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Coquine et son cocu 4

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Lue : 1236 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/07/2021

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La salle de bain est devenue un sauna alors que la vapeur s'élevait du bain à remous, rendant ma vision aussi trouble et indistincte que mes pensées. Lucie a coulé plus bas dans l'eau, comme un crocodile se glissant dans la rivière après avoir dévoré sa proie. L'eau s'est enroulée autour de ses seins, la surface prenant la forme de ses bouts saillants.
Je me tenais à la porte, regardant son corps nu, repassant dans mon esprit, tout ce que j'avais vu et subi au cours des dernières heures. Mes pensées étaient inondées d'images fugaces de la passion de la nuit et des expérimentations érotiques de ma femme.
Alors que mes yeux respiraient sa féminité, ma mémoire jouait avec des visions de ses doigts plongeant en elle, debout dans la piscine, les jambes écartées, alors qu'elle avait accueilli la bite d'un inconnu.
J'ai vu des expressions de douleur sur son visage, quand son amant la sodomisait, et qui s'était si vite transformée en extase lorsque qu’il l'avait pénétrée.
Je ne portais plus qu'une serviette autour de ma taille, et ma queue en érection, l'avait tendue en avant. Je ressentais les effets d'heures d'excitation sans relâche. Je tenais ma bite dans ma main, glissant langoureusement de haut en bas de sa longueur. J'ai observé le contour des cuisses de ma femme, qui avaient été autour du dos de son amant quelques minutes plus tôt, et je me suis rappelé comment ses hanches les avaient forcées à s'écarter. Je regardai ses doigts tirer sur ses mamelons durcis, comme les siens l'avaient fait, alors qu'elle faisait glisser son autre main le long de son ventre pour s'attarder sur sa chatte rasée. Avec un effort, je lâchais mon pénis et me penchai au-dessus de la baignoire, pour couper l'eau. Il était hors de question que Lucie s’arrête maintenant.. Alors que j'étais au-dessus d'elle, j'ai aperçu des taches de fluide crémeux se mélangeant à l'eau du bain, alors qu'elle s'échappait d'entre les lèvres de sa chatte qu'elle tenait écartées. Lucie l'a vu aussi et en a ramassé une traînée dans sa main en coupe. Appuyant sa tête en arrière contre le bain, elle ouvrit la bouche alors qu'elle laissait le mélange d'eau et de sperme de Dave glisser sur sa langue tendue.
Une fois de plus, j'avais ma bite dans ma main tandis que je regardais ma femme savourer le jus de son amant, les muscles de sa gorge se contractant alors qu'elle avalait. C'est peut-être le mouvement de ma main qui glissait le long de toute ma raideur qui a attiré l'attention de Lucie, je ne sais pas, mais elle m'a alors regardé pour la première fois depuis que nous étions revenus dans la chambre. Puis elle a glissait ses doigts courbés dans sa chatte, en s’adressant à moi.

-Ce soir a été quelque chose de très spécial pour nous.
-Pour nous deux, semble-t-il, dis-je en baissant la tête.

J’ai senti le regard de Lucie sur ma queue inhabituellement érigée, puis vite s’en détourner. Elle reprenait lentement ses mouvements pervers, entre ses lèvres intime. S’en suivit un léger orgasme. Puis elle poursuivit.

-Je n'ai jamais su à quel point cela pouvait être fantastiquement érotique. Je n'ai jamais su à quel point je pouvais être excité, à l'idée de me faire baiser par quelqu'un. Tu as vu à quel point il m'excite encore. C’est en pensant à lui, que je viens de jouir. Tu sais combien je le veux, n'est-ce pas ? A quel point j'ai besoin qu'il me baise ?

Elle semblait être sous l’emprise de cet homme, qui lui avait donné tant de plaisir, comme si cela la menait vers des sommets inaccessibles. Elle semblait alors réticente à poursuivre, comme si cela la menait vers un endroit inconnu pour elle. Mais je savais qu’elle allait continuer. Elle voulait, à tout prix, revivre les moments sulfureux, de l’après-midi.

-Je ne peux pas m'arrêter à ce soir. Je dois l'avoir à nouveau en moi, me baiser avec sa grosse. Je n'ai jamais rien vécu de tel, partout où il me touchait, ça me picotait. Je pensais que j'allais jouir à chaque fois que sa langue ou sa bite me frôlaient. Je n'ai jamais ressenti un tel besoin d'être baisé par un seul homme auparavant, juste la pensée de sa bite rend mes seins et mon clitoris en feu. Tu comprends ça mon chéri.

Je n'ai pas dit un mot. J'ai juste continué à la regarder, de l’admirer dans sa totale nudité. Comment lui refuser ça, au risque de la perdre. D’autant qu’elle insistait.

-Il n'y a aucun moyen que je puisse m'arrêter à ce soir, je vais continuer à me faire baiser aussi longtemps que possible. Tu peux te plaindre si tu veux, ne pas participer, regarder ou sortir, comme tu veux, cela ne fait aucune différence. Tout ce qui m'importe, c'est de sentir son énorme queue s'enfoncer dans ma chatte, dans mon petit trou, dans ma bouche.

Quand Lucie sortit enfin du bain. Je me précipitais, pour l’enrouler dans la serviette que je portais autour de ma taille. Elle s'est tournée vers moi, avec ce regard de défi sur le visage. Pas un regard pour mon anatomie, pour ma queue entièrement décalottée, qui se dressait avec fierté. Devenant plus audacieuse, elle a poursuivit.

-Je vais me faire baiser dans toutes les positions, dans tout les trous. Je veux sentir sa bite s’enfoncer jusqu’au bout. Je veux surtout qu’il me prenne le petit trou.Je veux connaître autre chose qu’avec toi. Désolé.

