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Contre toute attente

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Lue : 17165 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 12/01/2014

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Une ou deux fois par an je vais consulter Guillaume, mon ami d’enfance, lui a opté pour la médecine, me laissant à mes études scientifiques. Je suis arrivé le plus tard possible dans l’après-midi dans son cabinet quand le flot des patients est déjà éclusé. En général je suis le dernier à passer et après l’examen de ma santé nous avons le temps d’aller faire une petite bouffe dans un des restaurants du coin que nous apprécions.

J’entre dans la salle d’attente qui est encore pleine de monde ; heureusement que j’ai apporté un bouquin pour me faire patienter. Comme à chaque fois, je dis bonjour à la cantonade, un vague murmure me répond et je demande
« Qui est la dernière personne à passer
« C’est moi dit une charmante jeune femme
« Et bien, désormais ce sera moi

Cela laisse froide l’assistance, seule, la jeune femme sourit à ce trait d’humour, un peu lourd je l’avoue et je vois son regard me suivre tout le temps qu’il me faut pour prendre place dans un fauteuil en face du sien.

Il faut parfois peu de chose pour retenir l’attention et je regarde cette jeune femme à la dérobée, elle est magnifique, emmitouflée dans son manteau entre ouvert, je devine sa poitrine opulente qui pointe sous sa veste et par l’échancrure de son corsage je vois la commissure de ses seins blancs et la vallée profonde et attirante qui les sépare. Son visage est attachant, spécial, elle a un regard de feu, un cou gracieux, ses jambes sont serrées et débordants de sa jupe sombre très courte je vois ses genoux bien ronds et le début du dessus de ses cuisses gainées de bas noirs, tout ce que j’aime !

Nous devons nous regarder à tour de rôle car quand son visage se relève pour me regarder je plonge le mien dans mon bouquin et quand je la regarde à nouveau c’est son regard qui se détourne de moi et me fuis. Je me demande si je suis à mon avantage car je voudrais lui plaire ; j’ai opté aujourd’hui pour un négligé qui n’est qu’apparent, chemise de laine ouverte et pantalon noirs de marques; seules mes chaussures sombres en croco ont de la classe pour ceux qui les regardent et connaissent. Je sais l’importance qu’attachent les femmes aux chaussures des hommes et des godasses éculées à bascule sont rédhibitoires pour elles.

Depuis un moment nous nous regardons franchement sans détourner les yeux, je peux faire la synthèse de son charme en admirant ce que j’ai observé d’elle par étape, par petits morceaux si j’ose dire ; elle voit bien que mon regard l’enveloppe de haut en bas et elle se laisse faire , elle est sure de son charme, elle le sait et quand après avoir regardé ses jambes, ses genoux , mon regard remonte sur ses seins et son visage elle a un petit sourire amusé quand elle voit mes lèvres serrées en une sorte de moue amoureuse murmurer un compliment inaudible. Elle me détaille elle aussi et quand son regard se fixe sur mes escarpins je la vois masquer son sourire une main passée devant sa bouche, quelle jolie main, quelle bouche sensuelle.

Petit à petit les patients défilent et disparaissent, Guillaume viens les chercher, il me voit
« Ah tu es là Georges …… je vois qu’il fait un petit signe à la jeune femme

L’attente est longue et nous avons besoin de nous dégourdir les jambes. Depuis un moment elle croise et décroise ses jambes et c’est un régal pour moi car entre le temps de l’échange de position de ses cuisses je peux les voir plus avant, elle sait que je la regarde en douce et que je ne perds rien du compas gracieux de son entre cuisses. J’aimerais voir plus, plus longtemps, plus profond, mais déjà une cuisse se soulève masquant tout et se glisse au-dessus de l’autre.

La salle d’attente se vide peu à peu ; il reste trois personnes de son côté et je suis seul du mien en face de ma beauté, elle ne croise plus ses jambes mais elle s’ouvre un peu, j’ai du mal à ne pas regarder ses cuisses entre ouvertes, elle s’en rend bien compte et elle fait mine de tirer sur sa jupe pour cacher ses genoux, en vain, ils sont toujours là attirants, bien ronds et qui me narguent.

