ACCUEIL > Fantasmes > Récit : Justine 1
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 18/11/2025
Léo, 23 ans, célibataire, vit chez ses parents. Le coquin a la réputation d'être un don Juan. Ses conquêtes sont nombreuses, il a même couché avec Julia, la meilleure amie de sa maman. Justine Mais un jour, en prenant le café avec elle, Julia aborde inconsciemment le sujet :
-Tu sais que ton fils court après toutes les femmes du village, et je dois dire qu'il a beaucoup de succès. J'ajoute que c'est un amant merveilleux !
Justine fronce les sourcils et demande :
-Comment que tu sais que c'est un amant merveilleux, tu as déjà couché avec lui ?
Julia se rend compte qu'elle a fait une gaffe, mais il est trop tard pour faire marche arrière, elle marmonne, avec beaucoup de trémolos dans la voix :
-Hum ben oui comme beaucoup femmes du village !
Justine sursaute et en foudroyant son amie du regard lui dit :
-Mais avec ton âge, tu pourrais être sa mère, mais tu es une grosse salope, comme toutes les vieilles du village !
Les paroles prononcées par son amie, rendent curieuse Justine, qui habilement questionne Julia :
-Tu me fais marcher, comment qu'un jeune comme mon fils peut intéresser des femmes de notre âge ?
En souriant, Julia répond :
Il a une queue extraordinaire, il est monté comme un cheval, j'ai honte de le dire, mais il me fait grimper aux rideaux mieux que mon mari, oh putain, lorsqu'il me prend, je jouis comme une dingue !
Justine l'écoute sans l'interrompre, elle se pince les lèvres lorsque son amie entre dans les détails. Ses sens se mettent en éveil, ses yeux brillent. Elle ravale bruyamment sa salive et en poussant un soupir dit :
-Oh la vache, il te fait ça ?
Julia dit en arborant un large sourire :
-j'espère qu'il m'en fera bien plus encore, il parle de me prendre en double avec mon mari. J'ai hâte de revoir Léo !
Justine se cabre et dit en écarquillant les yeux :
-Il veut te prendre en double avec ton mari ? Mais il est d'accord, Paul ?
En se raclant fortement la gorge, Julia réplique :
-Cela va t'étonner, mais il assiste à nos ébats en tant que voyeur, mais il va se joindre à nous , c'est certain !
Justine n'en revient pas, elle semble sonnée par les révélations de son amie. Les deux femmes parlent de Léo encore de longues minutes, avant que Julia ne prenne congé de son amie. Toute la journée, Justine se remémore ce que lui a racontée son amie. Ses sens se mettent à bouillir, sa vulve suinte abondamment. Bien qu'elle serre les cuisses, elle en peut arrêter le jus qui s'échappe de sa fente. Elle s'étend sur le canapé, passe sa main sous sa jupe et se caresse la chatte au travers de la culotte, qui est déjà très humide. Le tissu trempé, inséré entre les grandes lèvres, enveloppe la boule magique et la met bien évidence. Avec détermination, Justine la saisit et l'agite en serrant les dents, sa culotte absorbe comme elle peut l'abondante cyprine que la chatte rejette. Une violente jouissance la fait cabrer. Justine pousse un long râle pendant sa jouissance, elle retombe sur le canapé en haletant.
Peu à peu, elle reprend ses esprits, elle se demande si elle n'est pas folle, elle vient de se masturber, en pensant à son fils. Elle s'en veut terriblement d'être une maman immorale.
Elle retire sa culotte et se dirige vers la salle de bain. C'est à ce moment que Léo entre dans la maison. Elle ne l'a pas entendu entrer. Justine, dans la salle d'eau, retire ses vêtements et entre dans la douche pour laver ce corps plein de délires incestueux. Armée d'un gant de toilette en crin, elle se savonne vigoureusement le corps, en s'attardant sur ses parties intimes. Le gant rêche, qui glisse sur son clito, rallume le feu. Bien que martyrisé, il gonfle affreusement. Justine grimace, mais continue son œuvre de destruction clitoridienne.
Elle gémit, en se faisant violence. Son clitoris est devenu affreux, elle le frotte vigoureusement, comme pour se punir de ses ùauvaises pensées. Ses gémissements ressemblent à ceux d'un animal blessé. Attiré par des bruits étranges, Léo entre dans la salle de bain, et ce qu'il voit l'étonne. Sa maman, qu'il ne croyait prude, se masturbe effrontément dans la douche. Elle a les yeux fermés, un rictus déforme son visage. Elle retire le gant et saisit la boule de chair en feu. Elle l'agite, en poussant des grognements. Léo ne peut contenir une érection monstrueuse. Il retire ses vêtements et sans se poser de question, entre dans la douche, il enlace sa maman qui surprise sursaute. Elle cesse de se masturber et en regardant son fils, dit en béguant :
-Mais, mais, Lé, lé, Léo, que fais-tu dans ma douche !
