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Je ne devrais pas partager

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Lue : 24275 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/03/2010

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Je discutais simplement dans le salon familial avec ma soeur. Mon homme, lui, taillait la bavette avec mon père et le type que ma soeur avait ramené cette fois là. Nous parlions de tout et de rien, elle avait 18 ans depuis moins d'un mois. "Dis donc ma belle, lui dis-je en riant, c'est que maman te laisse enfin prendre la pilule, il arrête pas de te prendre, ton homme." "Tu parles, me répondit elle. Il m'excite pas du tout. J'aime bien quand il me caresse, il me fout un doigt de temps en temps, mais je ne me laisse pas faire. D’ici un mois, il se barre."

"T'en as de la chance toi, ajouta-t'elle, tu m'as déjà dit à quel point tu aimes ça avec lui. J'ai l'impression que c'est l'orgasme garanti quand il te prend. J'aimerais trop que ce soit lui qui me dépucelle..."

Cette phrase reste gravée dans ma mémoire. J'adore ma soeur, et j'adore mon homme. L'idée d'offrir à Sarah le dépucelage qu'elle voulait était intéressante, mais je voulais garder cette machine à orgasme pour moi, et puis il ne voudrait pas, il les aime expérimentées, il a déjà dit que j'étais une exception. Pendant deux semaines, cette pensée m'obséda, avant que je n'en parle à mon mâle.

"Chéri, si je te demandais de t'en faire une autre, tu le ferais?" "C'est quoi cette histoire, répondit il, surpris. Un nouveau fantasme? Ca me tente pas du tout." Nous étions dans la cuisine et je nettoyais la vaisselle. Comme chaque fois que je lui parlais de sexe, il se plaça derrière moi, et plaça sa main droite entre mes jambes avant de me plaquer contre lui, déjà en demi-érection. Il me mordit l'oreille.

"Tu penses à qui?" Ses caresses commencèrent, lentement, je sentais l’étoffe de mon pantalon frotter mon clitoris. Je devenais déjà fiévreuse. "Sarah, ma soeur, haletais-je. Elle aimerait que tu la dépucelles." "Non, répondit il simplement. Elle n'a pas d'expérience, je vais m'ennuyer, et puis ça risque de nous foutre la merde si tu deviens jalouse." Mon T-shirt était à présent relevé au dessus de mon soutien gorge, mes tétons étaient tendus comme des pipettes de camion. Ses mains les palpaient avec rudesse, j'aimais ça, je gémis et me léchai la lèvre du haut avant de prendre sa main et de sucer son doigt.

"Je pourrais être là, pour être sûre que tu t'ennuies pas, et puis, si tu dis oui maintenant et que tu promets, je t'offrirai un cadeau dont tu rêves depuis longtemps." Et sur ces mots, je descendit son doigt entre mes fesses, toujours à travers mon pantalon, et le poussai sur mon anus. Pour rappel, je l'avais vu sodomiser sa secrétaire quelques semaines auparavant lors d'une promotion, et je savais que je devais faire ce sacrifice pour le garder. En dix secondes, son érection devint totale.

"Tu me laisses ton cul si je prends ta soeur?" "Oui, ce sera son cadeau, ça me fera plaisir." Je m'étais mise à genoux et j'avais ouvert son pantalon, son sexe était déjà dans ma main, et je le branlais avec vigueur. "Et si tu dis non, la seule façon dont tu pourras vider tes couilles avec moi sera la simple branlette." Je le regardais droit dans les yeux. "Tu ne voudrais pas que ton objet devienne ton maître hein?"

Il finit par accepter, et je ne dis plus un mot. J'ouvrai simplement grand la bouche, il me saisit la tête, et y enfonça son dard. Ses va-et-vient étaient plus puissants que jamais, je l'avais fait attendre, c'était ma faute. Il soufflait avec force, il haletait. J'enlevai mon pantalon quand il me laissa respirer, après avoir laissé ressortir ma salive de ma bouche pour la faire couler sur mes seins. Il me retourna et me somma d'attendre comme ça, fesses en l'air. Deux minutes plus tard, il revint avec du lubrifiant. Il en enduit mon anus abondamment, et je sentis trois doigts en moi. Ils n'étaient pas entrés par la voie habituelle.

