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Je suis devenue sa chienne - chapitre 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 02/11/2022

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Je dois être folle d’avoir accepté cette rencontre avec Maître C, dans cet immeuble vide. Mais ces mots m’ont excitée. Il cherche une chienne à dresser. Je cherche un homme capable de m’apporter des sensations fortes, du plaisir dans le sexe brutal. Nos échanges sur le net m’ont amenée à penser qu’il est l’homme que je cherche, l’homme dont j’ai besoin.

* * * * *

Vous devez penser que je suis complétement dérangée ou alors que je suis une vraie salope. Je pense que je suis un peu des deux. Je n’ai jamais été satisfaite par mon ex sur le plan sexuel. Il n’a jamais compris ni mes besoins, ni mes désirs. En fait, il ne les a jamais acceptés. Quand j’ai trouvé le courage de lui en parler, il m’a regardée comme si j’étais un monstre. Ce regard m’a suffi pour prendre mes cliques et mes claques et je suis partie.

Je vis dans une petite maison de banlieue, dans le 92. Tout en étant éloignée de Paris, je peux facilement y accéder grâce à la ligne de train qui passe à 500 m de chez moi et qui m’amène sans correspondance à la gare Saint Lazare. Pratique et très agréable. J’ai pu louer cette petite maison pour pas cher car il y avait beaucoup de travaux à faire. La propriétaire – une petite mamie adorable de 75 ans – a été ravie que je rénove entièrement l’appartement et m’a proposé de baisser mon loyer en conséquence.

Il faut dire une chose : j’aime être nue… non, en fait j’adore vivre nue et j’ai la chance d’avoir un ravissant jardin, entouré de hautes haies, me permet de profiter du soleil, protégée des regards curieux de mes voisins est très agréable. Quoique… ça ne me dérangerait pas si mes voisins s’amusaient à jouer les voyeurs.

Maintenant, je me sens enfin libre de faire ce que je veux quand je veux, de pouvoir offrir à mon corps les plaisirs qu’il mérite, d’explorer ma sexualité et, pourquoi pas, de trouver l’homme qui assouvira mes besoins de soumission.

C’est dans cet esprit que je me suis installée sur un transat dans le jardin, mon portable entre mes genoux. Je me suis lancée dans une balade virtuelle dans le monde du sexe. J’ai discuté deux heures avec plusieurs mecs, mais rien de sérieux. Puis, j’ai été contactée par Maître C.

Il a lu mon profil, mes désirs dont je me sens honteuse, vu et apprécié mes photos de nu. Je lui ai demandé à quel point il les a appréciées. Il m’a envoyé une petite vidéo me montrant qu’il s’est masturbé et a éjaculé sur un diaporama de mes différents clichés. Ça a eu le don de m’exciter aussitôt. Tandis que ma main droite l’a remercié de cet hommage, la gauche s‘est glissée dans mon entrejambe. Mon majeur s’est faufilé dans ma vulve humide.

Maître C > Tu as vraiment aimé ?

Plusieurs secondes se sont écoulées. J’ai hésité. J’ai mis en route ma webcam et fait un zoom sur mon sexe épilé. J’ai saisi chacune de mes lèvres et tiré dessus pour montrer ma chatte humide avant d’y mettre deux doigts. Je lui ai envoyé la vidéo. J’ai attendu fébrilement sa réponse.

Maître C > Voilà une chatte qui ne demande qu’à être remplie.
Moi < Oui… Vous m’avez beaucoup excitée, Monsieur.
Maître C > J’aime attitude. Tu t’es déjà soumise à un homme ?

J’ai encore hésité un instant.

Moi < Non, mais je pense que j’aimerais beaucoup.
Maître C > Dis m’en plus…
Moi < Eh bien [rougis comme une tomate] J’aime la soumission. Être traitée brutalement. Attachée. Secouée. Voire baisée par un ou des inconnus. Il m’arrive de regarder des vidéos dans lesquelles des femmes sont brutalement soumises et cela m’excite.

