ACCUEIL > En groupe > Récit : Je l'ai fait avec trois filles

Je l'ai fait avec trois filles

+11

Lue : 13729 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/04/2009

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Pas mal de mecs ont un jour fantasmé à l’idée de faire l’amour avec deux filles, mais en réalité, peut-être est il préférable que dans bien des cas, cela ne reste qu'un fantasme !

D’abord, il faut accepter le fait qu’elles ne soient pas toutes les deux des canons : la vraie vie n’est pas comme dans un film X, ensuite, il faut savoir remballer son ego si nécessaire. Je veux dire par là, qu’au moment où vous vous retrouvez avec deux charmantes créatures au lit, votre ego se prend pour un géant. Or, viendra bien un moment où votre érection faiblira (le plus tard possible, mais …). À ce moment, il est fort possible que ces dames continuent entre elles : vous pourriez tout aussi bien aller fumer une cigarette sur la terrasse : elles ne le remarqueraient peut-être même pas!

Si, comme moi, la présence d’un deuxième homme vous rebute, une jolie solution s’offre à vous : une troisième fille…mais il faut un sacré coup de bol pour avoir cette opportunité !

Bien avant le début de cette histoire, un ami m’avait offert un briquet zippo, rescapé du Vietnam. Il portait sur une face l’insigne d’une unité de para, sur l’autre, une phrase en anglais qui disait : "Si tu as envie de faire l’amour, souris quand tu me rends le briquet." J’avais ce zippo depuis si longtemps en poche, que j’avais oublié cette phrase !

J’ai fait la connaissance de Stéphanie deux ans avant le début de cette histoire, au cours de l’une de ces soirées étudiantes dont notre Université a le secret. Ivres, nous avons fini la nuit ensemble. Et ce n’était pas bien glorieux! Mes souvenirs de cette fin de nuit se résument à un brouillard. Nous avions fait l’amour sur un matelas, nus, dans un décor minable. Dans le peu de souvenirs que j’en ai, je la vois me chevauchant… Le reste est perdu dans une brume alcoolisée !

En ce mois de janvier, où je suis à l’armée (mes études étant finies), je rentre chez moi chaque vendredi soir, passant chez ma grand-mère pour lui donner mon linge. Puis je fais un tour dans un petit restaurant où se réunit après chaque match, l’équipe de volley-ball de l’université dont j’ai fait partie au temps de mes études.

Ce soir, j’ai la surprise de voir justement, Stéphanie qui y mange, seule ! Un peu gênée (autant que moi en vérité), elle me convie à sa table. Nous devisons de choses et d’autres et la conversation évolue vers son mémoire de fin d’étude, avec lequel elle éprouve quelques difficultés.
Ayant fini le mien depuis quelques mois, je lui propose mon aide qu’elle accepte. Nous convenons donc d’un rendez-vous pour ce dimanche après-midi.

Au jour dit, je sonne chez elle, portant mon gros sac vert qui contient mes treillis et un peu de documentation pour Stéphanie.
Elle m’ouvre, vêtue d’un jeans serré et d’un petit haut qui laisse ses épaules nues et sexy et montre qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, malgré une forte poitrine, sur laquelle mon regard s’attarde un instant.
Suivant mes yeux, elle me fait un petit sourire coquin !

Son appartement est assez grand, ce qui est inhabituel pour une étudiante mais elle m’explique qu’elle cohabite avec deux autres filles, lesquelles habitent en province, où elles rentrent les week-ends.

Nous nous mettons au travail, durant une heure, fort proche l’un de l’autre : je sens son parfum, sa cuisse contre la mienne, et mon regard s’attarde sur ses seins régulièrement…et ce qui devait arriver arrive : nos bouches se joignent ! Je lui caresse les seins avec frénésie, et ne comprend pas comment elle se retrouve nue.

Il faut savoir que la vie militaire génère chez moi une forte frustration du fait de l’absence de femmes, aussi je suis sûr que le moindre attouchement sur ma queue déclenche illico un orgasme, aussi, par précaution et pour être sûr de la satisfaire, je m’allonge entre ses cuisse pour la lécher longuement.
Une main fait le tour de sa jambe et, posée sur son ventre, tire sur la peau pour mieux ouvrir son sexe rasé (chose peu courante à cette époque).

