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Jouissance dans un bar

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Lue : 3378 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/01/2020

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J’aime me retrouver dans ce bar proche de mon bureau, chaque midi durant la pause, je viens grignoter et boire un coup. J’ai mes habitudes, je m’installe sur un tabouret, au bout du comptoir dans l’arrondi près du mur pour être un peu isolé de la salle. A cette heure de pointe le bar est bondé, ça parle, ça crie, ça mange ça fume, ça joue ; dans la salle enfumée les garçons, le patron s’affairent pour servir les clients pressés, moi j’ai tout mon temps et j’aime observer les gens, le spectacle en vaut la peine, ce vacarme, paradoxalement, me repose l’esprit.

Aujourd’hui ma place est prise par une grande et jeune femme qui debout sirote ce qui me semble être un Kir, je m’installe sur mon tabouret à ses côtés, à sa droite, les pieds en appuis sur les reposoirs, mes genoux légèrement écartés. Nous sommes un peu serrés mais j’ai l’habitude, en attendant ma bière, j’observe ma voisine à la dérobée et il me semble qu’elle fait de même.
Elle a de l’allure, c’est la première fois que je la vois, ce doit être une girl du cabaret voisin qui vient prendre un verre avant le spectacle, enfin, c’est une spéculation de ma part, car d’une danseuse elle en a la silhouette, les formes, sa jupe courte mais ample laisse voir impudiquement le début de ses cuisses gainées de bas résille. Placé proche comme je suis je sens son parfum, épicé comme j’aime.

Nous n’avons pas échangé une parole quand, par inadvertance sans doute, mon genou gauche est frôlé par la hanche droite de ma voisine, je sens comme une chaleur qui s’installe durablement sans se dérober, une légère pression dû sans doute à l’exiguïté de ce bout de comptoir.

Au bout d’un moment j’en viens à me demande si cette douce chaleur persistante est fortuite et s’il n’y aurait pas de la part de ma voisine une intention de lier une sorte d’échange entre nous deux. Elle est belle bien foutue, je ne suis pas trop mal non plus, qu’aurait-il d’étonnant cela.

Je commence à me faire un cinéma d’autant qu’insensiblement je sens la belle pivoter légèrement vers moi et c’est maintenant ses cuisses qui chevauchent la rondeur de mon genou pointé vers elles. Seuls, le bas de sa jupette et l’étoffe de mon pantalon nous séparent.

Cela ne fait plus de doute dans mon esprit, dans l’anonymat de notre recoin, cachés de presque tous elle s’excite sur moi, cuisses ouvertes par de légères reptations de son bassin de plus en plus tourné vers moi. J’observe son visage qui ne laisse rien paraître, elle me regarde et elle comprend mon assentiment et la complicité qui nous étreint tous les deux, elle a un beau visage et des yeux à damner un saint, saint que je ne suis pas, vous le savez !

Je suis excité au possible, prêt si je me trompe à déclencher un esclandre, je tends mon bras droit en le croisant et je pose ma main ouverte, à plat sur mon genou gauche, les doigts tendus vers le ventre qui s’offre. Les reptations du bassin de ma voisine deviennent circonvolutions de plus en plus amples, enfonçant plus encore ma main entre ses cuisses grandes ouvertes sous sa jupe qui les masque.

Cela devient une évidence quand ce dernier obstacle s’efface par devant relevé légèrement à deux mains par ma belle inconnue : juste ce qu’il faut pour que le tissu de la jupette vienne chapoter et masquer l’objet de son plaisir, la rondeur de mon genou et mes doigts tendus dans son intimité. Je fais de timides avancées, le bout de mes doigts sur la chair nue de ses cuisses, sur le bas de son ventre masqué d’une culotte soyeuse. Je suis pétrifié quand je sens sa chatte aller et venir sur moi, sur eux et pour la première fois j’empaume son sexe à pleine main.

