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Le magicien onirique

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 20/01/2023

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Le magicien
Je pars de chez mes parents

Mon père et ma mère pleurent tous les matins sur l’impossibilité de joindre les deux bouts, ils sont pauvres de chez pauvres.
Au mois de juin, pendant les beaux jours, quelques jours après mon quinzième anniversaire, alors que je rentre de la forêt avec un chargement de bois mort, je vois sur la place du village un attroupement autour d’un homme de haute taille habillé très bizarrement, avec un chapeau pointu. Je m’approche pour voir, il fait des choses extraordinaires, d’un chapeau, il sort indépendamment un lapin et un oiseau qui s’envole et revient se poser sur son chapeau.
Nos yeux se croisent, puis il me fait signe de m’approcher. La foule se sépare pour me laisser venir à sa rencontre. Il me détaille avec suspicion puis me demande mon nom et où j’habite, puis si cela me plairait de venir avec lui. Il me semble très gentil, alors je lui réponds qu’il fallait voir avec papa et maman.
— Attends-moi pour la fin du spectacle.
Ensuite, ce que je pense de ses enfants qui font une pyramide humaine sous les applaudissements du public puis ils passent devant chacun avec un chapeau pour récolter de la menue monnaie, ceci marque la fin du spectacle.
Moi évidement, je n’ai pas un seul sou à mettre dans leur chapeau aussi je remets mon chargement de bois sur l’épaule et accompagné du magicien, je me dirige vers la maison de mes parents.
Arrivés, nous entrons. Mère est en train de préparer le repas du soir, un maigre brouet où les légumes se courent les uns après les autres, quant à la viande, il ne faut même pas y penser, deux fois par l’an, à Pâques et à Noël,
— Bonjour madame et monsieur, fit le magicien, j’ai quelque chose à vous proposer.
— Bonjour répondirent mes parents, un peu gêné devant l’air majestueux du magicien, oui ?
— Je désire prendre votre fils avec moi, comme apprenti.
— Mais Monsieur, commence ma mère alertée.
— Tina, cela nous fera une bouche de moins à nourrir et il apprendra un bon métier, regarde comme monsieur est bien habillé et à voir son aspect, il me meure pas de faim comme nous.
— Pour vous aider à prendre votre décision, je vous offre 2 écus en dédommagement.
— Top là, fait mon père, avant que mère en pleurnichant ne puisse rouspéter.

C’est ainsi que je commençe dans la troupe de Balthazar, magicien à ses heures perdues, mais surtout illusionniste et un peu voleur sur les bords.
Mon apprentissage.
Tout au début, pour permettre à la troupe de subsister, les aumônes que nous récoltons n’étant pas grandes, j’ai appris à dérober discrètement les bourses pleines d’écus, j’ai passé des heures à apprendre comment soulager les bourgeois de leur surplus d’économie sans me faire remarquer. Balthazar était très très pointilleux sur ma manière de procéder, il ne veut pas que je me fasse attraper. Donc je me mêle à la foule des curieux, comme un spectateur, bien habillé et avec un couteau bien affûté, je passe de l’un à l’autre pour récolter les aumônes non voulues.
Rapidement, je rembourse son investissement y compris les habits que je porte.
L’entraînement consiste également à la course et je dois tous les jours lui échapper sous peine de recevoir une correction, au bout de dix jours, il n’arrive plus à m’atteindre.
Ensuite, il travaille ma musculation, que d’exercices éprouvants je n’ai pas subi, s’il y a un effort à faire, je suis le désigné volontaire. Après six mois, à part Balthazar et mes nouveaux frères, personnes ne me bat au bras de fer, même les paysans des environs, pourtant habitués aux lourds travaux des champs.
À ma tâche de coupe-lacet s’est additionné celle de gagner les paris de bras de fer, ce qui au début s’est avéré très payant, un jeune homme de stature relativement frêle semble ne pas faire le poids et les paris atteignent des sommes importantes et presque toujours je gagne, laissant parfois sur signe de Balthazar l’adversaire gagner difficilement. C’est la plupart du temps chez le paysan qui nous prête la grange pour passer la nuit.

