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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/11/2024
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kimono
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KIMONO
Elle frappa à la porte. Rituel et nécessité pour se voir accéder l'accès au bureau de celui qui était son supérieur.
— Oui?
Il était installé derrière sa table de travail annotant des rapports.
— Tu voulais me parler?
— Effectivement.
Difficile qu'il y ait un rapport apaisé quand on a été collègues jusqu'à deux mois plus tôt et que l'un a une promo et devient le supérieur hiérarchique de l'autre.
Cela implique forcément qu'une relation basée sur des positions identiques bascule sur autre chose. Un autre chose pas forcément très positif. Ou alors il fallait avoir l'intelligence de séparer la relation humaine et la relation hiérarchique fraîchement développée.
Richard et elle avaient été vraiment proches. Ils travaillaient ensemble, dans le même bureau, mais ils passaient aussi pas mal d'heures libres ensemble. Ils avaient été manger ensemble, ils avaient fait du sport ensemble, ils avaient aussi géré des sorties ensemble...
Elle avait vite compris. Se maudissant d'être naïve en espérant tout d'abord que cette relation chaleureuse, dans une réelle bonne entente, se maintiendrait.
Depuis le jour où il était devenu son chef, il ne l'avait plus jamais contactée. Restant bien à distance, et lui transmettant des ordres par mail. Elle avait été sidérée, puis peinée.
Cela faisait quatre mois qu'ils ne s'étaient même pas vus. Son nouveau bureau était à l'étage au dessus. Elle ne l'avait même pas croisé dans l'ascenseur. Et encore moins dans les couloirs. Ils n'appartenaient plus au même monde.
Et voilà que, toujours par mail, il la convoquait. Un mail comme toujours, sec et laconique, alors qu'il aurait pu descendre un étage et venir la trouver.
Je souhaite te voir.
Signé par ses initiales.
Kiara se demandait bien ce qu'il lui voulait. Une tâche à lui confier? Des reproches concernant son travail. En d'autres temps, quand ils travaillaient ensemble, il lui avait dit : 'Je n'ai jamais eu une collègue comme toi, aussi consciencieuse et investie.'
Mais ça, c'était avant.
Elle poussa la porte derrière elle. De plus en plus curieuse de savoir pourquoi il l'avait contactée. Quatre mois sans se voir, sans se parler.
Il était fidèle à lui-même. Il était vraiment BEAU. La nature l'avait doté de cartes majeures. Même s'il était aussi vrai que la beauté était et restait subjective. Aux goûts de Kiara, il était incontestablement très attirant. Un visage harmonieux et un corps entretenu par le sport, dont elle avait pu avoir pas mal d'aperçus quand ils jouaient au tennis par exemple.
D'ailleurs, il était difficile de ne pas savoir qu'il avait du charme. C'était l'un des sujets de discussion des filles de l'entreprise, quand elles parlaient entre elles. Dans les couloirs, à la machine à café, à la cantine. Avec des mots parfois très crus. 'J'ai passé la soirée à me branler en pensant à lui.' Ou encore: 'Je donnerais n'importe quoi pour lui sucer la queue.' Ou bien 'Il me fait mouiller. Quand je le vois, je suis toute trempée. Je prends toujours un voire plusieurs slips de rechange.' Et même: 'Quand j'ai une queue dans le ventre, j'imagine que c'est la sienne.'
Kiara pouvait-elle dire qu'elle ressentait les mêmes sentiments? Difficile à dire. Ils avaient été très proches. Elle ne s'était pas posé de questions. Il ne s'était rien passé de sexuel entre eux, même s'ils étaient vraiment très souvent ensemble.
— Je dois vous dire tu ou vous?, elle demanda avec pas mal d'ironie dans la voix, une fois qu'elle eut avancé jusqu'à son bureau.
Pas un sourire. Il s'était visiblement adapté à sa fonction.
Elle fut très surprise de l'entendre lui répondre:
— Je pense qu'on peut continuer à se tutoyer.
— Je n'en suis pas sûre, répondit Kiara. Je vois bien que vous êtes un rang au dessus de moi. Et que cela implique un changement radical dans nos relations.
Il sembla embarrassé par ce qui était pourtant une évidence. Il lui répondit, s'engageant sur un terrain qu'elle n'avait pas abordé, elle pensait juste à des rapports formels.
— C'est que...Je me retrouve avec beaucoup de responsabilités. Je n'ai plus le temps de voir personne.
Il y eut un blanc. Il semblait réellement regretter cet état de fait. Et elle se rendit compte que c'était aussi le cas pour elle. Mais il se reprit, et retrouva sa posture de chef.
Elle aurait pu utiliser une phrase cliché, mais qu'elle trouvait vraie. 'C'était le bon temps.' Et pourtant ce cliché se révélait vrai. Ils avaient passé de bons moments ensemble.
