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jeune coquin

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 5 - Histoire postée le 17/02/2024

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Cela s’est passé entre les gilets jaunes et le virus, un jeune homme qui habite dans le coin, je l’avais déjà vu dans une maison, dans la même rue, 2 ans avant cette histoire, et 2 ans après, en début d’année, fier d’avoir le permis, il roulait en ville et il était passé devant moi avec une voiture qu’il venait d’acheter, puis l’euphorie passé, je ne le voyais plus qu’à pied.

En sortant du parking comme tous les jours, je laisse passer ce jeune homme, s’il est déjà engagé sur le bateau ou alors lui qui me laisse passer, on se croise du lundi au mercredi, ce qui était bizarre, c’est que je n’ai pas d’horaires fixes a 30 minutes prêt, a force, il me salut et j’en fais de même.

Si je ne comprends pas comment le hasard peut se renouveler autant, je m’aperçois que ma jupe remontée bien plus haut que mi-cuisse ne lui est pas indifférente, lorsqu’il me laisse passer et ou je m’arrête, avant de tourner à droite pour voir si personne n’arrive à gauche, bien souvent, il a mal calculé son coup et arrivé devant la voiture, il n’hésite pas à reculer pour que je passe.

Sachant cela, avant de quitter le parking, je règle mon rètro de façon à voir sa tête quand je passe, et cela confirme ce que je pensais, ce jeune me mate les cuisses, je ne suis plus l’ingénue des salons de coiffure, être maté par un jeune de 40 ans de moins, c’est plus que plaisant, je lui sourie de plus en plus et m’arrange toujours pour lui donner ce qu’il veut voir.

Un jour, je le laisse passer en m’arrêtant avant, de cette façon il était obligé de passer, il me salut au passage et j’avance ma voiture suffisamment, pour qu’il ait le reflexe d’allonger le pas, j’ouvre ma fenêtre et je m’excuse en lui demandant, s’il n’est pas le fils de ceux qui habitent plus loin, il vient a coté de ma portière et me répond que oui, je lui sourie au maximum, en disant qu’il doit avoir les mêmes horaires que moi, pour qu’on se croise ainsi.

Fixé sur mes cuisses, je regarde devant moi pour lui parler et je lui souhaite une bonne soirée, puis je pars, le lendemain pareil, il me laisse passer et j’ouvre ma fenêtre cote passager, le toit de la voiture nous cache à nos yeux, mais mes cuisses sont à pleine vue, plusieurs semaines se passent ainsi. J’étais passé en robe, avec décolleté, que j’ouvrais un peu plus, une fois monté en voiture.

Mais un jour, on me signale que ce jeune est souvent en train de surveiller le parking, peut être pour venir voler, comme on m’a surement vu tous les soirs discuter avec, je réponds que non, et que si je le vois tout à l’heure, je vais lui dire qu’il ne reste pas là, zut me dis-je, j’aimais bien me montrer à lui, comme tous les soirs, j’ouvre ma fenêtre et je lui demande s’il peut me rejoindre dans un endroit à la sortie de ville, endroit qu’il est obligé de connaitre.

En roulant je me dis, me voila bien, voila que je donne un rencard à ce jeune, une fois à l’endroit indiqué, je lui dis, petit coquin, notre croisement du soir n’est pas un hasard, tu m’espionnais, il s’excuse, je lui dis, ne t’inquiète pas, j’aime bien discuter avec toi, mais quelqu’un t’a vu et c’est gênant, qu’il me voit discuter avec toi.

Il s’excuse disant qu’il ne voulait pas me faire d’histoire et qu’il ne m’embêtera plus, je réponds qu’il est gentil, mais que lundi, au lieu d’être devant la boite, qu’il m’attende ici s’il veut, il accepte et le lundi, j’essai de quitter un peu plus tôt, à l’heure ou il devait déjà m’attendre au bout du parking, je me dirige a l’endroit désigné et il m’attendait bien avant, me disant qu’il y a du monde déjà, je réfléchis et lui demande, si de faire 3 km ne le dérange pas, il me suit.

Je connaissais un endroit abandonné et à l’ abri des regards et des passant, endroit boueux mais empierré menant sous un abri en tôle ou nos 2 voitures seraient abrités, on se gare cote à cote, j’ouvre ma fenêtre et lui dis de venir à coté de moi, on est mieux ici, nous discutons comme nous faisions au parking puis une semaine après, un soir, je lui pose une question, dit moi, pourquoi venais tu me voir à ma sortie de parking.

Il me dit aimer discuter avec moi, je réponds que moi aussi, sinon on ne serait pas là, mais la vrai raison, que je connais, et qui ne m’a pas empêcher d’être ici, dit moi, je prendrais cela comme un compliment, je t’écoute, le pauvre avait la gorge serrée, il savait que je disais la vérité sur la véritable raison, j’ai peur que vous n’allez plus vouloir qu’on se voit après.

Je lui dis, « ai-je la réputation de quelqu’un qui ne tient pas ses promesses », non Mme dit-il, « alors je te promets que si tu es franc avec moi, je reviendrais ici tous les 3 premiers soirs comme d’habitude, ta franchise envers moi sera une preuve de respect et confiance, si tu me mens, ca sera une insulte, allez soit un homme, j’aime les hommes qui ont du courage et tu verras, tu ne le regretteras pas, bien au contraire ».

