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Mariée, je suis devenu infidèle le temps d’une soirée.

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Lue : 20 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/04/2022

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J’ai perdu la tête lors d’une soirée, j’ai complètement oublié ma condition de femme
mariée, mes obligations et je me suis comporté comme une vrai salope. J’avais trop bu, c’est vrai, mais ça n’excuse pas tout. J’étais consente. Je savais ce que je faisais, et suis allé trop loin.
Tout d’abord, je m’appelle Sylvie, vingt huit ans, mariée à Fred, un militaire taciturne, autoritaire, qui ne pense qu’à son unité. D’après ses amis, je suis plutôt belle, mais je me méfie de se genre de compliment, venus d’homme qui aimerai avoir une aventure d’une nuit. Très peu pour moi, au demeurant extrêmement fidèle, et ne comprends pas que certaines femmes mariées aillent baiser ailleurs, même si la queue en vaut le coup.
Maintenant, je peu comprendre qu’une femme délaissée, en manque de sexe, puisse commettre l’adultère, et cherche à se le faire mettre par un amant de rencontre.
Mais…je suis en train de parler de mon cas, là. Quelle conne.
Depuis pas mal de temps, nous avons fixé, mon époux et moi, la date de la pendaison de la crémaillère. Tout est calé. Les invitations, les boissons, les grillades.
Pour nous aider, on a fait appel à Marc et Lucas, deux potes de longues dates, qui ont beaucoup participé au travaux, notamment ceux de la piscine.
Le week-end fatidique arrive, et avoue être stressée, d’autant que la veille, mon mari reçoit un pli urgent. En effet, ce jour là, Fred fut appelé dans son corps d’armée, pour une mission urgente. Il appris sa mission eu dernier moment.
Ce soir là, nous avions prévu de pendre la crémaillère. Une vingtaine d’amis était conviés, sept couples, plus Marc et Lucas, évidemment..
Beaucoup d’invités venaient d’assez loin, c’est pourquoi mon mari avait insisté pour maintenir cette soirée, malgré son absence. Bien sûr, les invités déploraient l’absence de Fred, mon mari, sauf peut-être Marc et Lucas, qui trouvaient mon époux autoritaire, et qui avaient fait beaucoup de choses, par rapport à moi. De plus, ils ont tous les deux flashés sur moi, mais ont toujours gardés leurs distances, m’ont toujours respectées.
L’absence de mon mari n’a pas plombé l’ambiance, bien au contraire.
Par cette belle et chaude journée, nous avons plongés dans l’eau, joués au volley, ou à
« Attrapes-moi, si tu peux ». Je suis très bonne nageuse, et il est difficile de m’attraper. Par contre, certaines se faisaient volontairement rattraper, se laissaient caresser les seins, se faisaient mettre un doigt dans la chatte, et pas obligatoirement par leur mari. J’en ai même surpris une, dans un angle de la piscine, tenir un copain par la queue, et avoir plonger sous l’eau pour le sucer. Et là encore, ça n’était pas son mari.
Après cet intermède aquatique, les femmes allaient dans le patio, les seins nus, rinçaient leur maillot, aguichant les mâles qui leur rodaient autour. Quant à moi, j’utilisais ma salle de bains, pour me changer. Je mis un maillot deux pièces, et enfilais une tunique de bains transparente. Je remarque les regards tournés vers moi, pourtant, je ne trouve rien de provoquant dans cette tenue.
Devant mon air surpris, ils continuent leur discussion.
Lucas et Marc sont des aides précieuses. Un s’occupant du barbecue, l’autre de l’apéro.
En parlant d’apéro, il faut que je fasse attention, car quand mon militaire de mari n’est pas là pour me surveiller, j’ai du mal à me contrôler.
Lucas interrompt le silence, en annonçant que l’apéritif est servi.
Pendant ce temps, Marc sort de la musique de son téléphone. Il ne pouvait trouver meilleure idée, moi qui suis folle de danse. Je me dirige sous patio, et commence à me déhancher au son du rythme disco, vite rejointe par le reste des invités. Puis vint une série de slows, sur lesquels Alain s’empresse de m’inviter, alors que Céline, sa femme, danse avec Romain.
Quant à Lucie, la femme de Romain, elle roucoule, serrée dans las bras de Didier.
Après ce moment de détente, nous regagnons la table, ou à nouveau, Lucas a servi une tournée de Rosé. J’en suis au troisième, et me dis qu’il faut que je lèves le pied. Puis Marc annonça que les grillades étaient prêtes.
Après le repas et quelques verres de plus, certains invités venus de loin, décident de rentrer. Seul Céline et Alain, Didier et Lucie préfèrent dormir sur place.
Après nous avoir aidés à débarrasser, ils montent se coucher.
Lucas, Marc et moi, nous posons sur la terrasse, finissant de nos derniers verres.
C’est à ce moment que Marc proposais d’aller prendre un dernier bain dans la piscine.
- Tout nu ? Demande Lucas.
- Ah...t’en dis quoi Sylvie.
- Pas pour moi, répondis-je, mais je suis pas contre faire trempette.
Au contact de l’eau, la fraîcheur fait durcir mes bourgeons, très agréablement.
Nous pataugeons dans l’eau encore, jouant comme des gosses. Ils essaient de me coincer dans un coin de la piscine, mais je parvient toujours à me dérober. Lassés, ils préfèrent abandonner. Nous discutons, se remémorant les moments passés à monter cette piscine. Encore une fois, je les en remercie.
- Ça mérite bien un petit remerciement sympa, dit Marc, m’embrasser par exemple.
- Je t’en ai fait des tonnes, des bisous, mais si tu y tiens.
Je m’approche, et lui donne un bisou sur la joue. Il me regarde, l’air surpris, voire déçu.
- C’est pour les gamins de dix ans ces baisers...je le voulais sur la bouche.
- Mais Marc...tu n’oserait pas...on est trop copain pour ça
Je comprenais mieux ce qu’il voulait dire, par baiser sympa.
- Et voila, sourit Lucas, t’as perdu ton pari. Tu me dois cent euros.
Les enfoirés. Ils avaient fait un pari, et j’en étais le prix. Les salauds. En même temps, cent euros le baiser, je prenais ça pour un compliment. Je les regardais en souriant. Soudain, d’une pulsion, je traversais le bassin, passais un bras autour du cou de Marc, et lui donnais un langoureux baiser.
Lucas n’en revenait pas, il venait finalement, de perdre son pari.
Je le regardais, lu sa tristesse, et me dirigeais vers lui, lui donnais le même baiser.
- Voilà, dis-je en souriant, vous avez gagné tous les deux...mais il faut être vicieux pour faire de tel pari sur vôtre copine...alors, c’est bon pour vous.
Ce n’est pas que je sois saoule, mais je sens que le vin commence à faire son effet. A tel point que je ne repousse pas Marc, quand il me prend par la taille. Il faudrait pas que les baisers, les aient excités. Toujours est-il que ses mains remontent sur mes seins.
Je repense soudain à ma vie sexuelle, qui se résume à pas grand-chose. Mon mari se contente de tirer son coup, puis, satisfait, « bonne nuit ». En fait, ma meilleure période sexuelle, furent les années lycée, ou en cachette, je me faisait baiser dans les toilettes, ou les vestiaires. C’est aux cours de ces années, que j’ai taillé ma première, et dernière pipe. Et la sodomie...connais pas..
C’est au moment ou je sortais de mes pensées, que je me dis qu’il me fallait réagir. Ce que je fis, mais dans le sens que je souhaitais. Marc ôta le haut de mon maillot, prit mes seins à pleine main, faisait rouler les bouts entre ses doigts. Puis Lucas vient se coller contre mon ventre. Je pus mesurer la dureté de sa queue, en même temps que je devinais leurs intentions. Je suis tellement sevré, que je les laissais faire. Pendant que Marc dénouait le haut de mon maillot, Lucas s’occupait de baisser le bas. Leurs maillots suivirent le même chemin. Nous étions tous les trois, entièrement nus dans la piscine. Dieu merci, l’éclairage était faible, probablement réglé par mon mari.
Lucas se colle d’avantage. Je sentais se queue dressée contre mon ventre. Elle était ma foi, d’un calibre respectable, tout comme celle de Marc, que je sentais se faufiler entre mes fesse, au point que je pouvais sentir son gland contre ma chatte. Soudain, je fis un geste qui les surpris tous les deux. Je coulais sous l’eau, prenais la bite de Lucas en bouche, pendant que Marc me prenait par les hanches, et pénétrait ma chatte.
Mais qu’elle sensation de pouvoir tailler une pipe, après tant d’année, sentir une queue vibrer à nouveau dans sa bouche. Que de temps perdu, que je décidais de rattraper.
Soudain, je sentis Lucas se tendre, annonciateur d’un éjaculation qui se dessinait. J’y croyais pas, j’allais avaler du sperme, et les jets giclent puissamment dans ma bouche, comme ceux de Marc dans ma chatte. Je ne sais pas pourquoi, je me disais que la nuit allait être torride. Illico, je leur proposais d’aller dans ma chambre.
En me dirigeant vers les escaliers, je vois, sur le canapé, Lucie blottit dans les bras de Didier. Ce qui laisse supposer que Céline est couchée avec Romain.
Une relation échangiste serait-elle en train de se mettre en place, sous mon toit ?
Arrivé dans la chambre, nous nous jetons sur le lit, moi prise en sandwich entre mes deux potes. L’alcool s’étant dissipé, c’est en toute conscience et lucide, que j’abordais cette nuit. Le pire, c’est que je suis en train de me trioliser, et j’adore.
Pendant que la langue de Lucas se mélange à la mienne, Marc est entré en action. Il m’embrasse, me caresse les seins, le ventre, descend. Il me caresse, tout en léchant ma chatte, titille mon clitoris. L’effet est immédiat, je commence à gémir, et à réagir à chacune de ses caresses, au point d’atteindre l’orgasme. Pendant ce débat, j’avais la queue de Lucas en bouche, passais goulûment ma langue sur son gland décalotté. Pour le seconde fois, il déchargeais son sperme dans ma bouche. Il ne me manque plus qu’à goûter celui de Marc. Cela se fait dans un soixante neuf, tandis que Lucas se place derrière moi, et me prend en levrette. C’est la chaleur. La langue de Marc fait un travail dévastateur sur mon petit bouton, je sens ses lèvres qui l’aspire, le mordille. Je prend sur moi, pour ne pas jouir. La vibration de la bite de Lucas dans ma chatte, annonce qu’il ne va pas tarder à jouir. Il se place devant moi, relève mon visage, et enfonce sa queue dans ma bouche, s’y branle. Je prends la bite de Marc, et l’accouple avec celle de Lucas. Un tsunami déferle dans ma bouche, quand ils se vident simultanément les couilles. J’ai du mal à tout absorber, mes parvient à tour avaler.
Une pause s’impose. Nous retournons tous les trois dans la piscine pour nous rafraîchir, et reprendre nos jeux pervers. Afin de faire remonter la température nous exagérons nos lancers de balles afin de sortir à tour de rôle de la piscine et laissons croire à un certain agacement en menaçant de gage le prochain qui fera un mauvais lancer ou une mauvaise réception de la balle. Vicieuse, il m’arrive parfois de m’accrocher à un endroit précis de leur anatomie, pour me maintenir à flot. Leur vengeance est terrible.
Marc me soulève, m’empale sur sa bite en érection, tandis que celle de Lucas se dirige vers un endroit encore vierge...mon petit trou. Même s’il y va doucement, une légère douleur m’arrache un petit cri. Il devient très vite un cri de plaisir.
