et Dany pour partager un terrible orgasme.
Dany se retira d'elle, alors qu'elle s'écroulait sur le lit, le sperme dégoulinant de ses deux trous. La nuit fut torride.

Mais le plus dur restait à faire. Il fallait maintenant lever le bandeau des yeux de Marylou. Comment allait-elle réagir en voyant Dany. Allait-elle m’arracher les yeux, ou au contraire, me remercier de cette initiative. D’autant qu’elle a pris énormément de plaisir, dans cette intense relation.
Mais devais-je le faire maintenant, au risque, peut être, de la perdre.
C’est Dany qui trancha. Il ramassa ses vêtements, me remercia, et quitta la chambre.
Je regardais Marylou, écartelée sur le lit, épuisée. Je m’approchais d’elle à pas feutrés, m’allongeais à ses côtés, l’embrassait tendrement.
Je lui ai enlevé le bandeau, l’ai regardé droit dans ses yeux pétillant de bonheur. Elle m’a remercié pour cette fabuleuse nuit, puis s’est dirigé vers la salle de bains.
Quant elle est revenu, elle s’est blottit câlinement contre moi.
Finalement, à son insu, j’ai réalisé mon fantasme. Mais un jour, devrais-je lui avouer ce qui s’est réellement passé...