En se plaquant contre elle dit :
-Je vais t'aider maman chérie, ton clito est bien gonflé, il ne demande qu'à te donner du plaisir !
Le bougre tente de le saisir, mais sa maman rue, le frappe et le repousse hors de la douche. En riant, il regarde son corps qui ruisselle, et lui dit :
-Tu es magnifique maman !
Et il s'essuie, ramasse ses vêtements et sort de la salle de bain.
Pendant tout ce temps, Justine regarde la verge en érection de son fils, Julia ne lui a pas menti, le coquin est bien membré. Elle s'essuie nerveusement, et passe sur ses épaules un peignoir de bain. Elle sort, elle n'ose croiser le regard de son fils. Lorsqu'elle passe près de lui, il lui passe délicatement la main sur les fesses et les flatte un petit instant. Justine s'arrête, le foudroie du regard et lui dit, comme prise de jalousie :
-Va rejoindre tes pouffiasses, d'ailleurs, Julia t'attend !
En souriant, il répond :
-Je vois qu'elle n'a pu retenir sa langue, mais petite maman, sache que tes fesses font parties des plus belles que j'ai caressé, voir plus !
Léo la prend à bras-le-corps et la porte jusque sur le canapé. Malencontreusement, lorsqu'il la dépose dessus, son peignoir s'ouvre. Le bougre qui est encore nu, a la verge toujours dressée. Elle est si près du visage de sa maman, que si elle le veut, elle peut la happer avec sa bouche. Justine semble hypnotisée par le manche de chair de son fils, elle ne le quitte pas des yeux. Lui admire le corps de sa maman, en salivant. Audacieusement, Léo fait glisser, sur les lèvres de sa maman, son gland qu'il a pris soin de décalotter. Sa maman, en tremblant, saisit le manche dur, l'observe un long moment. Léo lui dit tendrement :
-Suce-le maman, tu en meurs d'envie, allez n'hésite pas, profite de l'occasion, Julia, elle n'hésiterait pas !
En entendant le nom de son amie, les yeux de Justine s'illuminent. Elle l'imagine sucer la bite de son fils, surement pour ne pas laisser tout le plaisir à son amie, Justine sans se soucier des conséquences, brusquement donne des coups de langue bien ajustés sur le cèpe, sa langue en fait plusieurs fois le tour, titille le frein, avant que la vorace, ne gobe le chapeau de chair. Elle le suce comme jamais elle n'a sucé une bite, elle veut surpasser son amie. Elle dévore le gland avec rage en arrachant à son fils des gémissements de bête. Léo grimace, il encourage même la suceuse :
-Oh maman comme tu me suces, ta bouche divine est magique, oh ma vache, je ne résisterai pas longtemps !
En effet, en se raidissant, il envoie dans la bouche de sa maman un flot de sperme brûlant. Il dit entre deux souffles :
-Maman, maman, tu es la première à me faire jouir aussi rapidement, c'est monstrueux, oh comme je t'aime !
Il regarde sa maman qui se pince les lèvres, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Pour l'inciter, il dit en souriant :
-Julia avale, elle adore mon sperme !
Justine, pour ne pas laisser à son amie toute la gloire, avale par petites gorgées la semence épaisse. Elle sent glisser dans sa gorge l'onctueuse crème, elle avale la totalité de la décharge, puis ouvre la bouche pour montrer à son fils qu'elle a tout avalé. Fier d'elle, Léo la prend par le cou et l'embrasse fougueuse. Justine accepte, elle noue sa langue à la sienne, et échange avec lui un flot de salive.
Une fois le baiser terminé, Justine dit en regardant son fils :
-Mon chéri, fais-moi tout ce que tu fais à Julia !
Léo regarde sa maman et répond :
-Tu veux que je te fasse, tout, tout, ce que je lui fais, tu es sûre ?
En ravalant sa salive, sa maman réplique :
-Oui, tout, tout, surtout n'oublie rien mon chéri !
-Bon c'est toi qui l'auras voulue maman !
