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Ça a commencé au ciné 1

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Lue : 4717 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 08/03/2020

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Voici une histoire banale au départ, qui a commencée dans un cinéma de province. Il y a quelque temps, j'avais appris au hasard d'une discussion, qu'a plus de 100 km de la maison, dans un cinéma, il y avait un type que je nommerais Luc, qui ne se gênait pas d'avoir la main baladeuse.

Chose fréquente à Paris à une époque, au siècle dernier et qui hélas tend à se perdre. heureusement que cela a commencé avant l'affaire de l'horrible Weinstein, car de femmes abusées nous sommes devenues pestiférées, plus aucun inconnu n'ose nous adresser la parole, nous côtoyer, nous complimenter, nous draguer, de peur d'aller en prison pour harcèlement ou viol, il n'y a pas de juste milieu, on est passé de la soif à la noyade.

Apprenant l'existence de ce peloteur, comme celles présentes autour, j'avais dit, "ho mais c'est horrible, quelle horreur, je ne suis pas prête d'aller voir un film là-bas", phrase bourrée d'hypocrisie qu'on se doit de donner aux bien-pensants, sous peine de devenir infréquentable, même par ceux ou celles là même qui pensent comme nous.

Me méfiant des ragots, mais ayant appris cela de deux sources différentes, je doutais moins de la véracité des racontars, quelques mois passèrent sans que j'y repense, puis un vendredi soir, ou je devais sortir avec un collègue, nous ne trouvons aucun film qui nous intéresse, chacun à l'autre bout du sans fil, on agrandit notre périmètre de recherche, et je tombe sur le nom d'une ville qui me rappelle ce qui c'était dit.

Je ne sors jamais seule, et ce collègue était content de ma compagnie soft et se foutait du film qu'on irait voir, je ne connais rien du film qu'il présente, mais je lui justifie qu'ON m'en a dit du bien, "ON" est un con bien pratique parfois, je n'aime pas les mêmes films que mon mari et il n'aime pas les miens, alors je sors avec un copain, copine ou collègue, on ne sait jamais sur qui on peut tomber, même si ce collègue, n'a pas la carrure d'un garde du corps.

Mon mari n'est pas non plus l'accompagnant idéal pour encourager un éventuel coquin, ce collègue, au petit gabarit, est moins effrayant pour celui qui risque déjà une gifle et un scandale, ne l'oublions pas.

Une gifle, on s'en remet, mais si le mari peu conciliant s'en mêle, et que le coquin qui somme toute, ne nous veut que du bien, finisse en petit morceau, ça refroidit, alors qu'avec le collègue, après la gifle que j'aurais mise a l'inconnu, il risque juste l'engueulade du collègue, l'inconnu s'en va et on en parle plus, je salue au passage ces peloteurs qui prennent des risques pour nous donner du plaisir, surtout de nos jours.

Contrairement à celles qui parlent de ce qu'elles ne connaissent pas ou qui ont eu la malchance de tomber sur un malade, mes nombreuses expériences sur le sujet, m'ont fait croiser des types qui savent s'en aller lorsqu'on leur à dit un vrai "non" et insister, si nous faisons un non timide, qui signifie qu'on ne se laisse pas faire dès la première minute, mais aux suivantes.

Un peu comme le "je ne couche pas le premier soir", hypocrisie quand tu nous tiens, comme si le deuxième soir nous donnait l'absolution. En ce qui me concerne aussi, il faut dire que j'aime être un peu forcée, je suis une femme qui ne se donne pas, mais qu'il faut prendre, par la ruse et non la force.

Mes expériences parisiennes datent d'avant 2000 et en 15 ans, beaucoup de choses ont changées, ce cinéma ne passait pas de film récent. au départ, je n'allais à ce ciné, que pour voir, me rendre compte, et rien d'autre, mais en coquine expérimentée, j'ai quand même mise une jupe courte plissée, des bas à élastiques, couleur chair claire (pour être visible dans la pénombre) ainsi qu'un pull ample ou une main peut se faufiler dessous sans être bloquée.

En entrant dans la salle, comme je suis devant, je me mets sur la droite et passe la première sur la dernière rangée. Je m'installe à peu près au centre de cette rangée, le film est en train de commencer, mon manteau est sur le siège à ma droite, ma jupe un peu remontée mi-cuisse pour attirer l'éventuel vicieux.

J'avoue que c'est dur de me suivre, je viens juste pour voir, mais je fais tout pour que ça arrive, ça fait 5 bonnes minutes que le film est commencé, qu'un type (Luc) arrive, approximativement 1.65 m, 70 kg, la soixantaine, je le regarde furtivement, il se met à coté du siège ou est mon manteau, je suis plus à le surveiller en coin que de suivre le film, je ne suis pas novice, je suis à peu prés certaine que Luc a surveillé ceux qui sont rentrés.

La salle n'est peut-être remplie qu'a 25 % et tous sont ou seuls ou par groupes et disséminés, alors un type qui se met là alors qu'ailleurs, il y a plein de place, je me dis que ça mord. Quelques minutes passent encore et comme je m'y attendais Luc veut s'asseoir sur le siège à côté et mon manteau gène, je le retire machinalement et le mets sur mes genoux.

Une poignée de minutes passent, Luc fait légèrement contact avec son genou, j'adore ce moment ou le jeu commence, étant avec un collègue, je ne cherche pas l'orgasme, mais un petit frissonnement, pourquoi pas, Luc essaie de savoir si je suis celle qu'il croit et moi je fais l'équilibre, entre celle qui dit non pas tout de suite, tout en essayant de pas le décourager pour qu'il cesse, car j'avoue, qu'un contact de genou, ce n'est pas déplaisant.

Je pousse légèrement ma jambe, il insiste encore en faisant un contact un peu plus appuyé, je me pousse à nouveau, il me touche le genou en insistant plus encore, je fais celle qui ne peut plus se pousser davantage sous peine de dévoiler à celui qu'il pense être mon conjoint ou amant, qu'il se passe quelque chose.

Je force sur ma jambe, pour ramener la sienne à sa place, sans trop de peine et nos jambes restées collées en étant à notre place, je lui fait comprendre que ce contact, je le lui laisse, mais ça sera tout, dans sa tête, il se dit que je ne veux pas faire de scandale, ou que celui qu'il croit mon compagnon découvre le manège.

A partir de là, il se retrouve en position de force, quel prix suis-je prête a payer pour qu'il n'y ait pas de scandale ou alors est-ce que je ne recherche pas la même chose que lui, une porte vient de s'ouvrir, encore une à passer se dit-il.

Sa main force cette porte qui est sous mon manteau, il me touche la cuisse, je frissonne, j'appuie fortement sur mon manteau pour qu'il n'aille pas plus loin, je fatigue d'appuyer et à chaque relâche de pression de ma main, il gagne du terrain, je tente réellement de l'arrêter, je n'ai pas envie que le collègue découvre cela, mais mon silence, mon comportement indiquant que je ne veux pas être découverte, il en profite.

Sa main arrive entre mes cuisses serrées, du coin de l'œil, je surveille le collègue, qu'elle honte s'il s'apercevait de quelque chose. J'appuie sur la main du type dessous mon manteau, il ne force pas, mais je sais que si je relâche ma pression, il va remonter sa main, Luc qui a ma cuisse droite dans sa main, me donne par moments des à-coups de pincement avec ses doigts.

Je reconnais que si je lui avais dit, en chuchotant, mais sur un ton désagréable, de changer de place par exemple, il aurait été plus convaincu de mon vrai "non", déjà, je n'aurais pas dû retirer ma veste du siège à coté, alors qu'il avait de quoi s'asseoir partout ailleurs.

Sa main sur ma cuisse et ses pincements, commence à m'être agréable, mais je sais que si je le laisse libre, sa main va remonter, non pas que je n'en ai pas envie physiquement, mais je ne suis pas tranquille de mon coté, avec le collègue, je crains qu'il découvre ce qui se passe, pour parer à cela, je me mets en position assise sur mon fauteuil et non adossée.

Ainsi je cache Luc de mon collègue, les pincements me rappellent à la réalité, la pression sur sa main dessous mon manteau faiblie, il en profite pour gagner quelques centimètres, que j'aimerais le laisser faire, en peloteur expérimenté, en même temps qu'il recommence ses pincements, il tire ma chair vers le bas, ce qui fait que je ressens le tiraillement plus haut, là ou c'est très sensible.

Ce qui devait arriver arrive, petit à petit ma pression faibli de plus en plus, mes cuisses s'ouvrent, je capitule, heureuse vaincue, honteuse aussi car dès qu'il a libre accès, sa main se dirige au minou qu'il découvre très humide, j'entends presque ce qu'il se dit dans sa tête, "la salope, elle n'attendait que ça", j'ai honte mais c'est bon la honte.

Je capitule sans conditions autres, que la discrétion vis à vis de ceux qui nous entourent, le vainqueur a tous les droits et il ne s'en prive pas, je suis appuyée sur l'accoudoir côté collègue et je me tiens presque droite sur le fauteuil, après avoir ouvert la porte de l’entrecuisse, il se fait un petit plaisir sous mon pull, plaisir partagé.


Il me tripote les seins, pince les tétons, les malaxe , les triture, cela au ralenti pour pas me secouer, après avoir appris par cœur, comment c'était sous mon pull, il revient à l’entrecuisse, ou là, c'est de moi-même que j'écarte au maximum. Que serais-je frustrée si à ce moment-là, il devenait gentleman, heureusement que non.