Je plonge dans mon livre en faisant semblant de lire mais mon esprit bouillonne de fantasmes, d’envies irrépressibles et je ne peux m’empêcher de la regarder à nouveau et je crois rêver, elle a ouvert ses cuisses, Ô pas largement juste assez pour voir au-delà de ses bas qui montent haut, la chair nue entre ses cuisses. Elle me regarde sans détourner les yeux elle juge l’émoi qui me saisit, ma déception quand ses jambes se referment cachant tout, mon désir qu’elle doit ressentir quand elle s’ouvre lentement de nouveau.

Je n’ose comprendre, moi seul face à elle, je vois sa manœuvre, moi seul vois ses cuisses qui s’ouvrent et se ferment, qui s’ouvrent de plus en plus largement en restant ouvertes de plus en plus longtemps. Je vois ses cuisses nues jusqu’à sa culotte, mince bande de tissus écarlate qui masque son sexe. Comment faire moi pour lui rendre un peu du plaisir qu’elle me donne, qu’elle m’offre , je ne suis pas caché des autres patients comme elle l’est, elle ; je me penche un peu en arrière en écartant les jambes, elle doit voir la bosse de mon sexe qui déforme mon pantalon, je n’ose me caresser pourtant j’en ai une envie folle.

Elle est excitée comme moi je le vois, je le sais par expérience, son visage s’est légèrement empourpré, elle vient d’ouvrir sa veste et ses seins libérés éclatent et pointent ; je vois ses bout durcis sous la soie de son corsage. Je distingue bien maintenant sous sa culotte son sexe bombé, je vois les jarretelles zébrer l’intérieur de ses cuisses blanches.

Nous ne sommes plus que trois à attendre ; avec nous deux une personne âgée ne s’occupe pas de nous plongée qu’elle est dans la lecture d’une revue ; alors j’ose, je tends ma main et je me caresse sans à-coups en haut entre mes cuisses ; je bande comme un malade et mon sexe déforme mon pantalon. Nous nous regardons maintenant fixement guettant nos gestes, je crois gueuler quand elle glisse sa main sous sa jupe retroussée et qu’elle l’enfonce entre ses cuisses dénudées pour se caresser la minette. Elle est assise au bord du siège, sa chatte est écrasée sur le rebord de bois et la houle qui anime son bassin doit la malaxer délicieusement, il me semble que sa culotte s’inonde quand le bout de ses doigts s’agitent sur sa chatte fruit.

Nous sommes seuls désormais, nous sommes muets, nous ne sommes pas tout à fait libres puisque Guillaume peut surgir à tout moment pour faire entrer ma voisine. Je me caresse franchement en agitant doucement mes testicules et quand ma complice écarte sa culotte et qu’elle découvre sa minette inondée de sa mouille filante, j’ouvre ma braguette et avec bien du mal , tant ma verge est tendue, je sors mon sexe qui ne demandait que cela tant il était à l’étroit dans mon boxer.

Je le regarde dressé, décalotté et elle le regarde, je ne me fais pas de souci pour lui je sais qu’il fait envie en général et quand je commence à le branler en faisant jouer la peau épaisse de mon prépuce sur mon gland en le cachant pour mieux le faire émerger de sa gangue, la main qui me fait face s’affole sur les grosses lèvres nues de cette chatte en furie qui m’excite tant.

J’ai une énorme envie, mon ventre s’anime de reptations spasmodiques comme si je baisais ; en face de moi c’est la tornade ponctuée de petit cris. Si nous ne baisons pas va-t-elle m’attendre quand elle sortira, pour me suivre, pour assouvir cette pulsion qui nous chamboule tous les deux à cet instant ?

Mais un bruit se fait entendre à côté nous avons juste le temps de nous réajuster avant l’apparition de Guillaume

« Je suis désolé je dois partir pour une urgence, je n’en ai pour très longtemps que décidez-vous…Alice tu restes ou tu reviens un autre jour ?
« Je vais rester car je dois te voir et cela ne peut être reporté…j’attends
Je n’en crois pas mes oreilles, elle veut rester, être vraiment seule avec moi…Alice ….Alice et moi !
« Et toi Georges ?
« Je vais rester aussi, j’ai tout mon temps et si tu ne tardes pas trop nous aurons le temps d’aller prendre un verre
« Bien d’accord je vais faire au plus vite, soyez patients
Patient, patient …..je suis impatient au contraire, impatient qu’il parte, qu’il nous laisse Alice et moi,

Guillaume s’éclipse, le bruit d’une portière qui claque, un crissement de graviers, puis le silence…nous sommes seuls, tranquilles, pour un bon moment, je l’espère.
Alice se lève, mais au lieu de s’approcher elle s’éloigne de moi….. je me suis illusionné, elle aime l’excitation, les plaisirs interdits, les fantasmes, sans plus. Elle va vers la porte d’entrée et je la vois qui ferme le verrou. Elle revient vers moi en me regardant, un léger sourire sur ses lèvres ; elle est là debout devant moi, elle est grande, elle est belle, j’entends ses mots
« Pourquoi m’excites-tu si fort Georges ?