Je me contente de cette caresse que je fais durer et cela a l’air de plaire car plus que le mouvement de mes doigts c’est la chatte de ma belle qui se frotte sur eux, c’est elle qui s’excite à son gré, imperceptiblement, des petits va et viens ponctués de brusques avancées et de serrements de ses cuisses, comme des prémices de pénétrations.

Je fais aller mes doigts pour reconnaître les lieux en aveugle, je pince les grandes lèvres de son sexe que je sens sous la mince bande de tissus qui les masque, cela déchaîne ma belle et cela m’encourage, je fais aller ma main, les plus longs de mes doigts s’enfoncent entre ses cuisses nues par dessous jusqu’à l’orée de ses fesses serrées avant de revenir sur le fruit charnu de son sexe, là où mes caresses semblent la rendre folle ?

Oui elle est comme folle quand j’écarte sa culotte et que mes doigts folâtrent sur son sexe nu, ma belle s’est immobilisée et me laisse faire, je lis sur son visage des petites crispations quand le plaisir qui nait devient presque insupportable.

De nouveau j’ai remis ma main à plat sur mon genou, je suis mieux pour faire aller mes doigts sous sa culotte écartée sur le côté, coincée dans le sillon le long de sa cuisse, je les fais aller et venir dans la faille de sa vulve, mon pouce sur son clitoris, je serre ses grandes lèvres, les fait glisser l’une sur l’autre, c’est facile tant elles sont lubrifiées de son plaisir.

Nous n’en pouvons plus tous les deux et pourtant le meilleur serait à venir si j’osais. La belle me facilite la tâche en se pressant sur moi, en avançant son ventre, pressant son sexe pour s’exciter sur la rondeur de mon genou armé de mes doigts inquisiteurs, et cela arrive, mon majeur est en place juste devant son vagin et je l’enlise, juste un peu d’abord pour voir la réaction de mon amante. Elle est positive si j’en juge par les mouvements erratiques de son entre cuisses, elle s’empale sur moi, se branle, une grande houle anime son ventre, ses cuisses, sa chatte. Par moment mon majeur est complètement enfourné en elle et je le fais vibrer mais quand je l’agite en le faisant aller et venir à l’entrée de son vagin le plaisir ne semble pas moins grand, au contraire.

Et cela dure, moi aussi j’ai du plaisir à en donner, mon doigt va et viens en elle, de toute sa longueur, lentement d’abord, de plus en plus vite par moment, elle se serre sur moi, avance son ventre à sa rencontre pour mieux le sentir, pour le garder au plus profond de sa chatte. Mon sexe est en pamoison, je le sens énorme, dressé dans mon boxer, j’ai envie de baiser et quand d’un coup je lis le premier orgasme sur le visage de ma partenaire, je deviens comme fou, prêt à toutes les perversions ; à prendre tous les risques. Elle a serré ses cuisses sur ma main pour mieux me sentir, pour garder mes doigts bien en place, un rictus tort ses lèvres, elle ferme les yeux et son râle de plaisir se perd dans le vacarme du bistro…………

Tout en continuant de caresser sa chatte je me suis mis debout, face à elle, qui complice m’aide à me relever, elle est adossée au mur et moi tout contre elle. Je tressaille quand je sens sa main sur moi sur mon pantalon à hauteur de mon sexe, je le sens s’ouvrir largement, il tient sur moi par l’opération du saint esprit mais tout mon attirail est à sa portée masqué encore par mon boxer.

C’est elle qui me caresse maintenant, elle doit sentir ma bandaison sous la soie de mon cache sexe qu’elle a détendu, ses deux mains prennent connaissance des lieux en caressant ma verge et mes testicules. Que c’est bon, elle sait y faire comme toutes celles qui aime ça et j’en profite à plein, juste le temps avant de sentir ses deux menottes écarter mon caleçon et le descendre rabattu sous mes bourses, mon service trois pièce à l’air, mon sexe dressé, pointé vers ses cuisses.

