Les enfants mènent le jeu.

Justine a des doutes sur sa fidélité de son mari Lucas, il change de jours en jours, il lui fait l'amour de moins en moins et encore vite bâclé. Elle décide d'en avoir le cœur net. C'est le début du week-end, il est 8 heures, les enfants, Sandrine, l'ainée, 21 ans et Jordan, 20 ans, encore étudiants, sont encore couchés. Son mari, encore en pyjama, lit son journal dans le salon.



Justine, après avoir pris sa douche et son petit déjeuner, annonce qu'elle va faire des courses et faire un coucou à sa copine Louise, et qu'elle ne sera pas là avant midi, donc, le déjeuner est retardé. Lucas acquiesce en souriant. Une fois Justine montée dans sa voiture, Lucas replie son journal et monte à l'étage. Il ouvre la porte de son fils, elle est vide, il se dirige vers celle de sa fille et l'ouvre brusquement. Il reste devant la porte en souriant. Les deux jeunots sont nus sur le lit, Sandrine est en train de faire une fellation à son frère. Le bougre grogne de plaisir, il tourne la tête vers son papa et dit :

-J'ai entendu la voiture de maman partir, donc tu peux venir bourrer ta petite princesse en toute tranquillité, elle est chaude comme de la braise !



Lucas s'avance, mais n'intervient pas immédiatement, il assiste au spectacle. Le pantalon de son pyjama se déforme, la bosse enfle de plus en plus. Il le retire, sa queue se dresse d'un coup, elle oscille sur son bas-ventre, c'est comme une provocation, il l'empoigne fermement et commence un branlage bien dosé. Jordan geint de bonheur, il caresse la chevelure de sa sœur en disant entre deux gémissements :

-Oh putain, ce qu'elle suce bien notre salope papa, elle est divine, oh ça vient, ça vient !



Sandrine augmente la puissance des succions sur le gland, son frère, pousse un long râle et lui remplit la bouche de son sperme. La giclée est si puissante, qu'un filet de sperme s'écoule à la commissure de ses lèvres. Sandrine avale la décharge, s'essuie d'un revers rapide de la main et sourit en regardant son papa. Lucas lui dit en ne cachant pas son bonheur :

-Tu es la reine des suceuses de bites ma chérie, suce papa maintenant !


C'est en souriant que Sandrine répond :

-Viens mon petit papa, je vais bien te vider les couilles, tu seras fière de moi !



Lucas monte sur le lit et s'allonge sur le dos, Sandrine à genoux, se penche sur son bas-ventre et saisit le manche bondé. Elle le branle un instant puis, le décalotte à fond, elle donne quelques coups de langue bien ajustés, sur le champignon large est épais qu'elle connait bien. Son papa tressaute à chaque coup de langue sur son gland.
Rapidement, il ronronne comme un chat, en enfonçant ses doigts dans la longue chevelure de sa fille. Sandrine, bien qu'encore jeune, suce comme une professionnelle du sexe. Les aspirations et les coups de langue synchronisées avec un doux branlage font défaillir le papa amant. Jordan, caresse la croupe de sa sœur, sans quitter des yeux le couple. Ses doigts voyagent dans la raie, montent et descendent dans le large sillon, en taquinant l'anneau ridé.


Sandrine, tout en s'acharnant sur le gland paternel, commence à agiter sa croupe en geignant doucement, sur ses cuisses s'écoule un filet de cyprine que la coquine ne peut retenir. Soudain, Lucas tire sur les cheveux de sa fille, et lui enfonce sa bite au fond de la gorge. Il donne quelques coups de reins violents, et envoie plusieurs jets de sperme dans la gorge de sa fille, qui manque d'étouffer. Elle se redresse vivement, ses yeux sont larmoyants, elle doit faire un effort pour avaler la totalité de la semence. Lucas enlace sa fille et l'embrasse fougueusement comme pour la remercier. Une fois que les langues se sont dénouées, Lucas bascule sa fille sur le lit et s'assoit à côté d'elle, il laisse l'initiative à son fils.



Jordan ouvre les jambes de sa sœur, il regarde la chatte qui ne cesse de suinter, approche son visage du puits d'amour et hume fortement les effluves qui s'en échappent. Il ne peut s'empêcher de donner quelques coups de langue sur la fente, puis pose sa bouche dessus. Il aspire le jus qui s'écoule, puis enfonce lentement sa langue dans le vagin détrempé. Sandrine se cambre en poussant un grognement de fauve. La langue habile de son frère lui fouille le vagin en n'omettant aucun recoins. Un bruit de clapotis se fait entendre à chaque mouvement de la langue dans le conduit noyé. Le papa assiste en souriant au spectacle que donnent les jeunes amants. Le bougre ne cesse de se caresser le membre encore enduit de résidus visqueux.