Je ne sais quoi répondre tant mon émotion est grande, alors presque sans le vouloir ma main droite s’avance vers ses genoux, entre ses genoux et mes doigts remontent juste ce qu’il faut pour effleurer le bas de ses cuisses serrées, pour la première fois je sens sa chaleur, la douceur de ses bas de soie. Je reste en place un moment en faisant simplement varier la pression de mes doigts
« Alice, écarte toi un peu, ouvre tes jambes si tu veux, ouvre tes cuisses…

Ma voix chevrote un peu, je tremble tant mon émotion, mon excitation sont grandes, Alice s’ouvre et je peux caresser l’intérieur de ses cuisses, je remonte doucement, je m’attarde en épousant leurs rondeurs divines, je passe de l’une à l’autre, mes doigts glissent sur ses bas, ils serrent, pinceautent, épousent. J’ai hâte de découvrir les trésors que j’ai entrevus il y a quelques instants et quand à la limite des bas je sens la chair nue du haut de sa cuisse droite je ne peux retenir une sorte de feulement. Alice d’un coup est comme électrisée, tétanisée, elle se tend d’un coup
« Oui…..ouiiiii……ahhhhouiiiiii…..Geeeooorrge….ouiiiiiiiiiiii

Ma main enveloppe la chair nue, je sens les attaches de ses bas, je caresse, sa cuisse est ronde, ferme, douce, chaude, mes doigt en remontant contournent par derrière vers le début de ses fesses alors que mon pouce reste entre ses cuisses sur sa culotte où il s’enfonce légèrement calé entre les grosses lèvres de la vulve inondée.

Alice ne dit plus rien elle semble concentrée sur mes caresses, mon pouce s’enfonce dans le tissus de sa culotte en bougeant ; je le fais aller et venir d’avant en arrière, mes autres doigts passent par dessous sous sa culotte, sur sa fesse droite et petit à petit, émigrent, se centrent dans la raie des fesses. J’ai aussi passé mon pouce sous la soie de son petit slip maintenant et plus rien ne m’empêche d’empaumer la totalité de son sexe à pleine main, je fais rouler ses grosses lèvres entre mes doigts, je les presse ; les fais glisser l’une contre l’autre facilement grâce au mucus qui les inonde.

Alice participe, en s’écartant davantage pour que je conforte la position de ma main et en se resserrant par moment sur elle pour bien l’emprisonner dans son entre cuisses, un léger râle ponctue mes caresses, je fais aller un de mes doigts dans sa fente et Alice se branle sur eux en bougeant son bassin et en roulant des hanches.

J’ai détendu sa culotte en la descendant à mi cuisses pour être plus libre, pour mieux la faire jouir mais avec mes deux mains maintenant, ma main gauche passée par devant sur sa chatte, le pouce sur son clito tandis que les autres vont et viennent en parcourant la faille de sa vulve jusqu’au périnée où ils retrouvent les doigts de ma main droite qui cherchent l’anus au fond de la raie de ses fesses . L’un d’entre eux a trouvé sa cible et se centre sur le petit trou et cherche à entrer
« Non Nooonnn Geooorges pas le cul……pas le cul…..nooooonnnnn

Mais excité comme je suis je n’écoute pas et ce n’est qu’après avoir mis deux doigts dans son vagin par devant que mon petit doigt s’enfile dans son anus par derrière, il entre tout seul et commence à amadouer ce petit gouffre, petit à petit, en bougeant, en tournant, en allant et venant , en conjuguant ses pénétrations avec celles des autres doigts dans son vagin.