Sa main arrive directement à l'entrecuisse qui l'attend impatiemment, ses doigts me pénètrent, je serre les cuisses de plaisir trop fort, empêchant tout mouvement, je les rouvre ensuite pour qu'il continue, chaque mouvement involontaire, je l'accompagne par un mouvement voulu pour donner le change au collègue, qui doit trouver que j'ai des vers à ne pas rester en place, car je me gratte pour justifier un mouvement.

Quoi de plus excitant qu'un inconnu qui nous tripote dans un endroit où il ne devrait pas, le plaisir éphémère ressenti quand il a mis sa main sur ma cuisse, est aussi fort que celui que donne un mari ou amant lorsqu'il nous touche le sexe.

Alors forcément, après avoir titillé mon clito, quand il arrive à me pénétrer avec son majeur, les quelques mouvements qu'il me fait, me font jouir aussitôt, j'ai toutes les peines du monde à contenir mon orgasme, tout mon corps est en stand-by, hormis bien-sur l’entrecuisse qui est en ébullition, la main de cet inconnu ne peut que sentir mes spasmes.

Tel un combat ou il doit me mettre KO, il continue à entretenir ma jouissance en s'activant en cati mini pour rester discret, dés que j'ai eu le deuxième orgasme, je le suis KO et pour remercier autant que pour que ça cesse, ma main va sur son sexe déjà sorti et en pleine érection qu'il me laisse aussitôt.

Engoncé et face au fauteuil de devant, il profite à son tour de ce que je lui fais, une branlette au ralenti, il a sa main sur ma cuisse qu'il caresse et quand je sens sa main qui me presse plus, j'essaie d'accélérer un petit peu la cadence, je le sens se relever un peu du fauteuil, sa main m'agrippe un peu plus et un liquide tiède me coule sur la main.

Je continue plus lentement, afin qu'il donne toute sa liqueur, il laisse faire jusqu'au bout, je n'arrête que quand je sens qu'il a fini, et qu'il sort son nécessaire de nettoyage, on sent là l'habitué, les racontars étaient vrais, j'ai bien fait de venir pour ce combat, ou il n'y a aucun vaincu, mais deux vainqueurs.

Il m'essuie la main et son pantalon en même temps, ainsi que son sexe, une fois "propre", il garde ma main en m'en chatouillant le creux de son doigt, nous sommes intimes, chacun remercie l'autre pour ce merveilleux moment, il restait une demi-heure du film, qu'il a passé à me caresser le sein ou la cuisse par alternance, je le laissais faire.

Quand le film se termine, il retire sa main et à la fatidique fin, je me lève pour indiquer au copain qu'on sort, la salle s'allume, je jette un coup d'œil souriant au type qui me sourit furtivement, il reste encore assis pour ne pas être à côté de moi et faire le harceleur qui croit que c'est arrivé.

Dans le hall on s'attarde sur les affiches des prochains films qu'ils vont passer, l'inconnu sort, il se frotte le poignet de son autre main, et met son pouce en l'air, message que nous-seuls comprenons, puis il disparaît, je ne l'ai pas revu, peut-être me guettait-il dans une des voitures dehors, par précaution ou parano, une fois la ville quittée, j'ai regardé si on ne nous suivait pas, mais rien ni personne sur les petites routes de campagne.

à suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Ça a commencé au ciné 1

Le 17/03/2020 - 18:58 par vieuxmec
Bonjour Annie, Quel plaisir de vous lire. Le temps m'a paru très long.Une ou plusieurs suites me comblerait. A bientôt . Dominique
Le 14/03/2020 - 12:19 par annizette
Merci pierre, oui il y en a d'autres, et qui durent encore aujourd'hui, ceux cités ne sont pas très surfer sur internet, comme ils disent, allumer un ordi est déjà difficile, alors je ne risque rien. quand a vous avoir doublé, je ne tire aucune gloire de cela, je suis sur des site et lorsqu'on me demande quelle genre de femme je suis, je leur envoie un lien sur ce site. j'ai le 2 qui est en attente, mais je regrette de l'avoir mis, j'aurais du juste faire un résumé et passer au 3 directement, mais c'est fait, tant pis merci encore
Le 14/03/2020 - 10:58 par Pierre le Grand
J'ai beaucoup aimé cette dernière histoire qui en appelle d'autres que j'attends avec impatience. J'ai beaucoup d'admiration pour vous qui venez de me doubler au top dix et j'avoue avoir été excité au possible de ce pelotage vu du côté féminin, cela me rappelle des aventures symétriques vécues de mon côté. A se parler peut être Pierre

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