Il ouvre les pans du peignoir, donne des baisers bruyants sur le ventre et la vulve en feu, qui rejette son jus. Il encercle les seins de ses mains et les malaxe fermement. Ses doigts s'enfoncent dans les chairs tendres, en arrachant à la maman demandeuse de longs gémissements. Il roule entre ses doigts les mamelons, les étire, pour enfin les écraser.
Justine en serrant les dents marmonne :
-Oh oui mon chéri, c'est bon, continue, continue !
Plusieurs fois, Léo écrase les mamelons de sa maman, qui rugit à chaque pression. Enfin, il pose sa bouche dessus et les dévore comme un affamé. Les bouts deviennent monstrueux, sous les succions terribles et répétées. Justine gémit comme une bête malade. Sa chatte suinte de plus en plus, son peignoir est trempé. Les dents de son fils se plantent dans ses mamelons et les étirent au maximum. Justine râle de plaisir, jamais, elle n'a connu un travail mammaire aussi intense. Son mari a beaucoup à apprendre. Elle hurle :
-Mon chéri, mon chéri, tu es le démon réincarné, mon Dieu, c'est terrible, oui, oui, encore, encore !
Léo découvre une facette de sa maman, elle adore que ce soit douloureux, le bougre est prêt à ne pas la ménager. Il aspire les mamelons le plus fort possible, sa maman se cambre fortement et extraordinairement jouit. Un hurlement sort de sa gorge. Léo n'en revient pas. Il se dit que sa maman est une sacrée chaudasse.
Il tète encore un moment les bouts dressés, avant d'entreprendre sur le corps fébrile de la maman soumise, une descente buccale. Chaque parcelle de peau est embrassée ou léchée. La langue agile fouille le nombril avant de venir taquiner les grandes lèvres vaginales. Elle s'insère dans le sillon et monte à la recherche du fruit. Le clitoris est déjà gonflé. Avant de l'aspirer, Léo joue avec la pointe de sa langue pour le faire encore grossir. Lorsqu'il l'aspire, sa maman reçoit comme une décharge électrique qui la fait cabrer. Cambrée comme un pont un jour de tempête, Justine gémit comme un animal tombé dans un piège.
La bouche de son fils travaille le clito comme jamais on ne lui a fait. Elle s'agrippe au canapé en gémissant terriblement. Sa chatte est un ruisseau intarissable, le menton de son fils est noyé de cyprine. Il aspire le jus suave par de longues aspirations. Un long râle sort de la bouche de Justine, lorsque la langue vorace s'enfonce profondément dans son vagin. Chaque recoin est fouillé, entre deux coups de langue, une aspiration puissante avale la cyprine que la chatte en fusion ne peut contenir. Justine est terriblement excitée, jamais elle n'a subi un broutage de chatte aussi intense. Elle appuie sur la tête de son fils en marmonnant :
-Encore, c'est trop bon, mon chéri, oh mon Dieu, je vais encore jouir, oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiii !
Une jouissance la fait hurler, son corps, en extension, retombe lourdement sur le canapé. Justine halète, comme un sprinteur en fin de course. Enfin, Léo se redresse et présente au volcan en éruption sa verge tendue. Les yeux de sa maman embués sont rivés sur le membre de Léo, la bouche entre ouverte, Justine respire bruyamment. Il le frotte contre les grandes lèvres humides et pousse. Le mandrin, fortement veiné, s'enfonce sans faire une pause dans le ventre de Justine qui s'accroche aux hanches de son fils, en poussant un très long râle.
Une fois que les couilles frappent la chatte, c'est comme un signal, Léo entame un va-et-vient de plus en plus rapide. De temps en temps, il retire sa verge du temple pour la replanter brutalement au plus profond du vagin maternel. Il réitère ce mouvement de nombreuses fois, à chaque fois sa maman pousse un gémissement rauque en se cramponnant à son fils.
La verge épaisse racle fortement les parois vaginales, les gémissements de Justine augmentent en tonalité au fur et à mesure que le pilonnage devient violent. Les coups de reins puissants font marmonner la maman soumise :
- Oh mon chéri, c'est trop bon, oui, détruit ta maman salope, ouah, c'est fantastique, oui, bourre-moi fort, tape, tape !
Le gland épais rabote à chaque aller et retour, lui le col de l'utérus, elle divague :
- Léo, tu es diabolique, oui, défonce-moi, mon chéri, oh comme c'est bon, je veux mourir de plaisir, tue-moi, tue-moi !
