Karine,devient incestueuse 1

Pour remettre un peu de piment dans leurs relations sexuelles qui décline de plus en plus. Paul, offre à sa femme, Karine, un string. Elle l'observe sous toutes les coutures, c'est la première fois qu'elle en tient un dans la main. Devant son miroir, elle se contorsionne comme un ver, pour voir ses formes. Elle fait une moue affreuse, en regardant son mari.
Elle dit d'un ton d'insatisfaction :

-Mais c'est très gênant ce truc, il me rentre dans les fesses, cela t'excite de me voir porter ce machin !

Paul, un peu gêné, répond :
-ben oui, ça met en valeur tes fesses qui sont adorables, tous les hommes aiment voir leurs femmes en porter !

Karine se pince les lèvres et dit en opinant de la tête :
-Pauvre France, mais où va-t-on, moi cela me dérange, regarde, il cache juste ma fente, il faut être bien rasée pour mettre un string !

En ravalant sa salive, Paul réplique :
-Eh bien ma chérie, rase-toi !

Il lui tend un deuxième paquet en souriant. Karine l'ouvre et sursaute, en voyant le contenu. Elle tient en main un gode de bonne taille. Elle rougit, palpe l'engin bien qu'impressionnant, il est souple. Elle est interpelée par la structure de la bite factice. Les veines apparentes hyper gonflées lui font pincer les lèvres. Elle regarde son mari et en béguant un peu lui dit :

-Mais tu es fou, tu veux me déchirer, il est monstrueux cet engin, tu es sûr que ce n'est pas un engin de torture ?

En regardant sa femme droit dans les yeux, il répond :
-Oh non, c'est un objet de jouissances, essayons-le ma chérie, tu sais que notre couple n'est plus ce qu'il était, tu ne me désires plus comme avant, nos rapports sexuels sont bâclés, plus de petits baisers rapides pendant la journée, notre fils Lilian m'a demandé si, nous, nous aimions encore !

Karine sursaute :

-Lilian t'a dit ça ?
-Oui, je le confirme, il voit bien qu'il y a quelque chose qui ne va plus entre nous !

Lilian, à dix-neuf ans, il va à la fac, il a bien remarqué, que ses parents ne sont plus aussi attentifs, l'un pour l'autre et cela le désole, mais n'ose s'en mêler

Karine pousse un gros soupir, elle sait que tout vient d'elle, elle dit :
-Je vais faire de mon mieux mon chéri, ce soir, tu auras une nouvelle femme !

Une fois que son mari sort de la maison pour rejoindre son travail, elle retire son string et se dirige vers la salle de bain. Prend la mousse à raser de son mari, et s'assoit sur un tabouret. Elle ouvre largement les cuisses et étale la mousse sur la chatte soyeuse. Avec précaution, elle se rase le pubis, lorsque la lame passe sur sa fente, elle se cambre en poussant de petits soupirs, plusieurs fois, la lame glisse sur sa chatte en la faisant soupirer. Une fois que la vulve est bien lisse, elle se rince, mais le feu du rasoir, l'irrite. Elle passe sur son intimité en feu de la crème apaisante. Elle l'étale longuement avec douceur, mais c'est si doux que Karine se laisse prendre au jeu.

La coquine joue avec son clito, le fait gonfler, rapidement la tension monte dans son corps. Elle pense au gode que son mari lui a offert. Elle s'empresse d'aller le chercher, et reprend place sur le tabouret. Elle le regarde longuement, et enfin le frotte sur sa fente lubrifiée par la crème apaisante. Lentement, elle l'enfonce dans le conduit vaginal en soufflant comme un taureau. Elle serre les dents, et se cambre davantage pour faciliter l'accès à l'engin. Une fois bien en place, elle commence un travail de sape. Avec un doigté exceptionnel, elle fait voyager le gode dans son vagin. Le bougre lui arrache des gémissements de bête. De sa main libre, Karine se violente le clito. Elle commence à savoir utiliser la bite factice, elle lui fait faire des rotations en l'enfonçant au maximum dans son ventre. Une jouissance terrible la fait hurler, elle retombe sur le tabouret lourdement, en soufflant fortement. Elle attend un instant avant de retirer son amant de silicone du vagin. Elle se sent sale et doit prendre une douche.

De retour de son travail, Paul, trouve sa femme en beauté, elle porte une longue robe légère fendue sur le côté qui à chaque pas découvre sa cuisse. Elle évolue autour de lui en balançant son bassin comme un félin, avec un petit sourire sur les lèvres. Elle entreprend une danse orientale, en ondulant lentement des hanches. Elle passe devant lui, le caresse du bout des doigts, lui tourne le dos, agite sa croupe, en se penchant doucement vers l'avant.

Paul croît rêvé, il regarde avec intérêt la croupe de sa femme qui s'agite sous son nez. Il se plaque contre elle, l'enlace et la serre très fort dans ses bras. Mais les deux ont oublié que c'est le week-end, et que Lilian doit rentrer de son internat. Trop occupés de se caresser, ils ne l'entendent pas entrer. Lilian pose son sac dans le hall et avance vers le salon. Là, il reste scotché, il trouve ses parents collés l'un à l'autre, qui s'agitent en ronronnant. Il se fait le plus petit possible, pour ne pas se faire remarquer. Soudain, il voit sa maman s'effeuiller comme une stripteaseuse.

