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Je ferai ce que tu voudras

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Lue : 40521 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 05/04/2010

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Mon calvaire a duré trois jours. Pendant ces trois jours là, j'ai entendu l'homme dont j'étais devenue dépendante prendre ma soeur, et j'avais entendu ma soeur hurler son plaisir des heures durant. Elle en était devenue folle aussi, lui hurlait des "je t'aime" des "je suis soumise" et des "j'aime ta queue" trente fois par jour. Lui; je le savais, prenait son pied à pervertir ma petite soeur, il laissait à jamais une marque en elle, plus jamais le sexe avec un autre homme ne vaudrait la peine. Ils ne sortaient de la chambre que pour manger et boire.

J'avais tout essayé, j'avais même invité le petit ami de ma soeur à la maison, et l'avait laissé me prendre dans le salon, nous nous étions mis d'accord pour nous venger de cette manière. Il devait être vraiment excité parce que ça n'a pas duré huit minutes. Je n'ai rien senti mais j'ai simulé pour tenter de rendre mon homme jaloux. Il avait propulsé ses jets de sperme sur ma poitrine avant de me cracher dessus, me traiter de salope et partir.

Finalement, ma soeur est sortie habillée avec mes vêtements, accompagnée de mon homme, qui l'enlaça, lui susurra quelque chose à l'oreille, et lui ouvrit la porte. Sarah sortit en titubant et il ferma directement derrière elle, avant de s'installer dans le salon comme si de rien n'était. Je bouillonnais de le questionner, mais je feint l'ignorance aussi.
"Dis donc, tu l'as laissée choisir mes vêtements?" Il ne répondit pas.
"Tu pourrais répondre..."
"Ecoute, ces vêtements, c'est moi qui les ai payés. Alors c'est moi qui choisit la fille que je baise qui les portera d'accord? Tu ne comprends pas ce que tu as fait là. Je m'étais mis avec toi et j'étais assagi, j'évacuais mes fantasmes en dehors de chez moi parce que chez moi tu étais chez toi. En m'en faisant prendre une autre, tu as réveillé des plaisirs aux quels je m'étais fermé pour toi."
"C'est moi la coupable?"
"Bien sûr! Qui m'a offert son cul en échange de la promesse que je prenne sa soeur? C'est ce que j'ai fait!"

Evidemment je ne puis rien répondre...
"Et si tu évacuais tous tes fantasmes sur moi?"
"Non. Maintenant j'ai ta soeur pour ça. Elle passera ici une fois par semaine. C'est moi qui fixe le jour, ce jour là tu fais ce que tu veux mais t'es pas dans la chambre. Le reste du temps, ce sera comme avant."

Il monta le volume de la télévision et je compris que la conversation étais close. Je n'avais pas le choix, c'était ça ou rentrer chez mes parents et le perdre. Je m'assis à côté de lui pour le caresser, mais il me fit comprendre qu'il n'avait pas envie. Pas étonnant après ce qu'il avait mis à ma soeur.

Ma soeur justement, je la croisai à l'école, elle s'était rendue compte du pouvoir de son corps, elle ne passait pas une pause en dehors des toilettes, et elle y était toujours avec un autre garçon. J'entendais dire que ma soeur suçait contre la protection d'un gang. Les profs effrayés lui mettaient les notes qu'elle voulait. Elle glandait en cours.

Moi, j'avais été convoquée dans le bureau du prof de maths pour avoir quitté en plein milieu du cours, sans motif valable. Il me demanda de fermer la porte derrière moi quand j'entrai. Il se leva et verrouilla. "On sera plus tranquille"...
"Alors comment ça va?" Commença-t'il par demander.
"Ecoute, tu me regardes avec un grand sourire, après avoir fermé la porte derrière moi à clé, tu sais que tu peux me virer pour ce que j'ai fait, alors je sais que tu as une idée derrière la tête. Tu veux quoi?"
"Tu es vraiment directe, tu as du caractère, j'aime ça."
"Tu veux quoi?"
"Monte sur la table, devant moi. Couche toi sur le ventre."

Je m'exécutai en soupirant, et le regardai droit dans les yeux. Il se leva et ouvrit son pantalon, sans rien dire. Son sexe était tendu devant moi. Il ne dit rien, attrapa mes cheveux d'une main, sa bite dans l'autre, et il me l'enfonça dans la bouche. Les hommes sont tellement prévisibles. Il me suffit de quelques va-et-vient et d'un grand sourire pour le voir tendu comme jamais.
"Alors Mickaël, monsieur le prof de maths, on aime ça?"
"Oui", répondit il avant de me remettre la bite dans la bouche. Je la ressortit tout de suite.
"Non non, c'est pas comme ça que ça marche, on dit s'il vous plaît."
"S'il vous plaît."

Je me remis à le sucer, avec des coups de langue cette fois ci. Il souleva ma jupe d'uniforme, et caressa mes fesses. ses caresses étaient gênées, mais pas désagréables. Les hommes sont prévisibles, il me caressa l'anus. J'enfonçai entièrement sa bite dans ma gorge, il soupira et râle les trois secondes que je l'y laissai. Il prit une paire de ciseaux et coupa mon string.
"Mick, j'ai payé ces sous-vêtements gros porc."
"Je paierai, suce, s'il te plaît."

