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Joe, Maude, SON et moi partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 09/11/2022

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JOE, MAUDE , SON ET MOI
partie 2
Ma retraite, que je redoutais morne avait pris un tout nouveau pli avec elle.
Il s'est passé quasiment un mois avant qu'elle ne m'envoie un SMS.

Joe est parti il y a une heure pour C...Une réunion syndicale. Il rentrera tard ce soir. Je ne travaille pas cet après-midi. Viens sur le coup de deux heures. On pourra en profiter sur un autre temps.

C'est bien elle qui est venue m'ouvrir quand je suis arrivé à deux heures. Elle avait une jupe en cuir, des bottes à talon aiguille luisantes, avec un gilet rouge qui se boutonnait sur le devant, qui comprimait ses seins, et en laissait la moitié dehors. Elle tirait sur une cigarette.
--Je t'attendais. Viens, j'ai envie que tu me fouilles avec ta queue.
Une fois la porte refermée, elle a tendu la main vers mon pantalon, et elle m'a mis à l'air libre. J'étais congestionné de désir, long, et raide, bien dressé.
--Tu as drôlement envie, dis donc.
--Qui n'aurait pas envie de toi ?
Elle m'a masturbé doucement, me faisant encore durcir et m'allonger.
--Tu vas être énorme en moi, c'est exactement ce dont j'ai envie. Une queue qui me remplisse et me caresse bien. Et longtemps.
Je craignais que le longtemps ne soit relatif, mais une fois que j'ai été en elle, je suis passé dans une autre dimension, comme s'il y avait une réelle imbrication entre nous, qu'elle me dicte son rythme, et que je puisse réellement contrôler les choses comme elle le souhaitait.
Elle a laché ma queue pour me prendre par la main et me conduire dans le living. Ca me faisait tout drôle d'être là sans Joe.
La jupe en cuir bénéficiait d'une fermeture-éclair sur le côté qui couvrait toute la longueur de la jupe en cuir. Elle a posé mes doigts sur la tirette pour que ce soit moi qui la descende. Je me suis exécuté. Le cuir a tenu quelques secondes, en suspension, avant de commencer à partir. Elle l'a rattrapé et l'a posé sur la table. Dessous, elle avait une simple culotte en coton blanche avec une grande tâche de mouille qui s'élargissait. Elle s'est appuyée contre la grande table et, attrapant ma queue, s'en est servi pour se caresser à travers le coton. Contre mon gland, j'ai eu toutes les sensations, à la fois la douceur du coton et, au-delà, le dessin de son sexe, que j'avais exploré de la langue, mais pas encore avec mon gland. Une seconde lecture qui m'a mis dans tous mes états, et, en parallèle de sa mouille, qui coulait et trempait la culotte en coton, mes liquides pré-sécrétifs ont eux aussi trempé la culotte, nos liquides intimes se mêlant dans l'épaisseur du coton. Elle haletait, et moi aussi, j'étais terriblement excité par ce moment. J'ai pensé qu'elle avait envie qu'on jouisse comme ça, mais elle m'a dit :
--Regarde, il y a une boite de préservatifs sur la table. Tu en mets un, tu m'enlèves ma culotte, et tu viens dans mon ventre, j'en peux plus.
J'ai attrapé la boite de capotes sur la table. Elle était neuve et il y avait supposément 5 préservatifs dedans.
--Je les ai pris au distributeur en venant. Tu les garderas, tu utiliseras le reste quand on aura un moment de plaisir seuls. Attends, viens, je vais te la mettre sur la queue...On va voir si je suis habile...
Habile, elle l'était sans aucun doute. Elle a déchiré l'emballage, puis fait glisser la capote le long de ma queue d'un seul mouvement. Sa vulve ruisselait, et elle était agitée de spasmes, sans doute dans l'attente de ce qui venait. Mais moi aussi j'avais envie de ce sexe le plus élémentaire qui soit, après des dizaines de jeux que j'appréciais tout autant, certes. Là, il y avait quelque chose qui tenait plus de la pulsion. L'envie de sentir son sexe autour du mien. Pour elle, c'était sans doute l'inverse, l'envie de sentir mon sexe en elle. Il y avait de l'intensité sur son visage, le désir dans ce qu'il peut avoir de plus total, et l'anticipation du bonheur qu'on peut éprouver.