Quelques secondes s’écoulent.

Maître C > J’adore les femmes soumises. J’adore encore plus les soumettre.

Sa réponse cash m’a ébranlée. Je ne m’étais pas attendue à ça.

Maître C > Intéressée ?
Moi < Je ne sais pas…
Maître C > Tu en as envie, n’est-ce pas ? Aimerais-tu essayer ?

Mon cœur s’est affolé. Mon sexe s’est mis à frétiller d’excitation. Mes doigts se sont animés et ont envoyé une réponse positive.

Maître C > J’en suis ravi. Tu peux venir gare Saint Lazare ?
Moi < Le temps de me changer et d’attraper un train.
Maître C > Tu as une heure pour venir à cette adresse. Ne sois pas en retard.

Il m’a envoyé une adresse. J’ai vite regardé sur internet, il s’agissait de l’entrée arrière d’une boutique non loin de la gare. J’ai regardé l’heure. Je ne devais pas tarder.

Dix minutes plus tard, vêtue d’une courte jupe en jean, d’une chemise blanche à manche courte et d’une petite veste, j’ai sauté dans le train en direction de Paris.

* * * * *

Une heure plus tard, je pénètre dans l’arrière-cour d’une boutique de téléphonie mobile fermée. Maître C m’a ordonné de me rendre directement dans la boutique, dont la porte serait ouverte. Il semble bien renseigné, car la porte est complétement défoncée. J’entre timidement.

— Eh oh ! Y’a quelqu’un ?

Ma voix résonne dans les pièces vides. Il y a longtemps que la boutique est inoccupée : le sol est poussiéreux et couvert de détritus, les murs couverts de graffitis obscènes, certaines vitres cassées et réparées par des planches. L’endroit est vraiment glauque : sombre, humide, froid malgré la chaleur extérieure. Je traverse un petit couloir et tourne sur la droite pour arriver dans une grande pièce qui doit être la boutique principale. Un comptoir très sale est à moitié renversé. La baie vitrée est couverte de plusieurs planches qui obstruent partiellement la vue mais qui laissent passer les rayons du soleil et les bruits de la rue.
En levant les yeux, je vois une longue chaîne équipée de menottes passant par deux poulies fixées au plafond et se terminant sur un crochet sur derrière le comptoir. Mon téléphone bipe. Je le sors et lis le message.

Maître C > j’imagine que tu sais quoi faire de ce que tu vois devant toi. Fais-le si tu t’en trouves le courage. Sinon va-t’en.

Je n’ai pas fait tout ce chemin pour abandonner maintenant. Je sors des mouchoirs en papier de mon sac pour nettoyer un coin de comptoir. Une fois cela fait, je pose mon sac dessus et me déshabille. C’est vite fait : je ne porte qu’une petite veste et une jupe en jean et une chemise. Aucune lingerie, comme d’habitude. J’aime être nue sous mes vêtements. Cependant, je garde mes tennis. je n’ai pas envie de me blesser bêtement les pieds. Je regarde les menottes avec envie. Je dois être folle de me livrer menottée à un inconnu, mais cela m’excite de plus en plus. Les menottes sont un peu hautes. Je dois me hisser sur la pointe des pieds pour les mettre. Je me sens étirée lorsque je repose les pieds au sol. Mon dos se cambre. Mes seins sont poussés en avant et mes fesses en arrière.

Je sursaute lorsque j’entends une porte claquer. Je tremble d’excitation et de peur. Des pas lourds se rapprochent de moi dans mon dos. Je n’ose pas me tourner. Je vois alors plusieurs flashs suivis de déclics : quelqu’un me prend en photo, mais je suis tétanisée.

— Ne t’inquiète pas, me dit une voix profonde. Je suis Maître C.
— Bonjour, maître.
— Il est trop tôt pour m’appeler ainsi. Mais je t’en remercie.
— Je vous en prie, monsieur, me corrigé-je aussitôt.

