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Joe, Maude, SON et moi

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 02/11/2022

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JOE, MAUDE, SON ET MOI

partie 1
Joe et moi, on travaillait pour l'usine SON.
Je ne sais pas si vous en avez entendu parler de cette usine. On l'a beaucoup évoquée ces derniers temps dans la presse, car elle a eu une fin tragique. Tout comme ses employés d'ailleurs. Dont je faisais partie avec Joe. On était 333 précisément. L'usine où on travaillait, c'était une fonderie, spécialisée dans le formage des métaux. Clairement, ça veut dire couler un métal ou un alliage liquide dans un moule pour reproduire des pièces. On bossait pour Reugeot, le grand groupe auto. On fabriquait des carters d'huile, des supports moteur et des entraineurs de moteur d'essuie-glace. Ca marchait bien. C'était du moins ce qu'on pensait. Jusqu'au jour où Reugeot a décidé de délocaliser sa production en Espagne et au Portugal parce que la main d'oeuvre était moins chère. Le problème, c'était qu'au fil du temps, Reugeot était devenu notre seul client. Il y a eu une telle baisse des commandes que l'entreprise a basculé. Des administrateurs judiciaires, des propositions de reprise. Et puis rien au final. 333 personnes sur le carreau.
Joe et moi on avait 57 et 59 ans, alors on a pris notre retraite. Pour nous c'était facile. Ca l'était moins pour ceux qui avaient trente ans. Nous on avait une maison, des enfants élevés.
Le seul élément positif, c'était qu'on était tous ultra-soudés. De la camaraderie, et de l'amitié. Comme entre Joe et moi.
Avant on se voyait à l'usine. Pas en dehors.
On avait gardé l'habitude de nous lever tôt, parce qu'on embauchait très tôt à SON. Joe m'a appelé et il m'a dit :
--Ca te dirait qu'on prenne un petit déjeuner ensemble ? Je suis debout à six heures. Toi aussi, j'imagine. Tu pourrais passer à la maison. Si tu veux après, on ira se balader un peu...
J'étais effectivement réveillé très tôt, vers cinq heures, et j'ai dit d'accord. On était au printemps, je suis parti à pied jusque chez lui. On n'habitait pas si loin l'un de l'autre, dans cette ville de province de taille moyenne.
J'ai sonné. Je ne m'étais jamais posé de questions concernant son statut familial. Il m'avait dit qu'il avait de grands enfants, qui avaient quitté la maison.
C'est peu de chose que de dire que j'ai été surpris. Décontenancé, même.
Devant moi, il y avait une jeune femme magnifique...Quand je dis jeune....Elle devait avoir une trentaine d'années, trente-cinq au grand maximum. Je me suis demandé si c'était sa fille...Puis je me suis rappelé qu'il était remarié. C'est vrai que Joe état bel homme, et que la maturité lui avait vraiment donné du charme. Etait-ce pour cela qu'il avait ainsi tiré le gros lot ? La fille qui était devant moi était vraiment magnifique. Très grande, brune, avec une longue chevelure, un joli visage bien dessiné, et un corps aux formes pleines, dont je pouvais bénéficier d'un aperçu très complet. En effet, elle portait non pas une nuisette, mais une chemise de nuit qui lui arrivait au genou et qui était entièrement transparente. Dessous, elle n'avait rien et donc on pouvait tout voir.
Je me suis dit que je rêvais, mais non, c'était bien le cas. Mon regard a glissé sur elle. Des seins lourds mais ronds et fermes, tendus vers moi, un ventre plat, des hanches bien marquées. Contrairement à pas mal de jeunes femmes, elle n'avait opté que pour une épilation limitée, et son pubis était ornée d'une magnifique toison, rasée sur le côté, mais laissée intacte dans la longueur. Juste en dessous, il y avait le dessin de sa fente, close. Et des jambes pleines, mais bien dessinées.
--Bonjour, vous devez être l'ami de mon mari. Je suis enchantée de faire votre connaissance. Venez, je suis en pleine préparation du petit déjeuner.
Il ne me manquait qu'un aspect de sa personne. Elle avait un cul très charnu, haut perché, allongé et vraiment rebondi.