Une nouvelle jouissance la fait hurler, ses cris ressemblent à ceux d'une bête que l'on égorge. Léo ne la ménage pas, il lui travaille la chatte comme un soudard, jusqu'à ce qu'il lui remplisse le ventre de sperme. En retirant sa queue gluante du corps de sa maman, il lui dit :
-Comme, tu veux subir tout ce que je fais à ta copine, alors, mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre par le cul, Julia adore ça, la salope !
Justine descend péniblement du canapé, fait tomber son peignoir sur le sol et prend la pose. Bien que la position soit humiliante, elle obtempère. Justine va subir sa première sodomie, elle craint un peu.
Le fils, initiateur, se penche et écarte les fesses de Justine et commence un long travail de préparation. La langue agile lèche le muscle rectal puis l'aspire férocement. Justine pousse un grognement, la langue tente de le pénétrer. Avec persévérance, la langue réussit à pénétrer l'anus de trois ou quatre centimètres. La maman se cambre, en soufflant comme un dragon. Jamais une langue ne lui a fouillé le cul, elle trouve cela fantastique. De petits gémissements de plaisir sortent de sa gorge. Léo assouplit le mieux possible l'anus qui semble se relâcher. Il crache sur l'anus et lentement enfonce un doigt.
Il ramone doucement la gaine anale, avant d'y ajouter un second visiteur. Justine semble prendre du plaisir, elle geint faiblement en agitant doucement sa croupe. Enfin, Léo présente son mandrin à la petite entrée et pousse. Justine serre les dents, grimace, la verge s'enfonce progressivement dans son rectum. L'excitation de la maman est telle que la douleur est supportable. Accroché aux hanches larges de sa maman, Léo commence l'enculage. Sa queue fait de très courts allers et retours, puis au fur et à mesure, elle augmente en profondeur et en vitesse. Étrangement, Justine gémit de plaisir, elle dit :
-Ouh la vache, va bien à fond, mon chéri, je veux connaitre tout ce qu'a ressenti Julia !
Léo se lâche, il défonce analement sa maman comme un butor, ses coups de reins sont puissants et continuels. Justine ne peut cacher son plaisir, et elle le prouve :
-Oui, oui, Léo, c'est bon, vas-y, vas-y, donne tout, mon chéri !
La bite vigoureuse de Léo dilate la gaine étroite de la maman, qui ignorait, jusqu'à aujourd'hui, que l'on pouvait prendre du plaisir par le cul. Elle agite sa croupe en gémissant comme une malade :
-Oh mon chéri, mon chéri, tu fais de moi une grosse salope, mon Dieu, comme c'est bon !
Une première jouissance anale l'a fait hurler, elle s'écroule sur le sol tellement c'est violent, elle entraine dans sa chute son fils amant. Mais Léo ne désarme pas, il continue de lui bourrer le rectum avec force. Enfin, en grognant comme un fauve en cage, il lui envoie dans les entrailles sa semence. Pour remercier son fils amant, Justine lui fait une fellation jusqu'à ce qu'elle reçoive sa récompense. Un flot de semence épaisse glisse dans sa gorge, elle savoure la crème onctueuse, en l'avalant par petites gorgées.
Léo regarde sa maman, il lui dit n souriant :
-Le mari de Julia nous regarde faire l'amour, il adore voir sa femme se faire brouter par Léonie. Est-ce que papa le ferait lui ?
Justin fronce les sourcils et réplique :
-Quoi papa, me regarder me faire dévorer la chatte par une femme, tu rêves, mon chéri, il n'est pas partageur. Et tu m'apprends que Julia fait l'amour avec sa voisine, oh pourquoi elle ne me l'a jamais proposée, cette grosse salope ? Eh bien, si elle le fait, avec Léonie moi, j'accepte de faire l'amour avec elle, et que son mari nous regarde !
Léo regarde sa maman en souriant et lui promet des jours de jouissances inédits. Mais avant de la libérer. Il l'embroche à nouveau jusqu'aux couilles et la démonte jusqu'à ce qu'elle n'ait plus la force de jouir. Après une ultime sodomie, c'est sans force que Justine s'écroule sur le sol, les bras en croix. Dans un état second elle baffouille :
-Oh mon chéri, mon chéri, tu es un phénomène sexuel, tu m'as tellement défoncé que ma chatte et mon cul sont en feu , Julia ne m'a pas menti, tu es extraordinaire !
En souriant, Léo réplique :
-Merci maman, je prends ça pour un compliment. Je vais contacter Julia et lui proposer de baiser avec toi, d'ailleurs elle ne le refusera pas, car tu lui plais !