Des mots déformés sortent de sa bouche, « vous avez des très belles jambes madame », oui merci, et?, « ben je venais pour les admirer, elles sont tellement belle », je cherche quelque chose a répondre et il me dit dépité, « je crois que je ne pourrais plus maintenant », je lui dis, tu sais l’âge que j’ai surement, alors un jeune comme toi, qui fait tout ça, pour admirer une femme qui pourrait être ta jeune grand même, je ne vais surement pas l’éjecter, au contraire, je vais tout faire pour qu’il me rejoigne ici.

Il laisse éclater sa joie en disant que je ne suis pas vielle et que je fais bien plus jeune que sa mère, je lui attrape la tête et lui fait une bise furtive sur le coin des lèvres en disant qu’il est super gentil, nos rencontres était très furtives, environ 2 minutes au parking et 5 minutes ici, ne perdant pas le nord, il me rappelle qu’il ne devait pas regretter pas son courage, bien au contraire.

En effet dis-je, dis moi ce qui te ferait plaisir, si c’est raisonnable, je te l’accorderais, il me répond qu’il ne sait pas si cela l’est, dit toujours dis-je, et là direct en parlant vite, « j’aimerais caresser vos jambes », surprise, je fais, hé bien, tu ne mégottes pas, tu es directe », il rajoute que si je ne trouve pas cela raisonnable, il comprendrait.

Ce que j’avais pensé de ce qu’il pouvait demander, c’était que je remonte encore plus ma jupe, je recule mon siège a font et met mes jambes sur lui en disant, je n’aime pas ceux qui mentent et j’adore ceux qui disent la vérité, elles sont à toi, tu les auras autant de fois que tu veux.

Il va s’en dire que s’il se régale, cela est réciproque, que c’est agréable a toucher dit-il en même temps qu’il bande, je sens cela dis-je, il fait ho pardon en poussant mes jambes sur ses cuisses, je lui dis, non laisse, je sais ce que c’est, de plus pour moi, c’est un très beau compliment, et puis on est entre nous, ce « on est entre nous » ne le quittera plus par la suite.

J’avais la possibilité de quitter plus tôt, et lui de venir plus tôt aussi, je quittais un quart d’heure plus tôt et on se retrouvait à cet endroit tranquille, a chaque rencontre, je reculais le siège et mettais mes jambes sur lui, on discutait pendant qu’il caressait, la semaine suivante, il me demande s’il pouvait me caresser les jambes sans les bas pour changer comme on est entre nous.

Je lui dis, là il est déjà tard, alors demain si tu veux, on se quittait avec un baiser furtif sur les lèvres, le lendemain, je remets mes jambes et il me le redemande, je lui dis, a une condition, tu me les retire, mais tu me les remets, mes bas sont a élastique, il glisse ses mains sous ma jupe et retire le premier, puis remet ses mains tout en me regardant dans les yeux, du moins ce que la pénombre moins importantes qu’au début permettait.

Je vois que tu aimes, oui madame et c’est réciproque je crois, je réponds oui mais je ne sais pas qui de nous précis le plus, ho vous avez froid dit il en me caressant, ses mains a même la peau me faisait frissonner et me faisait une chair de poule, non dis-je ça va passer, c’est tellement bon que ça me fait frissonner, chaque semaine il me demandait plus, un jour en arrivant, je lui dis que je ne vais pas rester longtemps, j’ai un torticolis, je peu vous masser la nuque dit-il.

Je dis non, il redemande, je redis non, il redemande encore en disant qu’on est entre nous et j’accepte, il va derrière et retire le pare tête puis me masse, j’avais accepté pour lui faire plaisir, mais pour un coup d’essai ce fut un coup de maitre, j’avais retrouvé plus de la moitié de la souplesse et la douleur en moins, tu es magicien dis, tu va pouvoir aller te faire plaisir avec mes jambes, vous ne voulez pas que je continu me demande t’il.

Fais comme tu as envie, c’est toi le chef je suis tellement bien ici, et puis on est entre nous, il a continué puis est venu caresser mes jambes avec mes bas, lendemain, quand il me demande si ça va, je lui dis oui que j’ai encore un peu mal mais que ca va, il va directement derrière et après avoir enlevé le pare tête.

Il me masse et me dit qu’il pourrait masser mieux sans ……Je ne le laisse pas finir, et je lui dis, tu as un chef ou tu travaille, il commande et tu obéis, tu en a pas marre, il me dit ho que si, et je réponds, hé bien moi, je commande, je prends des initiatives et j’en ai marre aussi, alors tu sais ce qu’on va faire, tu va commander et moi j’obéirais, tu veux, va te plairait, plutôt oui dit-il, alors on commence, tu demandes rien, tu prends l’initiative.

Je vais ….., chut, je ne veux rien entendre de ce que tu va faire, c’est toi le chef, il passe ses main par-dessus me épaules et me fait un bisous vite fait sur le coté du cou, je ne bouge pas, il recommence moins rapide, je dis rien et il m’embrasse, je fais, « par contre, pas de suçon surtout » normal dit il en continuant, ses mains vont a mon chemisier, il défait le premier bouton, le deuxième puis les suivants avec plus d’assurance.

