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Je suis devenue sa chienne - Chapitre 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 09/11/2022

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Je ne suis pas fière d’avoir menti à mon généraliste concernant ma demande d’examens médicaux. Je lui ai raconté que j’avais rencontré l’homme de ma vie et que nous avions pour projet de vivre ensemble et de faire un enfant. Tout naturellement, il m’a prescrit les différents bilans à faire et je me suis précipitée au laboratoire du coin. Comme je l’ai imaginé, ils sont nickels. J’ai toujours eu des rapports protégés alors j’imagine que le risque de MST était infime. Mais bon, on ne sait jamais.

Une fois rentrée chez moi, je me déshabille et m’agenouille au milieu de mon salon. Je prends mon téléphone et me connecte sur le site de rencontre. J’envoie un message à Maître C, lui donnant mes résultats d’examen.

Maître C > Très bien. Tu me donneras tes résultats le week-end prochain. Je te donnerai les miens.
Moi < Bien, maître. Que dois-je faire pour vous en attendant ?
Maître C > Entraine-toi à marcher comme une chienne, à 4 pattes.
Moi < Bien, maître.

Je commence aussitôt dans mon salon. Ça me fait bizarre de marcher comme ça. J’essaie de rouler des hanches de manière sexy, de pencher mon buste sur le sol pour que mes tétons frôlent le parquet ou le tapis. Que voudra-t-il que je fasse encore comme une chienne ? Manger ? Dormir ? Pisser ? Je prends mon portable et m’installe dans mon fauteuil, une serviette sous le cul. Je fais une recherche internet : éducation chienne salope soumise. Je tombe sur de nombreuses vidéos. Je pose mon ordi sur la table en face de moi et mes jambes sur les accoudoirs. Je lance la première vidéo.

Je vois une femme nue, à quatre pattes, tenue en laisse par un homme en noir. Elle le suit docilement dans un parc. Je regarde son cul onduler sensuellement, ses seins pendouiller et frôler le sol. Par moment, son maître tire sur sa laisse pour qu’elle accélère le pas. Il s’immobilise un instant et appuie entre ses omoplates en lui donnant des ordres secs en anglais. Elle se penche en avant, au point d’écraser ses seins sur la pelouse. Le maître prend une cravache et se met à la frapper. Des traces rouges apparaissent sur ses fesses. Ses cris résonnent la pièce. Ma main droite s’égare entre mes cuisses pour me caresser la chatte. Elle est déjà humide d’excitation. Chaque claque, chaque cri m’arrachent un sursaut. C’est presque comme si je les recevais à sa place. Puis le maître s’arrête et tire à nouveau sur la laisse. Elle s’agenouille, la bouche ouverte comme si elle quémandait quelque chose. Le maître sort sa bite et elle se met à le sucer. Elle le prend entièrement dans la bouche.

— C’est ce que Maître C veut !

Je me fourre deux doigts dans la chatte. Je porte les doigts de ma main libre à ma bouche et commence à me sucer les doigts, deux d’abord, puis trois, puis quatre. Je manque de vomir avec quatre doigts alors je reviens à trois. Mes mains s’activent au même rythme. La salive me coule sur le menton alors que mon jus commence à imprégner ma serviette. Je suis interrompue par une notification de message. Je reconnais celle que j’ai attribuée à mon maître. J’attrape mon téléphone et lis le message.

Maître C > Que fais-tu ?
Moi < Je regarde des vidéos de dressage, maître.
Maître C > Ça t’excite ?
Moi < Oui, maître. J’ai hâte d’être entre vos mains.
Maître C > Tu te masturbes ?

Question piège. Mais je dois être honnête avec lui.

Moi < Oui, maître.
Maître C > Tu devais seulement apprendre à marcher à quatre pattes.
Moi < Pardonnez-moi, maître. Je pensais bien faire en anticipant…
Maître C > Certes. Je reconnais que c’est une bonne initiative. Je vais modérer ta punition. As-tu des pinces à linge ?
Moi < Oui, Maître.
Maître C > Va en chercher deux.

J’obéis aussitôt. Les doigts dégoulinants de jus et de salive, je vais chercher deux pinces à linges dans la salle de bain. Il s’agit de pinces en inox que j’ai achetées après mon emménagement.

Moi < C’est fait, maître.
Maître C > Bascule en visio et tu vas mettre les pinces sur tes tétons.
Moi < Bien, maître.

Je clique sur la caméra pour passer en visio. Le visage fermé de mon maître apparaît. Je cale mon téléphone sur la table et cadre sur ma poitrine. En prenant une profonde inspiration, je pose la première pince. La douleur irradie dans mon sein droit lorsque la pince se referme sur mon téton. Je procède de la même façon sur le gauche. La douleur est toute aussi intense.

— Mets tes mains derrière la tête et tu ne bouges plus.

La position est très inconfortable. Mes muscles deviennent rapidement douloureux.

— Dis-moi ce qui t’excite, chienne.
— Maître, la douleur m’excite. C’est comme si elle me déclenchait des vagues de bien-être et de plaisir. Vous offrir mon corps, vous laisser en disposer comme vous le souhaitez me fait mouiller. Mon cœur bat fort rien que d’y penser. M’exhiber devant vous comme ça m’excite tout comme vous obéir. Peut-être que j’ai toujours été une soumise.
— Y a-t-il des choses que tu refuses de faire ?
— Hmmmm… je n’y ai pas réfléchi, maître.

Parler avec lui me fait oublier la douleur.