J'avais très mal, il y allait fort. Mais je ne bronchai pas. Une femme doit satisfaire son homme. Je criai quand son membre pénétra ma grotte. Ses coups de reins étaient puissants, je sentis une drôle d'impression, ce n'était pas si mauvais. Quand ses doigts se mirent à titiller mon clitoris en même temps, je jouis et me mis à gémir de plus en plus fort. Il avait rendez-vous, notre rapport dura très peu de temps, il m'avertit qu'il allait jouir, et je me retournai pour avaler sa chaude semence, avant de rester allongée sur le sol, démolie. Je n'étais pas capable de me lever, et put le faire à nouveau qu'à son retour. J'ai pris mes renseignements, il parait que j'aurais du être beaucoup plus passive et détendue pour ma première fois. Je ne devrais pas partager, c'est douloureux.

Quelques jours plus tard, mon homme n'était pas motivé du tout, mais m'assura qu'il remplirait son contrat. Je lui dit que je les laisserais pour les filmer un peu pour que ma soeur dispose d’une vidéo histoire d’avoir un souvenir, puis que je les rejoindrais. Il leva les yeux au ciel mais ne dit rien. Je sentais qu'il n'était pas motivé. La sonnette retentit.

Quand j'ouvrai la porte à Sarah, je vis quels efforts subtils elle avait fait. L'uniforme de son école, une minijupe, un chemisier blanc, un serre-tête pour lui tenir les cheveux, était trop petit, elle y était toute serrée, on distinguait très bien ses formes. Elle était très légèrement maquillée, mais très bien coiffée, avec des paillettes dans les cheveux. Ses chaussettes blanches remontaient très haut, même si ce n'était pas obligatoire. Elle avait joué la carte de l'étudiante sexy et coquine pour exciter celui qui lui donnerait du plaisir pour la première fois. Elle était vraiment bonne.

Elle entra, et nous lui fîmes visiter l'appartement. Arrivée dans la chambre à coucher, elle parut vouloir changer d'avis, elle ne tenait pas en place et semblait vouloir très vite changer de pièce "c'est très joli, je suis curieuse de voir le salon, dit elle très vite."

Mon homme était derrière elle et la prit par la taille. Je sortis la caméra du tiroir et commençai à filmer au moment où il déposait un baiser dans son cou. Elle était raide. Il suçota son oreille, et elle pencha la tête pour lui laisser le passage. Elle était déjà excitée. Dieu que mon mâle était doué. Je me mis devant eux pour filmer. Elle avait les yeux fermés et se tenait droite. Lui la serrait contre lui, et descendais sa main entre ses jambes. C'était presque imperceptible, mais je filmai le moment où elle les écarta très légèrement. Mon homme souleva sa minijupe pour y glisser une main. Sarah respirait fort, elle commençait à transpirer, elle se mordit la lèvre inférieure tout le long des caresses de son actuel possesseur.

Elle poussa un gémissement au moment où il fit entrer un de ses doigts, et se déraidit complètement, et laissant aller contre lui. Elle ouvrit les yeux et fut surprise par la caméra. Elle se figea au un moment, avant de regarder droit vers l'objectif et de tirer sensuellement la langue. Mon homme la prit et la mi à quatre pattes sur le lit. il leva le tissu qui protégeait ses jambes, et ôta le string qui cachait sa vulve. Elle était très excitée. Il se mit à genoux et commença à laper son trou. Elle cria. Moi j'étais surprise, même à moi il ne l'avait jamais fait. Mais je n'en avais pas besoin.

Je me rendis compte que j'étais moi-même très excitée, j'étais pressée de les rejoindre. il suçait son clitoris à présent, et elle, à chacune de ses expirations, poussait un gémissement de plaisir. Ses bras ne la portaient plus, elle était allongée cul en l'air sur mon lit, la chatte dégoulinante de sa cyprine et de la salive de mon mâle. Mon mâle en question se remit à utiliser ses doigts, debout derrière elle, et il se servit de l'autre main pour la relever et masser sa poitrine. Les gémissements continuaient. La main qui palpait les seins ouvrit le chemisier, avec expérience, et arracha le soutien gorge d'une main de maître. Ses doigts allaient et venaient, à deux, dans la vulve de ma soeur, et son autre main explora le moindre recoin de l'anatomie de Sarah.