Au cours de nos cinq années de mariage, Lucie s’est toujours opposé à ce que je l’encule, même pas un doigt, encore moins ma queue. Même lors de nos soirée libertine, elle a toujours refusé ce côté pile de son anatomie. Ce n’est pourtant pas faute d’essayer.
Maintenant, elle était là, excitée à l'idée que la bite d'un inconnu lui défonce le cul.

-Demain soir, je vais le rencontrer à la piscine et l'amener ici. Je vais le déshabiller et le conduire jusqu'à notre lit en le tirant par sa queue. Je vais me mettre à quatre pattes et lever ma croupe bien en l'air pour lui. Penses-tu pouvoir regarder? Oui, je sais que tu le peux. Tu sais quoi, mon petit trou devra être vraiment bien huilé. Ça te plairait que je te laisse passer cette huile de massage autour de mon anus pour moi. Aimerais-tu mon chéri, que je te laisse préparer mon cul pour lui ?

Je ne pensais pas qu'elle s'attendait à ce que je réponde. Je ne pouvais pas, ma gorge était serrée, ma bouche sèche. Lucie voulait m’imposer de l’aider dans sa relation avec Dave.

-Oui, c'est ça, tu peux me préparer pour ma première vrai sodomie. Cet après-midi, c’était juste un avant goût. Dave aussi devrait être préparé, il devra être huilé, et très dur pour enfiler dans mon petit trou serré. Tu pourrais étaler l'huile sur sa grosse queue, en faisant coulisser ta main pour bien l’imprégner. J'adorerais regarder ça dans le miroir, te regarder caresser la bite de mon amant pour quelle soit bien raide. Tu pourrais te servir de ta bouche aussi.

Ces propositions résonnaient dans ma tête, comme des coups de marteaux. Mais ça m’excitait au plus au point. J’avais tout accepté jusqu’à présent, pourquoi pas çà. Elle poursuivit.

-Tu pourrais t'agenouiller entre nous, caresser ma chatte, pendant que tu sucerais sa queue. Et quand je le supplierais de m’enculer, je voudrais que se soit toi qui guide sa queue dans mon petit trou serré. Ce serait si excitant de voir mon mari, aider mon amant à me sodomiser. Es-tu prêt à faire cela.

Lucie me regarda en souriant, comme si elle évoquait une autre image à son fantasme. Avec tout ce qu’elle venait de dire, je m’attendais au pire.

-Et si je demandais au jeune serveur de se joindre à nous. Il pourrait jouer avec moi, lui aussi, branler ma petite chatte, doigter mon clitoris. Il pourrait enfoncer sa queue dans mon gros trou, pendant Dave me prendrait au petit...ouah. Je vais lui demander de venir. J’ai hâte, je veux qu'ils me baisent tous les deux… dans ma chatte, dans mon cul. Je veux sentir leurs deux bites s'enfoncer en moi, côte à côte… m’ouvrir en deux, me remplir. Oh oui, le sentiment de deux hommes, me désirant tellement, voulant juste me baiser et me claquer leurs bites encore et encore.

J’essayais de calmer Lucie, qui partait dans des grandes envolées. Rien que le fait de me raconter son fantasme, la rendait hystérique. A tel point, qu’elle glissa sa main entre se cuisses, et caressa violemment sa chatte.
Soudain, un violent orgasme traversa son corps. Loin de la calmer, elle repartit dans son fantasme érotique.

-Oh oui, j'ai tellement envie de me faire baiser par deux mecs hyper monté. Je vais adorer la sensation de sentir leur semence gicler en moi. Ce serait tellement bon.

Je pouvais sentir la pression s'accumuler en moi, autant qu’en elle, alors que je serrais ma queue aussi fort que je le pouvais. Des images de ma femme se faisant baiser sauvagement dans les deux trous, par les bites énormes de deux étalons, passaient en boucle dans ma tête.
Mes jambes tremblaient et cédaient presque, alors que cette sensation de libération m'envahissait et que ma queue commençait à devenir sensible. Je suis resté là quelques instants, les yeux fermés, ma main coulissant plus lentement maintenant, ma respiration redevenant normale. Je pouvais sentir l'humidité sur mon autre main et baisser les yeux pour voir l’énorme mare de mon propre sperme souiller le sol.
Pas étonnant qu'il y en ait autant, après toute l'excitation insatisfaite que j'avais vécue cette nuit-là.
Ce fut au tour de Lucie d’exprimer sa jouissance. Toujours aussi actif, ses doigts accéléraient dans sa chatte, Elle atteint l’orgasme, dans un cri à fissurer les murs du bungalow.
Je ne sais pas si le fantasmes de Lucie, va se réaliser. Je me posais la question de savoir si j’étais prêt à accepter une telle relation. Pourtant, nous faisons régulièrement des parties à trois, mas je trouvais celle là excessive, humiliante pour moi.. Est-ce que parce que Dave était mieux montés, supérieur à d’autres amants, ça, c’est certain, c’est une bête de sexe. Lucie a pu le constater. Est-ce aussi, la façon que ma femme a eu de m’ignorer cet après-midi, préférant l’énorme queue de Dave, plus alléchante que mienne. Autant de questions qui méritent des réponses, et qui vont peut-être m’obliger à changer les règles.
Lucie releva la tête, me regarda. Je vis des larmes couler sur ses joues. Elle s’approcha, se blottit dans mes bras.
Épuisée, elle partit se coucher, tandis que je prenais le canapé.

Le lendemain, après une nuit blanche, on prenait le premier TGV, qui nous ramenait sur Paris.
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Histoire de Aurore34

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