Jouets sexuels 2

Aurégane attrape la pompe vaginale, la place sur la vulve de Valériane et se met à pomper. Rapidement la chatte devient gonflée, elle est affreuse à voir. Le clito est méconnaissable, il est aussi gros qu'une noix. La couleur violacée le rend encore plus monstrueux. Aurégane est satisfaite du résultat. Elle prend la lanière de cuir, la fait glisser sur la chatte de son amie plusieurs fois. Le contact du cuir sur son abricot martyrisé, fait frémir Valériane.
Elle se cabre en gémissant, lorsque Aurégane lui donne plusieurs coups de lanière sur le clito, elle ressent une brûlure terrible. Elle serre les dents, mais accepte les coups. La boule de chair, violacée et devenue rouge vif.

Aurégane jette la lanière, et place sa tête entre les cuisses ouvertes de Valériane. Elle lui aspire le clito avec force. Valériane se cambre le plus possible, bien que la succion soit douloureuse, la coquine couine de plaisir :

-Oui, oui, encore !

Elle jouit fortement en poussant des râles de bêtes blessées. Aurégane prend du plaisir à tester les jouets sur Valériane, qui n'attend que cela fébrilement. Elle lui caresse doucement la boule sensible pour la préparer à autre chose, mais ce qui se produit est tout le contraire. Valériane se cabre, saisit la main de son amie et, l'oblige à la masturber. Aurégane ne peut que satisfaire son amie insatiable, elle agite le clito douloureux énergiquement. Valériane est cambrée comme un pont, elle gémit, tout en se pinçant les mamelons. Aurégane cesse le branlage, place sur le clito et les mamelons les pinces prévues à cet effet. Elle les serre au maximum, Valériane rugit, elle est tendue comme un arc. Son amie, devenue experte dans la manipulation des objets, saisit un gode et l'enfonce profondément dans le ventre de Valériane. Sans lui laisser un temps de répit, elle lui taquine l'anus avec un plug imposant, avant de lui enfoncer dans le rectum.


Valériane, gémit, elle a la bouche grande ouverte, un filet de bave s'écoule à la commissure de ses lèvres. Aurégane devient comme hystérique, elle fait avec le gode un va-et-vient d'enfer. Valériane hurle de plaisir. Le bourreau des plaisirs, pose sur le clito enserré par la pince un vibro et l'appui fortement en activant la vibration au maximum. La soumise, volontaire, pousse des gémissements inhumains. Soudain, Aurégane retire le plug du cul de son amie et lui enfonce le vibro jusqu'à la garde. Pour Valériane c'est le bonheur total, elle se cabre pour jouir, elle maronne de mots inaudibles. Aurégane lui fouille les orifices, avec brutalité en regardant son amie, elle sourit, regarde l'œuf qui traine sur la table basse, s'en empare et remplace le gode par l'objet vibrant. Deux objets vibrant en même temps dans ses orifices, pour Valériane c'est le summum du plaisir. Elle s'agite, elle a des jouissances à répétition. L'œuf et le vibro sont aux maximums de leurs capacités de vibrations.

Aurégane serre encore plus fort les pinces, sur les parties sensibles de son amie, il semble qu'elle ne ressent pas la douleur, tellement elle gémit et s'agite. Elle est devenue une machine à jouir. Aurégane prend une ceinture, et se met à frapper férocement la chatte de son amie. Ses coups sont si violents que la pince du clito est arraché. Valériane hurle, elle dit entre deux coups de ceinture :

-Oh frappe aussi mes nichons ma chérie !


Aurégane découvre que son amie a des penchants masochistes. Mais pour lui faire plaisir, elle lui marque les seins avec le cuir de la ceinture. Valériane jouit encore sous les violences de sa meilleure amie. Le corps de la soumise est zébré de traces rouges. Aurégane jette l'objet frappant et se met à caresser les blessures que la surexcitée de Valériane a réclamées. Elle se met à lécher les blessures superficielles, pour en apaiser les brûlures. Après un bon moment de récupération, c'est Aurégane qui choisit les objets que Valériane va utiliser pour la faire jouir.


Mais avant, les deux femmes se caressent, s'embrassent. Les mains moites glissent sur les corps frémissants, les bouches parcourent chaque parcelle de peau, s'attardent sur les vulves suintantes, les deux femmes retiennent leurs jouissances le plus possible, mais l'excitation est telle qu'elles explosent en giclant comme des geysers. Les bouches se gavent de liquide suave, on peut entendre les hum de gourmandises.