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Je me laisse enculer

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Lue : 14170 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 30/01/2014

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A force de l’embêter, je crois qu’enfin elle va se donner à moi. Elle m’excite depuis toujours. Bon, d’accord, elle est mariée, fidèle à son mec. Qu’est-ce que j’en ai à faire de son époux. Je la veux elle.

Le soir avant de m’endormir, je pense à son corps, j’imagine ses seins, ses fesses, son ventre, sa chatte, surtout sa chatte. Souvent je bande, je me caresse : je l’ai entre mes bras, nous sommes nus, elle me caresse les fesses comme je le lui fais. Ma cuisse est entre les siennes. Je crois qu’elle s’y frotte. Tant mieux.

Ma main fait descendre et monter ma peau. Le gland se découvre pour se couvrir encore. C’est bon, je continue jusqu’au moment où ma main arrête tout : je vais jouir. Quand mon sperme va sur mon ventre, je suis soulagé un peu, rien qu’un peu.

Elle m’a souri ce matin dans l’escalier quand elle descendait. C’est un signe, ça.

On annonce qu’une réunion de voisins va se tenir samedi soir. Je vais y assister évidemment. Pourvu qu’elle y soit aussi. Si mes parents me voient la draguer, ils vont en faire tout un plat. Ils voudraient sans doute que je me fasse la bonne du 5°. Je l’ai déjà baisé deux fois. Elle est bien gentille, elle sait bien lécher, se faire mettre par derrière. Et puis il faut satisfaire tous ses caprices : la faire jouir absolument avec la langue deux fois avant de pouvoir la baiser, pour finir par l’enculer ensuite. Elle est rasée, quand ma langue est sur son sexe, je sens les poils repousser.

Tandis qu’elle, mariée fidèle elle doit être plus baisable que l’autre, moins exigeante, plus sensuelle. Il me semble que ma queue serrait bien mieux dans son vagin que dans n’importe lequel autre.

Je l’invite à danser un truc genre slow. Elle se serre contre moi. Je ne tarde pas montrer mon trouble, ma queue se dresse contre son ventre. Elle me regarde en souriant. Elle sait maintenant que je le veux.

Je sens sa main sur ma bite, à travers le pantalon. Elle me touche en regardant son mari. Elle ne va pas lui demander l’autorisation ? Lui nous regarde attentivement. Il me regarde moi, surtout.

Quand la danse est terminée, elle m’entraine vers son mari. Je dois faire une drôle de tête. Il est poli en se levant quand nous arrivons. Un petit baiser sur les joue de sa femme et :
• Alors, il dance bien ?
• Il est parfait.
• Pour le reste ?
• Je t’ai dit parfait.
• Ma femme vous trouve parfait. Veuillez venir avec nous.

Venir avec eux ? Pourquoi pas après tout. Ils se lèvent, je les suis dans l’immeuble jusqu’au 3°. A peine entrée elle commence à se déshabiller. Je voulais la voir nue, je suis servi. Il s’adresse à moi
• Elle te plait ?

Je ne remarque presque pas qu’il me tutoie. Je regarde surtout le corps que je trouve parfait. Il lui tient les hanches. Elle prend ma main pour la mettre aussi sur ses hanches.
• Tu veux de moi ?
• Bien sûr.
• Partages moi avec mon mari, nous aimons bien baiser à trois.

Elle ne dit plus rien, sauf que sa bouche cherche la mienne. Sa langue entre dans ma bouche, nos langues jouent pendant que lui caresses les épaules de sa femme. Je m’aperçois qu’il commence bander. Ainsi lui aussi me veut. J’ai trop envie d’elle, je voudrais la baiser, là dans l’entrée. Elle tient ma main m’entraine dans un couloir, s’arrête au toilettes, laisse la porte ouverte pour s’assoir sur la cuvette. Je l’entends pisser, je vois son jet entre ses jambes. Elle prend ma queue, elle la met dans la bouche.

Elle me suce : c’est presque ma première fois. Je sens ses mains à lui contre mes fesses : ça c’est aussi ma première fois. Elle se relève, se colle à moi. Je sens ses seins contre moi : ils sont durs.
• Elle te plait ma femme ?
• Beaucoup.
• Allons la baiser à deux, elle adore avoir deux bites à la fois.