J’introduis ma langue en elle et obtiens rapidement l’effet escompté : elle se met à gémir. Je suis impressionné par la taille de son clitoris, particulièrement long et dur, à tel point que je peux le saisir entre le pouce et l’index pour le branler comme une petite bite.

Ses jambes se mettent à trembler fortement et elle jouit. Je m’allonge ensuite sur elle pour la prendre dans un missionnaire classique et je jouis en elle alors qu’elle a un second orgasme.
Repus, nous nous couchons côte à côte, l’une de ses jambes en travers de la mienne.

Elle me caresse doucement et me dit : "Il y a un côté d’où je suis encore vierge, veux-tu être le premier ?"
Ayant peur de mal comprendre ou de passer pour un idiot, je réponds d’un grognement qu’elle prend pour un assentiment. Aussitôt, elle se met à quatre pattes et me présente son cul, qu’elle a large et rond !
J’y glisse ma langue, puis mes doigts, elle grogne de plaisir.
Ma queue ayant retrouvé sa vigueur, je pose mon gland sur sa rondelle et pousse : elle hurle quand il passe.
Craignant de lui faire mal, je fais une pose mais elle hurle : "Continue bordel !"
Une seconde poussée : je suis dedans ! Ayant déjà joui quelques minutes avant, je me montre cette foi plutôt endurant et passe sans difficultés d’un trou à l’autre, ce qui déclenche chez ma partenaire plusieurs orgasmes consécutifs : je suis assez fier de moi !

Avant de la quitter, elle me demande, un peu inquiète, si je compte la revoir, et me fait un grand sourire heureux quand je réponds par l’affirmative.

Nous convenons donc de nous retrouver chez elle vendredi prochain (à cette époque, il n’y a ni téléphone portable ni internet, souvenez-vous).

Encore un détail qui a son importance : le règlement oblige les militaires à rentrer chez eux en uniforme.

Le vendredi suivant, ayant posé mon sac chez ma grand-mère, je ne prends pas le temps de me mettre en civil et me rue chez Stéphanie, sonne : elle m’ouvre vêtue d’une robe blanche une pièce (malgré la froideur de ce mois de janvier), à travers laquelle je peux voir ses mamelons érigés.

Elle se jette dans mes bras, m’embrasse amoureusement. Je passe ma main sur ses fesses et constate qu’elle ne porte pas de culotte la coquine. Reprenant son souffle, elle me dit que ses deux colocataires, étudiantes comme elle, sont présentes.

Frustration, je ne vais pas pouvoir me la manger tout de suite !

L’appartement se trouve au dernier étage.
Lorsqu’elle passe, sur un pallier, devant une fenêtre, le spectacle de son cul en transparence m’incendie. Je ne peux résister à l’envie de lui caresser les hanches. Regardant par-dessous son aisselle, elle me jette un regard qui signifie clairement : "Vas-y ".

Sa main droite sur la rampe, elle se penche, appuie la gauche au sol, écarte ses pieds pour les caler de part et d’autre de la marche.
Je trousse sa robe, me penche et entreprends de lui lécher la chatte, mon nez entre ses fesses.

Cela dure deux minutes à peine, durant lesquelles j’en profite pour ouvrir ma braguette et sortir mon membre qui n’en peut plus, puis , je la prends d’un seul coup, allant et venant en elle frénétiquement. Elle se mord la lèvre pour ne pas hurler. Nous jouissons de concert et nous rajustons rapidement.
(Je vois encore dans mes souvenirs, la tache de sperme au sol, dans cet escalier !)

Ses copines nous attendent à la table de la cuisine: il y a Claudine, surnommée Claudy, une grande fille mince aux cheveux courts et bruns, et Florence, "Flo", une blonde pulpeuse aux yeux clairs.