— Pas de scatophilie, ni d’uro, ni de zoophilie.
— Quoi d’autre ?
— L’étranglement me fait peur, comme les aiguilles et l’électricité.
— Tu vois autre chose ?
— Pas pour le moment.
— Très bien. Masturbe-toi devant moi. Tu gardes les pinces.

Je me redresse et cherche de quoi surélever mon téléphone. Je prends deux gros dictionnaires pour le poser et un troisième pour le caler. Je me réinstalle sur mon fauteuil, les cuisses posées sur les accoudoirs. Mes doigts reprennent leurs caresses indécentes, étirant mes chairs mouillées, les pénétrant profondément. Un, deux puis trois doigts dans ma bouche et ma chatte. Les bruits mouillés résonnent à nouveau dans mon salon alors que mes doigts s’enfoncent profondément dans mes deux orifices. Sentir le regard de Maître C sur moi, même par écran interposé, m’excite.

— Arrête-toi maintenant !

Je lui obéis à contre cœur et retire mes doigts de ma chatte. La fine pellicule de mon jus les fait briller.

— Lèche-les !

Sans hésiter, je fourre mes doigts dans ma bouche. Le goût de ma cyprine me surprend. Il est doux. Je ne l’avais jamais gouté auparavant.

— Tu as des godes chez toi ?

Je hoche la tête.

— Va les chercher.

Je me lève.

— À quatre pattes, chienne !

Je m’exécute docilement. À quatre pattes, je traverse mon séjour et me rends dans ma chambre, juste derrière. Je fouille dans ma table de chevet et en sors le compagnon de mes nuits solitaires : un gode ventouse de 15 cm de long et de 4 cm de diamètre. Il est plus court et mois épais que la queue de Maître C. Je le mets dans ma bouche, comme une chienne transporterait un os. Je reviens devant l’écran.

— Assise !

Je m’assois en tailleur sur le sol mais Maître C me reprend.

— Assise, c’est accroupie, les genoux écartés !
— Bien, maître, réponds-je en m’exécutant.
— Suce-le !

J’ouvre la bouche et commence à le lécher.

— Je t’ai dit de le sucer ! Tu recevras ta punition quand on se verra !

Je dois lui obéir. Dieu sait quelle punition il va m’infliger. J’enfourne le jouet dans ma bouche et lui imprime des longs allers-retours. J’essaie d’imaginer le sexe de mon maître, mais c’est difficile. Ma main libre s’égare vers mon entrejambe avide de caresse.

— Non ! Interdit ! Nouvelle punition ! Tu commences à les cumuler chienne !

Sa voix dure m’excite. Les menaces de punition aussi. Frustrée, je continue la fellation de mon jouet. Ma salive coule sur mon menton et goutte alors que le jouet est entièrement dans ma bouche. Maître C ne dit plus rien. Je risque un œil sur mon écran. Son regard est toujours posé sur moi. Un sourire pervers étire ses lèvres fines. Il n’a pas l’intention de me laisser prendre mon plaisir après les deux erreurs que j’ai commises. Je commence à avoir mal aux cuisses. La position devient très inconfortable et douloureuse. Mais je dois la garder. Je ne dois pas flancher.

— Allez, fourre-le toi bien profond !
— Mer-merci, maître.

Je m’agenouille et pose le gode devant moi. Je vérifie que la webcam est bien orientée vers ma chatte et sans attendre je m’empale sur mon gode. Le jouet glisse facilement dans ma chatte.

— Oh, maîîitre, j’aimerais tellement que ce soit votre queue !
— Tu auras ce que tu mérites en temps voulu, chienne.
— Merci, maître !

Mon bassin ondule d’avant en arrière. Mes muscles se resserrent autour du jouet. Ma respiration s’accélère. Je suis prête à jouir.

— Je t’autorise à jouir, chienne !
— Ahhhhhh ! Merciiiiiiii maîîîîîître !

Mon corps se cambre alors que l’orgasme m’envahit. Il n’est pas aussi fort que vendredi dernier avec le maître, mais il est suffisant pour calmer mes envies du moment. Je me dégage de mon gode et m’assois par terre, les cuisses écartées. Mon jus s’écoule doucement de ma chatte.

— Tu vas te créer un compte sur Snapchat, dit-il avant de me donner mes identifiants.
— Bien, maître.

Je reçois aussitôt une notification de Maître C sur mon téléphone. Je l’enregistre immédiatement dans ma liste d’amis.

— Je vérifierai régulièrement ton téléphone. Tu n’accepteras aucune autre demande d’ami.
— Bien, maître.
— Tu peux retirer tes pinces, maintenant.

Je les avais presqu’oubliées. Je le retire trop vite. L’afflux soudain de sang dans mes mamelons pincés déclenche une douleur pulsatile qui se calme rapidement. Je me mordille la lèvre.

— Montre-les moi.

Je m’approche de mon ordinateur et montre à ma webcam mes tétons marqués de rouge. Maître C opine du chef.

— Ne prévois rien ce week-end, chienne et continue de t’entrainer.
— Bien, maître.

L’écran devient noir. Je me sens brusquement seule au milieu de mon salon. Je referme mo ordinateur et regarde l’heure. Il est 18h30. Je me sens désœuvrée. J’hésite ente m’installer dans mon fauteuil ou rester par terre pour regarder un film. Finalement, je m’installe de nouveau dans mon fauteuil, les jambes sur les accoudoirs. Mais cette fois, c’est pour me rafraîchir la chatte en regardant un bon film sur le net, essayant d’imaginer mon prochain week-end avec le maître.
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Histoire de InesSoumise

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