Karine dans son bain 3

Marc regarde le corps presque parfait de sa tante, pour marcher, son bassin se balance naturellement. La souplesse de son déhanchement le fait vibrer, il n'ose encore y croire que cette femme sublime, va devenir son amante. Sa bite qui n'a pas baissée la tête, est prise de soubresauts incontrôlables. Ils ne sont même
pas entrer dans le salon que le jeunot, excité, se plaque contre le fessier bien rebondit de sa tante. Elle sent la bite coulisser dans sa raie, et à chaque fois bute contre son anus. Elle se cabre et dit :

-Ne sois pas impatient mon chéri, nous avons toute la journée !

Elle se retourne, lui prend la main et l'emmène vers le canapé, rapidement le jeune chauffé à blanc se jette sur sa proie, l'enlace et cherche ses lèvres. La tante est surprise par la fougue se son neveu, accepte le baiser que l'impulsif neveu lui impose. Les langues comme deux serpents s'entrelacent. Karine apprécie comment son jeune neveu maladroit l'embrasse. La tante, plus expérimentée, lui suce la langue, la tète. Marc savoure ce genre de baiser qu'il ignorait jusqu'à présent. Les amants incestueux échangent un flot de cyprine. Enfin Marc bascule sa tante sur le canapé, et lui embrasse les seins, il s'acharne sur les mamelons qu'il devore sans prendre le temps de respirer. Karine gémit à chaque succion sur ses tétons qui ne cessent de prendre du volume. La fièvre monte dans les corps, le méat de Marc laisse échapper quelques perles de rosée.


La tante, gémissante sous les succions qui ne baissent pas en intensité, arrive à saisit la bite de son neveu. Elle l'enserre la presse comme pour en connaitre la texture puis se met à la branler. Marc prend un positon plus adéquat pour que sa tante puisse agir à son aise. La bouche quitte les seins sans regret. Marc a tellement travaillé les bouts que même Karine ne les reconnait pas. La bouche descend sur son corps qui devient de plus en plus fébrile. Chaque parcelle de peau et visitée par la bouche et la langue du jeune amant. Les frémissements fiévreux de la tante sont visibles. Elle lâche la bite de son neveu, car la tension a encore monté d'un cran. La bouche dévore son ventre de baisers, la langue habile lui fouille le nombril, avant de se diriger vers la salle de jeu. Karine agite doucement son basin, ses gémissements, enivrent de bonheur son jeune amant, qui maintenant prend de l'assurance. Marc relève la tête et observe, d'un air amusé, la chatte de sa tante qui laisse échapper sa cyprine.



Il pose sa bouche sur le puits intarissable, plusieurs aspirations sont nécessaires pour que le gourmand Marc goute au jus divin que lui offre sa tante. Soudainement, Karine pousse un long râle, la langue agile vient du neveu vient de s'enfoncer dans son vagin et le fouille comme jamais, il ne l'a été. Karine gigote comme un ver, sa chatte est en feu. Elle se cabre en couinant fortement, le bougre vient de lui aspirer le clitoris et le tète avec une telle intensité, que la tante ne peut retenir sa jouissance. Son corps se met à trembler, des frissons monstrueux le parcourent. Marc ralentit, sa bouche suçote la boule énorme qui sert de clitoris, sans l'agresser. La tante jouisseuse pâme de bonheur. Jamais elle n'aurait imaginé que son neveu soit aussi habile de sa bouche. Elle le repousse, se jette sur sa bite et la décalotte au maximum. Elle l'enfonce dans sa bouche jusqu'au fond de sa gorge, elle veut que son neveu savoure une gorge profonde. La bouche avide monte et descend à fond jusqu'aux couilles, Karine garde la position le plus de temps qu'elle peut. Mais elle dooit remonter la tête, car elle manque d'air. Elle suce et tète le gland avant de redescendre sa bouche jusqu'aux coquilles. De nombreuses fois, elle reitere ce mouvement qui est dévastateur pour la bite de son neveu. Le coquin envoie dans la gorge de sa tante un flot de sperme épais. Karine sens le liquide crémeux s'écouler dans sa gorge. Elle repousse le bassin de son amant, re-décalotte le gland, et du bout de la langue le nettoie du jus visqueux dont il est enduit.


Elle recrache la bite et s'allonge sur la table basse du salon, ouvre largement les cuisses et dit :

-Prends-moi fort mon chéri !


Marc, souriant, se place entre les cuisses ouvertes, et d'un seul coup enfonce sa bite jusqu'aux couilles dans le ventre de la demande avide. Il la démonte comme un sauvage, malgré son âge, le bougre est puissant, sa bite de bon diamètre laboure les parois sensibles du vagin de sa tante, qui geint de plaisir. Le va-et-vient est de plus en plus rapide. Les râles de Karine ne sont pas de la simulation, elle grimace tellement le jeune soudard lui fore le ventre. Elle gémit en s'accrochant à son jeune amant, elle se met à donner des coups de reins violents. La tante veut être empalée totalement. Le ramonage devient monstrueux ainsi que les râles de Karine. Elle se cabre et jouit en hurlant. Marc continue son travail de sape, il donne de violents coups de béliers, comme s'il voulait traverser le ventre de sa tante. Soudain, il pousse un rugissement de lion, se bloque et remplit la chatte de sa semence abondante. Le jeune amant fait jouir plusieurs fois sa tante qui en redemande chaque fois de plus en plus. Pour la clamer, il lui plante sa bite dans le cul et l'encule comme un sauvage jusqu'à ce que les deux amants jouissent le maximum de fois. Marc n'a plus de force ni de jus das les couilles, il doit renoncer à continuer de déglinguer sa tante insatiable. Pour la finir, il lui donne le gode que la coquine avait préparé avant la défonce terrible qu'elle vient de subir.