La sensation est tout autre maintenant, rien n’est plus jouissif que la caresse de ses deux mains qui vont et viennent sur mon sexe, longuement, glissent sous mes testicules, moi j’ai cessé de lui branler la chatte, mais je la ceinture de mes bras, sous sa jupe, mes mains passant par derrière sous ses fesses au ras de ses cuisses, les agrippent en passant sous sa culotte, une main sur chaque rotondité, elle a des fesses de reine comme je les aime, fermes , biens rondes, mes doigts se rejoignent dans le vallon profond qui sépare ces deux merveilles, proche de son anus. Tout en la caressant je l’attire vers moi

Nous sommes presque collés l’un à l’autre, elle se caresse le ventre avec mon sexe, elle fait jouer mon prépuce sur mon gland, le décalotte avant de le recouvrir de son épais manteau protecteur. Elle a glissé ma verge entre sa culotte et une sorte de ceinture, ruban élastique qui la maintient à sa taille et elle la branle, ainsi prisonnière dans l’écrin soyeux et souple de ses fanfreluches et cela me ferait jouir si je me laissais aller.

Quand j’abaisse mes yeux je vois au travers de son décolleté qui ne cache rien de ses seins magnifiques, la gigue infernale de mon sexe branlé ainsi entre ces deux bandes de dentelle sombre et ce n’est pas moins jouissif.

Mais elle a baissé son string à mi cuisses et d’une main elle me guide, cela dépasse mon entendement, elle présente ma verge dressée et la glisse entre ses cuisses entrouvertes et elle m’attire vers elle et se branle sur ma hampe. Je ne la pénètre pas encore, j’attends. Mon sexe arqué vers le haut par la tension de mon désir laboure sa vulve sur toute sa longueur, mon gland va de son clitoris jusqu’à émerger de ses fesses par derrière, je peux le caresser quand il sort avant de disparaître.

Je suis ahuri, ce n’est pas possible quand, à un moment, je comprends que je la baise, elle s’est arrangée pour que mon gland la pénètre et le reste suit, la sensation est tout autre mon sexe va et viens de toute sa longueur dans le calice de son vagin lubrifié.

C’est chaud, c’est doux, c’est serré. Nos ventres complices vont et viennent l’un vers l’autre animés de mouvements antagonistes qui nous éloignent, mon sexe presque sorti au bord de ses lèvres, ou au contraire nous soudent intimement son ventre contre le mien écrasé sur mes testicules. J’essaie de ne pas trop bouger pour ne pas nous faire remarquer, c’est elle qui rythme la cadence et la profondeur des pénétrations.

Tout en baisant d’une main passée entre ses fesses je caresse son anus d’un doigt, il est couvert de sa mouille et cela la déchaine, son râle une fois encore est masqué par le bruit de la salle, elle est en plein orgasme elle est belle quand elle jouit à ce point avec cette intensité, son ventre est animé de soubresauts qui nous soudent nos ventres l’un contre l’autre.

D’un coup je me sens branlé, c’est sa menotte qui œuvre sur mon sexe sorti, elle me regarde elle attend que je jouisse moi aussi et quand elle devine sur mon visage qu’il est proche elle accélère son branlage, me serre le sexe davantage et quand j’éjacule entre ses doigts inondant son ventre et sa culotte un sourire nait sur ses lèvres, heureuse semble t-il de me rendre le plaisir que je lui ai donné.

Nous sommes heureux d’avoir pu, en ce lieu, jouir à ce point, sans échanger une parole, elle remonte sa culotte ajuste sa jupe, moi je ferme mon pantalon , c’est fini.
« Merci, j’en avais trop envie »
Me dit-elle simplement avant de finir son verre et de s’éloigner, je n’ai pas eu le temps de la remercier moi aussi, juste le temps de lui glisser ma carte de visite au cas où elle aurait envie de me revoir.
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Histoire de Pierre le Grand

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