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Je trompe mon mari avec son père.

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Lue : 2717 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 09/01/2022

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Quand j’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari, j’avais tout juste dix huit ans et lui vingt. C’est d’ailleurs lui le premier à m’avoir baisée, qui m’a dépucelée en quelque sorte. Son expérience n’était pas beaucoup plus grande que la mienne et mon éveil au sexe ne m’a pas laissé un souvenir impérissable. Mais j’étais jeune, amoureuse et l’idée que je pourrais faire l’amour librement avec mon Bastien a tout emporté. Le jour de mon mariage toutes mes copines m’enviaient, car il était vraiment beau gosse.
Une seule personne se serai passé de ma présence, c’est Francine, ma belle mère, qui aurait souhaité une belle-fille autre que moi, plus soumise à ces idées. Je dois avouer que elle m’a au doigt et à l’œil, attendant le moindre écart de ma part, pour m’éloigner de son fils.
Cela fait maintenant huit ans que nous sommes mariés. Je n’ai pas connu l’éblouissement charnel dont j’avais rêvé, mais j’ai, avec mon mari, des rapports sexuels d’une honnête moyenne, dont j’ai appris à me satisfaire.
Rien n’aurait changé si, il y a quelques semaines, je n’avais cédé aux avances de Guy, mon beau-père. Il a su m’apporter sexuellement, ce que son fils n’a jamais été capable de m’apporter. Il a révéler en moi, le côté érotique, que je ne connaissais pas. De part son expérience d’abord, mais aussi par son côté pervers, ayant une connaissance des femmes, pour tirer le meilleurs d’elles. Tout ce que mon corps réclamait dans mes rêves les plus fou, il a su les réveiller.
Bien sûr, au début, il me faisait une cour amicale, comme peut avoir un beau-père, avec sa belle-fille. Toujours souriant, toujours aimable. Un mot gentil, une fleur, un coup de fil, cela fait toujours plaisir. Guy savait faire.
Il passait souvent à la maison pour un petit bonjour, toujours prêt à me rendre service. Souvent en l’absence de mon mari, c’est vrai, mais je n’y voyais pas malice, et puis
Bastien était au courant, et lui non plus n’y trouvait rien à redire. Après tout, c’était justement quand il n’était pas là que je pouvais avoir besoin d’aide. Et d’ailleurs, si Guy était encore présent lorsque mon mari rentrait, nous prenions tout simplement l’apéro ensemble.
Je ne réalisais pas l’équivoque de la situation, et les cheveux grisonnants de Guy me semblaient une caution suffisante. Avec lui je ne risquais pas de faire de bêtises.
C’est pourtant ce qui est arrivé un matin, il y a neuf semaines exactement. C’était un mercredi. Ce jour là Guy, qui est enseignant, ne travaillait pas et il était venu, à ma demande, réparer le lampadaire du salon. Il faisait lourd, un orage se préparait.
Comme d’habitude dans ce cas là, j’étais énervée et inquiète. Depuis toute petite j’ai toujours eu une peur panique du tonnerre et des éclairs. Aussi quand les lueurs et les grondements se déchaînèrent, je perdis pied. À proximité il y avait Guy. Désemparée, je courus vers lui, et me jetais dans ses bras.
Il me berça de mots rassurants, et peu à peu mon cœur ralentit sa folle cadence. Le murmure de sa voix à mon oreille me calma provisoirement, mais je sentais toujours à fleur de peau, des picotements inquiétants. Sa voix se fit plus proche, ses mots plus consolateurs. Il entourait mes épaules de ses bras protecteur
Je fermais les yeux, encore à la lisière de la terreur, malgré la présence de Guy et posais ma tête sur son épaule..
Je sentis ses lèvres se poser sur mon front, puis descendre sur ma joue. Je ne réagis pas. Bizarrement cela me rassura alors que les grondements et les lueurs redoublaient. L’orage se rapprochait, la pluie tombait avec violence. J’avais absolument besoin d’une présence. Un éclair aveuglant suivi d’un craquement effroyable m’affolèrent. L’orage était sur nous, terrible. Tétanisée, je me blottis dans ses bras, m’incrustant d’avantage contre sa large poitrine..
Quand sa bouche se posa sur mes lèvres je ne réagis pas plus. J’étais à sa merci, incapable de décider. Sa langue s’empara de la mienne, douce, chaude. Complètement déboussolée, je répondis à son baiser, m’accrochant désespérément à lui comme à une bouée de sauvetage dans l’océan. Il me souleva, me prit dans ses bras telle une poupée de chiffon, et m’emporta, proie palpitante et subjuguée. Son calme devant l’orage, sa chaleur, sa force rassurante m’aidaient à contenir les battements désordonnés de mon cœur. Avec lui je me sentais protégée.