Je l'ai suivie dans un long couloir, jusqu'à déboucher dans une grande pièce éclairée par des baies vitrées. Joe était là, qui venait de poser une plaquette de beurre sur la table. Il semblait ravi de me revoir. L'usine avait définitivement fermé deux semaines plus tôt.
--Salut mon ami. Je te présente ma femme Maude. Ma seconde femme.
Ils ont calé tous les deux ce qu'il fallait pour le petit déjeuner sur la table. Du jus d'orange, du lait, de café...Elle faisait du pain grillé. Je trouvais la situation intéressante, parce que sa nudité était clairement visible, mais ça ne semblait pas déranger son mari que je la vois à poil. De la fierté, peut-être ? En tout cas, je pouvais en prendre plein les yeux. La lumière traversait allégrement la chemise de nuit, et je pouvais la voir sous tous ses angles...
Elle a amené le pain grillé tout chaud sur la table, s'est assise aussi. Elle s'était finalement enveloppée avec un peignoir. Parce qu'elle avait entrouvert l'un des panneaux de la baie vitrée. Mais je me suis dit que c'était mieux ainsi.
Je me trompais en pensant que ma libido allait avoir un moment de repos.
Je me trompais lourdement.
J'ai d'abord cru que c'était juste un courant d'air. Quelque chose qui m'avait effleuré. Le contact s'est renouvelé. Je me suis dit que c'était un animal. Et puis le contact a été plus direct, plus précis, et j'ai compris qu'il s'agissait d'un pied. Et je doutais fortement que ce soit celui de Joe, de toute façon sa position ne lui aurait pas permis. Elle était juste en face de moi...Et si ça n'était pas elle...Et pourtant, elle avait l'ait tout à fait indifférente, discutant avec nous deux...Rien dans son expression, son attitude, ne pouvait laisser penser qu'elle avait posé à présent la plante de son pied sur le mien, et qu'après un moment de tâtonnement, elle était en train de me caresser. Pied posé sur le mien, pour un mouvement doux et délicat, une caresse, effectuée avec habileté. Il y avait cette expression 'faire du pied à quelqu'un', et il avait fallu que j'attende d'être à la retraite pour l'expérimenter. C'était vraiment agréable, d'autant qu'en cette matinée printanière, j'avais des nu-pieds, et les deux bandes de cuir n'empêchaient pas, bien au contraire que je sente le contact de la caresse. Elle est ensuite venue tourner sur ma cheville. Entre sa nudité plus qu'offerte et la caresse, j'avais le feu dans le sang et une belle érection...
Tout en continuant de discuter, elle a remonté son pied le long de ma jambe. Ma cheville était nue, ma jambe enveloppée, mais la sensation a quand même été très intense.
Je me suis dit : 'Elle ne va pas...' Mais si...Elle a juste glissé sur la cuisse, pour venir se poser sur ce qu'on aurait vulgairement appelé mon 'paquet'. Je ne pensais pas qu'elle irait jusqu'au bout. Je me trompais.
Ca a été un moment très curieux. D'abord parce que personne ne m'avait jamais caressé ainsi avec le pied. Ensuite parce que la situation appartenait pour moi à un mélange entre vaudeville et porno.Et pourtant, si ridicule ce moment soit-il, j'ai éprouvé un énorme plaisir à sentir ce pied tourner sur moi, même s'il y avait l'obstacle du jean et du caleçon. Au contraire, sans doute, ça démultipliait, et donnait plus d'impact à la caresse. Elle a tourné sur moi et il est arrivé un moment où j'ai compris que j'allais jouir. J'ai balancé tout mon sperme dans mon caleçon en même temps que j'explosais dans un orgasme que je me suis efforcé de masquer autant que possible.
Ce qui était le plus déconcertant, sans doute, c'était le décalage entre ce qui se passait au-dessus et au-dessous de la table. Sa caresse, jusqu'à l'orgasme, et une discussion tout ce qu'il y avait de plus banale, qui, au moment où j'ai joui, portait sur les syndicats, et leur puissance ou absence de puissance.