Alice apprécie maintenant la sarabande de mes doigts s’agitant en elle par devant et par derrière où des doigts plus gros que l’auriculaire s’en donnent à cœur joie à présent, elle pousse un grand cri en s’agitant comme une forcenée et d’un coup mes mains, sa chatte et son cul s’inondent d’une quantité invraisemblable de sa mouille, elle vocifère des mots sans suite
« Georges, sort ton sexe, branle toi et baise moi vite vite viiiiitttee je jouis, je mouille viens vieeennnns !

Sans crier gare elle se désengage de mes doigts et elle se met à genoux entre mes cuisses ouvertes. Fébrile elle déboucle ma ceinture, ouvre mon pantalon et elle découvre bien caché sous mon boxer l’énorme érection de mon sexe. Je la laisse faire, elle me caresse la verge sans me décalcifier ( J’adore cet emploi de ce verbe ) je sens le bout de ses doigt me caresser l’arrière de mon sexe sur la grosse veine bleue gorgée de sang , mon sexe pulse comme un fou et cela doit se voir ; ils s’attardent sur mon gland, décalotté, sur sa corolle si sensible.

Je sens comme une fraicheur sur mes génitoires, d’un coup elle baisse mon boxer et tire sur mon pantalon, mon sexe se dresse comme un diable sortant de sa boite, il se dresse vertical sous les yeux extasiés d’Alice qui reste pantoise l’espace de quelques secondes ; j’attends ma récompense, la moiteur de sa bouche qui ne va pas manquer de m’absorber…….

Mais non, Alice s’est relevée, debout devant moi elle retrousse sa jupe qui tient à sa taille elle s’avance, écarte ses jambes, ses cuisses, elle prend appui sur mes épaules et se hisse au-dessus de moi, face à moi, contre moi, ouverte, le dessous de ses cuisses en appui sur les accoudoirs de mon fauteuil qui semble avoir été créé pour ce genre d’exercice physique. Placée comme elle est le bout de mon sexe dressé, mon gland est juste sous et entre les grosses lèvres de sa chatte écartelée par la position ; la moindre avancée de mon ventre, la moindre descente de ses fesses vont nous permettre de nous faire plaisir, de nous caresser sexe à sexe et je ne parle pas des brusques montées de mon bassin ; des affaissements contrôlés de ses hanches pour des baisages foudroyants qui ne vont pas manquer de se produire dans un instant.

Expérimentée cette Alice pour cette position qui va nous permettre sans le moindre effort, chacun étant libre de ses mouvements, de ses pulsions, de ses désirs de jouir et de faire jouir son partenaire amoureux. Au premier effleurement de mon gland entre ses grosses lèvres Alice se déchaine et me crie ses ordres.
« Baise moi Georges……..maintenant…fais-moi jouir….je n’en peux plus tu me rends folle

Et pour la première fois elle m’enlace et elle m’embrasse comme je n’ai jamais été embrassé, lèvres grandes ouvertes sa bouche aspire ma langue à me faire mal, mais je ne sens rien , tout mon corps, toutes mes sensations sont dans mon sexe sous tension, gorgé de sang qui bouillonne . Durant tout le temps de ce baiser c’est Alice qui bouge sur moi, d’avant en arrière en réglant la pression de mon gland sur sa vulve. Elle le fait passer sur son clito devenu tout dur, le fait s’enliser entre ses grosses lèvres puis en s’abaissant un peu plus sur ses petites lèvres et à l’entrée de son vagin, elle s’attarde un moment dans cette position jouissive pour nous deux en roulant des hanches et de son bassin. J’ai même l’impression qu’en se plaquant encore plus contre moi elle se caresse l’anus.

Moi je suis bien et surtout je suis heureux de son bien-être. J’ai le plaisir d’un coup de la voir jouir , son visage dans mon cou , ses seins écrasé sur mon buste, ses fesses folles qui tressautent sur moi, mon gland bien en elle, juste enfoncé, au bord
« Prends moi maintenant….je jouis…viens

Alors sans délicatesse qui n’est plus de mise en cet instant c’est moi maintenant qui relève mon ventre, mon bassin et d’un coup je m’enfonce…… l’investis, mon sexe entièrement dans son vagin, mon gland bien à fond sur son utérus que je sens s’ouvrir sur lui. C’est alors un moment de folie collective car Alice et moi conjuguons nos mouvements identiques ou antagonistes pour des pénétrations douces ou violentes ? Quand Alice toute en moi s’écarte de moi je vois son visage bouleversé, sa jouissance est hors limite au-delà de l’imaginable et je dois résister pour ne pas m’abandonner moi aussi , pour continuer de la faire jouir si fort, si longtemps encore avec ma bite bien raide plantée au plus profond d’elle. Elle me crie de lui bouffer les seins et ils éclatent d’un coup nus, dressés, gonflés, rougis de son corsage alors comme elle me le demande je les saisis, les triture, les torture, les resserre, les écarte et les prend dans ma bouche comme un mort de faim en aspirant en les allongeant, en les suçant l’un après l’autre. C’est de la folie.