C’est pour bien vous dégager les épaules commente t‘il, je dis, oui chef à vos ordres, il me masse, vous aimez, me demande t’il, je fais, j’adore, il va pour demander quelque chose, mais se rappelle qu’il ne doit pas et s’arrête, il tombe mes bretelles sur mes bras, il masse, embrasse, masse, chaque avancé, il me dit, « je sais qu’on est entre nous mais je ne voudrais pas abuser, vous aimez », je répond qu’ici dans la voiture, c’est lui le chef.

J’adore cette relation juvénile avec un jeune débutant, maladroit, craintif, sans expérience, m’embrassant toujours dans le cou, mes bretelles tombées, il me masse le cou et un peu la poitrine, la partie avant les seins, il regarde l’heure et dit, je vais faire les jambes maintenant, il me remet les bretelles et chemisier qu’il reboutonne en appuyant plus sur les seins que quand il déboutonnait, il sort et monte devant, je recule le siège.

Avant, il passait ses mains dessous la jupe, pour atteindre le haut des bas, là, il remonte ma jupe, je prends appui sur mes pieds et ma tête pour lever mes fesses pour que la jupe remonte sans gène, puis il retire mes bas, ce faisant, il me dit, « je n’arrive pas a croire que je suis avec vous et vous faire tout ça », je réponds, jamais je n’aurais pensé me retrouver ici avec un super jeune homme en lui donnant plein pouvoir sur moi.

Plein pouvoir répète t’il, je dis oui tu es mon chef, mes bas sont en bas de mes chevilles, il me lève une jambe et l’embrasse, là je sais que ça vous plait beaucoup, en effet, la réaction de la caresse m’électrise et me donne la chair de poule, comme à chaque fois, il regarde l’heure et me rhabille, je fais « déjà, grrrrr ».

Ça passe trop vite avec vous dit-il, je lui demande à quelle heure qu’il peut être dispos, entre 14 et 14 h 30, super dis-je, lundi, 16h30 ça t’irait, cela fait plus de 10 mn de plus, soit ½ heure au total, avant de partir, il me demande, ça serait possible de vous inviter au restaurant un soir, je pose ma condition de payer, je connais les moyens de ses parents et le salaire qu’il doit avoir, je lui dis que ce n’est pas négociable même pour un chef.

Une autre semaine se passe et le samedi, il s’était arrangé avec son binôme pour quitter plus tôt et qu’a 20 heures on soit devant le resto, il voulait m’emmener mais je lui ai dis qu’en voiture, il avait mes cuisses à regarder, motif imparable, je l’ai emmené dans un endroit ou je suis connue et je demande les cartes sans les prix, le l’avais prévenu que j’étais connue et qu’a table, son comportement doit être celui d’un neveu, parce que nous n’étions plus entre nous, chose qu’il a très bien compris.

À l’intérieur, a sa tête, il devait se dire qu’heureusement qu’il ne va pas payer la note, il est même gêné pour moi et me le dit, je réponds que ça ne sera pas gratuit, qu’il devra me rembourser ……. En massage, a volonté qu’il répond, au repas il s’est tenu très convenablement, une rombière à une table plus loin croise mon regard et devait se moquer de ce jeune, pour son costume de super marché, si elle avait lu dans mes yeux, elle aurait appris que ce jeune est surement plus performant au lit que son mari aussi fripé qu’elle, qui dés qu’il peut, me mate la jambe qui sort de ma robe du soir.

Le repas se passe bien, il croyait rentrer, mais je lui propose d’aller danser, j’adore danser, et dans ces genre d’endroit, il y a des bourrins, assez souvent, je graisse la patte d’un videur afin de ne pas être importuné, ce qui fait que quand il me voit, il est prêt à intervenir rapidement, quand je pars, il me raccompagne à ma voiture ou me suis des yeux si elle est proche, ce jeune n’a pas la carrure d’un garde du corps, plus celui d’un regarde mon corps.

Au premier slow, je lui dis, « je sens mauvais », il y avait l’espace d’un tabouret entre nous deux, j’attrape sa tête et lui dit de prendre mes hanches, t’aime pas dis je, il répond qu’il n’a pas osé, nous avons dansé des slows collés au maximum, mais dans le raisonnable.

Les beaux jours étaient arrivés, je mettais des robes, sans bas, avant d’arriver à l’ endroit habituel, je changeais de robe, j’en mettais des plus décolletés pour lui, du genre à risquer une émeute au boulot, il y a longtemps que j’ai envie de lui, mais je ne veux pas le brusquer et risquer un blocage, de plus j’aime être guidé.

Cela faisait plus de 4 mois qui c’était passé depuis les rencontres du parking, je me languissais mais je n’étais pas en manque sexuel, quelques semaines passent, ou il avance très lentement, marchant comme sur des œufs, parfois je force un peu et d’autre je laisse faire, mon but n’est pas me taper un jeune, ce que j’aime, c’est voir celui-ci prendre de l’assurance.