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Léo, 23 ans, célibataire, vit chez ses parents. Le coquin a la réputation d'être un don Juan. Ses conquêtes sont nombreuses, il a même couché avec Julia, la meilleure amie de sa maman. Justine Mais un jour, en prenant le café avec elle, Julia aborde inconsciemment le sujet :
-Tu sais que ton fils court après toutes les femmes du village, et je dois dire qu'il a beaucoup de succès. J'ajoute que c'est un amant merveilleux !
Justine fronce les sourcils et demande :
-Comment que tu sais que c'est un amant merveilleux, tu as déjà couché avec lui ?
Julia se rend compte qu'elle a fait une gaffe, mais il est trop tard pour faire marche arrière, elle marmonne, avec beaucoup de trémolos dans la voix :
-Hum ben oui comme beaucoup femmes du village !
Justine sursaute et en foudroyant son amie du regard lui dit :
-Mais avec ton âge, tu pourrais être sa mère, mais tu es une grosse salope, comme toutes les vieilles du village !
Les paroles prononcées par son amie, rendent curieuse Justine, qui habilement questionne Julia :
-Tu me fais marcher, comment qu'un jeune comme mon fils peut intéresser des femmes de notre âge ?
En souriant, Julia répond :
Il a une queue extraordinaire, il est monté comme un cheval, j'ai honte de le dire, mais il me fait grimper aux rideaux mieux que mon mari, oh putain, lorsqu'il me prend, je jouis comme une dingue !
Justine l'écoute sans l'interrompre, elle se pince les lèvres lorsque son amie entre dans les détails. Ses sens se mettent en éveil, ses yeux brillent. Elle ravale bruyamment sa salive et en poussant un soupir dit :
-Oh la vache, il te fait ça ?
Julia dit en arborant un large sourire :
-j'espère qu'il m'en fera bien plus encore, il parle de me prendre en double avec mon mari. J'ai hâte de revoir Léo !
Justine se cabre et dit en écarquillant les yeux :
-Il veut te prendre en double avec ton mari ? Mais il est d'accord, Paul ?
En se raclant fortement la gorge, Julia réplique :
-Cela va t'étonner, mais il assiste à nos ébats en tant que voyeur, mais il va se joindre à nous , c'est certain !
Justine n'en revient pas, elle semble sonnée par les révélations de son amie. Les deux femmes parlent de Léo encore de longues minutes, avant que Julia ne prenne congé de son amie. Toute la journée, Justine se remémore ce que lui a racontée son amie. Ses sens se mettent à bouillir, sa vulve suinte abondamment. Bien qu'elle serre les cuisses, elle en peut arrêter le jus qui s'échappe de sa fente. Elle s'étend sur le canapé, passe sa main sous sa jupe et se caresse la chatte au travers de la culotte, qui est déjà très humide. Le tissu trempé, inséré entre les grandes lèvres, enveloppe la boule magique et la met bien évidence. Avec détermination, Justine la saisit et l'agite en serrant les dents, sa culotte absorbe comme elle peut l'abondante cyprine que la chatte rejette. Une violente jouissance la fait cabrer. Justine pousse un long râle pendant sa jouissance, elle retombe sur le canapé en haletant.
Peu à peu, elle reprend ses esprits, elle se demande si elle n'est pas folle, elle vient de se masturber, en pensant à son fils. Elle s'en veut terriblement d'être une maman immorale.
Elle retire sa culotte et se dirige vers la salle de bain. C'est à ce moment que Léo entre dans la maison. Elle ne l'a pas entendu entrer. Justine, dans la salle d'eau, retire ses vêtements et entre dans la douche pour laver ce corps plein de délires incestueux. Armée d'un gant de toilette en crin, elle se savonne vigoureusement le corps, en s'attardant sur ses parties intimes. Le gant rêche, qui glisse sur son clito, rallume le feu. Bien que martyrisé, il gonfle affreusement. Justine grimace, mais continue son œuvre de destruction clitoridienne.
Elle gémit, en se faisant violence. Son clitoris est devenu affreux, elle le frotte vigoureusement, comme pour se punir de ses ùauvaises pensées. Ses gémissements ressemblent à ceux d'un animal blessé. Attiré par des bruits étranges, Léo entre dans la salle de bain, et ce qu'il voit l'étonne. Sa maman, qu'il ne croyait prude, se masturbe effrontément dans la douche. Elle a les yeux fermés, un rictus déforme son visage. Elle retire le gant et saisit la boule de chair en feu. Elle l'agite, en poussant des grognements. Léo ne peut contenir une érection monstrueuse. Il retire ses vêtements et sans se poser de question, entre dans la douche, il enlace sa maman qui surprise sursaute. Elle cesse de se masturber et en regardant son fils, dit en béguant :
-Mais, mais, Lé, lé, Léo, que fais-tu dans ma douche !