Je me suis approché d'elle, et j'ai frotté mon gland contre ses lèvres. Elle s'est mise à gémir, et ses jus intimes ont coulé sur la latex, le long de ma queue, pour arriver sur la base de mon sexe. Elle a posé la main sur mon gland.
--Viens maintenant, j'en peux plus.
Alors j'ai commencé à glisser en elle. On était tous les deux concentrés sur nos sensations, figés dans ce moment d'éternité, tout à notre plaisir. Je rentrais ma verge très lentement en elle, assailli par les sensations. C'était sans aucun doute aussi le cas pour elle. J'ai glissé en elle jusqu'à être totalement enveloppé par cette gaine douce et délicate qui collait étroitement à ma queue, et qui me caressait à chaque mouvement, le plus infime soit-il.
--C'est bon de se sentir remplie.
Je me suis mis à bouger en elle. On était tous les deux dans notre plaisir. Un instant, j'ai eu une vision qui m'a paralysé, Joe rentrant plus tôt que prévu et nous découvrant. Mais, avec insouciance, j'ai pensé que ça n'allait pas arriver, et je me suis remis à caresser son intérieur,
Le plaisir montait en nous, on atteignait les étapes qui nous conduisaient vers la jouissance, quand j'ai senti quelque chose. Une manifestation d'un sixième sens, sans doute. Je me suis tourné vers la porte, et j'ai vu une silhouette se dessiner devant la porte. Une silhouette que je connaissais bien.
On a eu une chance énorme. En arrivant, pas par précaution, mais par oubli, elle avait laissé ses clefs sur la serrure. C'était plus facile pour elle que pour moi. Elle a récupéré sa culotte, l'a passée, a remis sa jupe en quelques secondes, tandis que moi je refourrais tant bien que mal ma queue encapotée dans mon pantalon. Je dis plus facile, parce que mon sexe était hyper dilaté. J'y suis arrivé tant bien que mal, et j'ai rezippé mon hoodie pour masquer cette réaction physiologique.
Il n'y a rien de plus frustrant que de devoir tout interrompre quand on est au bord de la jouissance. Quand on est au début...Mais là, l'orgasme était sur nous, on commençait à en sentir les effets.
--Désolé chéri, je suis rentré il y a pas longtemps, et j'ai laissé les clefs sur la porte.
On s'est regardés elle et moi, furieux contre lui, et frustrés. Pourquoi il nous avait fait ça ?
Je crois qu'on était tous les deux dans un état étrange...Avec cette jouissance pas accomplie qui trainait en nous, et oui, une réelle colère. Pourtant on a donné le change.
--C'est fini ?
--Ca ne devait durer qu'une matinée. Ce n'était pas marqué sur la convocation. D'ailleurs, si j'avais su, je n'y serais pas allé.
On avait envie de lui dire 'Pars, pars, laisse-nous tranquille, laisse-nous finir ce qu'on a commencé.' C'était irréaliste, parce qu'il avait tout cassé, et on ne pourrait probablement pas finir, mais c'était ce qu'on avait envie de lui dire.
Dans la vie, il y a parfois des moments de grâce . C'est ce qui s'est produit, et on n'a pas osé y croire, c'était tellement peu croyable.
--Je ne fais que passer, il faut que j'amène des papiers qu'on m'a donné à plusieurs personnes.
Un ange est passé.
--Je reviens dans deux heures, désolé, mais là, j'ai pas le choix.
On s'est regardés, Maude et moi, pendant qu'il partait. On se disait que ce n'était pas possible, qu'il nous faisait une farce, et qu'au moment où on croirait qu'il était parti, il serait là et qu'il nous ferait : 'Surprise !' Alors on a attendu. Mais, au bout de cinq minutes, et alors qu'on avait envie de sauter l'un sur l'autre, rien. Il n'était pas revenu.
On s'est regardés. Se demandant si...
