Jordan, amant exceptionnel .

Lucile est une femme sexuellement délaissée par son mari, car malgré lui, il est trop souvent absent pour des raisons professionnelles. Lorsque le désir monte dans son corps, elle a recours à la satisfaction digitale. Pendant sa masturbation, Lucile, très expressive, ne peut retenir ses cris de jouissance. Jordan, son fils à la chambre juste à côté de la sienne, il entend tout. Le bougre frémit, il sait que sa maman est en train de se donner du plaisir. Généralement le coquin l'accompagne en se branlant aussi. Depuis quelque temps, Jordan remarque que sa maman se masturbe de plus en plus fréquemment, cela l'émoustille si fort qu'il la regarde d'un autre œil, il se demande pourquoi ce changement soudain d'habitude.


Il est tard, il monte dans sa chambre, passe devant celle de sa maman, il sursaute, car un rai de lumière filtre sous la porte. Il pose son oreille contre la porte, il entend de petits gémissements qui ressemblent à des plaintes. Il fronce les sourcils, puis tourne doucement la poignée de la porte, entrouvre la porte et pas la tête. Il reste béat, sa maman nue sur le lit, se masturbe en visionnant un film sur son ordi. Lucile sursaute, elle devient rouge de honte et peine à dire :

-Mais, mais Jordan, tu ne peux pas frapper avant d'entrer ?

Il répond en ne quittant pas du regard le corps sublime de sa maman :

-J'ai entendu des plaintes, maman, je croyais que tu étais malade, je te demande pardon de mon intrusion soudaine ?

Mais au lieu de sortir, il s'avance vers le lit de sa maman et s'assoit sur le bord. Il regarde l'écran et dit en souriant avec une pointe d'ironie dans la voix :

-Ah, je comprends pourquoi ses gémissements, excuse mon intrusion dans ta vie sexuelle ?

Lucile, tente de cacher son intimité avec ses mains, elle réplique en béguant :

-Oui, oui, je me masturbe, car j'en ai besoin, faute de mari, je fais de mon mieux !

Jordan se penche sur elle et lui donne un gros baiser bruyant au creux de l'épaule et répond tendrement :

-Si je peux être utile maman, je suis là !

Elle prend appuie sur ses coudes, et malgré elle, elle est obligée de rire, elle répond :

-Mon chéri, tu es gentil, mais pour ses choses là, ce n'est pas d'un fils que j'ai besoin !

Jordan referme l'ordi, le pose sur la table de nuit puis, s'agenouille sur le lit près de sa maman. Elle le regarde avec des yeux tout ronds et lui dit :

-Retourne dans ta chambre mon chéri, tu vois bien que je suis nue, je suis deja assez perturbée que tu m'es vu me caresser, alors mon chéri, je te demande de sortir s'il te plait !

Il regarde sa maman, pose ses mains sur ses épaules et la plaque doucement sur le lit. Lucile reste coite, elle regarde avec insistance son fils puis lui redemande de sortir. Pour toutes réponses, il pose ses lèvres sur le haut d'un sein et lui donne de pleins de petits baisers très doux. Lucile frémit, jamais, elle ne s'attendait à ça. Elle lui prend la tête entre ses mains et tente de le repousser. Les deux se regardent un long moment, leurs yeux brillent. Jordan desserre, lentement, les mains de sa maman et pose sa bouche sur un de ses mamelons, il aspire brutalement. Sa maman se cabre, elle réagit vivement :

-Mais tu es fou Jordan, je suis ta maman, pas ta copine, je te demande pour la dernière fois de sortir de ma chambre !

Le bougre tète encore plus fort le mamelon, la maman désemparée dit :

-Non, non, mon chéri arrête !

Jordan délaisse le mamelon qui est devenu large et épais, il passe à l'autre pour lui faire subir le même sévice. La respiration de sa maman s'accélère, elle tente de repousser son fils avec ses mains tremblantes. À chaque fois qu'elle pousse sur les épaules de son fils, il suce encore plus violemment le bout. L'appel des sens est trop fort, ainsi que le manque de sexe. La maman sans trop réfléchir enlace les épaules de son fils et l'attire à elle. Jordan sait que maintenant la partie est gagnée, il relève la tête, et cherche les lèvres de sa maman. C'est en tremblant que Lucile succombe, le baiser gout de miel rend la maman fébrile. Enfin le baiser très fougueux prend fin. Lucile ne cesse de répéter :

-Tu es un monstre, Jordan profiter de la faiblesse de ta maman, oui, tu es un monstre mon chéri !