En se plaquant contre elle dit :
-Je vais t'aider maman chérie, ton clito est bien gonflé, il ne demande qu'à te donner du plaisir !
Le bougre tente de le saisir, mais sa maman rue, le frappe et le repousse hors de la douche. En riant, il regarde son corps qui ruisselle, et lui dit :
-Tu es magnifique maman !
Et il s'essuie, ramasse ses vêtements et sort de la salle de bain.
Pendant tout ce temps, Justine regarde la verge en érection de son fils, Julia ne lui a pas menti, le coquin est bien membré. Elle s'essuie nerveusement, et passe sur ses épaules un peignoir de bain. Elle sort, elle n'ose croiser le regard de son fils. Lorsqu'elle passe près de lui, il lui passe délicatement la main sur les fesses et les flatte un petit instant. Justine s'arrête, le foudroie du regard et lui dit, comme prise de jalousie :
-Va rejoindre tes pouffiasses, d'ailleurs, Julia t'attend !
En souriant, il répond :
-Je vois qu'elle n'a pu retenir sa langue, mais petite maman, sache que tes fesses font parties des plus belles que j'ai caressé, voir plus !
Léo la prend à bras-le-corps et la porte jusque sur le canapé. Malencontreusement, lorsqu'il la dépose dessus, son peignoir s'ouvre. Le bougre qui est encore nu, a la verge toujours dressée. Elle est si près du visage de sa maman, que si elle le veut, elle peut la happer avec sa bouche. Justine semble hypnotisée par le manche de chair de son fils, elle ne le quitte pas des yeux. Lui admire le corps de sa maman, en salivant. Audacieusement, Léo fait glisser, sur les lèvres de sa maman, son gland qu'il a pris soin de décalotter. Sa maman, en tremblant, saisit le manche dur, l'observe un long moment. Léo lui dit tendrement :
-Suce-le maman, tu en meurs d'envie, allez n'hésite pas, profite de l'occasion, Julia, elle n'hésiterait pas !
En entendant le nom de son amie, les yeux de Justine s'illuminent. Elle l'imagine sucer la bite de son fils, surement pour ne pas laisser tout le plaisir à son amie, Justine sans se soucier des conséquences, brusquement donne des coups de langue bien ajustés sur le cèpe, sa langue en fait plusieurs fois le tour, titille le frein, avant que la vorace, ne gobe le chapeau de chair. Elle le suce comme jamais elle n'a sucé une bite, elle veut surpasser son amie. Elle dévore le gland avec rage en arrachant à son fils des gémissements de bête. Léo grimace, il encourage même la suceuse :
-Oh maman comme tu me suces, ta bouche divine est magique, oh ma vache, je ne résisterai pas longtemps !
En effet, en se raidissant, il envoie dans la bouche de sa maman un flot de sperme brûlant. Il dit entre deux souffles :
-Maman, maman, tu es la première à me faire jouir aussi rapidement, c'est monstrueux, oh comme je t'aime !
Il regarde sa maman qui se pince les lèvres, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Pour l'inciter, il dit en souriant :
-Julia avale, elle adore mon sperme !
Justine, pour ne pas laisser à son amie toute la gloire, avale par petites gorgées la semence épaisse. Elle sent glisser dans sa gorge l'onctueuse crème, elle avale la totalité de la décharge, puis ouvre la bouche pour montrer à son fils qu'elle a tout avalé. Fier d'elle, Léo la prend par le cou et l'embrasse fougueuse. Justine accepte, elle noue sa langue à la sienne, et échange avec lui un flot de salive.
Une fois le baiser terminé, Justine dit en regardant son fils :
-Mon chéri, fais-moi tout ce que tu fais à Julia !
Léo regarde sa maman et répond :
-Tu veux que je te fasse, tout, tout, ce que je lui fais, tu es sûre ?
En ravalant sa salive, sa maman réplique :
-Oui, tout, tout, surtout n'oublie rien mon chéri !
-Bon c'est toi qui l'auras voulue maman !
