Je ne m'y attendais pas

Depuis le mois de d'avril j'aide une personne handicapée en lui faisant ses courses une fois/semaine. Il s'agit d'un homme de 58 ans en chaise roulante, sympathique et dont nous avions fait connaissance lors d'un mariage.
Il a droit à une aide-ménagère, mais en général elle ne sont pas très courageuses et se limitent au minimum. De ce fait il m'arrive régulièrement de balayer un peu et de prendre les poussières aux endroits les moins accessibles.
Depuis le début il n'a jamais fait la moindre allusion salace et je n'avais jamais remarqué qu'il portait attention à mon corps, mais...
Il y a 2 semaines, alors que j'étais revenue chargée de 2 sacs de courses que j'étais allée lui faire, il m'a demandé si je pouvais passer l'aspirateur car la dame qui était venue le matin avait bâclé le travail.
Ce jour-là j'étais sobrement vêtue d'une jupe "normale" m'arrivant juste au-dessus des genoux et d'un pull en laine, rien de sexy en quelque sorte.
Lorsque j'ai eu terminé je me suis assise dans un fauteuil et nous avons bavardé comme à l'habitude.
Nous parlions bêtement des beaux jours qui étaient finis et du froid qui commençait lorsqu'il sortit la phrase: "Quel dommage, j'aime mieux quand tu viens en été car tes tenues sont plus agréables au regard".
Je fus étonnée, jamais il ne m'avait dit une telle chose !
Je ne savais que lui répondre, je ne suis pas une oie blanche mais je ne m'attendais pas à ça.
Moi: "Oui, mais je suis frileuse et mon pull me tient bien chaud au-dehors".
Lui: "Je comprends, mais en ce qui concerne ta jupe je ne crois pas qu'une plus courte te donnerait froid, en tout cas moi celles que tu mets en été me donnent fort chaud".
Pas besoin de dessins, j'ai compris que celui que je croyais sage ne l'était pas vraiment, alors...
Moi: "Et laquelle préfère-tu ?".
Lui: "J'adore quand tu mets la petite bleue fleurie à godets".
Moi: "Oh oh, c'est ma plus courte, je n'avais jamais remarqué que tu portais attention à mes tenues".
Lui: "Disons que c'est plutôt à ce que certaines me permettent de voir de tes ravissantes jambes, j'espère ne pas te gêner par ce que je dis".
Moi: "Pas du tout. Ainsi tu trouves mes jambes jolies ? Tu me fais plaisir à me dire ça".
Mon instinct d'exhibitionniste a directement réagi et j'ai remonté le tissu presque à hauteur de ma culotte.
Moi: "Voilà pour te faire plaisir, ainsi tu ne m'en voudras pas d'être venue habillée de long".
Lui: "C'est un vrai cadeau du ciel que tu me fais, serais-tu d'accord de te lever et de tourner sur toi-même devant moi, stp".
Je me suis levée, ai coincé le devant et le derrière de ma jupe dans ma culotte et me suis approchée à quelques centimètres de lui avant de tourner doucement".
Lui: "Depuis mon accident je n'ai plus jamais eu la possibilité de voir ce que tu me montres, j'ai déjà voulu louer les services d'une professionnelle mais c'est cher pour mes petits revenus".
Je voyais ses doigts remuer nerveusement et ai deviné qu'il avait envie mais n'osait me toucher, alors, jouant la gentille innocente je lui ai proposé de me caresser un peu. Timidement et avec beaucoup de délicatesse il a posé une main qu'il a promenée sur ma cuisse. Moi il ne m'en faut pas plus pour me donner des frissons particuliers et que quelques gouttes s'échappent de moi.
Moi: "Tu veux que j'enlève ma petite culotte ou tu préfères glisser ta main dedans ?".
Lui: "J'aimerai, si tu veux bien, glisser ma main dedans et par après te l'enlever moi-même".
Moi: "Comme tu veux".
Lui: "Tu peux aller fermer les tentures auparavant, je suis un peu gêné".