Avec des gestes très doux il m’allongea sur le canapé. Je gardais les yeux fermés. Je sentis bien qu’il relevait ma robe et qu’il faisait glisser ma culotte sur mes hanches. Je n’avais pas la force de l’en empêcher. Pire même, je devenais toute molle, mon corps ne m’obéissait plus, ma tête était vide. Il souleva mes fesses pour m’enlever complètement mon string en le faisant glisser le long de mes cuisses. Puis il releva carrément ma robe, jusqu’à ma taille et me disposa devant lui, jambes écartées. Je sentais le souffle de sa respiration sur mon ventre mais, bien que consciente du spectacle que je devais lui offrir dans cette position, je restais immobile, passive. Je sentais la rougeur me monter aux joues mais j’étais incapable d’esquisser le moindre mouvement. Je le laissai se rincer l’œil. Les yeux toujours fermés, je ne voulais rien voir.
Soudain je sursautais, incrédule. D’une bouche vorace, Guy venait de s’emparer de ma chatte. Cela me brûla comme si la foudre m’avait atteinte. La sensation était stupéfiante. Jamais je n’avais connu cela. Jamais mon mari ne m’avait prodigué un tel baiser.
Surtout à cet endroit.
La langue diabolique de Guy écartait mes lèvres intimes, me fouillait, s’enfonçait en moi. Bouleversée, éperdue, je m’ouvris à cette caresse si osée et si foudroyante. Mon cœur s’était remis à battre la chamade, mon sang bouillonnait dans mes veines. Je me sentis partir, dans un éclatement de lueurs accompagnées de grondements dont j’étais incapable de dire s’ils se produisaient dans ma tête ou dehors.
La violence de mon orgasme me stupéfia. Je restai anéantie, stupéfaite, le souffle court. Jamais je n’avais éprouvé une telle satisfaction et surtout de cette façon. C’était, pour moi, une véritable découverte.
On pouvait donc éprouver un plaisir aussi vif, rien qu’avec un baiser ? Un monde inconnu et merveilleux s’ouvrait devant moi, naïve et ignorante.
Guy ne m’avait pas lâchée et continuait à m’embrasser à sa manière. Sa langue avait débusqué mon clitoris et s’activait. Mon sexe s’embrasait de nouveau. Le deuxième orgasme me secoua sans prévenir, aussi brutal et violent que le premier et cette fois, je m’en rendis bien compte, c’était moi qui criais.
Ce jour là, après plus d’une heure de folles découvertes, Guy me laissa repue, comblée, encore ahurie d’une jouissance aussi forte, et de cette façon, insolite mais si ravageuse, de me la donner. Je pensais à Francine, ma belle-mère qui me tenait à l’œil. Elle ne se pas doutait aujourd’hui, que son œil n’était pas au bon endroit.
Je n’avais surtout pas osé raconter à mon mari ce que son père m’avait fait. Comment aurais-je pu ? Et puis cela avait été si délicieux, si fort que j’avais préféré en garder au fond de mon cœur… et de mon ventre. Le souvenir ébloui.
Devant Bastien, les jours suivants, je dus garder une attitude normale avec Guy, qui comprit vite que mon silence était pour lui un gage d’impunité. Il en profita bien sûr et il revint me voir. Il profitait de l’innocence de son fils, pour profiter de moi.
Pourtant, à ma décharge, je m’étais bien promis de ne plus recommencer, déchirée entre la tentation et le remords de m’être laissée faire. Et d’avoir été, pour la première fois, infidèle à mon mari. Mais sa présence, sa voix persuasive « il me jura qu’il s’en tiendrait à un baiser » et surtout, même si je ne me l’avouais pas, le souvenir, obsédant justement, de ses baisers et le désir honteux mais impérieux de les subir encore m’ont fait céder mais « juste pour une fois, la dernière, et seulement un baiser, rien d’autre ».
Las. Ce matin là il me déshabilla entièrement. Il m’allongea à nouveau sur le canapé et se mit à m’embrasser et à me lécher partout. Dès que sa bouche entra en contact avec ma peau, mes fragiles résolutions s’envolèrent et je sus que j’étais à nouveau à sa merci et qu’il allait faire de moi ce qu’il voudrait. Mon cœur avait repris sa sarabande mais cette fois l’orage n’y était pour rien.
Ses lèvres grisantes couraient sur mon corps, de la pointe de mes orteils au creux de mes oreilles. J’en étais tout électrisée, des ondes délicieuses couraient sur ma peau, sous ma peau. C’était extraordinaire. Jamais je n’avais goûté à ça et c’était tellement nouveau pour moi. Aussi peu expérimenté que moi, mon mari ne m’avait pas habituée à ce genre de caresse.