Comme je me définie, je ne suis pas une femme qui se donne, mais une femme qu’il faut prendre, avec moi, les dragueurs, bonimenteurs, séducteurs, gentlemen’s, n’ont aucune chance, contrairement à ceux qui forcent les choses sans usage de la force, à ceux qui prennent des risques, aux vicieux, aux frotteurs, pour peu qu’ils sachent comprendre lorsqu’on leur dit non.

Arrivant au début du chemin, je remontais ma robe au maximum pour qu’il ait directement la vision en montant, mais ce jour-là, je lui dis, en avançant les sièges, monte derrière lui dis-je et je le rejoins, nous ne sommes plus séparés par la console.

Il se met à genou et m’embrasse les cuisses, il sait maintenant qu’il n’a pas besoin de demander, il relève ma robe courte et comme je suis assise dessus, il essai de tirer, je me tourne en disant que la fermeture éclair gène, il me la descend jusqu'à la ceinture, ses gestes sont lent, comme tous font, afin de ne pas brusquer, nous laisser le temps de dire non.

Je tends mes bras, il comprend qu’il doit tirer les manches, puis me découvrant en soutif, il reste figé, regardant ma poitrine, me regardant dans les yeux puis ma poitrine encore, mon sourire l’encourage, heureusement que nous sommes entre nous lui dis-je, sorti de ses pensés, il se dit, qu’il faut qu’il me retire la robe complètement.

Depuis le temps, il a compris que chaque avancé est acquise, il ne remonte plus ma robe, il l’a descend, je prends appui sur mes pieds et ma tête, pour soulever mes fesses et glisser la robe, je suis en dessous devant lui, les compliments fusent, je lui dis, « tu te rends compte, là ou on en est, que vas-tu penser de moi ».

Que du bien madame, vous êtes très belle, et puis on est entre nous, ce n’est pas pareil, je réponds que je sais que nous sommes entre nous, c’est pour ça que j’essaie de te faire plaisir, j’adore te faire plaisir, fais ce que tu as envie.

Il me regarde les yeux et étonné, il me dit, « je peux, ce que j’ai envie », je lui souris et répète, « tout », hésitant un temps, il me fixe, se reprend puis presque tremblant, il me dira plus tard, qu’il était proche de la crise cardiaque, ses mains se posent sur mes seins, j’ai un petit sursaut, il le voit, tu es bien entreprenant dis-je, il continu en disant, oui c’est vrai, mais on est entre nous, c’est différent, ironiquement je dis, oui, heureusement qu’on est entre nous.

Vous aimez, me dit-il, si tu aimes, j’aime, il se redresse un peu et m’embrasse les seins à travers le soutif, je presse sa tête et ensuite, il descend en m’embrassant le ventre, puis descendant encore, comme pour me faire un cunni.

Mais ce sont mes cuisses qu’il tripote et embrasse, son portable vibre, il l’a mis à sonné parce que j’avais justifié de partir a 17 heures et que c’est pour ça que pour passer plus de temps, j’avais avancé l’heure, il remet ma robe, je l’aide et il remonte ma fermeture, en bougeant je sens son sexe bien dur qu’il ne cache pas, on est entre nous maintenant et c’est un compliment que vous avez dit me dit-il.

Quand j’arrive, il est toujours là le premier, dès que je suis garé, il rentre direct dans ma voiture, le temps nous est compté, cela faisait peut-être 2 semaines où il me tombait la robe, embrassant mes cuisses, me touchant les seins sans défaire mon soutif.

Mais cette fois, il monte derrière en me disant de rester devant, il déboutonne ma robe sur le devant, tout en m’embrassant le cou, puis me faisant pencher en avant avec les bras en arrière, il tombe ma robe, je vais pour m’adosser, mais ses mains m’attrape la fermeture du soutif et il la décroche.

Je fais « hooo » quand il écarte l’attache et tombe également les bretelles des épaules, il m’adosse et prends mes seins à pleines mains, mettant sa tête à coté de la mienne, il me les malaxe et pince les tétons, je gémis, enfin me dis-je, je tourne ma tête vers lui, il veut m’embrasser sur la bouche, j’allais accepter mais je profite de l’occasion pour lui dire non, il faut qu’on passe un test VIH avant.

A la vitesse ou on avance, il va y avoir un moment ou nous allons baiser ensemble, autant y être préparé, je le dois à mon mari et mes autres compagnons de jeux, il me rejoue le « on est entre nous », mais je lui dis que le risque est trop grand pour le peu de contrainte, il continu à me peloter et poser des questions, sans avouer le motif, il me dit être clean.

Et c’est la que j’ai le déclic, ce jeune, je serais sa première expérience, il est tout neuf, encore dans l’emballage, encore un à mon compteur, je ne suis pas en manque sexuel comme je l’ai déjà dit, mon plaisir, c’est la découverte, l’éveil de ce jeune, que je pensais déjà dépucelé, de m’avoir surveillé pour me mater, et d’en arrivé la ou on en est, je me disais qu’il ne veut pas bruler les étapes en risquant mon départ.

Je l’emmène et nous faisons le test le lendemain, après 15 h, en n’étant pas en même temps dans le labo, l’un attendait dans la voiture et vice versa, peu après 16 h nous étions dans notre endroit tranquille ou je lui dis, on a ¾ d’heure aujourd’hui, reste devant, je monte derrière et lui retire sa chemise pour caresser ce corps juvénile, sans poil sur le torse.