Les pas se rapprochent. Bientôt, je sens sa présence dans mon dos. Je sursaute à nouveau lorsque ses mains se posent sur moi.

— Tu as un beau corps.
— Merci, monsieur.

Une violente claque s’abat sur ma fesse droite, m’arrachant un glapissement de douleur.

— Tu ne parleras que lorsque tu y seras autorisée. Compris ?
— Ou-oui, monsieur.

Il se colle alors contre moi. Ses mains empoignent mes seins avec force et les malaxent. Ses doigts s’enfoncent douloureusement dans mes mamelles m’arrachant des gémissements de douleur. Celle-ci semble se propager dans mon corps jusqu’à mon bas-ventre qui se réchauffe. Rapidement, la douleur cède la place au plaisir. Je sens mon entrejambe s’humidifier alors que ses doigts me pincent les tétons. Je lâche un cri lorsqu’il me les tord en tirant dessus.
Sa main droite quitte mon sein tandis qu’il se déplace sur le côté. Elle se glisse par derrière entre mes cuisses. Ses doigts s’emparent de mes lèvres pour leur faire subir le même sort que mes tétons. Mon corps se cambre encore plus sous l’effet de la douleur.

— Tu aimes ça ? me demande-t-il.
— Ou-oui, monsieur. Ça m’excite !
— Je vais voir ça. Ecarte les pieds.

Je lui obéis. Deux de ses doigts pénètrent facilement dans ma chatte humide et y entament des va-et-vient rapides. Les bruits mouillés de ma chatte se mélangent avec mes gémissements. Ils semblent résonner dans la pièce au point que je m’inquiète que l’on m’entende de l’extérieur.

— Les gens du coin ont l’habitude des salopes comme toi qui viennent se faire baiser ici.

Un troisième doigt rejoint les deux premiers. Mes cris de plaisir redoublent en intensité. Il accélère ses mouvements, qui deviennent plus brutaux. Je me cambre encore plus pour lui offrir mon cul. Il ne refuse pas l’invitation. Sa main gauche quitte alors mon sein et ses doigts saisissent mon clitoris. Une nouvelle vague de plaisir me submerge. Ma tête résonne de mes gémissements. J’ai l’impression que mon bas-ventre va exploser. Il enfonce profondément ses doigts. Je les sens bouger à l’intérieur. Des larmes coulent sur mes joues. Je vais jouir bientôt. Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps. Il retire brutalement ses doigts. Je lâche un cri alors que je jouis. Ma chatte expulse une quantité de jus impressionnante. J’entends le « splash » que mon jus fait sur le sol.

Je n’ai pas le temps de respirer que ses doigts repartent à l’assaut de ma chatte et de mon cul en plus. Mon anus se contracte au contact de son doigt.

— T’as jamais été enculée ?
— No-non, monsieur.
— Tu adoreras. Tu en redemanderas.

Il badigeonne mon anus de mon jus. Alors que sa main gauche entame de profonds allers-retours dans ma chatte trempée, son majeur appui sur mon sphincter pour le détendre. Il finit par en forcer le passage et s’enfonce complétement dans mon cul. Mes mains s’accrochent désespérément à la chaîne. Mes jambes tremblent. Elles vont me lâcher. Mais je sens les menottes me labourer les poignets alors j’essaie de tenir le coup. Ses doigts me ramonent douloureusement. Il en a mis quatre dans ma chatte et deux dans mon cul. Mon bassin ondule rapidement pour en jouir encore.

— T’es vraiment une belle salope, hein ?
— Ou-oui, monsieur…

Il retire de nouveau brutalement ses doigts au moment où j’allais jouir à nouveau.

— Oh noooon…

Les larmes me montent à nouveau aux yeux. Il m’a empêchée de jouir alors que mon corps le réclamait encore. Il se met face à moi et m’attrape le menton pour me faire lever la tête. Mon regard croise son regard noir.