Je me remis à sucer. Son sexe était imbibé de ma salive, et il aurait été assez lubrifié pour me pénétrer à sec, si je n'avais pas été excitée. Je faisais de lui mon futur objet. Sarah voyait petit en se tapant un gang. En se tapant un prof, on est sûre de réussir. Il me retourna sur le dos, ma tête, en avant de la table, bascula vers l'arrière, il remit son sexe dans ma bouche et me baisa allègrement, il me défonçait la bouche, littéralement, je continuai à sucer jusqu'à ce qu'il me laisse respirer. Je crachai par terre, me relevai et me retournai, fesses juste devant son chibre tendu.
"Prends moi le vieux, prends moi."

Il me pénétra et ce fut ensuite très rapide... Trois ou quatre roulements de bassins le firent ressortit, il éjacula par terre.
"Tu as aimé Mickaël, je le sais, mais comment tu vas faire pour ne pas que je raconte?"

Dis je en ôtant ma minijupe avant de la frotter contre sa semence sur le sol.
"Si je devais me plaindre à la police, j'aurais des preuves..."
"Je ferai ce que tu voudras" répondit il, comprenant qu'il aurait du utiliser une capote.

Pour commencer, tu vas me noter présente à tous les cours, et me mettre 18/20 de moyenne. On verra ensuite. Je sortis et rentrai directement à l'appartement, pour me mettre au lit. Mon homme rentra et me rejoint, il me rejoint nu dans le lit. Il bandait terriblement, et je me dit que ce devait être les trois jours sans moi... J'avais une influence sur lui aussi! Il se mit à genoux et me mit la main sur la tête, je l'enlevai et me retournai.
"Elle est si bonne que ça Sarah?"
"Oui!" s'exclama-t-il en se couchant derrière moi, il ôta mon pantalon de pyjama, je mis ma main pour couvrir ma chatte. Il me plota les seins. J'étais très excitée et je pris sur moi pour ne rien laisser paraître, il mit son autre main sur mes fesses.
"Tu vas te taper toute la famille, il manque plus que ma mère..."
"Déjà fait" répondit il simplement, en commençant à frotter son sexe entre mes fesses. Il me plaqua contre lui, je savais qu'il aimerait si je me débattais, je restai simplement impassible.
"Quand?"
"La semaine où on est allé en France avec eux, on s'est retrouvés seuls quand j'ai été malade et que vous êtes allé faire du canoë. Elle est venue dans mon bain me donner un soin spécial.
"T'es un porc! Moi, ma soeur, puis ma mère!" Il accéléra ses frottements, j'avais du mal à lui résister, je sentais ma main sur ma chatte devenir tout humide.
"Ta mère est venue avant ta soeur, et si ça peut te rassurer, même si c'est une cochonne avérée, elle est moins bonne que toi! Elle m'a supplié de te laisser pour la prendre elle, pendant son orgasme... Oh et elle bave quand elle jouit."

Je ne sais pas comment il faisait, mais alors qu'il me disait les choses les plus humiliantes qu'il puisse imaginer, il ne faisait que m'exciter, je ne me contrôlais plus, j'ouvris les jambes, et ôtai ma main.

"C'est que ça c'est transformé en rivière", dit il en y enfonçant deux doigts, m'arrachant un soupir. Ses mouvements de bras me firent mouiller encore plus. je me lèchai les lèvres, et tirai la langue vers lui, il la prit dans sa bouche, nous nous retrouvions. Il me pénétra. Nous restâmes sur le côté quelques minutes avant qu'il me redresse et me mette à quatre pattes. Il fut très brutal. Je sentais son membre s'enfoncer en moi plus loin que jamais, m'arrachant encore plus de plaisir que d'habitude.

Soudain il m'enfonça la tête dans les oreillers, toujours aussi violemment, se servant d'une seule main, l'autre agrippée à ma hanche pour me forcer à garder le rythme. Je ne pouvais plus respirer, mais je pouvais l'entendre hurler.
"Alors on me résiste? Tu es à moi, et ta soeur aussi maintenant, elle m'a appelé pour me demander de la prendre ici, de la laisser vivre avec nous, elle était prête à coucher dans le fauteuil aussi longtemps que je voudrais! Tu te rends compte de la chance que tu as d'être dans mon lit?"

Le manque d'air me faisait ressentir chaque sensation au décuple, aussi quand il m'ôta la tête des oreillers pour entendre ma réponse, je lui chuchotai doucement que je n'étais pas à lui et que mon prof de maths m'avait baisée comme une chienne ce jour là.

Enragé, il m'enfonça à nouveau la tête dans les coussins et me pilonna, je jouis, je me sentis éjaculer contre lui pendant qu'il me disait "vas y mouille, ça va te nettoyer! Et puisque ça te tente comme ça de baiser sur le côté, je vais te faire baiser sur le côté.

Il me retourna ensuite et me pris en missionnaire. Jamais il ne m'avait pris dans cette position, nous venions de faire un pas en avant dans notre relation, il était jaloux, et cette pensée me fit jouir une deuxième fois avant qu'il ne sorte de mon corps tremblant de plaisir et qu'il m'éjacule quatre longues saccades au fond de la gorge que j'avalai. La cinquième, je la sentis atteindre mes cheveux.

"On s'y met dès demain", dit il en m'embrassant dans le cou. "Tu vas aimer."
"Je ferai ce que tu voudras.
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Histoire de Laura Eden

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Commentaires du récit : Je ferai ce que tu voudras

Le 12/07/2012 - 16:17 par jeanmimel
à quand la suite, vite !
Le 12/08/2010 - 22:46 par lylipuce
allez, fais nous une autre histoire :p
Le 16/07/2010 - 09:59 par sexual95
quel famille

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