En guise de réponse, Maude s'est laissée tomber sur le divan à quatre pattes, retroussant sa robe, et tirant son slip à ses genoux. Le regard qu'elle m'a jeté aurait fait bander un mort.
--Viens...J'ai encore envie. Pas toi?
Sans doute fallait-il se reconfigurer totalement pour redémarrer et pas penser qu'on était dans le prolongement de ce qu'on avait expérimenté juste avant. Un rapport sexuel rebooté pour ainsi dire. La voir à quatre pattes, et capturer son regard qui disait clairement qu'elle s'offrait, que je pouvais venir en elle, m'a raccroché au désir. C'est une queue aussi roide qu'elle l'était dix minutes plus tôt qui a glissé en elle. Elle a gémi en sentant mon gland taper contre son utérus. Je me demandais si c'était reprendre quasiment à zéro dans notre montée vers la jouissance, ou revenir au stade ou nous étions. En fait, ce n'était ni l'un ni l'autre. On a retrouvé le chemin du plaisir, avec un autre angle, d'autres sensations. Elle avait sa main entre ses cuisses, pour se caresser, et elle s'est mise à jouir, d'un orgasme en cascade, au milieu duquel j'ai explosé moi aussi, quelque chose de très fort, giflant ses parois intimes de mes jets de sperme contenus dans le préservatif.
Je n'oublierai pas tous ces moments que nous avons pu connaître, dans les mois qui ont suivi, qu'ils soient très brefs, et audacieux, ou plus longs et plus tranquilles. C'était sans doute la première fois de ma vie que je connaissais une relation où le sexe était au premier plan, pas de fausses excuses, d'alibis, de faux semblants, non juste la volonté d'avoir du plaisir avec quelqu'un. Si j'aimais les moments longs, j'aimais aussi les moments plus brefs, où le plaisir était donné ou pris en quelques secondes. Une main ou une bouche qui vont et viennent sur une queue, quelques secondes, le sperme et le plaisir qui jaillissent. Deux doigts qui s'agitent dans la gaine chaude d'un sexe féminin, arrosés par du jus qui coule le long des doigts sur l'avant-bras en passant par le poignet, un orgasme et une éjaculation féminine, ces même deux doigts qui écartent le tissu d'un string ou d'une culotte et viennent masturber des lèvres et un gland clitoridien dilaté jusqu'à l'orgasme...
Ca a été au bout de quelques mois que les rêves ont commencé à me visiter. C'était curieux, parce que, si tout humain rêve, moi comme les autres, je ne me souvenais pas de mes rêves au réveil. Et là, dans cette période, dans ce moment, les rêves restaient en moi, parfaitement nets. Je me souvenais du moindre détail. J'avais l'impression, à vrai dire, que ce n'étaient pas vraiment des rêves, mais plutôt quelque chose qui était bien réel, mais dans une autre dimension, dont je passais les portes dans la nuit pour en ressortir par la suite.
Il y a eu plusieurs rêves, qui se sont répétés, ad nauséam, jusqu'à passer à un autre. Le premier, le tout premier me voyait allongé sur un lit. C'était assez curieux car nous n'avions jamais rien fait sur un lit pour l'instant, il y avait bien une chambre d'amis, et puis leur chambre bien sûr, mais là c'était une sorte de tabou, je ne m'y serais jamais glissé même si elle m'y avait entrainé. Et pourtant dans ce rêve à fort contour de réalité, j'étais allongé sur un lit, et elle était installée sur moi, assise sur moi, et plus précisément sur mon sexe. Je ne me souviens plus si c'était moi qui la faisais bouger sur ma queue, ou si le mouvement était exercé par elle. Ce dont je me souviens, c'est que Joe a pénétré dans la pièce. Et curieusement, il n'y a eu aucune gêne, aucun malaise entre nous, de sa part, de celle de sa femme ou de la mienne. Elle a continué à bouger sur ma queue, et tout naturellement, il s'est approché de nous, s'est défait et a exhibé une queue en pleine érection, longue et épaisse. Elle s'est penchée sur lui, pour ainsi dire dissociée, et pendant qu'elle continuait à faire bouger sa vulve autour de ma queue, elle a fait aller et venir sa bouche sur celle de son mari. Elle a desserré l'étreinte de sa bouche autour de la queue pour procéder différemment, donner de petits coups de langue sur la queue gorgée de sang. Il s'est tendu et a commencé à cracher des jets de sperme. Posée sur moi, elle n'a plus bougé le temps qu'il crache sa semence, qui s'est matérialisée en une série de traits blancs et crémeux sur le visage de son épouse et dans ses cheveux. Il est reparti et même s'il n'a rien dit j'ai eu le sentiment qu'il pensait quelque chose comme :' Je vous laisse finir' ou quelque chose comme ça.