Sandrine se cabre, son frère vorace vient de lui aspirer le clito, le coquin le suce, le mordille à en faire gémir sa sœur de plaisir. Elle agite son bassin, marmonnant :


-Oui, oui, c'est si bon, Jordan mon chéri, encore, encore, je vais jouir !



Jordan intensifie l'excitation du clito, il suce la boule de chair comme si c'était un bonbon. Sandrine gémit et couine comme un animal en rut. Elle se tend comme un arc et explose de jouissance. Son corps s'agite, Sandrine ne peut contrôler les frissons qui le parcourent. Jordan se redresse souriant, le coquin a joui sur le lit tellement il était excité. Son papa secoue la tête négativement en souriant. Jordan laisse la place à son papa qui bande comme un taureau. Il se place entre les cuisses de sa princesse, et petit à petit, lui enfonce son membre dans le ventre. Il s'accroche à elle, pour pouvoir la pilonner le plus profondément possible. Sandrine adore les profondes pénétrations.


Elle s'agrippe à son papa en soufflant fortement. Le pilonnage commence, les gémissements des deux amants se mêlent, les deux donnent des coups de reins puissants. Jordan est à chaque fois émerveillé par l'ardeur que mettent les deux amants pour rechercher le plaisir. Sandrine geint, sa respiration s'accélère, elle gémit en s'accrochant à son papa :

-Oui, oui, papa chéri, encore plus fort, oui, plus fort !


Jordan, comme pour la faire taire, lui offre sa queue à sucer, sans rechigner, Sandrine gobe le gland et le suce voracement. Jordan pousse des couinements en s'agrippant à la chevelure de sa sœur.
La cadence augmente, en suivant le rythme des gémissements de plus en plus rauques de Sandrine. Soudain, c'est la stupéfaction, Justine est devant la porte qui était restée ouverte. Elle applaudit en serrant les dents, elle tremble de tous ses membres, en défaillant. Elle regarde ses enfants nus sur le lit ainsi que son mari, en train d'ébattre farouchement. Sandrine recrache le gland de son frère, Lucas, lui reste planté dans le ventre de sa fille, il ne fait plus un mouvement tellement il est tétanisé.


Justine ouvre enfin la bouche, ses yeux sont pleins de larmes, elle dit en rageant :

-j'en étais sûr que tu me trompais salaud, mais je ne m'attendais pas, que ce soit avec nos propres enfants, vous, complices incestueux, honte à vous !

Lucas tente de donner une explication, mais sa femme lui cloue le bec en disant :

-Je ne veux rien entendre de toi salaud, je vais écouter Jordan, aller explique-moi comment cela est arrivé !



Jordan prend la main de sa maman et la contraint de s'assoir sur le bord du lit à côté de lui. Il l'enlace en la serrant très fort et commence à s'expliquer :


-Le soir, nous t'entendions gémir pendant tes ébats avec papa, tu hurlais de jouissance comme une dingue. Comme Sandrine entendait de chambre tout comme moi. Un jour, nous avions parlé de vos relations sexuelles, nous, nous sommes dits que papa devait être un bon coup pour te faire crier comme ça. Sandrine et moi, nous nous sommes chauffés et bien sûr, baisés ensemble. Depuis, à chaque occasion, nous recommencions, elle baise divinement ma salope de sœur.
Maman, papa au début n'a été qu'une victime, nous lui avons tendu un piège, un jour que tu étais chez ta copine. Pour l'exciter, nous nous sommes caressés devant lui, en allant toujours plus loin. Il regardait nos corps nus. En bégayant, il tentait de nous faire entendre raison. Mais nous voulions l'entrainer dans notre folie. Sandrine, c'est frottait à lui comme une chienne en rut, il bandait tellement qu'il a succombé !


Jordan donne tous les détails jusqu'aux plus croustillants, Justine reste sans voix, elle boit ses paroles, sans le quitter des yeux. Il ajoute en donnant plusieurs baisers sur le visage de sa maman :

-Cela fait maintenant trois mois que nous baisons ensemble, voila, tu sais tout, maman !

Justine reste béate, elle ne sait si elle doit rugir ou non. Ses yeux se posent, le couple toujours emboité. Elle secoue la tête et dit :

- Elle baise bien Sandrine au moins, si c'est pour prendre pire que moi, alors non mon salaud !


Lucas, très surpris, fronce les sourcils et en béguant répond :

-Hum, oui, oui, c'est un bon coup ma petite princesse Sandrine