Je lui pince un peu les tétons, j’en ai beaucoup moins que vous et ils sont moins beaux me dit-il, moi j’adore que je lui réponds, on entend un bruit, on se fixe, je regarde dehors et je ne vois rien, il se redresse, on tend l’oreille et n’entendant ni ne voyant rien, il va pour se rallonger, puis on voit 2 jeunes qui étaient arrivés en voiture en restant dans le chemin.

Serait-ce des jeunes qui connaissaient le proprio, mais on aurait plus pensé à un repérage, on les voit arriver, je lui dis de s’allonger, je regarde caché derrière le pare tête cote chauffeur, j’attrape ma bombe d’autodéfense au cas ou, le premier voit nos voitures, il fait demi tour, l’autre le suit et on entend une voiture partir, ouf des malintentionnés dis-je, presqu’un moindre mal, ils ont vu qu’il y avait peut être du monde et ne reviendront plus et ce ne sont pas des connaissances du proprio.

Nous partons aussitôt après que je lui ai demande de mettre 2 branches mortes en travers, là ou les roues passent et nous allons plus loin dans un chemin empierré pour continuer nos attouchements, nous délirons sur des hypothèses de ce qui aurait pu nous arriver, il m’aurait défendu, mais sans savoir s’il aurait été vainqueur, vu le gabarit de celui vu, j’en doute.

Il s’agenouille et me touche les cuisses, pendant que nous ironisons de la situation, le lendemain, il m’attend et me dit que les branches sont en place, que personne n’a roulé dessus, je lui dis, retournons ou on était hier on reviendra lundi, laisse les branches et contrôle lundi, le lundi, les branches toujours intact et on se gare dessous les tôles comme toujours.

Ce lundi, il est là sans être là, le mardi aussi, je suis presque vexés, il me caresse, mais je sens bien qu’il est ailleurs, je lui dis, « tu sais, je comprendrais que tu ne t’intéresses plus à moi, si tu as une copine », il me jure que non, mais je lui dis qu’il n’est plus celui d’avant.

Apres plusieurs demandes, il me dit être licencié, parce qu’il ne veut plus faire d’heures non payés ni récupérées, cela, il m'en parlait déjà au début, il essai de faire comme si de rien était, mais je ressens trop cela et ça me gâche le plaisir, je connais ses parents et leur situation financière très précaire, sans le salaire de leur fils, ils vont être mal.

J’ai un ami qui a de très bonnes connaissances et qui m’a déjà dépatouillé d’un cas similaire, sans contrepartie que j’ai récompensé par l’acceptation d’une invitation à dîner, il se trouve aussi qu’il connaît bien le patron du jeune, ce qui fait que celui-ci à gardé sa place et le chef a passé un mauvais moment.

Pour justifier ce revirement, je lui avais dit que j’allais tourner un courrier pour son patron, pour faire pression en expliquant la situation, le lundi le jeune arrive tout guilleret, m’annonçant que tout est arrangé et qu’il a même eu une augmentation qui l’a mis au même salaire que son collègue, mon ami est un champion, ça lui a couté un diner, car s’il me laissait payer, ses ancêtres viendraient le hanter à ses dire.

Je retrouve mon jeune, gourmand de mes cuisses, il m’a quand même posé la question de comment il a fait, j’ai dit qu’ils jouaient au golf ensembles, il était étonné que son patron joue au golf, je lui ai dit de garder ça pour lui et de ne plus parler boulot, qu’on avait mieux à faire entre nous.

Entièrement d’accord me dit-il en se remontant un peu et tombant mes bretelles de robe puis me la retirant les bras, attendez dit-il en sortant et passant derrière et comme il a déjà fait, il m’attrape les seins à pleines mains, ensuite, il baisse mon dossier et il passe sur le côté m’embrasser.

Il suce un téton et sa main descend sur mon ventre, l’excitation m’envahit, mon cœur bat, il le sent, il lâche mon sein et dit, une fois, vous m’aviez dit que je pouvais tout faire ce que j’ai envie, je lui répète, oui, tu peux faire de moi tout ce que tu veux.

Tout me re dit-il en passant sa main sous ma robe, absolument tout dis-je, sa main descend encore et je la sens à travers mon string, je pousse un cri de plaisir, lui demandant de continuer, malgré sa maladresse, il me frotte le string et fini par me donner un orgasme, je suis le premier orgasme qu’il donne.

Il revient sur mes seins qu’il embrasse, et après s’être bien fait plaisir, je lui dis, à toi maintenant, assis toi en arrière, je pose mon soutif, remonte succinctement ma robe, j’avance mon siège et monte à côté de lui côté droit, je mets ma main sur sa braguette tout tendu.

Il a un mouvement de refus, mais je lui dis, laisse, toi faire, je fais chut, car il allait dire quelque chose, ce que je me doutais se confirme, je vais être sa première expérience, je lui parle, je le rassure pendant que je défais sa ceinture, sa fermeture et que je lui attrape le sexe.