Il ouvre les pans du peignoir, donne des baisers bruyants sur le ventre et la vulve en feu, qui rejette son jus. Il encercle les seins de ses mains et les malaxe fermement. Ses doigts s'enfoncent dans les chairs tendres, en arrachant à la maman demandeuse de longs gémissements. Il roule entre ses doigts les mamelons, les étire, pour enfin les écraser.
Justine en serrant les dents marmonne :
-Oh oui mon chéri, c'est bon, continue, continue !
Plusieurs fois, Léo écrase les mamelons de sa maman, qui rugit à chaque pression. Enfin, il pose sa bouche dessus et les dévore comme un affamé. Les bouts deviennent monstrueux, sous les succions terribles et répétées. Justine gémit comme une bête malade. Sa chatte suinte de plus en plus, son peignoir est trempé. Les dents de son fils se plantent dans ses mamelons et les étirent au maximum. Justine râle de plaisir, jamais, elle n'a connu un travail mammaire aussi intense. Son mari a beaucoup à apprendre. Elle hurle :
-Mon chéri, mon chéri, tu es le démon réincarné, mon Dieu, c'est terrible, oui, oui, encore, encore !
Léo découvre une facette de sa maman, elle adore que ce soit douloureux, le bougre est prêt à ne pas la ménager. Il aspire les mamelons le plus fort possible, sa maman se cambre fortement et extraordinairement jouit. Un hurlement sort de sa gorge. Léo n'en revient pas. Il se dit que sa maman est une sacrée chaudasse.
Il tète encore un moment les bouts dressés, avant d'entreprendre sur le corps fébrile de la maman soumise, une descente buccale. Chaque parcelle de peau est embrassée ou léchée. La langue agile fouille le nombril avant de venir taquiner les grandes lèvres vaginales. Elle s'insère dans le sillon et monte à la recherche du fruit. Le clitoris est déjà gonflé. Avant de l'aspirer, Léo joue avec la pointe de sa langue pour le faire encore grossir. Lorsqu'il l'aspire, sa maman reçoit comme une décharge électrique qui la fait cabrer. Cambrée comme un pont un jour de tempête, Justine gémit comme un animal tombé dans un piège.
La bouche de son fils travaille le clito comme jamais on ne lui a fait. Elle s'agrippe au canapé en gémissant terriblement. Sa chatte est un ruisseau intarissable, le menton de son fils est noyé de cyprine. Il aspire le jus suave par de longues aspirations. Un long râle sort de la bouche de Justine, lorsque la langue vorace s'enfonce profondément dans son vagin. Chaque recoin est fouillé, entre deux coups de langue, une aspiration puissante avale la cyprine que la chatte en fusion ne peut contenir. Justine est terriblement excitée, jamais elle n'a subi un broutage de chatte aussi intense. Elle appuie sur la tête de son fils en marmonnant :
-Encore, c'est trop bon, mon chéri, oh mon Dieu, je vais encore jouir, oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiii !
Une jouissance la fait hurler, son corps, en extension, retombe lourdement sur le canapé. Justine halète, comme un sprinteur en fin de course. Enfin, Léo se redresse et présente au volcan en éruption sa verge tendue. Les yeux de sa maman embués sont rivés sur le membre de Léo, la bouche entre ouverte, Justine respire bruyamment. Il le frotte contre les grandes lèvres humides et pousse. Le mandrin, fortement veiné, s'enfonce sans faire une pause dans le ventre de Justine qui s'accroche aux hanches de son fils, en poussant un très long râle.
Une fois que les couilles frappent la chatte, c'est comme un signal, Léo entame un va-et-vient de plus en plus rapide. De temps en temps, il retire sa verge du temple pour la replanter brutalement au plus profond du vagin maternel. Il réitère ce mouvement de nombreuses fois, à chaque fois sa maman pousse un gémissement rauque en se cramponnant à son fils.
La verge épaisse racle fortement les parois vaginales, les gémissements de Justine augmentent en tonalité au fur et à mesure que le pilonnage devient violent. Les coups de reins puissants font marmonner la maman soumise :
- Oh mon chéri, c'est trop bon, oui, détruit ta maman salope, ouah, c'est fantastique, oui, bourre-moi fort, tape, tape !
Le gland épais rabote à chaque aller et retour, lui le col de l'utérus, elle divague :
- Léo, tu es diabolique, oui, défonce-moi, mon chéri, oh comme c'est bon, je veux mourir de plaisir, tue-moi, tue-moi !