Il m’excite à parler ainsi. La baiser avec son mari : je savais que certaines femmes aiment se donner ainsi, mais là, pas elle. Elle est trop désirable, la baiser même à deux ce doit être bon.

Dans la chambre où ils m’ont guidé, elle commende les manœuvres. Elle tient nos deux bites ensemble. Elle se couche seule, prend bien ma bite dans sa main, elle me guide vers elle. Je suis couché sur elle, je sens tout son merveilleux corps. Elle me tient par les épaules, passe sa main sur le dos, descend vers mes fesses.

Ma bite est sur son con. J’entrouvre ses lèvres. Je rentre comme un voleur dans son sexe. C’est bien meilleur qu’avec la bonne du 5°. La surprise vient encore de son mari, il me caresse les fesses. Je sens sa main dans la raie des fesses. Pas possible, il va me la mettre au cul. Il arrive à caresser l’anus, sans y entrer. Je ne pensais jamais avoir du plaisir à cet endroit. C’est elle qui me demande de me laisser faire, que c’est agréable. Je me laisse faire : le doigt me pénètre. Il suit la même cadence que la baise, disons qu’il la complète agréablement. Sans doute un effet de ce doigt dans l’anus, je ne jouis pas bien vite.

Elle me fit sortir d’elle. La voilà qui se tourne, qui fait venir son mari me remplace dans son vagin. Je suis tout con ainsi. Elle est sur lui, elle prend ma queue la met sur son anus. Découverte d’un cul de fille. Je ne sais comment elle fait, elle ouvre ses intestins à la pine. J’entre en elle, je l’encule pendant qu’elle se fait baiser. Pour elle je suppose que c’est parfait à l’entendre gémir, pour lui sans doute aussi. Moi, je sens l’autre bite au bout du gland. C’est bizarre, c’est plus excitant encore. Il me semble sentir les couilles du mari contre les miennes. Et puis son cul est plus serré que son con. Je glisse, je patine en elle. Elle jouit avec nos bites dans le ventre. Du coup, c’est lui qui me fait jouir dans sa main : il branle aussi bien qu’elle.

Ils me font rhabiller, m’expédient dans la cour vers les restes de la réunion.
Le lendemain, je vais sonner chez eux : elle vient m’ouvrir enroulée dans une grande serviette. Elle m’embrasse vite fait sur la bouche.
*Tu veux tirer un coup avec moi ou mon mari ?

Elle me laisse pantois, elle ou son mari. Pourquoi pas le mari. Il est là, mais nu, il bande. Hier il m’a doigté l’anus, aujourd’hui il ne va pas m’imposer une sodomie ?
C’est un peu tard pour réfléchir : il a pris ma bite dans sa main, il me caresse. Il sort mes couilles, les caresses doucement aussi. Il passe sa main derrière pour toucher l’anus ; Il me fait bander encore plus.

Elle se met à mes pieds, prend ma bite dans la bouche, entame une fellation comme je n’en ai jamais reçu. Je suis prêt à jouir dans sa bouche. En attendant je sens qu’il me tripote les fesses, qu’il s‘attarde dans la raie. Il pose le gland juste contre l’anus. Et moi, je me laisse faire avec ma pine dans la bouche de madame et la bite de monsieur dans mon cul. Le mélange est détonnant.

Il est contre la table de la salle à manger, bien calé, je suis contre lui, elle est à mes pieds : elle se branle. Et moi, comme un con je me laisse enculer pour jouir.
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Histoire de baiserjouir

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Commentaires du récit : Je me laisse enculer

Le 27/01/2024 - 07:19 par Aletick77
J'adore, c'est simplement bien écrit et totalement jouissif car étant bisexuel je connais ces sensations et certaines femmes adorent avoir deux hommes bi pour elles !
Le 27/01/2024 - 07:18 par Aletick77
J'adore, c'est simplement bien écrit et totalement jouissif car étant bisexuel je connais c'est sensations et certaines femmes adorent avoir deux hommes bi pour elles !

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