— C’est moi qui décide quand tu jouis. Est-ce clair ?
— Ou-oui, monsieur.

Il ne me laisse pas le regarder plus longtemps. Il s’éloigne. J’entends le doux cliquetis de la chaîne qui se détend subitement. Mes jambes se dérobent et je tombe durement sur mes genoux. De nouveau, la chaîne se tend, m’étirant douloureusement. Ses pas reviennent vers moi et il s’arrête devant moi. l’une de ses mains m’agrippe les cheveux tandis que l’autre défait la fermeture éclair de son pantalon.

— Suce ! m’ordonne-t-il alors que son gland turgescent se présente devant mes lèvres.

Je n’ai pas le choix. J’ouvre timidement la bouche.

— Ouvre plus grand !

J’obéis. Il enfourne sa queue dans ma bouche. Elle est plus grosse et plus longue que celle de mon ex. Ses mains saisissent ma tête pour lui imprimer des mouvements de va-et-vient à son rythme : rapide et brutale. Il essaie de s’enfoncer entièrement dans ma bouche, mais je n’arrive pas à le prendre complètement. Je suis au bord de la nausée. Il ne s’en soucie pas et continue. Je sens son corps se tendre. Il se retire et recule d’un pas avant d’éjaculer sur mes seins avec un râle rauque. Je reçois son sperme chaud et collant sur ma poitrine.

— Oui, tu es une bonne chienne, mais il va falloir que je t’éduque convenablement, dit-il en réajustant sa queue dans son pantalon.
— S’il vous plaît, maître, faites de moi votre chienne obéissante.

Il m’attrape de nouveau par les cheveux pour me faire lever la tête. Je peux le voir me dominer de toute sa hauteur. Je me sens si petite, si insignifiante face à lui. Vêtu de noir, il est impressionnant. Il attrape mes vêtements et me les lance. Je baisse les yeux sur ma poitrine couverte de sperme et lui lance un regard interrogateur.

— Tu n’as qu’à te débrouiller, dit-il en croisant les bras sur son torse.

Je n’ai qu’une solution pour me nettoyer de son foutre. Je m’essuie avec mes doigts et les porte à ma bouche pour les sucer. La consistance visqueuse et collante de son sperme me donne la nausée, mais je prends sur moi. Le goût n’est pas mauvais. Il est salé et un peu acre. Il scrute chacun des mes mouvements. J’essaie de me rendre la plus sexy possible. Lorsque j’ai terminé, il hoche la tête de satisfaction.

— Je commencerai ton dressage quand tu auras fait certains bilans médicaux. Je veux être certain que tu n’aies pas de MST. J’en ferai autant.
— Bien, maître.
— Veille à ta contraception. Qu’est-ce que tu prends ?
— La pilule, maître.
— Plaquette de vingt-huit ?
— Oui, maître. Vingt-quatre sont contraceptives et les quatre dernières non. C’est juste pour garder le rythme.
— Très bien. Sitôt les vingt-quatre premières terminées, tu enchaînes sur la plaquette suivante.
— Bien, maître.

Il est bien informé. Il sait qu’ainsi, je n’aurai pas mes règles et serai accessible tout le temps.

— Je vais m’occuper de ton dressage, chienne.
— Merci, maître.

Il quitte la boutique me laissant nue et excitée à genoux dans la poussière. Je me rhabille fébrilement et me connecte immédiatement sur le site de rendez-vous médicaux pour trouver un créneau le plus rapidement possible.

Je repars le plus discrètement possible. Malgré mon parfum sur ma chemise, je sens l’odeur de son sperme sur ma peau. est-ce que les voyageurs du train la sentiront aussi ? Si oui, que penseront-ils de moi ?

— Que je suis une chienne, murmuré-je.

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Histoire de InesSoumise

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