Tu as aimé me donner du plaisir tout a l’heure, et bien c’est mon tour maintenant, alors tu n’as pas besoin de pense a quoi que se soit, laisse toi complètement aller, il me demande si ce n’est pas risqué, je le rassure encore, je commence doucement à le masturber pour faire durer le plaisir, je le fais allonger sur le siège, je tombe ma robe, il m’attrape les seins puis crescendo, j’active mes vas et viens.

Comme je m’en doutais, l’attente ne fut pas longue, un petit haaa et le liquide jaillit, je recalotte juste avant pour ne pas tacher, je lui dis d’attraper le paquet de mouchoirs sur le dossier du siège de devant, et prenant 4 mouchoirs, je laisse couler dedans le plus gros du sperme et en reprend d’autres pour bien l’essuyer.

Il veut le faire mais je lui dis que c’est à moi de le faire, il est l’heure et on se dit à demain, le lendemain j’avais prévu un rouleau de papier absorbant, a l’arrière de la voiture, on se caresse et je lui dis, tu sais qu’on peut tout se dire, que mentir ne servira a rien, alors dit moi, as-tu déjà fait l’amour a une fille ou femme.

Il allait mentir puis me dit, vous allez vous moquez, je lui réponds, écoute, il y a un sujet ou jamais je ne me moquerais, et c’est sur ce qui nous arrive, je sais déjà beaucoup de chose, mais si tu me les dis toi-même, je serais très contente de la confiance que tu me fais, et jamais je ne me moquerais.

Et timidement, il m’avoue que je suis la première femme qu’il touche et qui le branle, je l’embrasse sur le coin des lèvres et lui dit, je le savais et je suis contente que tu me dises la vérité, je vais devenir ton meilleur souvenir, nous allons faire un échange, ta jeunesse et mon expérience.

Les 2 jours suivant ainsi que la semaine suivante se passe pareillement, mais le lundi d’après, j’arrive avec une voiture beaucoup plus spacieuse, il a même eu peur en me voyant arriver, je me garde et lui fais signe de monter derrière, les jours de nos rendez-vous, je m’habille toujours de façon pratique, de façon à pouvoir vite me rhabillée au cas où.

Quand j’emprunte cette route, je regarde loin derrière s’il n’y a pas une autre voiture qui suit, si c’est le cas, je poursuis jusqu'à a un endroit sur le bas coté ou on peut se garer, la voiture passe et je retourne sur mes pas le rejoindre, tout ceci pour ne pas être repéré par un collègue qui aurait quitté juste derrière moi et se demanderait ce que je vais faire dans ce chemin.

Nous somme derrière, je lui dis, « je suis toute à toi, tu aimes que je t’appartienne, moi j’adore, fait de moi tout ce que tu as envie, soit vicieux au delà de ce que tu aimerais », il m’avait répondu qu’il n’aurait jamais osé, mais comme c’est moi qui lui demande, ose tout lui dis-je, il tombe la fermeture de ma robe dans le dos, et la retire par le haut, il défait complètement mon soutif, j’adore ce que tu me fais lui dis-je, pour l’encourager.

L’excitation nous fait respirer fort tous les 2, hésitant un peu, il attrape mon string et je lève mes fesses pour lui montrer qu’il n’a pas à hésiter, il me défait le string et me voila entièrement nue, il me regarde le sexe, j’ai honte, mais honte, mais c’est tellement bon la honte, ça vous plait de tout me montrer dit-il, je répond d’un sourire, mais il me demande aussi d’être sincère en répondant clairement.

je lui dis que j’aime en écartant une jambe, que je mets sur le dossier du siège de devant, l’œil de ce jeune sur mon intimité, m’excite au plus haut point et il voit la cyprine arriver, il pose sa main sur mon sexe, mon crie de plaisir le fait reculer, non, non, continu c’est tellement bon lui dis-je, il repose sa main et je frémis et geins sous ses caresses, voulant passer a la vitesse supérieure, j’attrape son doigt et lui fais sentir mon clito, et ce jusqu'à temps qu’il l’ait bien repéré.

Je lui dis, « tu vois, ce que tu sens, cela s’appelle le clitoris, c’est le bouton qui ouvre la porte du paradis, frotte le et je vais m’envoler, aucune femme normale ne résiste à cette caresse, maintenant, tu accélères, voilà comme ça, tu vas me faire jouir, tu veux, continu, continu encore, enc….. », j’ai jouis comme une novice qui découvre cela, moi qui pourrais être sa jeune grand-mère.

J’ai voulu le soulager, mais il a voulu me tripoter les seins, les malaxant et embrassant, embrassant le ventre aussi, mettez vous sur le ventre m’a-t-il demandé, malaxant et tripotant mes fesses qu’il a embrassé aussi, j’ai un pied à terre et l’autre droit sur le siège, je sens bien ce qu’il essai de faire, m’ouvrir les fesses pour me voir l’anus.

J’avais envie de lui dire de ne pas hésiter, mais j’ai préféré lui en laisser la possibilité de le faire de sa volonté, il m’embrasse les cuisses, les fesses, le dos je passerais des heures a vous caresser me dit-il, je réponds que j’aimerais que le temps s’arrête, après cela, je l’ai masturbé en lui disant de se retenir, arrêtant quand je sentais que ça allait partir.