Nous passons la soirée, ainsi que le font les étudiants du monde entier, à refaire le monde à l’aide de boissons diverses et de cigarettes, les miennes étant, à la mode militaire, dans ma poche de poitrine. (J’ai évidemment ôté ma vareuse et ma cravate).
Vers minuit, je suis le seul à en avoir encore et je mets mon paquet sur la table, surmonté de mon briquet.
Claudy se sert, lit la fameuse petite phrase (dont j’avais oublié l’existence) et me rend le briquet en faisant un petit sourire…que je ne capte pas !

Devant mon incompréhension, elle reprend le briquet et me le claque dans la main, affichant cette fois un énorme sourire: le message est clair! Je ne sais comment réagir et jette un coup d’œil rapide à Stéphanie, qui répond par un imperceptible signe de tête d’acquiescement !

Mais comment amener les choses ?
J’ai bien compris que Claudy et Flo, forment un couple de lesbiennes : il me faut la jouer subtile !

Claudy prend les choses en main : elle amène la conversation sur la chirurgie esthétique en parlant des seins de Flo qui se les ait fait refaire, complexée par leur trop forte taille.
Mais, selon son amie, elle est capable de jouir rien qu’en se faisant caresser les mamelons. Pour prouver ses dires, elle se lève, passe derrière Flo et ouvre d’un coup la chemise en jeans, révélant une poitrine encore forte.
Elle soulève les seins de son amie pour montrer les cicatrices de l’intervention chirurgicale, puis commence à lui caresser tendrement les seins. De son coté, Stéphanie a sorti ma bite sous la table et me masturbe doucement.
Quelques instants plus tard, Flo produit un long gémissement rauque. Nous ne perdons pas de temps, et en moins de cinq minutes, Claudy et Stéphanie sont allongées côte à côte, tandis que Flo et moi sommes sur le ventre, au coude à coude, entrain de les lécher.
Puis, je prends Stéphanie en missionnaire, et Claudy ensuite, dans la même position. Lorsqu’elles ont joui toutes les deux, Flo me dit qu’elle aimerait essayer aussi mais qu’elle a un peu peur, étant vierge !
Claudy s’assoit, et je m’allonge sur le dos, la tête sur son ventre, ses cuisses passant sur mes épaules et mes mains tenant ses chevilles. Stéphanie se met à genoux entre mes jambes et Flo me chevauche, embrassant Claudy qui lui caresse les seins.
C’est Stéphanie qui place mon gland à l’entrée de la chatte de Flo et qui appuie fortement des deux mains sur les reins de Flo pour me faire entrer en elle.
Un cri, un moment de stupeur, et Flo trouve le rythme, tandis que Stéphanie se masturbe et me caresse les couilles.
Claudy fait de même : je sens sa main sur son clitoris, sur l’arrière de mon crâne.

C’est un moment exceptionnel quand nous éclatons dans un orgasme commun !

Nous sombrons dans le sommeil , à quatre sur ce matelas prévu pour deux, dans un entremêlement de bras, de seins et de fesses…
Je me réveille brièvement, torturé par la chaleur (il fait VRAIMENT chaud à quatre dans un lit), ayant le souci de boire un peu d’eau sans réveiller aucune de mes compagnes, puis replonge dans le sommeil.

Je suis réveillé vers midi, par une douce sensation autour de mon membre : Flo apprend sur moi l’art de la fellation sous la houlette de Stéphanie. Claudy prépare le petit déjeuner, revêtue en tout et pour tout de ma chemise d’uniforme.

À table, elles me disent être très contentes d’avoir trouvé un mec pour faire l’élément mâle de leur ménage !



Cette histoire dura six mois, jusqu’à la fin de leurs études, où elles retournèrent chacune dans leurs villes d’origine, et leurs familles respectives.

Durant tout ce temps, nous passions des week-ends torrides. Mes amies se faisaient jouir entre elles la semaine et étaient très attentives pour moi, les samedis et dimanches.
J’ai perdu plusieurs kilos durant cette période !
11 vote(s)


Histoire de jean

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Je l'ai fait avec trois filles


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :