Juste une séance photo

J'ai longtemps été un hétéro refoulé, tout en étant obsédé par le fantasme de m'offrir à un homme qui ferait de moi sa petite femelle. Il faut dire que mes fesses rebondies me valent souvent des regards concupiscence des hommes, du moins de tous ceux, et ils sont légion, qui éprouvent de l'attirance pour les garçons.
Bref, je mourais d'envie de me faire déniaiser par un homme mûr.

J'avais alors 25 ans, lui 45. Cet ami photographe m'invita un jour à dîner chez lui. Nous entretenions depuis des mois des relations amicales, qui parfois seulement laissaient à quelque ambigüité. C'est qu'il était très tactile, et ne cachait pas son goût pour les garçons. Il m'avait averti que nous serions seuls, "entre mecs".

Sa cuisine était si exiguë, presque une sorte de couloir, ou un mouchoir de poche qu'il était difficile d'éviter les attouchements furtifs, et comme par mégarde, lorsque je lui ai proposé mon aide pour débarrasser. À plusieurs reprises il effleura mes fesses. J'avoue que ses mains baladeuses me faisaient de l'effet, elles m'excitaient à vrai dire. J'avais l'impression d'être sa soubrette, et ma queue commença à se tendre, ce qui ne lui a pas échappé, vu la bosse qui tenait mon pantalon.

"Soubrette", c'est d'ailleurs le mot qu'il prononça en me disant: "Je te verrais bien en soubrette avec un petit tablier blanc et rien en dessous". J'avoue que l'idée m'excitait moi aussi.

Le moment lui parut opportun pour me proposer d'exercer ses talents de photographe en me prenant pour modèle. Juste une séance photo. Il me suffisait d'aller m'allonger nu sur son lit, dans sa chambre au fond du couloir. Je devais m'allonger à plat ventre.Je n'ai pas dit non.

Je pris donc une pose avantageuse, tout excité à l'idée de poser et m'exposer nu aux regards d'un homme qui partageait mon fantasme. Il prit beaucoup de photos en me demanda de varier les positions, de bien redresser et cambrer mes fesses.

Toute ma pellicule y passa. Dans la pénombre je m'assoupissais presque lorsque je sentis sa main piloter mes fesses. Au point où j'en étais, le cul bien à l'air, il fallait que j'aille jusqu'au bout. Je serai donc sa petite salope. Je me détendus, en écartant un peu plus les fesses. J'aimais sentir ses doigts s'attarder dans ma fente.

Je me tortillais, je me dandinais du cul comme une petite folle, au fur et à mesure que le désir montait en moi, au point de devenir irrésistible. Il en profita pour entourer fermement ma queue de sa main, sentant bien à quel point il me faisait bander. Il me traita d'aguicheuse en glissant un doigt dans ma rondelle, toute dilatée pour accueillir sa queue. Je sents son gland épouser mon petit trou, collé comme une ventouse à mon orifice. Entrant, sortant avant de me prendre en levrette. Il ne tarda pas à me féconder en répandant en moi sa semence, au moment même où mon sperme gicla sur ses draps.

Nous étions soudés à jamais par cette pénétration que l'on appelle sodomie. Et c'est tendrement enlacés que le sommeil nous surprit.