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Lue : 1086 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/10/2013
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Je suis un Escort boy
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J’ai même un site internet. Je me suis décidé à gagner des sous à la deuxième année de fac. Pas comme la première année dans un fastfood où j’étais pratiquement un esclave. Un copain m’a dirigé vers cette nouvelle activité. Je ne le regrette pas du tout, même si je fais de choses à la limite de la morale commune. Disons le net, je suis un Escort boy. Depuis, même si j’ai des nuits agitées en weekend, je n’ai plus de souci d’argent. En plus je n’ai aucuns soucis sexuels. J’ai ma dose, des fois un peu trop.
J’ai des clientes régulières que je choie. Bien sur ce sont presque toutes des cougars. Mais quelle science, quel esprit de débauche. Surtout Mado, la femme d’un célèbre avocat de la place. Je ne suis pas donné : de 150 Euros l’heure à 2.000 pour le weekend. J’accepte des fois deux femmes à la fois à conditions qu’elles aiment le triolisme et qu’elle paie. Mais quand nous sommes trois, elles se connaissent depuis longtemps. Avec Mado c’est spécial. D’abord elle a été ma première cliente, ensuite je l’aime bien, pas d’amour, presque comme une mère : toujours aux petits soins. Les billets lui brulent des doigts.
Elle me donne rendez-vous « comme d’habitude ». Je connais l’hôtel, l’heure, même la chambre. Elle fait des frais d’habillement avec ses vêtements sexy, ses dessous vaporeux. Elle a une certaine allure. Au début elle me demandait de me tenir convenablement. Elle m’a appris certaines ficelles qui font de moi un homme du monde. Dès mon arrivée dans la chambre, elle glisse les billets dans mon veston. Je ne recompte jamais.
Dans son sac elle porte toujours de quoi la dépanner : un gode et des perles annales. J’aime la baiser, elle est toujours prête à se donner. Je m’assois sur le lit, je la fais venir entre mes jambes. Très lentement je la déshabille. Je trouve toujours un nouveau soutien-gorge, une nouvelle culotte ou des fois un string. Par contre elle a toujours des bas de soies qu’elle enlève précautionneusement. Je pose sur la table de nuit un préservatif. Elle sait que je suis sain, elle n’aime pas ce sachet en latex, pas plus que moi.
Quand enfin nue, ma bouche embrasse son pubis, toujours rasé de frais. Elle me le donne surtout quand ma langue participe. Je passe mes mains derrière elle, je caresse les fesses rebondies, passe mes doigts dans sa raie, sans rien faire de particulier, j’y revendrais plus tard. C’est ma langue qui lui donne ce plaisir particulier au clitoris. Au début il est souple quand que je m’arrange pour le faire gonfler : il bande après un instant de pelotage particulier. L’habitude de ce genre de femme ne me fait bander que quand je sens le goût parfumé de son jus. Elle voudrait bien que je la fasse partir quand elle est debout en face de moi : mais elle ne peut pas rester ainsi. Elle se couche sur le lit, je l’y rejoins après avoir embrassé chaque sein, les avoir mordu, des fois sauvagement.
Je la masturbe un peu, juste pour qu’elle commence à m’en faire autant : et elle sait bien branler un homme. Elle est si en manque qu’elle jouit dès la première fois. Je profite de son orgasme pour prendre les perles annales. Je les glisse une à une dans son anus. Je regarde toujours comment elles entrent : le cul s’ouvre, laisse entrer la bille, se referme pour s’ouvrir à nouveau. Pour elle c’est une excitation de plus. Pour moi aussi, nécessaire parfois.
Elle s’assure que je bande comme elle le désire. Ses mains sur le pubis donnent le signal de départ. Je bande bien, elle me caresse bien la queue sauf le gland. Des fois elle me prend en bouche au début. Elle se garde bien de ma faire jouir (je suis capable de tenir deux fois consécutives). Je retrouve le gout de ma bite dans sa bouche. C’est assez agréable : je comprends les filles qui sucent un homme pour le plaisir. Je suis ensuite ses désirs, ses ordres. Dès fois elle vient sur moi, des fois elle se met en levrette, des fois en 69. Je ne sais pas encore qu’elle positon elle préfère. Moi, je m’en fous : ma bite est un simple instrument pour son plaisir. Le reste, bof.
Je sais qu’elle aime la sodomie, qu’elle aime se masturber que des fois elle fait l’amour avec une amie. Je suis un peu son confesseur. Elle me dit plein de choses que je devrais ignorer. Je suis muet comme une carpe.
Des fois elle veut baiser en trio. Elle connait mes tarifs, les même que pour elle, multipliés par deux. J’aime bien quand elle vient avec une autre femme. D’abord c’est une cliente de plus, ensuite je baise moins. Par contre j’aime quand elles se sucent que j’ai libre accès à un cul, peu m’importe lequel, celui de son amie ou le sien qui après tout à payer pour.
Par fois elle me demande de venir avec un copain. Je refuse toujours, même si je n’ai rien contre les doubles pénétrations : je tiens à conserver mes clientes.
Je la nique uniquement pour son plaisir. Il m’arrive de jouir en elle, pas souvent : je me retiens pour une suite qu’elle me demande toujours : des choses, qu’elle ne nomme pas à son anus : je sors les billes les unes après les autres : elle jouit à chacune. La dernière passée, il faut que j’aille faire le ménage. Elle est en levrette, elle tient ses fesses écartées. Je suis derrière elle, j’entre un doigt que je fais remuer. Ma queue entre ensuite très facilement au fond. Trois ou quatre aller et venues, elle jouit déjà. Je la suis un instant après : elle a un dernier orgasme.
