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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/12/2025
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Une fille qui n'a pas froid aux yeux 2
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Une fille qui n'a pas froid aux yeux, fin.
Mauricette avale jusqu'à la dernière goutte, elle s'essuie les lèvres d'un revers de la main. Ses yeux vitreux sont pleins d'envies. Elle regarde la verge de Loïc, elle jette un œil vers sa fille qui comprend le désir de sa maman. Elle lui dit :
— Vas-y maman, embroche-toi sur la queue de Loïc, défonce-toi !
Mauricette n'attendait que cela. Elle retire tous ses vêtements, enjambe Loïc et saisit sa queue. Elle la présente à sa chatte dégoulinante de désir, et se laisse tomber de tout son poids dessus. Empalée jusqu'aux couilles, Mauricette commence à s'agiter en s'accrochant à son jeune amant. Elle gémit, marmonne, fait de son corps un ascenseur. Cloé, souriante, en toisant son papa haletant, lui suggère :
— Papa, c'est l'occasion d'offrir à maman sa première double pénétration !
Hugo regarde le couple s'agiter et se lève. Loïc plaque contre son torse Mauricette, en offrant ainsi la large croupe de son amante à son mari. Hugo jubile, en bafouillant des phrases inaudibles, il place son engin contre l'anus qu'il convoite. Il saisit sa femme par les hanches et pousse. Lentement, le mat de chair s'enfonce sans interruption dans la gaine étroite qui se dilate. Mauricette étrenne la double. Elle souffle comme un dragon, s'agrippe à son amant en marmonnant :
— Oh mon Dieu, oh mon Dieu, c'est démentiel, Cloé, Cloé, je vais mourir !
Les deux queues avec une synchronisation parfaite coulissent dans les orifices en prenant de la vitesse. La paroi qui les sépare est si fine que Mauricette a l'impression qu'elles sont dans le même conduit. Elle gémit en agitant sa croupe, ses grognements ressemblent à ceux d'un animal blessé. Cloé, pour donner le maximum de plaisir à sa maman, lui malaxe les seins, enfonce ses doigts profondément dans les chairs, les pétrit longuement, avant de rouler entre ses doigts fins les mamelons. Elle les étire, les presse, pour les stimuler le plus possible.
Mauricette, pâme de bonheur, jamais, elle n'a subi ce genre de traitement. Hugo n'est plus le même :
— Oh putain, ce que ton cul est bien serré ma chérie, je me régale, c'est divin de te sodomiser, tu aimes ça ma chérie ?
Tout en se faisant défoncer comme une chienne en rut, Mauricette répond entre deux gémissements :
— Oui, c'est trop bon mon chéri, oh ces deux queues en moi me font tellement de bien que jamais, je ne voudrais que cela se termine, défoncez-moi avec vos grosses queues mes salauds !
Hugo donne des coups de reins redoutables, à chaque coup, il dit :
— Tiens prends ça dans le cul, j'aime lorsque tu te livres totalement !
En gémissant de plaisir, Mauricette répond :
— Oui, grâce à Cloé, je deviens une grosse salope, mon chéri, tu l'aimes ta salope, hein ?
--Oh oui, sois une grosse salope mon amour !
Loïc souffle comme un taureau, c'est en se cabrant qu'il remplit le ventre de Mauricette, avec son sperme épais. Hugo défonce sa femme comme un enragé, il finit par se bloquer et envoyer dans les entrailles de son épouse plusieurs jets de jus visqueux, ce qui déclenche la jouissance de Mauricette, qui s'écroule sur son jeune amant en haletant.
Hugo, heureux, retire du fondement de sa femme sa verge gluante. Cloé s'en empare et sans demander son reste, l'enfourne dans sa bouche. Elle suce et tète férocement le gland violacé en le mordillant de temps en temps. Hugo est aux anges, sa fille lui fait la pipe de sa vie. Il gémit en grognant comme un animal agonisant.
Tout en suçant, Cloé lui presse les couilles. L'effet est presque immédiat, il envoie dans la bouche de sa fille un flot interminable de sperme.
Cloé lâche le manche de chair, elle profite que sa maman se redresse pour l'embrasser et partager avec elle le sperme d'Hugo. Les longs gémissements étouffés des deux femmes relancent la machine. Loïc donne de grands coups de reins comme pour traverser Mauricette, qui à chaque coup sursaute, sans lâcher la bouche de sa fille.
Le sperme s'échappe aux commissures des lèvres des deux amantes incestueuses. Loïc remplit une seconde fois le ventre de Mauricette, qui sans se séparer de sa fille, agite son bassin, en gémissant. Soudain, elle repousse Cloé, se cambre comme un pont en pleine tempête, et en poussant un long râle, jouit. Elle descend difficilement de sa monture et reste immobile sur le sol. Sa fille insatiable se jette comme une furie entre ses cuisses et lui dévore la chatte en aspirant un maximum de sperme. Loïc regarde Hugo, et lui dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :
— Hugo, ta bite est magnifique, viens, je vais la sucer !
