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Je suis une salope !

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Lue : 1569 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 14/07/2021

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Parfaitement, je suis même une foutue salope ! Et ma vie entière en est la preuve… J’ai commencé toute petite. Je n’avais pas 8 ans que je masturbais déjà ! Je ne sais toujours pas comment j’avais trouvé la clef, dans une famille où l’on m’obligeait à dormir les mains SUR le drap… Toujours est-il qu’il m’arrivait de me faire jouir plusieurs fois par jour. Je ne sais pas non plus comment mes frères cadets se sont débrouillés, je me souviens seulement qu’à leur adolescence, la machine à laver tournait un jour sur deux pour débarrasser les bas de pyjamas des pollutions nocturnes. Ma manière de faire de l’époque est resté en quelque sorte ma madeleine à moi : allongée sur le ventre, les jambes un tout petit peu écartées, je glisse une main sur mon sexe et remue le bassin sur la paume, jusqu’à obtenir l’effet désiré.

Quatre ou cinq ans plus tard, à la suite d’informations recueillies lors de réunions secrètes en cour de récré, j’abordai la notion de pénétration. Comme il n’était pas question à cet âge précoce de m’acheter un gode au sex-shop de la ville, j’utilisai tous les substituts qui me vinrent à l’esprit. C’est avec une jeune carotte, de modeste apparence et munie de ses fanes, par peur que l’ustensile ne reste en moi, qui me débarrassa de mon pucelage. Mais je me souviens également avoir eu recours, par exemple, à un manche de tournevis et à diverses saucisses (bien décevantes à cause de leur manque de tenue)… Je m’aperçus également très vite que j’étais essentiellement clitoridienne. La faute, m’appris le gynéco à ma première visite, à une vulve très étroite. Ce qui explique ma préférence pour les bites-crayons (longues et minces) plutôt que pour les énormes pieux qui semblent faire les délices de beaucoup de mes amies. Maintenant encore, il m’arrive de jouir quand on me baise, mais il faut que je sois fort excitée, ou un peu bourrée…

Je trouve assez drôle, mais j’ai paraît-il un sens de l’humour assez particulier, que mon mari, Richard, pense m’avoir dépucelée le jour de notre mariage. Il est vrai que je lui ai maintes fois répété pendant nos trois années de fiançailles que je me réservais pour mon mari. Il ne pouvait donc pas savoir que j’avais fait le travail moi-même bien plus tôt ! Nos premières années furent sexuellement épuisantes, jusqu’au moment où je découvris mon exhibitionnisme, dont profita le voisin d’en face. Richard s’en aperçut très vite, et tira avantage de mes dispositions : lui-même adorait m’exhiber. Démarra donc une « période photo » assez prolifique, vite ralentie par l’arrivée de deux garçons. Suivit une quinzaine d’années très active - travail, enfants, maison – durant laquelle notre vie sexuelle se normalisa, sans jamais devenir morne. Et Richard était un bon amant.

En quinze ans, je ne trompai jamais à mon mari. D’aucune façon. En repensant à cette période, je ne vois guère que trois choses que je pourrais éventuellement me reprocher.

Deux ans après la naissance de notre second fils, je traversai une période un peu difficile : reprise de mon boulot de prof de collège, interrompu quatre ans plus tôt, soutien qui me sembla insuffisant de la part de Richard, décès de ma mère… Je participais à l’animation de la troupe de théâtre du collège. Le soir du spectacle de fin d’année, lors du pot traditionnel, mon mari, qui était venu un peu à reculons – j’avais dû pas mal insister – émit en doute sur l’intérêt de la pièce. Je n’étais pas loin de penser comme lui, mais je trouvai son propos déplacé et le lui fit vertement remarquer. Il fila m’attendre dans la voiture, pendant que je faisais la bise aux collègues et récupérais mes affaires. Je croisai au détour d’un couloir mon copain Vincent, sorte de gros nounours barbu, jovial et dragueur impénitent. Il posa sa main sur mon bras, me souhaita de bonnes vacances, puis me regardant attentivement me trouva « les yeux rouges et une pauvre mine ». Je fondis en larmes et tombai dans ses bras. L’animal m’y accueilli avec chaleur, me tripota un peu, prit ma tête entre ses mains et m’assura, les yeux dans les yeux, que s’il pouvait m’aider en quoi que ce soit… Par faiblesse, je lui accordai un baiser. Je me repris aussitôt, posai la main à plat sur sa poitrine et le repoussai doucement, avant de lui dire dans un chaleureux sourire : « Je sais que je peux compter sur toi, Vincent ! », et me sauvai en courant.

Le deuxième épisode se situe deux ans plus tard. J’ai deux mois de vacances d’été, comme les enfants, et Richard trois semaines. Nous avions donc pris l’habitude de louer une maison au fond de la baie de Douarnenez pour deux mois. Richard y passait ses trois semaines, consécutives ou non, et nous rejoignait aussi souvent que possible le week-end. Caen n’est finalement pas si loin : il n’y a qu’un peu plus de 4 heures de route. Les enfants passaient le plus clair de leur temps à la plage, avec des copains qu’ils s’y étaient faits et qu’ils retrouvaient souvent d’une année sur l’autre. Et les parents des enfants finissaient par se connaître. C’est ainsi que j’avais fait la connaissance du père de l’un deux, un garçon plutôt bien fichu, divorcé, enseignant lui aussi, et plein d’humour, ce qui m’est indispensable. Et il habitait Bayeux, à trente kilomètres de chez nous. Je ne lui avais rien accordé d’autre – c’était l’époque des seins nus - que la vue répétée de mon 95b, qui semblait lui plaire. La vérité m’oblige à avouer l’achat, en fin de première semaine, d’un string, alors que je trouvais cette mode bien vulgaire. Mon erreur fut de lui donner notre adresse, ce qui fait que deux semaines après mon retour, il sonnait à la porte de la maison. Là encore, je rétablis rapidement la situation autour d’un café, en lui expliquant qu’il était hors de question que je trompe mon mari, et que je n’avais plus l’âge des amours de plage. Il repartit la queue entre les jambes…

La dernière histoire se rapproche davantage du coup de canif dans le contrat… Par un superbe jeudi de juin, je partis avec Noémie, collègue et meilleure amie, passer la journée à Cabourg, à la recherche du temps perdu, sans doute. Je ne sais plus si c’était avec sa voiture ou la mienne… Après un repas rapide au Grand Hôtel, nous descendîmes marcher un peu sur la promenade de Tata Marcel. De gros nuages gris s’étaient amoncelés à l’ouest, le vent se leva, et les premières gouttes tombèrent. Nous nous repliâmes dans la voiture. Très rapidement, la petite pluie normande se transforma en orage méditerranéen : on ne voyait plus à trois mètres, d’autant que, la pluie devant être froide, la buée avait envahi l’habitacle. Je ne sais pas laquelle de nous deux fit le premier pas, glissa sa main sous la jupe d’été de l’autre, remontant peu à peu. Je me souviens seulement du regard que nous échangeâmes, chargé de désir et de provocation, genre « même pas cap ! ». Ce qui est sûr, c’est que nous nous sommes retrouvées, seins à l’air, occupées à nous embrasser à pleine bouche et à nous caresser. Comme il n’est guère aisé de faire l’amour dans une petite voiture, nous nous sommes contentées de nous masturber mutuellement. Ce fut bref, mais intense. Après quoi nous sommes restées abasourdies – qu’est ce qui nous avait pris ?. La pluie ne cessant pas, Noémie décida de rentrer. C’était sa voiture, j’en suis sûre finalement, parce que je l’avais branlée de la main gauche, avec laquelle je le suis – gauche ! Le retour fut silencieux, au point que je lui demandai l’autorisation de mettre France Musique. Quand elle me déposa devant ma porte, elle m’embrassa sur la tempe en me disant : « Il ne s’est rien passé, cet aprèm ». Nous sommes restées de très proches amies, sans que pareille situation se reproduise jamais.

Si je prétends qu’il n’y a eu tromperie dans aucun de ces trois cas, c’est qu’à chaque fois j’ai mis Richard au courant le soir même, et qu’il ne m’en a aucunement voulu. Au contraire, même, l’aventure avec Noémie – que je n’ai pas nommée, parlant juste d’une collègue – l’ayant bien excité : je n’ai jamais été en butte à autant de questions, et il y avait longtemps que nous n’avions plus baisé toute la nuit !

Vous me direz qu’il n’y a jusque là pas de quoi fouetter un chat – ou une chatte ! Mais tout a changé quand les enfants ont quitté le nid. Assez tôt, 17-18 ans, pour poursuivre leurs études, à Paris pour l’un, Reims pour l’autre. Nous nous sommes sentis assez jeunes encore, pour réactiver en priorité notre vie sexuelle. Le monde avait changé, l’argentique remplacé par le numérique. Et internet était apparu, qui changeait tout. Nous nous inscrivîmes tous deux sur un site spécialisé où des femmes s’exhibaient, ou étaient exhibées par leurs maris ou amants. Richard numérisa ses anciennes photos, m’en fit faire d’autres. C’est moi qui choisissais qu’elles photos montrer, à qui, et combien de temps les laisser exposées. Pendant deux ans, nous nous sommes amusés comme des fous, je m’étais constitué une collection de dédicaces et tributes impressionnante, devant lesquelles je me masturbai régulièrement. Richard me photographiait dans des poses suggérées par nos « amis ». J’avais un fan club de plusieurs dizaines d’hommes. Et, plus surprenant pour moi, de quelques femmes qui m’envoyaient parfois, elles aussi, des dédicaces.
Et ce qui devait arriver arriva : les exhibitions virtuelles ne me suffirent plus. Le désir de passer au réel me dévora. Je l’inoculai à Richard, qui crut en être le père. C’est ainsi que naquit l’épisode barcelonnais, que mon mari vous a conté ailleurs. Et nous prîmes des habitudes parisiennes, plus pratiques, pensez donc : deux heures de train ! Néanmoins, tout alla bien pendant quelques mois. Et puis, un beau jour…

J’avais continué à participer à l’atelier théâtre du collège, où je m’étais fait quelques amies (pour les mecs, je restais méfiante : j’avais toujours l’impression que leurs attentions étaient intéressées. Comme disait mon mari : ils en veulent à ton cul !). Je m’entendais particulièrement bien avec Hélène, qui connaissait presque tout de notre vie… atypique, certains diraient dissolue. Un soir que je la reconduisais après une répétition – elle n’aimait pas prendre le bus, la nuit - elle me demanda soudain si Richard et moi continuions nos virées parisiennes.
- Ma foi oui, un week-end tous les deux mois, à peu près. Un peu plus au printemps.
- Est-ce que tu pourrais m’expliquer comment les choses se passent ? Quel plaisir tu y trouves ?
- Ecoute, le plaisir, c’est simple : c’est dans ces moments-là que je me sens le plus vivante. Pour les détails, une visite serait plus efficace qu’une longue description. Le club que nous fréquentons le plus autorise ses membres à se faire accompagner de temps à autres d’un couple d’amis. Une sorte de parrainage, pour attirer de nouveaux membres. Vous pourriez passer avec nous un week-end parisien, incluant un samedi soir en club… Marc serait d’accord ?
- C’est lui que l’idée excite le plus, tu sais. Moi…
- Menteuse, va. Il suffit de se mettre d’accord sur une date. Tu m’en reparles si vous vous décidez.
Je ne parlai même pas de la demande à Richard et oubliai l’affaire, pensant à un simple fantasme. Deux mois plus tard, quand je déposai Hélène devant sa maison, elle me demanda en rougissant si je voulais bien entrer deux minutes pour régler « notre problème d’agenda ». Je mis quelques secondes à comprendre de quoi il était question. Trouver un week-end fut facile. Je me chargeai de l’intendance avec mon efficacité coutumière.

C’est ainsi que le samedi 22 juin 2019, nous prîmes tous les quatre le Caen-Paris, pour deux jours chargés, puisque comportant une visite au musée d’Orsay, une pièce de Feydeau (Mais n’te promène donc pas toute nue. Cela m’avait amusée), et la soirée au club, que nous gagnâmes vers 23 heures. C’était encore un peu tôt, mais nous laissait le temps de dîner tranquillement. Nos amis ne savaient pas où donner de la tête. Marc ne se lassait pas de regarder les femmes, souvent belles, parfois certes un peu mûres, mais toujours élégantes, souriantes et sexy. Hélène était impressionnée par le nombre de personnes qui venaient nous serrer la main, adressaient un geste à Richard, ou un clin d’œil à moi. Elle se décida enfin à me questionner :
- Dis-moi Axelle, tous ces messieurs qui te saluent, est-ce qu’ils t’ont… ?
- J’éclatai de rire. Non, non, assez peu m’ont baisée, mais tous m’ont très souvent présenté leurs hommages.
- J’ai du mal à te comprendre.
- Comme je te l’ai dit, je pense que le mieux est que je te montre. Je vous rappelle que vous pouvez vous contenter de regarder, ou participer, selon vos envies. Allez hop, on y va !