Guy savait prendre son temps, jouait avec moi. Sa bouche magique faisait naître dans mes seins et dans ma chatte, un fourmillement exacerbant, mon ventre se liquéfiait. Et quand, abandonnant mes bourgeons raidis à en être douloureux, il enfonça sa langue dans mon sexe, un dard de feu me transperça. J’éclatai dans un feu d’artifice.
Pendant deux heures il me fit rebondir d’orgasme en orgasme. Tenant parole, il n’utilisa que ses doigts. Mais de quelle manière. Je flambais comme une torche.
Il a même léché mon petit trou. La simple idée de ce qu’il me faisait, avec sa langue, à cet endroit si intime, avait d’ailleurs suffit à me faire jouir à nouveau. Ce jour-là, après m’avoir fait découvrir tout ce qu’il savait faire avec sa langue entre mes cuisses et entre mes fesses, il était parti avec ma culotte.
Depuis il revient me voir chaque mercredi, et pendant les vacances scolaires. Comme sa femme travaille dans le privé, il est libre de son temps, pour moi. Personne ne se doute de rien, c’est notre secret.
Je n’ai plus besoin d’orage. Guy m’a conquise avec ses ’’ baisers ’’ qui me donnent tant de plaisir. C’est devenu ma drogue et je suis ’’ accro ’’ maintenant à tous les petits jeux pervers qu’il me propose dès que nous sommes seuls tous les deux.
Progressivement il m’a initiée à des pratiques sexuelles que j’ignorais et m’a amenée à découvrir toutes les ressources de ma libido. Mariée trop jeune avec un garçon trop jeune, je n’avais aucune expérience des vices de l’amour. Guy a fait mon éducation.
Il m’appelle ’’ sa jolie poupée salope ’’. Il m’offre régulièrement des dessous froufroutants, des petites culottes transparentes, des strings confidentiels, réservés à son seul usage. Mon mari ignore l’existence de cette lingerie coquine que je lui cache soigneusement. Mais Guy aime tellement me voir ainsi dévêtue, pour lui. Quand je me déshabille pour son plaisir, ses yeux brillent d’une telle satisfaction.
Il est fou de mes fesses et de mes seins, raffole de ma petite chatte, qu’il passe des heures à admirer, à caresser, à sucer, à lécher. Il adore m’enlever lui-même ma petite culotte pour me regarder, surtout entre les cuisses. Avec lui j’ai abandonné toute réserve. Je me promène toute nue devant lui et je prends pour son plaisir les poses les plus suggestives et les plus canailles. Souvent il me happe d’un bras, m’assied sur se genoux. Le traitement qu’il fait subir à ma chatte et à mon petit bouton entièrement décalotté, me paralyse. Je le supplie de continuer, quand, pour me faire râler, il arrête les rotations de son majeur sur mon clito.
Mon corps n’a plus aucun secret pour lui. Avec sa langue il me bouleverse, de la pointe de mes seins au plus intime de mes cuisses. Et il ne se contente pas de mon sexe.
Quand il me dispose à plat ventre et que je sens ses grandes mains qui écartent mes fesses, mon ventre prend feu. Je sais qu’il va à nouveau lécher mon œillet et y enfoncer la pointe frétillante de sa langue. Depuis la première fois qui m’avait si fort secouée, je raffole de cette caresse si épicée et j’entre en paradis quand il me fait ’’ une feuille de rose ’’.
Mon mari voulait que je conserve un petit triangle de duvet, mais Guy voulait que ma petite chatte soit entièrement épilée, bien lisse, comme une petite fille. Ce que j’étais pour lui.
C’est à lui que j’ai obéi et quand il l’a vu ma fente, surmonté de mon clitoris, j’en ai été bien récompensée. Il m’a laissé lui sucer sa queue. C’était la première fois.
Les autres jours il avait toujours esquivé mes timides tentatives, on aurait dit que cette caresse le gênait. Pourtant elle était si belle sa queue, si majestueuse quand elle se dressait, toute droite, toute fière, posée sur le coussin des ses couilles gonflées. Là non plus je n’avais pas d’expérience mais j’en avais tellement envie. Avec Bastien, je n’aimais pas beaucoup faire ça, mais avec Guy, cela m’a plu tout de suite. Je voulais lui rendre avec ma bouche, maladroitement peut-être, mais avec une telle bonne volonté, le plaisir qu’il me donnait avec la sienne.
J’ai vite rattrapé le temps perdu et je suis devenue experte dans l’art de la pipe. Maintenant, dès que nous sommes rien que nous deux, c’est moi qui ouvre sa braguette pour sortir sa belle bite. Je la caresse, je l’embrasse, décalotte tendrement son gland que je picore de petits baisers mouillés.