Apres quelques arrêt avant l’explosion, je lui donne la délivrance en lui disant de tout lâcher, peut être est-ce le fait que j’ai crié en jouissant, qu’il s’est dit que lui aussi pouvait crier son plaisir, il veut attraper ma main, mais je lui dis non, je continu a bien le vider, bêtement je n’ai pas pris d’absorbant, heureusement, j’ai un paquet de mouchoir dans mon sac.

On a dépassé l’heure, mais ni lui ni moi ne le regrettons, le lendemain, les analyses sont prêtent et je vais les cherchez, il y avait déjà été, nous sommes négatifs comme je le pensais, mais je préférais en être certaine, déjà pour lui, lui apprenant qu’il ne faut jamais faire confiance, car on peut être positif sans le savoir.

Le temps était pas mal entamé et je lui ai fais une pipe intégrable, sa première fellation, il a voulu se retirer de ma bouche, mais je l’en ai empêché, il m’a jouit dedans, je prends en bouche m’ai n’avale pas, j’avais prévu le coup en amenant un demi rouleau d’absorbant, on reste encore 3 minutes ou il me demande encore les limites, je lui dis aucune et que c’est mon maitre sans condition.

Le lendemain, en plus du tripotage, doigtage, il me fait mettre sur le dos et après plusieurs malaxages des fesses, il me demande de me mettre sur les genoux, les fesses relevées, la tête sur le siège, il m’écarte les fesses, dégageant bien mon anus, les refermant, les écartant encore, je lui dis, « mais tu es un cochon, un vrai vicieux ».

Ho pardon dit-il, je… En arrêtant, non ne t’arrête pas, j’adore les cochons, j’adore les vicieux, il me dit que lui il est vraiment très …. Vicieux, je fais, « hummmm je vais adorer, ne te prives pas surtout », il me passe son pouce sur la chatte toute trempé et remonte jusqu'à l’anus qu’il lubrifie, je lui dis, « hummm, je sens que tu vas me faire ce que j’attends avec impatience.

Il met son pouce gauche dans ma chatte et roule mon clito avec ses doigts, de son autre main, il pénètre mon anus d’un doigt, me voilà reparti sur le chemin du plaisir, j’ondule mon bassin pour profiter de la caresse, je gémis, je hurle même, je l’encourage, je le complimente.

Soudain, en gémissant, je relève la tête et je vois furtivement une forme blanche à la vitre, j’ai un temps d’arrêt, mais ce qu’il me fait me fait reprendre l’ondulation de mon bassin, le salaud me dis-je, il a fait venir un copain, je suis déçu mais tellement excitée, ou alors le propriétaire des lieues, savoir que quelqu’un nous regarde augmente mon excitation, l’orgasme arrive, je cris mon plaisir.

il continu ses caresses après mon explosion, voulant connaitre la vérité, pendant qu’il continu, je lui dis, « qu’est ce que c’est bon, tu vois quand je suis dans cet état la, si un type arrivait, je lui laisserais faire tout ce qu’il veut de moi », ha bon dit-il, ha non, moi je le vire, enfin s’il n’est pas trop balaise, une femme comme vous, ça ne se partage pas.

Je suis presque déçue encore, je ne sais pas ce que je veux, un trio HHF n’était pas pour me déplaire, par contre, réfléchissant à toute vitesse, je me dis, le voyeur n’a pas l’air d’être un malfaisant, sinon il y a longtemps qu’il se serait manifesté, un voyeur donc, je me sens rassuré mais pas complètement, d’un coup je réalise que les portes ne sont pas bloqué, je me dégage un peu en allant fermer et pour justifier je dis, tient les portes sont pas bloqué.

A toi maintenant dis-je, je lui fais une fellation, dans ma tête encore, j’énumère les possibilités de voyeur possible, le propriétaire des lieues, un de ses employés, un automobiliste avec une envie qui est rentré dans cet endroit tranquille et a vue de la lumière comme le plafonnier est allumé, une autre possibilité, un collègue, j’énumère intérieurement tout ceux dont les horaires et direction coïnciderait, demain matin, j’irais voir cela.

Pendant que je pense, je m’affaire sur mon jeune, qui lui a autre chose à penser, comme aurait dit Descartes à sa place, « je pense, donc je jouis », je continu investigation, si c’est le proprio, il va me dire de ne plus revenir ou vouloir lui aussi une prestation, pareil si c’est un employé, si c’est un passant, peut être est-il reparti, laissant juste ma voiture tachée, mais si c’est un collègue, va-t-il me faire chanter ou le répéter si je refuse sa proposition.

Tout a mes pensées, mon jeune jouit, il me tient la tête, peur que je ne continu pas, c’est un reflexe que BCP d’hommes ont, je l’éponge bien, puis je me vide la bouche dans 3 épaisseurs de papier absorbant, l’excitation passé, la raison revient et je me rhabille en ressentant une honte qui ne m’excite plus du tout.

Tout à notre discussion en se rhabillant, je jette de temps à autre, un œil coté vitre, pour tenter de voir quelque chose, et là, je revois pareillement la forme qui me fâche depuis tout à l’heure, c’est une chouette ou un pigeon, visible uniquement en passant devant le peu de lumière du plafonnier, étant assise, je l’ai vu de plus prés passé furtivement, ha je revis et il le voit en me demandent si cela m’a plus, je l’embrasse sur le coin des lèvres.