Je les entraînai en direction des alcôves. Il n’en restait qu’une de libre, plus grande que je ne l’aurai souhaité, mais bon. J’invitai nos amis à rester tout d’abord dans un coin peu éclairé de la pièce, quittes à se rapprocher de « l’autel » selon leurs désirs. Je me déshabillai, et allai m’allonger, nue, sur le lit qui trônait au milieu de la pièce. Richard, aussi peu vêtu que moi s’agenouilla devant moi et commença à me lécher. Il savait faire. La présence de Marc et Hélène m’excitait également beaucoup, si bien que je lui demandai très vite de me prendre. Il se releva et m’enfila. Trois couples avaient sollicité par gestes la permission de se joindre à nous. J’avais acquiescé. Une femme, penchée en avant m’embrassait les seins pendant que son partenaire la prenait par la poupe. Une rousse à gros seins m’embrassa sur la bouche en me caressant les cheveux. Trois hommes se masturbaient sur moi, que j’aidai parfois de la main ou de la bouche. C’était le cas au moment où, soudain, Hélène se matérialisa à mon côté. Elle me souffla à l’oreille :
- J’ai vu une rousse t’embrasser tout à l’heure, est-ce que je peux ?
Je relâchais aussitôt la queue que je suçais pour me tourner vers elle, remarquai qu’elle avait gardé string et soutien-gorge
- C’est pour ça que nous sommes là, non ?
Elle me posa un léger baiser sur les lèvres. Je libérai l’une de mes mains pour appuyer sur son cou, et lui rouler une superbe pelle. Sentant que mon mari n’allait plus tenir très longtemps, j’ajoutai :
- J’ai très envie que tu me lèches, ma belle. Va remplacer Richard…
Elle se plia gracieusement à ma demande. Richard s’approcha, je pris sa bite dans ma bouche, essayant de le faire durer un peu, mais il jouit très vite, tout comme moi, qui ne résistai pas au superbe cunni prodigué par Hélène. Je n’étais certainement pas sa première maîtresse ! Elle revint vers moi, genre mission accomplie. Me caressa les seins, et m’embrassa de nouveau. Trois mecs giclèrent : un sur mon ventre, un sur mes seins et le dernier sur mon visage et, dégâts collatéraux, sur celui de mon amie.
- La nuit ne fait que commencer, ma chérie. Tu n’en as pas fini avec moi. Mais je ne veux pas faire de dettes. Vient donc à ma place. Mais enlève d’abord ce qui te reste de vêtements !
- C’est que… Je ne veux pas me faire prendre tout de suite par un inconnu… J’appréciai le « tout de suite ».
- On pourrait demander à Marc…
- Elle éclata de rire. Il est HS pour un moment, c’est lui qui vient de t’arroser les seins !
- Eh bien, on va faire autrement.
Elle enleva string et soutif, puis prit ma place ; je m’installai sur elle, tête-bêche pour un très joli 69. Le bouche à oreille fonctionnait à plein, bien que l’oreille n’y soit pas pour grand-chose, et la salle se remplissait à vue d’œil. Les hommages pleuvaient sur mon dos, au point que nous inversâmes nos positions pour qu’elle en ait sa part.

A quatre heures du matin, après un indispensable passage au hammam, nous quittions les lieux. Un uber nous déposa à l’hôtel. J’aurais volontiers dormi avec Hélène, mais la stricte orthodoxie hétéro des garçons m’imposa silence.

Trois semaines plus tard, Richard qui avait fini de tailler ses haies, me rejoignit dans notre cuisine. Il était suant et soufflant. J’eus pitié de lui, et proposait des bières. Pendant que nous les buvions, j’attaquai :
- Richard, j’ai rencontré quelqu’un…
- Une dame dont le prénom commence par un « H », peut-être ?
- Gagné.
- C’est une rencontre qui date de plus de dix ans, non ?
- Oui. Mais je la connais maintenant, comment dire ? Bibliquement, voilà ! Et donc, je te quitte. Tu m’en veux ?
- Non. Même pas. Je suis infiniment triste. Nous étions un couple qui me semblait bien fonctionner. Je me sens comme amputé.
- Je ne voudrais pas que nous quittions fâchés. On pourrait fumer le calumet de la paix, non ?
- Tu n’écoutes pas. Je t’ai dit que je ne t’en voulais pas !
- Et je te propose une petite pipe d’adieu…
- Merci. Pas envie, là. Par contre, si vous continuez à pratiquer vos virées parisiennes, ce serait gentil de nous inviter, Marc et moi.
- Nous n’y manquerons pas. Sauf si tournons charentaise et point de croix, bien entendu.
- Je prends le risque.
Voilà ! J’espère que vous me croyez, maintenant, quand je vous dis que je suis une foutue salope…

Axelle
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Histoire de sizaxe

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Commentaires du récit : Je suis une salope !

Le 15/07/2021 - 12:15 par sizaxe
Merci Jacques. C'est toujours un plaisir, malheureusement rare, de trouver des commentaires. Plus encore quand il viennent de la belle province. L'histoire étant véridique, ou peu s'en faut, je ne peut qu'être d'accord avec toi.
Le 15/07/2021 - 00:20 par Jacques du Canada
J’ai bien aimé lire cette histoire du moins jusqu’avant le début du septième avant dernier paragraphe. Je trouvais une belle complicité dans ce couple. Axelle pense peut-être que que la vie sera différente avec sa nouvelle conjointe mais le temps la remplira de regrets et de remords. Elle a tout partagée avec son conjoint sauf sa dernière trahison. Je suis certain que son futur ne sera pas aussi joyeux que son passée. Il y en a qui apprennent de la façon la plus difficile.

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