Satisfaire mes « clientes » est le principal but, après l’argent bien sûr. Je pourrais afficher cette devise sur mon site.
Je ne roule pas sur l’or, je mets de l’argent de côté pour plus tard dans ma vie active de….Avocat….
J’ai des clientes régulières que je choie. Bien sur ce sont presque toutes des cougars. Mais quelle science, quel esprit de débauche. Surtout Mado, la femme d’un célèbre avocat de la place. Je ne suis pas donné : de 150 Euros l’heure à 2.000 pour le weekend. J’accepte des fois deux femmes à la fois à conditions qu’elles aiment le triolisme et qu’elle paie. Mais quand nous sommes trois, elles se connaissent depuis longtemps. Avec Mado c’est spécial. D’abord elle a été ma première cliente, ensuite je l’aime bien, pas d’amour, presque comme une mère : toujours aux petits soins. Les billets lui brulent des doigts.
Elle me donne rendez-vous « comme d’habitude ». Je connais l’hôtel, l’heure, même la chambre. Elle fait des frais d’habillement avec ses vêtements sexy, ses dessous vaporeux. Elle a une certaine allure. Au début elle me demandait de me tenir convenablement. Elle m’a appris certaines ficelles qui font de moi un homme du monde. Dès mon arrivée dans la chambre, elle glisse les billets dans mon veston. Je ne recompte jamais.
Dans son sac elle porte toujours de quoi la dépanner : un gode et des perles annales. J’aime la baiser, elle est toujours prête à se donner. Je m’assois sur le lit, je la fais venir entre mes jambes. Très lentement je la déshabille. Je trouve toujours un nouveau soutien-gorge, une nouvelle culotte ou des fois un string. Par contre elle a toujours des bas de soies qu’elle enlève précautionneusement. Je pose sur la table de nuit un préservatif. Elle sait que je suis sain, elle n’aime pas ce sachet en latex, pas plus que moi.
Quand enfin nue, ma bouche embrasse son pubis, toujours rasé de frais. Elle me le donne surtout quand ma langue participe. Je passe mes mains derrière elle, je caresse les fesses rebondies, passe mes doigts dans sa raie, sans rien faire de particulier, j’y revendrais plus tard. C’est ma langue qui lui donne ce plaisir particulier au clitoris. Au début il est souple quand que je m’arrange pour le faire gonfler : il bande après un instant de pelotage particulier. L’habitude de ce genre de femme ne me fait bander que quand je sens le goût parfumé de son jus. Elle voudrait bien que je la fasse partir quand elle est debout en face de moi : mais elle ne peut pas rester ainsi. Elle se couche sur le lit, je l’y rejoins après avoir embrassé chaque sein, les avoir mordu, des fois sauvagement.
Je la masturbe un peu, juste pour qu’elle commence à m’en faire autant : et elle sait bien branler un homme. Elle est si en manque qu’elle jouit dès la première fois. Je profite de son orgasme pour prendre les perles annales. Je les glisse une à une dans son anus. Je regarde toujours comment elles entrent : le cul s’ouvre, laisse entrer la bille, se referme pour s’ouvrir à nouveau. Pour elle c’est une excitation de plus. Pour moi aussi, nécessaire parfois.
Elle s’assure que je bande comme elle le désire. Ses mains sur le pubis donnent le signal de départ. Je bande bien, elle me caresse bien la queue sauf le gland. Des fois elle me prend en bouche au début. Elle se garde bien de ma faire jouir (je suis capable de tenir deux fois consécutives). Je retrouve le gout de ma bite dans sa bouche. C’est assez agréable : je comprends les filles qui sucent un homme pour le plaisir. Je suis ensuite ses désirs, ses ordres. Dès fois elle vient sur moi, des fois elle se met en levrette, des fois en 69. Je ne sais pas encore qu’elle positon elle préfère. Moi, je m’en fous : ma bite est un simple instrument pour son plaisir. Le reste, bof.
Je sais qu’elle aime la sodomie, qu’elle aime se masturber que des fois elle fait l’amour avec une amie. Je suis un peu son confesseur. Elle me dit plein de choses que je devrais ignorer. Je suis muet comme une carpe.
Des fois elle veut baiser en trio. Elle connait mes tarifs, les même que pour elle, multipliés par deux. J’aime bien quand elle vient avec une autre femme. D’abord c’est une cliente de plus, ensuite je baise moins. Par contre j’aime quand elles se sucent que j’ai libre accès à un cul, peu m’importe lequel, celui de son amie ou le sien qui après tout à payer pour.
Par fois elle me demande de venir avec un copain. Je refuse toujours, même si je n’ai rien contre les doubles pénétrations : je tiens à conserver mes clientes.
Je la nique uniquement pour son plaisir. Il m’arrive de jouir en elle, pas souvent : je me retiens pour une suite qu’elle me demande toujours : des choses, qu’elle ne nomme pas à son anus : je sors les billes les unes après les autres : elle jouit à chacune. La dernière passée, il faut que j’aille faire le ménage. Elle est en levrette, elle tient ses fesses écartées. Je suis derrière elle, j’entre un doigt que je fais remuer. Ma queue entre ensuite très facilement au fond. Trois ou quatre aller et venues, elle jouit déjà. Je la suis un instant après : elle a un dernier orgasme.
Satisfaire mes « clientes » est le principal but, après l’argent bien sûr. Je pourrais afficher cette devise sur mon site.
Je ne roule pas sur l’or, je mets de l’argent de côté pour plus tard dans ma vie active de….Avocat….
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