On a discuté longtemps. C'est elle qui, jetant un coup d'oeil à sa montre, a dit :
--Bon, faut que j'aille au travail. Je vais me préparer.
Il l'a regardée s'éloigner et m'a dit avec un grand sourire :
--Avec elle, j'ai tiré le gros lot. Elle est simple, chaleureuse, intelligente et elle aime le sexe.
--Comment vous vous êtes connus ?
--Elle travaille à ma mutuelle. Je n'avais pas eu plusieurs remboursements. Je leur ai rendu visite. C'est elle qui m'a accueilli. Je suis tombé sous son charme. A la fin de l'entretien, je lui ai dit :'J'aimerais vous inviter à boite un café.' Je me suis surpris moi-même. Je n'avais jamais été très audacieux. C'est qu'elle me plaisait vraiment. Et j'ai été encore plus surpris de l'entendre me répondre 'Oui'. On a pris ce café ensemble à la fin de sa journée. La soirée s'est prolongée ensuite. On a mangé ensemble. Et on a passé la nuit ensemble. Il y avait quelque chose entre nous. Une sorte d'entente immédiate. Quelque chose qui a perduré.
J'ai eu envie lui demander si depuis tout ce temps, le long d'une relation idyllique, elle flirtait avec d'autres hommes. Ce n'était pas incompatible. On peut aimer quelqu'un, s'entendre parfaitement avec lui et aimer le sexe, aimer jouer aussi.
Le sperme commençait à sécher dans mon caleçon quand elle est revenue, dans un nuage d'un parfum subtil et envoûtant. Elle était aussi sexy habillée qu'à demi-nue en chemise de nuit. Elle portait un pantalon de vinyle ultra-moulant qui soulignait ce qui faisait qu'elle était une fille sans aucun équivoque. Je me suis demandé ce qu'elle portait dessous...En haut, un débardeur orange, tendu par sa poitrine généreuse, et un blouson en jean. Elle a embrassé son mari, et m'a fait un petit signe de la main. Je l'ai regardée s'éloigner, ses fesses tendant le vinyle, dont le mouvement sous la matière disait clairement qu'elles étaient nues.
Je suis rentré me changer. Un caleçon à la lessive, l'autre sur moi.
Dans les mois et les semaines qui ont suivi, je suis souvent passé chez Joe. J'ai toujours été suffisamment lucide pour pouvoir analyser clairement les raisons pour lesquelles j'agissais. Sans aucun doute, il y avait la joie de retrouver Joe, que je n'avais pas forcément pensé revoir, la possibilité de reconstruire quelque chose, de faire vivre encore ce passé qui nous unissait tout en partant vers un avenir qui serait plus supportable parce qu'évoqué à deux. Il m'avait d'ailleurs proposé, un projet qui s'est réalisé au fil du temps, d'ouvrir un moment et un lieu mémoriels, la mairie avait été d'accord pour ça. Il avait en effet pris des photos au fil du temps, de manière discrète, de notre lieu de travail, et collecté des tracts.
Mais sans aucun doute je lui rendais visite pour voir son épouse. J'avais vécu une existence sentimentale assez particulière, avec des moments où j'avais partagé la vie de femmes, et d'autres où j'avais été seul. Etait-ce parce que j'étais seul depuis deux ans que je revenais la voir ? Il y avait sans doute pas mal de curiosité en moi. Je n'avais jamais connu une fille comme elle, qui soit aussi naturellement exhibitionniste et qui aime autant le sexe. J'en ai eu clairement et nettement la confirmation dans les temps qui ont suivi. Le premier jour n'a pas été une sorte d'exception, un moment qui aurait tranché avec le reste. Le lendemain, je suis passé à nouveau pour le petit déjeuner. C'est elle qui est venue m'ouvrir. Elle portait cette fois un pyjama. Elle a eu un sourire qui pouvait avoir bien des connotations. Un simple sourire d'accueil, de l'ironie...Devant moi, et alors que Joe m'attendait, elle a calmement défait les boutons qui tenaient sa veste de pyjama, et en a écarté les pans, exhibant sa superbe paire de seins que j'avais vue la veille en transparence. Elle m'a laissé les regarder avant de refermer la veste.