Le rêve suivant se passait dans le living. J'étais calé sur le divan, et elle était sur moi. Comme dans le rêve précédent d'ailleurs. Mais les choses se sont déroulées de manière radicalement différente. Il est arrivé, la bite à la main, en pleine érection, gorgé de sang, J'ai compris quelques secondes avant qu'il n'entre en action. Je me suis dit : 'Non, il ne va pas faire ça !' Mais si, il l'a fait. J'étais dans le sexe de son épouse, il ne restait qu'une solution. J'ai senti le corps de sa femme frémir, et le glissement du membre congestionné dans sa chair, la remplissant. Dans les minutes qui ont suivi, et avec un florilège de détails qui m'a impressionné, et laissé penser que c'était autre chose qu'un rêve, je me suis rendu compte que les muqueuses anales et vaginales étaient finalement très proches, et qu'elles n'étaient séparées que par une peau très fine, de telle sorte que je sentais parfaitement la queue de Joe aller et venir, et que c'était à peu de chose près comme si elle m'avait frotté. Et cette sensation qui aurait peut-être du me mettre mal à l'aise m'a au contraire extraordinairement excité, s'ajoutant à celle de sentir le sexe de Maude autour du mien, qui me caressait. C'était une double caresse et elle a sans doute été responsable de l'extraordinaire orgasme que j'ai eu, qui m'a fait revenir à la réalité et cracher un torrent de sperme.
Je me suis demandé quel sens donner à ces rêves.
Celui qui m'a le plus marqué, sans doute, c'est celui où j'étais calé sur un fauteuil, elle sur moi. Il arrivait et collait sa queue entre ses seins. Il la faisait aller et venir. Elle avait les seins resserrés, mais quand il faisait un mouvement vers le haut, le tiers supérieur de sa queue apparaissait, un gland dilaté qui au bout de quelques mouvements a craché une multitude de jets de sperme qui sont venus souiller son décolleté, son visage.
Il venait toujours dans les rêves, s'ajouter à nous, ce n'était jamais l'inverse.
Ca devait faire huit mois que je vivais cette relation torride, en parallèle à mon amitié à Joe quand tout s'est pour ainsi dire déreglé. Ou en tout cas est parti en vrille.
Il y a d'abord eu cet ordinateur portable qui était posé, ouvert sur la table du living. Etait-ce volontaire ? Ou un acte manqué ? Celui de Maude ou de Joe ? Elle était dans la salle de bains, je venais d'arriver. Il n'y avait pas de code pour rentrer, et un dossier était ouvert. Il était baptisé 'enregistrements'. Des dizaines de vidéos. J'ai cliqué sur l'une d'entre elles, et je suis tombé des nues. On y voyait Maude enlevant son caleçon, sous lequel elle ne portait rien, et venant me faire un lap dance qui s'était terminé par un sexe enfoncé en elle.
Il se trouvait que j'avais sur moi une clef USB qui contenait des photos de l'usine que je voulais donner à Joe. Je l'ai branchée sur un port USB et j'ai commencé à charger une copie du dossier. Il était volumineux, mais c'était une grosse clef, et j'ai effacé en même temps les photos. L'obstacle, c'était le temps, et le retour de Maude, mais elle m'avait crié :
--Installe-toi, je suis à la salle de bains, je me lave la chatte. Elle sera bien propre pour que tu mettes ta queue dedans.