Hugo est surpris, mais se souvenant des paroles de sa fille, qui lui avait dit que Loïc faisait l'amour aussi avec son père. Il s'avance prêt pour une nouvelle expérience. Il s'allonge sur le sol, Loïc saisit le membre qui ne baisse pas la tête, l'agite férocement avant de le prendre en bouche. Il s'avère que Loïc pour la fellation est redoutable, Hugo gémit sous les aspirations puissantes de son amant.
Il ne résiste pas longtemps au traitement que lui inflige le jeune homme. En rugissant comme un fauve, il envoie dans la bouche du suceur son sperme épais. Loïc avale rapidement la crème épaisse et enjambe Hugo, il reprend la verge et la dirige vers son anus. Hugo laisse faire, aujourd'hui, il aura connu deux anus, pour son plus grand plaisir. Loïc s'empale sur le membre et en s'agitant comme un forcené, cherche sa jouissance.
Mauricette est au summum du bonheur elle découvre pleins de nouvelles choses sexuelles. C'est en gémissant sous les coups de langue de sa fille, qu'elle voit pour la première fois un homme se faire sodomiser.
Loïc, en soufflant fortement, fait de son corps un ascenseur qui monte et qui descend sur le pal qui l'embroche. Hugo n'en revient pas. Cette pratique homo fait gonfler sa queue encore davantage. Il donne un coup de reins puissant à chaque descente du corps de son amant.
La bouche avide de Cloé, fait des ravages sur les orifices de sa maman. Mauricette s'agite en grimaçant, elle est proche de la jouissance. mais lorsque Cloé lui enfonce sa langue dans le rectum c'est la libération, une jouissance hors norme la fait hurler. Rapidement Cloé se met tête bêche sur sa maman, et les deux dans un élan de folie, se dévore jusqu'à obtention d'une jouissance mutuelle.
Loïc pousse des gémissants qui résonnent dans la pièce, c'est dans un long râle qu'il envoie sur le torse d'Hugo plusieurs jets de sperme. Accroché à son jeune amant Hugo pousse un cri de bête en remplissant l'intestin de Loïc avec sa crème brulante. Après un court repos bien mérité, le quatuor reprend les ébats. Mauricette est soumise à de multiples pénétrations, tout autant que sa fille. les deux femmes jouissent tellement qu'elles sont au bord de la syncope. Mais les deux hommes, dans une forme inhabituelle, ne sont pas rassasiés. Hugo subit sa première sodomie, il se fait défroncer par un jeune étalon déchainé. C'est totalement épuisé que les quatre restent un bon moment allongé sur le sol, en haletant comme des sprinteurs en fin de course.
Mauricette avale jusqu'à la dernière goutte, elle s'essuie les lèvres d'un revers de la main. Ses yeux vitreux sont pleins d'envies. Elle regarde la verge de Loïc, elle jette un œil vers sa fille qui comprend le désir de sa maman. Elle lui dit :
— Vas-y maman, embroche-toi sur la queue de Loïc, défonce-toi !
Mauricette n'attendait que cela. Elle retire tous ses vêtements, enjambe Loïc et saisit sa queue. Elle la présente à sa chatte dégoulinante de désir, et se laisse tomber de tout son poids dessus. Empalée jusqu'aux couilles, Mauricette commence à s'agiter en s'accrochant à son jeune amant. Elle gémit, marmonne, fait de son corps un ascenseur. Cloé, souriante, en toisant son papa haletant, lui suggère :
— Papa, c'est l'occasion d'offrir à maman sa première double pénétration !
Hugo regarde le couple s'agiter et se lève. Loïc plaque contre son torse Mauricette, en offrant ainsi la large croupe de son amante à son mari. Hugo jubile, en bafouillant des phrases inaudibles, il place son engin contre l'anus qu'il convoite. Il saisit sa femme par les hanches et pousse. Lentement, le mat de chair s'enfonce sans interruption dans la gaine étroite qui se dilate. Mauricette étrenne la double. Elle souffle comme un dragon, s'agrippe à son amant en marmonnant :
— Oh mon Dieu, oh mon Dieu, c'est démentiel, Cloé, Cloé, je vais mourir !
Les deux queues avec une synchronisation parfaite coulissent dans les orifices en prenant de la vitesse. La paroi qui les sépare est si fine que Mauricette a l'impression qu'elles sont dans le même conduit. Elle gémit en agitant sa croupe, ses grognements ressemblent à ceux d'un animal blessé. Cloé, pour donner le maximum de plaisir à sa maman, lui malaxe les seins, enfonce ses doigts profondément dans les chairs, les pétrit longuement, avant de rouler entre ses doigts fins les mamelons. Elle les étire, les presse, pour les stimuler le plus possible.
Mauricette, pâme de bonheur, jamais, elle n'a subi ce genre de traitement. Hugo n'est plus le même :
— Oh putain, ce que ton cul est bien serré ma chérie, je me régale, c'est divin de te sodomiser, tu aimes ça ma chérie ?