Jugeant l’endroit inconfortable pour une relation normale, nous regagnons la chambre, et reprenons nos position. Seul changement, Marc et Lucas ont échangés leur place, ce qui ne me dérange nullement, au contraire, cela me permet de les étalonner, par rapport à mon mari. Et les comparaisons sont vites faites, les militaires ne sont pas les mieux montés, d’autant que mon mari, ne m’apporte pas le plaisir qu’ils me donnent.
Les positions changent au gré de leurs envies.
Je continue de leur procurer du plaisir en guettant la moindre de leurs réactions pour adapter mon rythme et mes mouvements. Pendant que ma bouche aspire la bite d’un, ma chatte retient la queue de l’autre. Nous jouissons ensemble, mes cris de plaisir couvrant largement leurs râles. Les orgasmes se suivent à cadence régulières. Ce sont de merveilleux amants, m’offrant sexuellement, ce que je n’ai jamais connu à ce jour.
Nous nous posons ensuite tous les trois, partageant quelques douces caresses dans ce grand lit de la chambre. Quelques commentaires sont échangés sur nôtre nuit torride, à la fois agréable et surprenante, que nous venons de passer.
Après avoir pris une bonne douche bien fraîche sous le patio, nous finissons par nous souhaiter une bonne nuit de repos bien méritée.
Nous nous réveillons le lendemain matin vers huit heures. Les invités sont partis dans la nuit. Après une petite pipe matinale, et un doigter de clito, nous nous levons.
Le soleil est déjà très fort lorsque nous sortons prendre notre petit-déjeuner tous les trois sur la terrasse. Nous sommes entièrement nu. Nous déjeunons en parlant un peu du programme de ce dimanche qui s’annonce très chaud. En passant devant Marc pour débarrasser, je remarque son énorme queue en érection. Je suis vraiment tentée de m’y empaler dessus.
- Vas-y, m’encourage Lucas en voyant mon hésitation.
Je m’embroche sur ce mandrin qui m’appelle, me pends à son cou, ondule du bassin.Je sens que mon plaisir atteint des pics d’intensité et que j’approche de l’orgasme. Mes gémissements doivent maintenant s’entendre jusque chez les voisins car je n’ai plus aucune retenue. J’intensifie une dernière fois mes mouvements pour l’accompagner dans mon plaisir pendant que je me crispe, tremble et émet des gémissements aigus pendant quelques secondes.
Lucas nous regarde, alors que je suis empalée sur la bite de Marc. Il ne perd rien de sa vigueur à nôtre grande surprise. Il s’approche alors de mon visage en se branlant, et reçoit ponctuellement des petits coups de langue de ma part. Il demande s’il peut tenter une gorge profonde car il adore. J’adhère volontiers à sa proposition, et gobe sa queue jusqu’aux couilles. Là encore, nous atteignons une jouissance hors du commun. On s’écroule tous les trois sur la pelouse, écartelés, épuisés.
Je vois Marc murmurer à l’oreille de Lucas. Sans un mot, l’un me saisit par les bras, l’autre par les jambes. Ils me balancent, puis me projette dans la piscine. Ces deux salauds, les mains sur les hanches, éclatent de rire.
Courtois, ils me tendent la main pour me sortir du bassin. D’un geste vif, je m’éjecte de l’eau, saisit leur queue, et les tire dans la piscine. On entend un grand « Plouf ». Ils se débattent dans l’eau, leur sexe toujours prisonnier de mes mains. Je les lâche, et ils en profitent pour m’attraper, et me baiser par tout les trous. J’apprécie de plus en plus la sodomie, la double pénétration. Ce week-end fut pour moi, un week-end découvertes,
un week-end exceptionnel, du niveau de mes amants. Ils ont su tirer le maximum de moi, m’ont fait jouir, comme je ne jouirai jamais plus. Ils m’ont tout fait, et leur ai rendu au centuple.
Arrivé à la table du salon de jardin, Marc regarde l’heure sur son téléphone…dix heures.
Les deux potes se regardent, un sourire au coin des lèvres. Ils me prennent chacun sous un bras, m’entraîne à la chambre.






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