Sa longue robe tombe en virevoltant sur le sol. Elle semble douée la maman coquine, Paul est tout émoustillé de voir sa femme en string et soutien-gorge à balconnets. Lilian dans son coin ravale sa salive. Il paraît hypnotisé par le corps de sa maman, il n'avait jamais remarqué qu'il était aussi beau. Lorsque d'un geste habile, elle dégrafe son soutien-gorge, ses seins jaillissent comme deux obus. Lilian reste béat devant tant de beauté. En souriant, Karine balance son bassin et en regardant son mari qui bave d'envie, elle tourne sur elle-même, se penche en avant. Le cordon du string est profondément enfoncé dans le large sillon, et semble séparer les fesses. Paul défaille, quant à la verge de Lilian, elle commence à le démanger, il se dit au fond de lui-même, oh putain quel cul. Très lentement, Karine fait glisser sur ses longues jambes le string. En souriant, et sans quitter des yeux, son mari découvre sa chatte qu'elle a prise soin de raser. Elle dit :

-Elle te plait mon chéri, je l'ai rasée pour toi !

Paul dégluti bruyamment, et entre deux respirations répond :

Elle est magnifique, laisse-moi la dévorer !

-Ne sois pas impatient mon chéri, chaque chose en s'en temps, tu m'as offert un jouet, je vais l'utiliser devant toi !

Paul a les yeux qui pétillent comme du champagne, il arrive juste à dire :

-Ma chérie, je ne te reconnais plus, tu as pris quelque chose ?

Karine éclate de rire et répond :

-Ben non, je t'ai dit, que je serai une autre femme ce soir, eh bien mon chéri, c'est elle que tu as devant toi !

Lilian bande comme un poney, il se caresse la verge qui enfle de plus en plus au travers du pantalon. Sa maman va prendre sur la table le gode, et va prendre place sur le canapé. Elle ouvre largement les cuisses, et fébrilement se caresse la fente. Paul, bien qu'étonné, reconnait que sa femme a bien changé depuis ce matin. Il est en admiration devant la chatte suintante que sa femme caresse. Sa queue devient douloureuse dans son pantalon, il l'extirpe du carcan de tissu, et l'agite très lentement en regardant sa femme œuvrer. Elle insère ses doigts dans la fente et les fait monter et descendre de nombreuses fois dans le sillon, avant de saisir son clito. Elle l'agite un instant puis place contre sa fente le gode. Elle l'enfonce progressivement dans son ventre en grimaçant. Karine n'a pas dit à son mari, qu'elle a déjà utilisée le gode pendant son absence. De son observatoire, Lilian ne perd pas une image du spectacle que donnent ses parents, de temps en temps, il lance un regard vers son papa, qui enfin agite sa queue avec plus de vigueur. Sa maman geint, en se fouillant, le conduit brulant avec l'engin, qui lui racle les parois sensibles de la chatte. Elle se ravage en même temps le clito.

Karine s'acharne, avec violence le gode fait des allers et retours dans son étui de chair, elle se maltraite le clito, geint comme une bête en rut.
Paul ne peut se retenir, il gicle sur le sol en grognant de plaisir. Karine, en jouissant, pousse un cri qu'elle étouffe en se mordant le poignet.
Paul ne peut se retenir, il gicle sur le sol. Il s'avance, pointe sa queue gluante vers la bouche aux lèvres pulpeuses de sa femme.
Karine comprend le signal, elle retire l'engin, le laisse tomber sur le sol, et saisit vigoureusement la queue raide. Elle décalotte le membre visqueux, donne quelques coups de langue sur le gland et l'aspire. Paul se cabre, pose ses mains sur la chevelure abondante de Karine et tire violemment dessus.

La verge s'enfonce jusqu'aux couilles dans la bouche de Karine, qui s'accroche comme elle peut aux hanches de son mari. Comme un forcené, Paul lui baise la bouche avec démence. Karine subit une gorge profonde redoutable. Ses yeux s'emplissent de larmes, elle a des hauts le cœur. Un filet de bave s'échappe la commissure de ses lèvres. C'est en grognant que Paul s'acharne. Enfin, il se bloque, tire fortement sur les cheveux et envoie une formidable giclée de sperme dans la bouche de Karine, qui le repousse brutalement en grimaçant.
Un filet de sperme s'échappe de sa bouche, elle regarde son mari. Elle avale la semence par petites gorgées, elle sent descendre dans sa gorge la crème onctueuse. Après une dernière déglutition, elle s'essuie d'un revers de la main les lèvres. Paul regard la chatte que la bite factice a forcée, il présente son membre encore plein de vie, et l'enfonce profondément dans la gaine brulante. Karine pousse un râle et s'agrippe à son mari, le bougre la défonce comme un soudard. Il profite que sa femme soit bien disposée, pour lui faire violence.

Lilian est ébloui par l'ardeur que mettent les deux amants, sa maman geint en agitant son bassin, son papa grogne en donnant des coups de reins terribles. Il bande fortement, il n'en peut plus. Lorsque sa maman pousse un cri de jouissance, il sursaute, et retourne à la porte d'entrée. Il prend son sac et discrètement monte dans sa chambre. Il se jette sur son lit, il ouvre sa braguette et en sort une verge dure comme du béton. Il l'agite férocement en remémorant sa maman, prendre dans le ventre le gode et ensuite la bite de son papa. En grognant, il atteint rapidement l'orgasme, sa verge envoie dans les airs un jet de sperme, qui retombe sur ses doigts et sur son pantalon. Lentement, il reprend ses esprits, et sort son mouchoir. Il s'essuie ses doigts et nettoie son pantalon, comme il peut.