Dans une légère accalmie elle semble vouloir gouter à d’autres positions, elle se désengage, se lève, se retourne et s’assoit sur moi ses jambes jointes en me tournant le dos ; Le temps de dire ouf et de nouveau je suis en elle , un peu plus à l’étroit et son orgasme revient comme il était parti, c’est elle qui danse sur moi et elle se masturbe de toute la longueur de mon sexe et si par moment il s’échappe de son vagin la descente suivante le replonge en glissant dans la fournaise de sa chatte. J’ai une envie folle de jouir moi aussi mais je veux garder mon énergie pour lui faire profiter de tout le temps, compté, dont nous disposons. Je lui caresse les seins d’une main passée devant elle et avec l’autre que je laisse pendre entre ses cuisses le lui caresse le clitoris en le chantournant en tous sens.

Elle recommence à jouir mais avant que l’orgasme n’éclate à nouveau, sans me désengager, en la soutenant sous les cuisses, je me relève, mon sexe toujours en elle, je me retourne ; m’avance et je dépose Alice à genoux sur le fauteuil le buste penché les mains en appui sur le dossier, voilà une position que j’aime. Je peux admirer son dos, je la maintiens par la taille et surtout je vois ses fesses plantureuses, ouvertes avec mon sexe qui va et qui vient dans son vagin au plus profond de sa raie des fesses, je suis penché sur elle, j’ai pris ses seins à pleines mains et je lime comme un fou, j’ai le souffle court, Alice me sent au bord de la rupture et me hurle de venir la rejoindre
« Viens…viens…..viiiiieeenns…..jouis mon Georges…rejoins moi….jouis dans moi surtout…..

Alors je n’en peux plus je sens un bouillonnement dans mes testicules, je sais que dans quelque secondes tout sera fait je vais sentir mon sperme monter dans la cheminée de mon volcan et ce sera irréversible, dans un hurlement je sens ma jouissance éclater, elle vient, elle est là, formidable plaisir, d’autant plus formidable qu’il est fugace, mais surtout c’est l’aboutissement de la longue période d’excitation où j’ai fait jouir Alice moult fois.

Mon sexe commence à mollir, je me retire, m’écarte d’Alice, je vois ses fesses relevées , ouvertes, je vois au fond l’œil de son anus qui semble me regarder
« Georges…tu vois mon anus…il ne te fait pas envie ? j’aimerais tu sais ….

Elle aimerait que je la sodomise maintenant , moi aussi j’ai envie de son petit trou, je le vois qui pulse , qui m’appelle, je retrouve de l’envie, mon sexe se redresse en durcissant, je m’avance entre ses jambes et je me plaque sur elle, mon sexe vertical entre ses fesses ; je les écarte d’une main et avec l’autre je présente mon gland et je le centre sur l’entrée de ce puits sans fond où je vais aimer me perdre, je commence ma pression pour faire céder l’anneau musculeux qui en défend l’entrée, la mouille qui a coulé de sa chatte favorise mon introspection, déjà mon gland s’enlise……..quand nous entendons un bruit de voiture, le crissement du gravier, une portière qui claque

« Merde ! Dit Alice, en hâte nous nous désengageons et nous réajustons notre tenue et quand Guillaume se pointe dans la salle d’attente nous sommes de nouveau présentables
« Merci les amis de m’avoir attendu, j’ai fait le plus vite possible,
Alice me regarde et je lis dans ses yeux qu’il ne nous a manqué que quelques minutes pour que tout soit parfait
« Viens Alice…je te prends après Georges

Ils disparaissent, Alice suit Guillaume avec sa démarche chaloupée, elle tient son manteau dans ses bras et rien ne masque l’ondulation de ses hanches, de ses fesses sous sa jupe, mais je les vois encore nues, ouvertes, offertes devant moi. Comme j’aurais aimé la sodomiser comme elle me le demandait. Va-t-elle attendre ma sortie pour que nous partions ensemble, je ne sais ? Je l’espère !