Tout en se faisant défoncer comme une chienne en rut, Mauricette répond entre deux gémissements :
— Oui, c'est trop bon mon chéri, oh ces deux queues en moi me font tellement de bien que jamais, je ne voudrais que cela se termine, défoncez-moi avec vos grosses queues mes salauds !
Hugo donne des coups de reins redoutables, à chaque coup, il dit :
— Tiens prends ça dans le cul, j'aime lorsque tu te livres totalement !
En gémissant de plaisir, Mauricette répond :
— Oui, grâce à Cloé, je deviens une grosse salope, mon chéri, tu l'aimes ta salope, hein ?
--Oh oui, sois une grosse salope mon amour !
Loïc souffle comme un taureau, c'est en se cabrant qu'il remplit le ventre de Mauricette, avec son sperme épais. Hugo défonce sa femme comme un enragé, il finit par se bloquer et envoyer dans les entrailles de son épouse plusieurs jets de jus visqueux, ce qui déclenche la jouissance de Mauricette, qui s'écroule sur son jeune amant en haletant.
Hugo, heureux, retire du fondement de sa femme sa verge gluante. Cloé s'en empare et sans demander son reste, l'enfourne dans sa bouche. Elle suce et tète férocement le gland violacé en le mordillant de temps en temps. Hugo est aux anges, sa fille lui fait la pipe de sa vie. Il gémit en grognant comme un animal agonisant.
Tout en suçant, Cloé lui presse les couilles. L'effet est presque immédiat, il envoie dans la bouche de sa fille un flot interminable de sperme.
Cloé lâche le manche de chair, elle profite que sa maman se redresse pour l'embrasser et partager avec elle le sperme d'Hugo. Les longs gémissements étouffés des deux femmes relancent la machine. Loïc donne de grands coups de reins comme pour traverser Mauricette, qui à chaque coup sursaute, sans lâcher la bouche de sa fille.
Le sperme s'échappe aux commissures des lèvres des deux amantes incestueuses. Loïc remplit une seconde fois le ventre de Mauricette, qui sans se séparer de sa fille, agite son bassin, en gémissant. Soudain, elle repousse Cloé, se cambre comme un pont en pleine tempête, et en poussant un long râle, jouit. Elle descend difficilement de sa monture et reste immobile sur le sol. Sa fille insatiable se jette comme une furie entre ses cuisses et lui dévore la chatte en aspirant un maximum de sperme. Loïc regarde Hugo, et lui dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :
— Hugo, ta bite est magnifique, viens, je vais la sucer !
Hugo est surpris, mais se souvenant des paroles de sa fille, qui lui avait dit que Loïc faisait l'amour aussi avec son père. Il s'avance prêt pour une nouvelle expérience. Il s'allonge sur le sol, Loïc saisit le membre qui ne baisse pas la tête, l'agite férocement avant de le prendre en bouche. Il s'avère que Loïc pour la fellation est redoutable, Hugo gémit sous les aspirations puissantes de son amant.
Il ne résiste pas longtemps au traitement que lui inflige le jeune homme. En rugissant comme un fauve, il envoie dans la bouche du suceur son sperme épais. Loïc avale rapidement la crème épaisse et enjambe Hugo, il reprend la verge et la dirige vers son anus. Hugo laisse faire, aujourd'hui, il aura connu deux anus, pour son plus grand plaisir. Loïc s'empale sur le membre et en s'agitant comme un forcené, cherche sa jouissance.
Mauricette est au summum du bonheur elle découvre pleins de nouvelles choses sexuelles. C'est en gémissant sous les coups de langue de sa fille, qu'elle voit pour la première fois un homme se faire sodomiser.
Loïc, en soufflant fortement, fait de son corps un ascenseur qui monte et qui descend sur le pal qui l'embroche. Hugo n'en revient pas. Cette pratique homo fait gonfler sa queue encore davantage. Il donne un coup de reins puissant à chaque descente du corps de son amant.
La bouche avide de Cloé, fait des ravages sur les orifices de sa maman. Mauricette s'agite en grimaçant, elle est proche de la jouissance. mais lorsque Cloé lui enfonce sa langue dans le rectum c'est la libération, une jouissance hors norme la fait hurler. Rapidement Cloé se met tête bêche sur sa maman, et les deux dans un élan de folie, se dévore jusqu'à obtention d'une jouissance mutuelle.
Loïc pousse des gémissants qui résonnent dans la pièce, c'est dans un long râle qu'il envoie sur le torse d'Hugo plusieurs jets de sperme. Accroché à son jeune amant Hugo pousse un cri de bête en remplissant l'intestin de Loïc avec sa crème brulante. Après un court repos bien mérité, le quatuor reprend les ébats. Mauricette est soumise à de multiples pénétrations, tout autant que sa fille. les deux femmes jouissent tellement qu'elles sont au bord de la syncope. Mais les deux hommes, dans une forme inhabituelle, ne sont pas rassasiés. Hugo subit sa première sodomie, il se fait défroncer par un jeune étalon déchainé. C'est totalement épuisé que les quatre restent un bon moment allongé sur le sol, en haletant comme des sprinteurs en fin de course.
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