Elle se retourna soudain, surprenant tout le monde, elle la première, et souleva le T-shirt de l'homme avant de le lécher. Il comprit qu'elle allait lui faire la première fellation qu'elle réalisait, et il ôta pantalon et caleçon. Il avait une érection que j'avais rarement pu observer. Elle prit son temps pour jouer avec le dard tendu devant elle, jaugea la taille, puis, enfin, y posa la langue quelques fois. Après une demi minute à ce rythme, elle entra le gland de mon homme dans sa bouche, et le suça sans bouger, comme une glace à l'eau dont on veut vider le jus.

Il prit délicatement la tête de la jeune fille et lui fit faire des va-et-vient, avant de la lâcher. Elle comprit et continua seule, levant les yeux pour croiser son regard. Ils se sourirent. Ils étaient beaux à voir. Il grimpa finalement dans le lit, et la retourna violemment sur le dos, avant de s'allonger au dessus d'elle. Je n'avais jamais eu de missionnaire. Il entra vivement en elle, mais agita doucement ses reins. Les yeux de ma soeur étaient grands ouverts vers le plafond, elle se mit à lui parler doucement. "Sois doux, sous doux et quand je serai bien dilatée tu pourras être rude. Fais moi l'amour, mais tiens le coup, je te laisserai me baiser après. Tu pourras faire de moi ce que tu veux. Je veux que tu me fasses jouir autant que tu la fais jouir."

Il eut une expiration rauque, et continua son va-et-vient. "Filme bien ça, dit Sarah". Les mains de mon homme serraient les fesses de ma petite soeur, et son énorme bite la pénétrait. Je constatais maintenant quel énorme chose je prenais dans la gorge deux fois par jour. Les gémissement reprirent, et bientôt les cris, de plus en plus rapides, chaque coup de rein de mon compagnon arrachait un cri de plaisir à ma soeur. Il cessait de temps en temps, comme pour faire comprendre au corps sous le sien ce qui lui procurait du plaisir, et systématiquement dans ces cas là, c'était le dit corps qui se mettait à s'agiter sur le membre gonflé, gorgé de sang, qui restait imbriqué en lui.

Les cris cessèrent, le premier orgasme était fini. Il la remit à quatre pattes. "Sois rude, dit elle". Il la pénétra, en levrette, et ils se mirent à respirer très fort, de concert. Il restait très doux, comparé à ce que je connaissais. Il devait s'ennuyer, je me décidai à poser la caméra pour les rejoindre. Je me mis en sous-vêtements pour monter sur le lit, mais il me repoussa dès que je le touchai. Il continuait de prendre ma soeur, guettant le moment où elle tournait la tête pour lui accorder un sourire.

Je me rapprochai de ma soeur et me mis à quatre pattes à coté d'elle. Quand il serait lassé de se retenir, il me prendrait, me dis-je. Ce fut elle qui me poussa hors du lit. Son regard était fiévreux, elle était dans le genre d'état ou tout ce qui vous prive du plaisir devient une chose à éliminer. J'étais fâché, et lui criai de me prendre, moi, sa femme, son objet.


"Sors, tu auras ton tour après." Il ne me regarda même pas, et lança un sourire à cette femme à la quelle je l'avais offert. Elle serra ses jambes. Il expira un gémissement également. "La salope, me dis-je", elle me le prend. J'étais chez lui, je devais obéir. Je sortis au moment où il la retourna pour lui remettre sa bite en bouche, et éjaculer trois saccades quelle avala avant de recommencer à le faire bander.

Derrière la porte, je le entendais. Elle qui criait, lui qui faisait claquer son corps contre le sien. Plusieurs phrases me marquèrent: "prends moi, je suis ta nouvelle pute", "T'aimes ça hein? Tu pourrais recevoir ça tous les jours hein? Pire que ta soeur.", et "Oh oui mon bel étalon". Mais le pire fut de les entendre hurler leur deuxième plaisir de concert, avant de ne pas les voir sortir de la soirée et de les entendre rire tout ce temps.

Je ne devrais pas partager.
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Histoire de Laura Eden

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