La consultation d’Alice se prolonge, j’ai le temps de lire plusieurs chapitres de mon livre, mais j’ai l’esprit ailleurs, il faudra que je relise tout çà, je suis encore dans mon esprit en train de lui faire l’amour
« Georges, tu peux venir
C’est la voix de Guillaume que j’entends dans l’hygiaphone, je le lève et pour entrer dans le cabinet je pousse les deux portes capitonnées qui défendent la confidentialité des consultations, j’entre et je crois tomber à la renverse par ce que je vois

En premier lieu, au premier plan, les fesses nues d’Alice, ouvertes, toutes blanches dans l’écrin sombre de son porte jarretelle ajusté à sa taille et de ses bas montant à mi cuisses, seuls les rubans violets zèbrent en mettant en valeur ces rondeurs divines; elle est juchée en hauteur, à genoux sur la table de consultation, et penchée en position de levrette. Après cette première impression, je regarde mieux entre ses jambes écartées bien lisses, d’autres jambes poilues, elles, débordent de la table, les pieds en porte manteau ; ce sont celles de Guillaume qui est sous elle, il est allongé sur le dos et il la baise dans cette position, je vois bien maintenant son gros sexe dressé qui entre et sort, il apparait luisant de mouille avant d’être englouti dans la chatte d’Alice qui va et vient, monte et descend sur lui en des plongées vertigineuses. Je vois les seins nus d’Alice dodeliner devant Guillaume qui l’air absent, satisfait, les cajole avec ses mains.

« Pardon Georges de t’imposer ce spectacle mais c’est Alice qui le veux, il parait d’après elle que tu as quelque chose à finir
« Oui Georges c’est bien moi qui l’a demandé
Ceci dit son visage souriant et complice est retourné vers moi.
« Rejoins nous si tu veux me susurre Guillaume.
Si je veux, bien sûr, avec Guillaume ce n’est pas la première fois que nous baisons ensemble, en groupes, des parties carrées le plus souvent et à chaque fois c’est un festival de plaisir, de jouissance, je le connais, il me connait, nous ne faisons qu’un depuis notre enfance.

Ils continuent de baiser tandis que je me mets nu ; je m’arrange pour qu’Alice ne perde rien de mon strip-tease, elle me regarde intensément et quand je sors mon sexe en pleine forme en prenant bien soin de lui montrer mes fesses, elle pousse un petit feulement et elle augmente l’amplitude des circonvolutions de ses fesses sur Guillaume qui se pâme.

Je m’approche de la table, je reste debout pour le moment derrière eux, sur le côté gauche d’Alice, je vois l’arc mouvant de ses cuisses écartées, je vois la grosse verge de Guillaume qui apparait et disparait à ma portée dans la chatte d’Alice, arrondie sur elle et qui se retrousse quand elle sort. J’avance ma main droite et je caresse les testicules de Guillaume qui battent la chamade, je sais qu’il aime ; ma main remonte et je saisis son membre au passage, Alice reste en suspens au-dessus du gland et de ma main .

C’est moi maintenant qui mène la danse en me servant du sexe de Guillaume comme d’un pinceau que je fais aller et venir entre les petites lèvres toutes gonflées de la vulve d’Alice, je lui fais parcourir toute la longueur de sa longue balafre rouge sang, j’insiste sur le clitoris ; m’attarde dans les deux sillons qui bordent ses petites lèvres et quand le gland passe à l’entrée de son vagin je laisse Alice s’enfoncer jusqu'à ma main qui limite sa pénétration.

Je les laisse faire comme ils veulent maintenant, j’ai approché mon visage en me penchant sur eux et je commence à lécher ce que le peux, les couilles de Guillaume d’abord que j’arrive à prendre dans ma bouche, une après l’autre malgré leur sarabande, puis je remonte ma bouche pour lécher l’arrière de son sexe quand il est sorti d’Alice et quand il est en elle je lèche le périnée de ma beauté, de son vagin jusqu’au petit anus au fond de ses fesses et je reste en place . Cela la fait tressauter pour le grand bien de Guillaume ; à un moment même l’écart est si violent que sa bite se désengage de son fourreau et se plaque raidie sur son ventre ; alors je ne sais pourquoi et contre toute attente, je la saisis et je commence alors une séquence surréaliste, en pratiquant une sorte d’alternance.