Vers le sud

Vers l’automne, nous avons accumulé déjà une belle somme et Balthazar se décide que pour l’hiver, nous partons pour les contrées plus clémentes du sud avec un cheval et un chariot bâché.
Avec mes six frères et sœurs d’occasion, nous nous entendons très bien, surtout avec Josiane qui était plutôt contorsionniste, mais cela va relativement mal depuis un mois, elle prend du poids au niveau du ventre et comme elle est ma préférée, toujours à m’encourager et à me prendre sous son aile comme on peut dire, je ne peux m’empêcher de lui demander ce qu’il se passe, j’avais bien remarqué qu’elle vomit à tout bout de champs, qu’elle mange comme un oiseau et malgré cela, son ventre s’agrandit.
— C’est la faute du maître, il m’a mise enceinte.
Moi du haut de mes quinze ans et demi, je ne comprends pas ce que cela signifie.
— Comment cela, il t’a fait un tour de magie ? C’est pas bien, tu n’arriveras bientôt plus à faire ton numéro.
— C’est bien vrai, mais ce n’est pas de la magie, c’est comme on fait des enfants !
— Ah ! Fais-je étonné, mère m’a toujours dit que c’est dans le potager et moi idiot, je surveillais sans arrêt les choux pour voir comment cela pousse.
— Non, ce n’est pas du tout cela, peu avant qu’on arrive dans ton village, alors que nos frères et sœurs allaient chercher de quoi manger, il m’a demandé de rester avec lui, soi-disant qu’il avait mal au ventre. Ensuite, il m’a assuré que la médecine pour passer son mal de ventre se situe entre les miennes et que je dois enlever ma culotte pour qu’il puisse la prendre. Naïve, j’ai fait comme il a voulu, c’est lui le maître et il sait tant de choses que j’ignore, donc je fais comme il m’a dit et il a commencé à me lécher le trou par où je pisse, cela n’a pas tardé, j’ai trouvé cela particulièrement agréable, il m’a dit que cela va déjà mieux et s’il peut continuer, comme je trouve cela aussi bon, j’acquiese, surtout quand il me suce mon petit bouton en dessus de mon trou à pisse, c’est de meilleur en meilleur, j’ai même un éclair de plaisir dans ma tête. C’est très bizarre, je suis toute mouillée, mais ce n’est pas de la pisse, ni de la salive.
Finalement il s’est un peu relevé et s’est dépoitraillé, il baisse ses frusques et me montre son sexe qui est tout gonflé et il me dit, tu vois comme il est gonflé, il n’y a qu’un moyen pour que mon mal de ventre passe, il faut le dégonfler en le mettant dans le tien.
Évidement, moi naïve, je n’ai pas vu à quoi il veut en venir et je le laisse faire. D’un coup, il me plante son bâton dans mon trou à faire pipi et cela fait un mal de chien sur le moment, je saigne, j’ai veux arrêter, mais il me tient bien et la douleur passe et à nouveau, comme quand il me léche, le plaisir est revenu, alors je le laisse faire et c’est là qu’il m’a mis la graine qui fait pousser les enfants dans le ventre des femmes. C’est vraiment très agréable de sentir son mal qui se repend dans mon ventre, Son mal qui se transforme en bien chez moi. Pauvre de moi, je ne m’imagine pas qu’il a planté une graine de vie chez moi. Après, je lui demande toujours s’il n’a pas encore mal au ventre et depuis lors, je ne sais combien de fois, je lui calme son mal de ventre en me faisant du bien, même mon saignement mensuel s’est arrêté, mais à mon tour je me suis mise à avoir mal au ventre et à vouloir vomir à tout bout de champ. Je suis fâchée après lui de ce qu’il m’a transmis son mal, même si j’en ais eu beaucoup de plaisir, c’est alors qu’il m’a expliqué qu’il ne m’a pas transmis son mal, mais la vie et qu’un bébé est en train de commencer à vivre dans mon ventre, que c’est normal, mais qu’il s’excuse, il aurait dû faire plus attention, mais pendant encore un mois on peut le faire sans problème.
— Eh ! Bien tu m’en apprends des choses et tu continues à lui passer son mal de ventre ?
— Bien oui, c’est très agréable, surtout que j’ai appris comment le faire avec mon ventre, il ne vient plus sur moi, mais c’est moi qui grimpe sur lui et là, c’est le délire, je fais comme je veux.
— Tu me montreras comment c’est, si j’ai aussi mal au ventre ?
— Tu es encore trop jeune pour cela, est-ce que tu as du poil qui te pousse autour de ton pipi ? Non, alors c’est alors clair que tu ne peux pas encore.

Alarme,

c’est à ce moment-là que mon réveil sonne, interrompant mon rêve et coupant court la montée de la sève.
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Histoire de Balista

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