J’étais contente, et le vendredi matin, avant qu’il parte travailler, je l’invite à sortir le samedi soir, il me rejoint à la maison, et au resto, je lui annonce que nous n’iront plus à notre lieu de rendez-vous, mais que les vendredis et samedis nous les passeront à la maison, ou plutôt dans une dépendance aménagé que nous avons pour les copains de passage.

Cela le rallonge le matin de 40 mn, mais en commençant à 11 heures, du mercredi au samedi, ça nous laisse 60 à 90 mn dans un lit, là ou personne ne risque de nous déranger, à cette époque, sans que je ne sache pourquoi, j’avais une envie incompréhensible de ce jeune, c’était mon favori dirons nous.

Petit a petit, avec mes encouragements, il est devenu bon amant, sans le forcer, il a pu de lui-même satisfaire ses envies, ses vices, innovant de lui-même, j’ai réussi a lui faire accepter de l’argent pour son carburant, je connaissais ses parents et leur revenu plus que modeste ainsi que les siens, de plus, je préférais payer que me déplacer.

Il m’a fait tous ce qu’il avait envie, essayant des godes de toute forme, me claquant les fesses en levrette, me parlant vulgairement mais jamais il n’a pu me traiter, et un jour, j’eu une idée, cette dépendance est un appartement, avec une grande cuisine, salle de bain, WC et 2 chambres, comme ma copine marie avec qui, jamais on ne se cache rien, me demande si je lui prêterais mon jeune.

Ce soir là, avant d’aller a coté de lui, je lui dis, « tient on va faire une expérience, je vais éteindre les 2 lampes de chevet », en même temps je les débranche des prises, marie était arrivé avant lui et était caché dans la deuxième chambre, une fois la lumière éteinte, je dis, « maintenant plus personne ne dit mot, chacun de nous va faire croire a l’autre qu’il n’est pas lui, on va imaginer que nous sommes avec un autre partenaire.

Plus un mot maintenant, ok répond t’il, marie arrive derrière moi et je l’emmène là ou je serais rentré dans le lit, il va pour parler a 2 reprises mais je fais chut aussitôt, marie a été comblée, elle a juste eu un gémissement ou c’est lui qui a fait chut, une fois consommé, elle retourne dans la chambre et moi dans la salle de bain pour me rincer.

Je reviens en peignoir et lui prend ma place dans la salle de bain en me disant, « la vache, vous aviez raison, c’est bluffant », pendant qu’il se rince, mari quitte la dépendance, je n’ai pas compté, mais nous avons sûrement dépassé la quinzaine de fois cette pratique, parfois, j’étais bien embêtée, car ce n’étais pas prévue.

Je lui avais raconté qu’il ne faut pas le faire trop souvent pour que ça fonctionne, on a également fait cela mais là j’étais vraiment celle dans le lit et l’effet n’a pas été au rendez-vous, je lui avais dit aussi qu’il fallait espacer, il y a peut être 2 mois maintenant, c’est une autre copine qui a pris ma place, la prochaine étapes, ça sera celle de mari volage et cocu qui s’y essayera, mais le soucis est qu’elle a une coiffure beaucoup plus fournit, sinon a 2 cm prêt, dans la taille, nos corps et poitrines sont identiques.

Au fils des nos discussions, nous nous sommes tout dit, que je m’habillais exprès pour lui lorsqu’on se croisait quand je sortais du parking, de son coté, il m’avoua que les fois ou j’allais voir ses parents, 2 ans auparavant, pour les informer des travaux qu’on allait faire dans la rue, il ne restait pas dans la pièce, chose que je me souviens et ou je mettais ça sur l’adolescence d’un jeune qui préférait jouer sur son ordi.

En fait, il allait à la cave ou juste à côté du perron, il y a plus bas un soupirail qui lui permettait de mater sous ma jupe ou robe lorsque je remerciais ses parents de leur accord écrit sur l’objet de ma visite.

De mon côté, je ne lui ai pas dit que son père faisait la même chose, la fois où j’avais accepté une tasse de thé et où j’étais sur le canapé à côté de sa femme et lui en face sur un fauteuil.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : jeune coquin

Le 08/04/2024 - 00:16 par alexandre8819
j'aime ton histoire je m'imagine être à la place de ce jeune homme
Le 24/02/2024 - 06:09 par Aletick77
Exaltant d'un bout à l'autre.... j'ai même interrompu la lecture pour prolonger le plaisir de la découverte ! Vivement la suite.
Le 21/02/2024 - 12:03 par Sexty53
Très belle histoire bien écrite, pas du tout ennuyante, pourquoi pas un peu plus de moment croustillant mais c'est déjà bien, continuez
Le 21/02/2024 - 12:03 par Sexty53
Très belle histoire bien écrite, pas du tout ennuyante, pourquoi pas un peu plus de moment croustillant mais c'est déjà bien, continuez
Le 18/02/2024 - 15:20 par Kristof41
Pas mal sans plus parfois ennyante même

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