Je prends le sexe de Guillaume, le redresse, le plie vers moi et le porte à ma bouche, cela me parait naturel, j’en ai envie, depuis longtemps je crois, ; Guillaume m’a déjà sucé, lui, lors de partouzes où chacun s’occupait de ce qui passait à sa portée dans l’enchevêtrement compliqué de nos corps. Je prends de son sexe le plus de longueur possible en creusant mes joues pour faire le vide dans ma bouche, je sens son sexe se raidir davantage et de temps à autre je le déglutis pour l’offrir à Alice en présentant son gland à l’entrée de son vagin , c’est alors Alice qui l’absorbe en une descente vertigineuse de ses fesses, les couilles de Guillaume en appui sur son ventre, elle s’agite comme une folle pour profiter de la raideur de cette verge que je reprends pour la pomper de nouveau.

Guillaume est comme fou de ce manège, qui de ma bouche ou du vagin d’Alice viendra à bout de lui, de son envie de jouir. Alice a senti la compétition et ne veut pas perdre la face, quand Guillaume est en elle je la vois se contracter sur lui, tordre sa verge en tout sens en agitant sa croupe ( Pardon Alice de ce terme animalier ) mais que sommes nous en cet instant ? Et quand j’ai le sexe de Guillaume en bouche, je l’aspire et j’agite ma langue sur sa hampe.

Guillaume rue en tout sens il s’agite sur la table, son ventre allant au-devant de nos caresses savantes, à un moment je vois, je sens qu’il va éjaculer, j’aimerais que ce soit dans ma bouche, sentir le flot de son sperme sur ma langue ; mais en hâte je le replace en Alice et quand il se met à hurler son plaisir il est en elle et elle reste immobile en l’étreignant, lui au fond d’elle ; tout es bien, une trainée de foutre épais, nacré coule entre leurs sexes unis et d’un coup de langue je ne peux m’empêcher d’en boire une bonne partie…c’est bon…c’est fou.

Je les laisse et j’entreprends de les rejoindre, je grimpe sur la table, derrière Alice, j’ai peu de place pour mes genoux que je place de part et d’autre de ses jambes, j’y suis, je ne suis pas encore collé sur ses fesses, je les vois, elles sont à portée de mes mains qui les ouvrent, les écartent, je tremble car de nouveau je reluque son anus, il est tel que je l’avais laissé tout à l’heure dans la salle d’attente, il me fixe, il m’invite, je me penche sur lui, mon visage entre ces deux merveilles, je voudrais le faire glisser au fond dans la raie mystérieuse qui les sépare. Sur une table basse proche je vois un tube de lubrifiant qui a dû servir à mes deux amoureux pour mieux se pénétrer, je tends la main, c’est de l’épais, spécial anus, comestible, parfumé, tout ce qu’il me faut.

J’ouvre le tube et je dépose une grosse noix de crème sur le petit cratère, je laisse le tube à ma portée et avec un de mes doigts je commence un petit massage sur l’objet de ma convoitise, avec la pulpe de mon index, j’étale la crème autour du petit trou, je le masse en tournant autour, c’est comme une caresse, elle semble être appréciée d’Aline car ses fesses commencent à se mouvoir et j’entends un gémissement approbateur qui m’encourage.

Mon doigt reste en place bien centré sur l’entrée du petit gouffre, je le regarde qui s’enfonce un peu avant que la première phalange soit en elle ; elle est entrée facilement alors je sors doucement, je sais pour l’avoir fait sur moi-même que c’est jouissif ce moment où l’anus expulse la rondeur du bout du doigt. Je continue ces petites infractions en entrant et en sortant mon doigt en l’enfonçant à chaque fois un peu plus, les muscles annulaires me serre très fort, alors je ne sors plus mon doigt mais je le fais aller de toute sa longueur et je varie en faisant ce qu’il faut pour élargir la place en pressant le tour de l’anus qui commence à s’ouvrir. J’ai tout mon temps car déjà je sais que ce que je fais est apprécié, attendu dirais-je même d’Alice.