J'ai rejoint Joe. La rituel du petit-déjeuner a été semblable à la veille, et cependant différent. Le pain grillé avait été remplacé par une brioche. Et puis elle n'a pas glissé son pied sur moi. Non, en fait, le portable de Joe a sonné. Il était posé sur la table. Si j'ai bien compris, un voisin qui l'appelait pour des problèmes de voiture. Joe a attrapé le téléphone et il est sorti sur la terrasse. Il était un peu sur le côté, et il nous tournait le dos.
La jeune femme a eu un petit rire, et elle a fait le tour de la table, pour venir se poser sur la chaise vide à côté de moi.
--Vite, on n'a pas beaucoup de temps. C'est une voisine qui l'appelle tous les matins pour des problèmes de voiture...Elle n'a pas compris que la sienne avait fait son temps.
Il y avait quelque chose de radieux sur son visage, et il était clair à ce moment-là que le sexe lui apportait énormément de plaisir. Elle a plongé sur moi, et elle m'a défait, me trouvant aux trois-quarts dur.
--Bon, je te fais de l'effet, c'est positif.
Elle a enveloppé ma queue de sa main, un geste qui n'était pas appuyé, mais qui esquissait une caresse qui n'en était pas moins efficace. On savait tous les deux qu'on avait peu de temps, et elle s'est mise à me masturber en visant une efficacité maximum, sans fioritures, sans subtilités. Une main qui bouge le long d'un sexe pour l'amener à la jouissance. On avait Joe juste en face de nous, mais de dos. J'étais convaincu, si on ne finissait pas, qu'elle parviendrait parfaitement à lui donner le change.
Ca a été très vite. La chaleur et la douceur de sa main, l'habileté de sa caresse, et sans doute le fait que sa présence tout près de moi me troublait et m'excitait. Dans un autre contexte, avec plus de temps, j'aurais bien aimé défaire sa veste de pyjama, la caresser, mais ce n'était pas possible. Mon sperme a jailli à grands traits poissant sa main de grands traits blancs. Elle a ri, toute heureuse. Je n'en finissais pas de me vider, comme si j'avais attendu sa main sur ma queue pour me libérer de mon sperme.
Elle est revenue à sa place en léchant sa main. On avait bien joué, on aurait même pu en profiter plus, Joe est resté encore une minute au téléphone.
Elle a mis à profit cette minute pour me préciser :
--J'aime énormément le sexe. Joe ne parvient pas à combler tous mes besoins.
Je me suis demandé ce que cette phrase impliquait. Une insuffisance, ou bien était-il en pleine forme, mais elle voulait beaucoup plus, il lui fallait plusieurs partenaires pour la combler.
--Tu me plais.
Je me suis aussi demandé si elle disait ça à tous les hommes ou alors si c'était ce qu'elle pensait vraiment.
--Des petits moments comme ça, c'est sympa. J'aime bien faire quelque chose dans l'urgence. Mais j'aimerais un petit peu plus. Ecoute, à la mutuelle, j'ai des moments de liberté, certains matins je ne bosse pas, il y a des après-midi où je finis tôt...Il n'est pas toujours à la maison, en plus il part parfois loin pour des réunions syndicales. Ca te dit que je t'appelle si je suis libre ? Donne-moi ton numéro.
Pourtant, dans les jours qui ont suivi, je suis passé pour d'autres petits déjeuners, pour déjeuner un jour, il était bien là, et il fallait être rapide. J'ai des souvenirs pourtant très forts. De moments qui, bien que très brefs n'en étaient pas moins bons. Au contraire. J'ai appris à apprécier la rapidité dans le plaisir, et réalité que le plaisir associé pouvait être très bon. Et puis il y avait quelque chose d'excitant à jouer avec le feu.
Quand je suis passé pour déjeuner, elle ne travaillait pas ce jour-là, elle avait une superbe robe à fleurs qui lui arrivait à mi-cuisses, avec de superbes cuissardes rouges. Joe avait dit :
--Ah zut, on n'a plus de pain frais...J'y vais.
En effet il y avait une boulangerie à l'angle de la rue. Douze maisons, le commerce, l'achat, le retour...On s'était regardés. Elle s'était exhibée, une tradition, à la porte, quand j'étais arrivé.