Mes agaceries le font rapidement bander. Il devient gros et raide, bien plus volumineux que mon mari. Je l’avale alors lentement, les yeux fermés sur mon plaisir et je le suce. Avec l’expérience je sais comment, avec mes lèvres et avec ma langue, le faire bouillir mais juste assez pour éviter qu’il n’explose trop vite. Je veux le garder longtemps, le plus longtemps possible.
Au début il se retirait au dernier moment et je recevais tout son sperme sur le visage ou sur les seins. J’aimais bien mais…. C’est moi qui ai insisté pour qu’il reste dans ma bouche jusqu’au bout. Cela le gênait. Que sa belle-fille lui taille une pipe, ce que sa femme ne faisait plus depuis longtemps. J’ai su me montrer convaincante. Maintenant je le garde prisonnier jusqu’à ce qu’il me fasse le don de sa liqueur de mâle.
Quand il gémit qu’il va venir, j’enveloppe ses grosses couilles de mes mains et je les masse doucement. Sans cesser ma caresse mais les yeux grands ouverts cette fois, pour ne rien perdre de son plaisir, j’accentue la succion de mes lèvres et de ma langue pour recueillir avec gourmandise les épaisses giclées qu’il projette directement sur mon palais. Et mon cœur éclate de joie. J’avale tout avec délectation, j’aime le goût de son sperme, un vrai délice.
Entre nous toute espèce de pudeur a disparu et quand il a repris son souffle, que ses mains se posent sur moi et que ses lèvres approchent de mon ventre, c’est en tremblant d’excitation que, la bouche encore pleine de son sperme, je lui ouvre bien grand mes cuisses. Dès qu’il me touche, je m’envole. Je jouis avec lui comme je n’ai jamais joui avec mon mari.
Nos petits jeux n’ont qu’une limite. L’heure fatidique qu’il ne faut pas dépasser avant le retour de mon mari. Et cette idée du plaisir défendu que je prends en cachette, ajoute encore à mon excitation. Je me sens vicieuse ensuite quand je vois Guy qui parle avec Bastien, son fils, comme si de rien n’était, mais rien ne pourrait me faire renoncer au plaisir que je prends avec lui.
Cela fait maintenant bientôt trois mois que j’ai découvert dans ses bras le vertige des plaisirs interdits. Interdits mais si exaltants. Il a été bon professeur et maintenant c’est moi qui recherche les petits jeux érotiques dont nous sommes si friands tous les deux. Et comme j’apprécie la bouffée d’adrénaline qui me fouette le sang quand nous parvenons à échanger discrètement quelques caresses, ou quand je réussis à lui montrer ma culotte, alors que Bastien est présent ou même, et là c’est encore meilleur, quand sa femme l’a accompagné et qu’elle pérore, qu’elle pontifie à son habitude, ignorante qu’elle est des relations brûlantes que nous entretenons son mari et moi. C’est dans ces moments que mon sentiment de culpabilité se transforme en sensations délicieusement amorales.
Récemment, après avoir laissé Guy vérifier de visu que je portais bien le dernier string qu’il m’avait offert, je me suis retirée aux toilettes. La lueur extasiée que j’ai vue dans ses yeux quand je lui ai glissé le petit chiffon de dentelle dans la main, m’a récompensée de ma folle audace et a fait naître dans mon ventre l’onde de chaleur que je connais si bien. J’ai cru ensuite qu’il allait s’étrangler quand il a voulu masquer la rougeur qui avait envahi son visage, par une quinte de toux feinte du plus bel effet. J'ai dû me mordre les lèvres pour ne pas éclater de rire quand sa femme s’est inquiétée de sa santé. Si elle savait comment il se gargarise à la source de ma chatte, qu’il a préalablement branler, pour bien la faire mouiller.
Pourtant je ne suis pas vraiment sa maîtresse. Il est vrai qu’il me fait mourir de plaisir avec sa bouche, avec sa langue mais jamais encore, ses doigts mis à part, il ne m’a
pénétrée. Je ne connais pas encore l’ineffable sensation de sentir sa grosse queue s’enfoncer lentement dans mon ventre, ni la grisante jubilation d’être, enfin, possédée par lui.
A présent je voudrais qu’on aille plus loin, qu’il me baise, qu’il me sodomise aussi
J’aimerais tant sentir sa grosse queue fouiller mon chatte et mon petit trou. C’est du reste dans cette optique que j’ai arrêté la pilule, dans l’espoir qu’il me saillisse.
Je le sens réticent. Ce n’est pas son âge qui le retient, même s’il pourrai être mon père. Je sens qu’il hésite. Hésite à m’engrosser, laissant à son fils le soins de le faire.
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Je trompe mon mari avec son père.

Le 27/08/2022 - 13:15 par Franck 34480
Joli récit bien raconté. Une suite serait la bienvenue.
Le 31/01/2022 - 20:29 par dallas
Récit assez bandant, j'ai bien aimé...

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