Une nouvelle jouissance la fait hurler, ses cris ressemblent à ceux d'une bête que l'on égorge. Léo ne la ménage pas, il lui travaille la chatte comme un soudard, jusqu'à ce qu'il lui remplisse le ventre de sperme. En retirant sa queue gluante du corps de sa maman, il lui dit :
-Comme, tu veux subir tout ce que je fais à ta copine, alors, mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre par le cul, Julia adore ça, la salope !
Justine descend péniblement du canapé, fait tomber son peignoir sur le sol et prend la pose. Bien que la position soit humiliante, elle obtempère. Justine va subir sa première sodomie, elle craint un peu.
Le fils, initiateur, se penche et écarte les fesses de Justine et commence un long travail de préparation. La langue agile lèche le muscle rectal puis l'aspire férocement. Justine pousse un grognement, la langue tente de le pénétrer. Avec persévérance, la langue réussit à pénétrer l'anus de trois ou quatre centimètres. La maman se cambre, en soufflant comme un dragon. Jamais une langue ne lui a fouillé le cul, elle trouve cela fantastique. De petits gémissements de plaisir sortent de sa gorge. Léo assouplit le mieux possible l'anus qui semble se relâcher. Il crache sur l'anus et lentement enfonce un doigt.
Il ramone doucement la gaine anale, avant d'y ajouter un second visiteur. Justine semble prendre du plaisir, elle geint faiblement en agitant doucement sa croupe. Enfin, Léo présente son mandrin à la petite entrée et pousse. Justine serre les dents, grimace, la verge s'enfonce progressivement dans son rectum. L'excitation de la maman est telle que la douleur est supportable. Accroché aux hanches larges de sa maman, Léo commence l'enculage. Sa queue fait de très courts allers et retours, puis au fur et à mesure, elle augmente en profondeur et en vitesse. Étrangement, Justine gémit de plaisir, elle dit :
-Ouh la vache, va bien à fond, mon chéri, je veux connaitre tout ce qu'a ressenti Julia !
Léo se lâche, il défonce analement sa maman comme un butor, ses coups de reins sont puissants et continuels. Justine ne peut cacher son plaisir, et elle le prouve :
-Oui, oui, Léo, c'est bon, vas-y, vas-y, donne tout, mon chéri !
La bite vigoureuse de Léo dilate la gaine étroite de la maman, qui ignorait, jusqu'à aujourd'hui, que l'on pouvait prendre du plaisir par le cul. Elle agite sa croupe en gémissant comme une malade :
-Oh mon chéri, mon chéri, tu fais de moi une grosse salope, mon Dieu, comme c'est bon !
Une première jouissance anale l'a fait hurler, elle s'écroule sur le sol tellement c'est violent, elle entraine dans sa chute son fils amant. Mais Léo ne désarme pas, il continue de lui bourrer le rectum avec force. Enfin, en grognant comme un fauve en cage, il lui envoie dans les entrailles sa semence. Pour remercier son fils amant, Justine lui fait une fellation jusqu'à ce qu'elle reçoive sa récompense. Un flot de semence épaisse glisse dans sa gorge, elle savoure la crème onctueuse, en l'avalant par petites gorgées.
Léo regarde sa maman, il lui dit n souriant :
-Le mari de Julia nous regarde faire l'amour, il adore voir sa femme se faire brouter par Léonie. Est-ce que papa le ferait lui ?
Justin fronce les sourcils et réplique :
-Quoi papa, me regarder me faire dévorer la chatte par une femme, tu rêves, mon chéri, il n'est pas partageur. Et tu m'apprends que Julia fait l'amour avec sa voisine, oh pourquoi elle ne me l'a jamais proposée, cette grosse salope ? Eh bien, si elle le fait, avec Léonie moi, j'accepte de faire l'amour avec elle, et que son mari nous regarde !
Léo regarde sa maman en souriant et lui promet des jours de jouissances inédits. Mais avant de la libérer. Il l'embroche à nouveau jusqu'aux couilles et la démonte jusqu'à ce qu'elle n'ait plus la force de jouir. Après une ultime sodomie, c'est sans force que Justine s'écroule sur le sol, les bras en croix. Dans un état second elle baffouille :
-Oh mon chéri, mon chéri, tu es un phénomène sexuel, tu m'as tellement défoncé que ma chatte et mon cul sont en feu , Julia ne m'a pas menti, tu es extraordinaire !
En souriant, Léo réplique :
-Merci maman, je prends ça pour un compliment. Je vais contacter Julia et lui proposer de baiser avec toi, d'ailleurs elle ne le refusera pas, car tu lui plais !
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