Ca ne voulait pas forcément dire qu'elle se lavait la chatte, si ça se trouvait elle prenait simplement une douche, mais elle aimait la provocation permanente. Il restait deux pour cent de fichier à charger quand elle est sortie de la salle de bains, toute pimpante et fraiche, et entièrement nue, enveloppée dans un peignoir de bain.J'ai arraché la clef, téléchargement terminé, quand elle a pénétré dans le living.
--C'est l'ordinateur de Joe. Il l'a laissé là. Il est à une rencontre avec le directeur de cabinet du préfet pour savoir quoi faire de la friche industrielle qu'est devenue l'usine.
Elle s'est approchée de moi, a ouvert les pans de son peignoir. Sa chaleur et sa nudité sont venues me frapper en plein visage.
--Tu peux me faire ce que tu veux.
Même si j'avais été plus qu'intrigué par ce que je venais de découvrir, et qu'une évidence s'imposait, vu l'angle de prise de vues, il y avait des caméras ici, dans la pièce, mon envie a été la plus forte.
On a eu un bon moment, et j'ai complétement oublié les dossiers sur clef USB. C'est uniquement quand j'ai été de retour chez moi que j'y ai repensé.
Ca m'a fait un drôle d'effet de revoir tous ces moments, de sortir de mon regard, subjectif, pour basculer sur une autre vision d'en haut. Je n'étais plus dans l'action, dans le moment, mais spectateur. C'était une sorte de reboot, une manière de revoir les choses différemment qui était très excitante. Ce qui l'était moins, sans aucun doute, c'était de se demander qui filmait et pourquoi. Il y avait en tout cas une certitude : il y avait une caméra dans chaque pièce, sauf les toilettes. La salle de bains n'était pas épargnée. Il y avait deux options. Maude qui voulait garder des traces de ces moments intenses, si importants pour elle. Etait-ce elle qui avait installé les caméras ? Elles étaient en tout cas invisibles. Mais je savais qu'il y avait aujourd'hui des caméras minuscules, ultra-fines, que l'on pouvait caler n'importe où. J'envisageais aussi une autre hypothèse. Que je ne sois pas le premier partenaire de son épouse, et que Joe se délecte de la voir faire l'amour avec un autre homme. Sans qu'elle soit forcément au courant. Mais l'ordinateur ouvert, potentiellement accessible par elle me laissait envisager une autre possibilité : qu'ils soient complices l'un et l'autre. Elle savait qu'il y avait des caméras, elle prenait du plaisir à être filmé, il prenait du plaisir à voir les vidéos seul, mais aussi en sa compagnie, ça faisait monter en eux une excitation bien réelle, qui débouchait sur du sexe et du plaisir.
C'est tard dans la soirée qu'elle m'a appelé, en larmes et sanglotant. J'ai compris quelques bouts de phrase.
--Joe s'est donné la mort. Après la réunion, il est parti se caler dans un grand champ qu'il affectionnait à la sortie de la ville. Il avait un fusil de chasse. Je ne sais pas d'où il le sortait. On a pas d'arme à la maison. Il s'est fait sauter la tête. Il n'a pas laissé de mot. Pourquoi ?
Pourquoi ? Sans doute que tous les hommes qui avaient travaillé à la SON, et eux seuls, pouvaient le comprendre. Le sentiment d'avoir tout perdu, son travail, une seconde famille, une raison de vivre, mais aussi d'avoir été moqué, sali...
L'enterrement a eu lieu deux jours plus tard. Elle était devant, avec de la famille de Joe que je ne connaissais pas, totalement effondrée. On a défilé devant la famille. Elle m'a fait un sourire triste. J'avais envie, une envie totalement décalée dans ce contexte, de lui demander ce qu'il en était pour les caméras et les enregistrements.
C'est quelques jours plus tard que j'ai trouvé un mot, glissé dans une enveloppe dans ma boite aux lettres. Il n'y avait pas de timbre donc on l'avait déposée. Je l'ai imaginée se glissant jusque devant chez moi dans l'obscurité.
Je ne souhaite plus te voir. Je ne peux m'empêcher que notre relation est pour quelque chose dans la mort de Joe.
Je l'ai croisé souvent. La ville est petite. Elle m'a ignoré, et je n'ai pas cherché à lui adresser la parole.
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Histoire de JamesB

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