J'ai fermé les tentures et nous nous sommes retrouvés dans une petite pénombre qui n'empêchait pas de bien voir malgré tout. Je suis revenue devant lui et il a pénétré ma culotte de ses 2 mains, l'une par devant et l'autre par derrière.
Il n'a pas fallu longtemps avant qu'un de ses doigts n'aille fouiller mon intimité déjà toute moite et pas plus de temps avant que je ne gémisse.
Il était occupé à me masturber et j'ai enlevé mon pull et retiré mon soutien-gorge.
Il a retiré son doigt et l'a mis en bouche, ensuite il m'a retiré ma culotte et j'ai détaché ma jupe qui est tombée par terre.
J'étais nue, offerte à ses yeux. Il a fait reculé sa chaise roulante d'un bon mètre et s'est extasié un long moment.
Lui: "Tu es sublime, j'adore tes formes et ta chatte toute rasée est super douce, merci".
Moi: "Tu es vraiment gentil de me dire ça, je n'ai pas l'habitude de me montrer nue à des hommes (hou, comme je suis menteuse), mais toi tu as un charme fou auquel je ne peux résister et il y a longtemps que je me masturbe chez moi en pensant à toi".
Lui: "C'est vrai ? Pourtant je ne suis plus très jeune et ma situation n'est pas très glamour".
Moi: "Ton âge n'a pas d'importance et ta situation ne t'empêche certainement pas d'être encore un homme, enfin, je l'espère".
Lui: "Non, je suis encore un homme de ce côté-là, mais depuis mon accident je ne peux que me satisfaire moi-même en me souvenant de mes aventures passées et parfois (il devint gêné) à toi".
Moi: "Ainsi tu te branles en pensant à moi ? Et tu t'imagines quoi dans ces moments-là ?".
Lui: "Tu portes ta jupe bleue et je te demandes de nettoyer le dessus de l'armoire, quand tu es en haut de l'escabelle je fais rouler ma chaise jusqu'à toi et regarde sous ta jupe, ensuite je te caresse les jambes".
Moi: "C'est tout ?".
Lui: "Oui, mais je t'assure qu'alors je vis un moment de rêve bien que ce soit virtuel".
Moi: "Je vais te donner un peu de réel, mais pas faire l'amour avec toi aujourd'hui, je vais m'allonger sur ton canapé et tu viendras me caresser où et comme tu veux, dans quelques minutes je me mettrai à genoux devant toi et te sucerai".
Lui: "Jamais je n'aurais osé croire à ça, mais j'ai peur d'éjaculer rapidement car il y a tellement longtemps que...".
Je n'ai pas relevé et me suis allongée sur le canapé, tout au bord vu sa difficulté. Mon corps entier a subi l'assaut de ses mains d'abord tremblantes, ses doigts m'ont investie et il se régalait souvent de ma cyprine en les portant à sa bouche. Parfois je me tournais et il profitait de mes fesses et me titillait l'anus sans vraiment le pénétrer. Ensuite je me suis levée et agenouillée devant lui, avec une petite difficulté je lui ai baissé son pantalon et son boxer. Si il pensait ne plus être un homme pour une femme... j'ai vu qu'il n'en était rien, que du contraire. C'est une queue hyper raide et d'un formidable gabarit qui s'est présentée à moi !
Prenant une lingette dans mon sac j'ai commencé par lui laver le gland, ensuite je l'ai branlé sensuellement avant de promener ma langue dessus. Mes doigts frôlaient ses testicules et ma bouche s'empara de son membre. Effectivement il ne fallut pas bien longtemps avant qu'il n'explose en moi et je peux vous certifier qu'une fameuse rasade m'a presque étouffée.
J'ai pris tout mon temps avant de libérer son sexe, désirant me repaître de tout ce jus qu'il m'offrait jusqu'à la dernière petite goutte.
La semaine dernière nous avons fait l'amour, je vous le raconterai car ce fut ma 1ère avec un homme handicapé.
Lucrèce, la coquine liégeoise d'Angleur.