En souriant, il descend du lit et retire un à un, ses vêtements, les yeux de Lucile se posent sur la verge tendue de son fils, elle pousse un gros soupir en opinant négativement de la tête. Elle dit entre deux coups d'yeux sur le manche :

-Mon chéri, nous ne pouvons par faire cela, j'aime ton papa, je ne pourrai plus le regarder en face !

Jordan saisit la main de sa maman et la pose sur son manche de chair, machinalement, elle l'enserre avec ses doigts et le presse plusieurs fois. Il dit en souriant :

-Dis que tu ne là veux pas dans le ventre ma bite, allez dis-le, je retournerai dans ma chambre si c'est non !
Lucile regarde l'engin et répond :

-Ne me torture pas, tu me rends folle avec tes questions !

Il insiste alors :

-tu la veux oui ou non ?

Les yeux de Lucile s'emplissent de larmes, elle répond en haussant la voix entre deux sanglots :

-Oui, oui, je la veux, je ne suis pas digne d'être une maman, tu es un monstre, tu me rends folle !

Elle pleure à chaudes larmes, elle n'ose pas regarder son fils qui s'approche de lui aussi nue qu'elle, il remonte sur le lit et s'allonge sur elle, Lucile sent contre son bas-ventre la queue de son fils, que le bougre fait glisser sur sa fente. Elle ne cherche même plus à comprendre, elle l'enlace et l'embrasse sauvagement. Les langues s'agitent, se nouent l'une à l'autre pour rendre le baiser interminable. Les souffles des deux amants sont courts. La bouche affamée de Jordan parcourt le corps tremblant de sa maman. Elle soupire de plaisir à chaque baiser sur sa peau. Les lèvres se posent sur les grandes lèvres frémissantes, Jordan les aspire et les suce comme un bonbon. Sa maman geint fortement, sa chatte déborde de jus. La langue délaisse les grandes lèvres pour s'enrouler autour du clito qui est naturellement bien développé. Le fils amant le titille, le suce jusqu'à ce que sa maman jouisse. Les cris que pousse Lucile sont monstrueux, sa cyprine gicle avec force dans à bouche de son jeune amant, qui se régale du nectar.

Lentement, il se glisse entre les cuisses de sa maman et place sa queue sur la fente dégoulinante. Un petit coup de reins suffit pour lui enfoncer jusqu'aux couilles dans le ventre. Lucile se cabre et s'accroche à son fils. Elle s'agite pour être empalée totalement. La queue qui voyage dans les entrailles en feu, fait gémir la maman, qui ne cesse de répéter :

-Oui, oui, mon chéri défonce bien ta salope de maman, vas-y, vas-y !

Jordan pilonne sans relâche le temple maternel, sa maman se cambre pour jouir encore une fois, ses cris sont inhumains. La cadence augmente, la pression aussi. Jordan, le fils amant, se raidit et envoie dans le ventre de sa maman sa semence abondante. Il donne encore quelques coups de reins avant de retirer sa queue du vagin remplit de sperme. Il approche sa queue visqueuse de la bouche de sa maman, qui la saisit brutalement, et gobe rageusement le gland gluant. Elle suce et tète comme une vorace, d'une main, elle triture les couilles velues de son fils en geignant de plaisir. Elle s'acharne sur la queue, elle rattrape le temps perdu. Les succions qu'elle fait sont monstrueuses, Jordan se cabre et explose, il remplit la bouche de la maman suceuse. La coquine chaude comme un volcan en veut plus, elle enjambe son fils et s'empale sur la queue qui est toujours raide. Elle fait de son corps un ascenseur. Elle donne la cadence qu'elle souhaite, soudain, elle grogne, accélère le rythme, pousse un cri terrible et jouit comme une diablesse. Elle tombe sur le côté, épuisée, elle halète :

-Oh mon chéri, tu m'as rendu heureuse, merci, merci bien que je sache que c'est immoral, je ne regrette rien !

Jordan répond en souriant :

-Maintenant maman, tu serras ma salope mon vide couilles !

Elle répond en se blottissant contre lui :

-Oui, mon chéri, ta salope, ta grosse même, tu abuseras d'elle autant que tu le voudras !