Elle n'avait pas encore mis la table. Retroussant sa robe, elle s'était couchée dessus, m'offrant sa nudité :
--Viens, j'ai envie d'une langue sur ma chatte. Je ne sais pas si tu auras le temps de me faire jouir. On doit avoir six minutes à peu près, si je calcule bien.
Jambes en l'air, écartées, avec une expression qui disait qu'elle avait envie d'une caresse buccale, elle était irrésistible. J'ai plongé sur elle, voyant son sexe en gros plan. Comme tous les hommes, j'étais fasciné, jusqu'à l'obsession, par les sexes de femme, la complexité de leur dessin. J'ai passé mes doigts dans sa toison. J'aimais les filles qui gardaient ce que la nature leur avait donné. Sans doute que Joe aussi, sinon elle se serait épilée. Sa toison était redessinée, une portion de route ou d'autoroute, qui partait d'au-dessus de ses lèvres pour monter à l'assaut de son ventre. Juste en dessous, son sexe avait déjà subi quelques unes des métamorphoses de l'excitation. Ce qui n'était au départ qu'une simple fente dans sa chair avait commencé à s'ouvrir, laissant apparaître deux bouts de lèvre, dessinées différemment l'une de l'autre, l'une repliée sur elle-même, l'autre tendue vers l'avant, et un filet de sécrétion, qui disait son excitation, coulait déjà en bas de sa fente, marquant ses chairs de luisance. Sous mes yeux, j'ai vu ses lèvres gonfler et s'épanouir, le flux de ses sécrétions augmenter, son intérieur rose apparaître, et, tout en haut de ses lèvres, son clitoris pointer, se décalottant tout seul.
Ca faisait longtemps que je n'avais pas fait un cunni à une fille, mais c'est un peu comme la bicyclette. Ca ne s'oublie pas. Et puis il y avait cette envie, envie d'avoir son sexe à moi jointe à celle de lui donner du plaisir. Elle, elle avait l'oeil rivé à son chrono, on avait six minutes, et en même temps, elle éprouvait du plaisir. Elle a poussé un gémissement, le premier, quand ma langue a glissé de haut vers le bas le long de son sexe, accueillie, en fin de course, par un jet de mouille qui s'est déversé dans ma bouche. J'ai refait le trajet en aller-retour plusieurs fois, inondé par ses jus intimes qui coulaient à présent abondamment, avant de partir vers d'autres tactiques, calant ses lèvres entre celles de ma bouche, tirant dessus, dardant ma langue dans son intérieur qui s'offrait de plus en plus, venant appuyer sur ses parois internes, remontant sur son gland clitoridien qui gonflait tout autant que ses lèvres.
Dans un même temps, j'avais sorti ma queue, congestionnée de désir et d'excitation et je me caressais pour soulager cette tension qui était en moi.
--Je suis entrain de jouir...Il reste une minute...
Elle a retenu le cri qui aurait sans doute éclaté à ses lèvres en d'autres occasions, laissant s'exprimer un long gémissement à la place. Sa jouissance s'est manifestée sous forme de ce qu'il fallait bien qualifier d'éjaculations, des traits de liquide qui sont venus me frapper en plein visage, m'asperger d'un liquide translucide mais épais, qui sentait fort, en même temps que j'explosais aussi, ma queue crachant dans le vide des jets de semence.
--Va à la salle de bains, il va arriver, nettoie-toi le visage, sinon il va comprendre...
Je suis passé dans l'entrée au moment où sa silhouette se dessinait à travers la partie vitrée de la porte. Je me suis glissé dans le couloir jusqu'à la salle de bains, où je me suis débarbouillé rapidement.
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Commentaires du récit : Joe, Maude, SON et moi

Le 03/11/2022 - 07:57 par Harold38
Excellent, merci, pour une suite je suis preneur.
Le 03/11/2022 - 05:21 par OlgaT
J'e viens de voir que c'est prévu. Je lirai avec plaisir
Le 03/11/2022 - 05:20 par OlgaT
Une suite est-elle prévue à ce récit tres chaud?

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