Juliette, nièce adorable.

Cela fait déjà une bonne partie des vacances, que Roger et sa femme Lucette, s'adonnent à des ébats sulfureux avec Leur nièce Juliette. La coquine ne rechigne devant rien, elle est prête à tout pour assouvir sa soif de sexe. Roger commence à faiblir les nombreuses étreintes l'ont épuisées. Lucette, pendant une étreinte avec sa nièce, lui suggère de pimenter leurs ébats en faisant participer d'autres personnes. Roger lui est ravi, cela lui permettra de souffler un peu.

Juliette saute de joie à cette idée, elle demande à sa tante comment faire pour appâter les proies. Lucette sourie et lui dit :

- viens avec moi à la plage, tu verras comme c'est simple !

Une fois sur place, Juliette et sa tante étendent une serviette sur le sable puis, elles s'allongent. Rapidement les hauts des maillots de bain sont retirés, les deux coquines exhibent leur poitrine en se tournant de gauche à droite en faisant croire qu'elles cherchent une position confortable. Très près d'eux, un homme d'un certain âge et un jeune homme, sûrement son fils. Ne quittent pas des yeux les deux femmes, Lucette passe doucement sa main sur le torse de sa nièce, elle lui caresse les seins, lui triture les mamelons tout en épiant le duo de voyeur.

Elle descend lentement sa main et la glisse dans le maillot de bain. D'où ils sont, les deux hommes voient très bien à travers le tissu, la main s'activer sur l'entrejambe de Juliette. Ils changent de positions, car les verges se tendent et commencent à être douloureuses. Les yeux des deux hommes brillent, le plus âgé passe sa langue sur ses lèvres, sa respiration augmente, sans demander son reste, il se lève et pose sa main sur la cuisse de Juliette, le jeune homme s'approche à son tour. Lucette le regarde en souriant, elle presse fortement la chatte de Juliette, qui se cabre en serrant les dents. Elle dit :

-Doucement tante, tu m'arraches la chatte, regarde :

Pour exciter, les hommes, Elle baisse son maillot et montre la trace rosée qui marque ses grandes lèvres !

-Oh ma petite princesse, je t'ai fait mal !

Comme pour se faire pardonner, elle donne un gros baiser sur la chatte martyrisée.

Lucette regarde les deux hommes et dit en riant :

- Elle vous fait envie ma petite chérie hein !

C'est en cœur que les deux hommes répondent :

-Oh oui, toi aussi tu es magnifique !

Lucette ajoute en riant :

Nous sommes à la recherche de queues, si le voulez, nous sommes à vous !

Les deux hommes se regardent :

-C'est sérieux ! Dit le plus jeune.

Oh que oui, j'ai la chatte en feu : Répond Juliette.

Lucette, invite les hommes à les suivre. Ils n'ont que la plage à traverser pour arriver au mas. Roger est dans un transat, il sirote un punch. Il sourit à l'arrivée des quatre. Il dit avec ironie :

- Je constate que la pèche a été bonne mes chéries !

Les deux femmes s'enlacent, s'embrassent et se caressent rapidement, elles sont nues Les deux hommes imitent les femmes, ils retirent leurs maillots de bain puis, regardent avec intérêt les deux femmes s'étendre sur la pelouse. La bouche de Lucette s'active sur la chatte de sa nièce. Juliette grogne de plaisir, sa chatte est trempée Le vieux caresse les seins de Juliette, il lui presse les mamelons jusqu'à ce qu'elle gémisse. Le plus jeune se branle comme un dératé, sa queue est dure comme du béton, il se place derrière Lucette et lui plante sa queue dans la chatte. Lucette se cabre, elle délaisse la chatte en feu de sa nièce et subit avec délice le pilonnage brutal du jeune homme amant.

La levrette, c'est la position que Lucette préfère, le jeune ne la déçoit pas, il la fourre, comme un beau diable. Les assauts sont si violents que Lucette bascule, le jeune amant reste bien ancré en elle, il la besogne comme un chef. Juliette se fait étirer les mamelons par le vieux, sa queue est monstrueuse, elle est tordue comme un cep, son gland et affreux. Il cesse de tirer sur les tétons, il juge qu'ils ont atteint leur grosseur maximum.
Il offre aux lèvres charnues de Juliette son gland, la coquine se jette dessus comme une affamée, elle le suce et le tète avidement en grognant comme une bête. D'une main, elle lui triture les couilles, de l'autre elle maintient le gland bien décalotté. Sa langue, fait des merveilles sur le gland, l'homme grogne comme un fauve, il se cabre et remplit la gorge de la suceuse de son sperme épais. Juliette, très friande de la semence humaine, avale jusqu'à la dernière goutte. Le vieil homme, n'a pas dit son dernier mot, il prend place entre les cuisses accueillantes de Juliette et lui enfonce son membre noueux jusqu'aux couilles dans le ventre.

Le jeune homme, très résistant, a deja fait jouir trois fois Lucette, elle s'agite sur le pal qui lui défonce la chatte en poussant des :

-Oui, oui, encore, encore !

Juliette semble clouée, ses yeux sont exorbités, sa bouche et grande ouverte, la queue monstrueuse lui dilate la chatte comme jamais une queue ne la faite. Elle s'accroche à son amant en soufflant fortement. Le va-et-vient commence, Juliette serre les dents, elle a l'impression que sa chatte va s'ouvrir en deux. Les coups de reins du vieil amant sont redoutables, au fur et à mesure du pilonnage, la douleur s'estampe maintenant, elle prend du plaisir. Elle agite son bassin, en donnant, elle aussi, de violents coups de reins. La coquine veut être empalée jusqu'à la garde. Les puissants assauts font cabrer la soumise qui gémit terriblement fort. Juliette est au bord de la syncope, son corps tremble affreusement fort.

Soudain elle se cambre, elle explose de jouissance en hurlant. Le vieux s'acharne sur sa proie sans relâche, soudain, il se bloque et envoie plusieurs giclées aux tréfonds des entrailles de Juliette qui jouit une seconde fois sous la douce chaleur de la semence. L(homme ne renonce pas, il retourne Juliette sur le ventre et frotte son gland gluant contre son anus, il s'accroche à elle et pousse fortement. Juliette pousse un hurlement, la queue monstrueuse lui distend la gaine anale, elle souffre le martyre, lentement la queue s'enfonce le plus lui possible dans son rectum. L'homme la démonte sans se soucier de ses cris, sa verge coulisse difficilement dans le canal étroit, mais le bougre s'acharne.

Les vas-et-viens sont terribles, Juliette croit mourir. Petit à petit elle commence à s'y faire au monstrueux engin qui lui démonte le cul. Lucette et le jeune ont cessé de baiser, ils regardent le vieil homme déglinguer Juliette avec force.

L'homme se raidit, se bloque et remplit les entrailles dilatées de son sperme visqueux. La pénétration est moins rude avec le lubrifiant que lui a envoyé l'enculeur. Il ne cesse pas de lui ramoner le cul, Juliette grogne, elle se contorsionne sous les assauts brutaux, contre toute attente, elle se cambre fortement et jouit du cul comme jamais. Avant de se retirer, l'homme donne encore quelques coups de reins. Enfin, il libère Juliette, de son trou béant s'échappe le surplus de semence. Juliette reste étendue sur le ventre, sa respiration est rapide, son souffle est court. Elle dit faiblement :

- Oh putain ce qu'il m'a mit le salaud, j'ai joui comme une malade, mais alors j'ai le cul en marmelade !