Avec mille précautions j’ai enlevé mon index et je le remplace en deux temps par les deux plus petits de mes doigts, l’un après l’autre ils sont entrés et trouvent leur place et Alice doit les sentir s’agiter dans son fondement. J’aime les voir sortir et regarder l’anus dilaté qui se referme doucement ; mais les muscle sont détendus et quand de nouveau des doigts de plus en plus gros la pénètrent, l’anus s’ouvre et ne se referme plus complètement quand il est libre.

Trois de mes doigts sont maintenant à l’aise dans l’anus amadoué ; il est grand temps d’offrir à Alice ce qu’elle attend depuis qu’elle a prié Guillaume de me faire venir près d’eux. Je veux avant lui faire ce que toutes les femmes ont aimé que je fasse, l’une d’elle en particulier, je veux la caresser avec mon visage, avec ma bouche, mon nez, ma langue, l’anus complètement dilaté est là sous mes yeux, j’avance mon visage je le noie entre ses fesses ouvertes et je le fais aller et venir en explorant ce canyon odorant, mon nez, mais c’est ma bouche, ma langue qu’Alice veut avant ce qu’elle attend.

Elle doit la sentir au plus profond d’elle cette langue, ma langue dans son cul elle s’agite come une folle et Alice n’est plus qu’un spasme, elle ondule en s’éventrant sur le sexe d’un Guillaume aux anges…il est temps…je m’avance.. je tiens mon sexe d’une main et je le présente, le centre, c’est facile tant Alice est ouverte, alors doucement mais en une seule fois je m’enfonce en elle jusqu’à ce que mon ventre vienne en butée sur ses fesses . Je sens mon sexe en bonne compagnie avec celui de Guillaume qui s’agite au-dessous du mien.

C’est de la folie, nous sommes bouleversés tous les trois et nos cris vont contribuer à nous faire jouir tous ensemble. Je suis le dernier à les rejoindre, mon sexe bien serré dans le fondement d’Alice entre ses fesses qui ondulent, elle ouvre son anus quand je la pénètre et m’étreint quand je sors, jamais masturbation à la main ne m’avait fait cet effet, aucune bouche ne m’avait encore pompé de la sorte, son anus par ses contractions, par son pistonnage est en train d’aspirer ma vie au plus profond de moi.

Du fin fond de mes testicules je sens la dépression qui se forme et l’ouragan qui s’annonce, il tourbillonne déjà, il spirale de mon périnée et remonte de mes génitoires vers ma verge, le plaisir me tient depuis un moment comme jamais mais quand il éclate au fin fond des fesses en furie d’Alice et la fait hurler, je perds toute notion de ce qui m’entoure, je ne contrôle plus ni le temps ni l’espace, c’est comme un torrent de feu grégeois qui fuse de mon sexe et qui dévaste tout mon être et celui d’Alice . Je me suis accroché à ses seins, elle a passé une main entre mes cuisses pour me saisir mes testicules. Guillaume a pris la bouche d’Alice et cela jusqu’à l’écroulement final. Je comprends maintenant pourquoi Alice voulait que je me joigne à eux ; il aurait été regrettable de manquer une telle jouissance qui me marquera à vie. J’espère que c’est le début d’une folle aventure pour nous trois.

Nous sommes assis tous les trois, complices, côte à côte sur la table de travail ; Alice au milieu de nous, détendue, heureuse et nous projetons d’aller faire une petite bouffe au Marocain du quartier. Guillaume et Alice se regardent d’un air entendu manifestement ils se connaissent de longue date et je me demande d’un coup s’ils ne m’ont pas monté une sorte de traquenard érotique pour profiter de ma présence et pigmenter leur relation amoureuse. Ce n’est pas moi qui m’en plaindrais !
Après tout peu m’importe nous avons bien jouis tous les trois et je ne leur en parlerais jamais.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Contre toute attente

Le 18/10/2023 - 20:50 par Sky
Belle partie de sexe à trois racontée de façon experte. Très belle écriture aussi. J'adore le style et j'avoue que l'histoire est très sympa ! Bravo !
Le 01/09/2023 - 17:24 par Kristof41
Humm belle histoire, c'est fort possible que ce soit un traquenard mais très jouissif et pourquoi pas une suite à cette aventure
Le 07/07/2014 - 08:45 par lulu0638
superbe tant en écriture qu'en érotisme
Le 13/01/2014 - 12:18 par Anne
Excellent comme toujours, d'un érotisme torride, bravo Pierre ! Anne.

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