Elle choisit de continuer sur le 'vous'. Histoire de le déstabiliser encore plus.
— Vous vouliez me voir?
— Oui, je...Enfin, on m'a demandé d'évoquer avec vous(Il avait choisi lui aussi, vu son attitude, de rester sur le vous)...Vos tenues...
Kiara fut décontenancée. Elle s'attendait à tout...Sauf à ça...
— Mes tenues?
— Elles détonnent. Et on en parle.
— J'avais cru comprendre qu'ici le casual clothing avait adopté par tout le monde. Vous même, il me semble que vous portez un pantalon de survêtement et un hoodie, non ?
— Des tenues décontractées, la liberté de s'habiller, tant que l'on reste correct.
— Je serais...Indécente?...Je ne le pense pas.
— Je suis neutre. Mais ce n'est pas le cas de tout le monde.
Il semblait tendu. Kiara comprenait bien qu'il trouvait la situation peu évidente. Même en montant d'un cran, difficile d'oublier tous les bons moments qu'ils avaient eu ensemble. Il se sentait mal à l'aise, ça voyait bien.
— Vous vous souvenez de Fanny? Elle est aujourd'hui sur un autre lieu. Elle portait des tenues...Qui mettaient les hommes dans tous leurs états...Des tissus à même la peau...Et rien dessous...Non, ce que je dis n'est pas vrai. Elle avait toujours un soutien-gorge, parce qu'elle avait une poitrine lourde, et elle était obsédée par le fait qu'elle puisse devenir tombante. Une fois, elle était assise près de moi, on préparait un dossier ensemble, elle avait une jupe courte qui était remontée, je peux vous dire qu'elle était cul nu dessous et qu'on voyait bien sa moule.
La meilleure défense c'est sans doute l'attaque. D'autant que Kiara ne voyait sincèrement pas ce qu'on pouvait lui reprocher. Elle avait toujours été très pudique, et à mille lieux de Fanny.
Il semblait de plus en plus mal à l'aise. Son nouveau poste devait lui plaire, mais sans doute pas les responsabilités qui allaient avec. On aurait dit quelqu'un qui doit plonger dans une piscine, mais qui n'aime pas l'eau, et qui hésite, hésite.
Il se lança enfin.
— Le problème, ce sont vos kimonos.
— Mes kimonos?
Elle s'attendait à tout sauf à ça.
Cela faisait des années qu'elle était fascinée par la culture japonaise. Elle avait lu des tonnes d'ouvrages sur le sujet. Elle avait enfin décidé d'économiser pour se payer un voyage au Japon. Se disant que c'était maintenant ou jamais, à 33 ans.
Deux semaines qu'elle ne risquait pas d'oublier. Elle y pensait encore, et très souvent. La beauté des lieux, cette culture autre...Elle avait aimé ces échos constants entre ce qu'elle savait et ce qu'elle découvrait.
Dans l'argent qu'elle avait économisé, elle avait réservé une somme pour s'acheter des kimonos. De vrais kimonos, qu'elle avait ramenés. Son premier contact avec la culture japonaise, ça avait été un album qu'elle avait eu petite, intitulé kimonos, qu'elle avait feuilleté, refeuilleté...Et qu'elle avait toujours.
Plusieurs robes traditionnelles. De toute beauté.
Le hasard avait fait que, de retour en Europe, elle avait trouvé dans une friperie, selon la patronne, laissés par une jeune femme japonaise qui avait vécu en France un moment, avant de rentrer chez elle, une série de kimonos en très bon état, dont elle avait aussi fait l'acquisition.
De la sorte, elle se trouvait à la tête d'un vestiaire japonais.
Et depuis, cela faisait deux ans maintenant, elle se partageait entre des tenues à l'européenne et ces kimonos.
Ca n'avait jamais dérangé personne. Jusqu'à maintenant. Et même pas lui quand, quelques mois plus tôt, elle était sa collègue.
Ainsi elle se sentait japonaise, et tout en étant ici, elle repartait là-bas. Le Japon n'était pas le paradis absolu, loin de là, mais elle aurait aimé y séjourner plus souvent.
— Et je pense savoir pourquoi cela pose problème...
En elle, une colère froide, qui tenait à plusieurs éléments, qui s'additionnaient.
— Le kimono appartient à la culture japonaise et certains estiment qu'il n'est pas à sa place ici.
— Il me semble que les cartes-mère que nous fabriquons sont vendues dans 40 pays. Dont le Japon...
Clairement, il était de plus en plus désemparé. Il obéissait à une obligation qui lui avait été faite, mais il s'en mordait les doigts maintenant. Il aurait souhaité ne jamais l'avoir convoquée. Et maintenant que ça se termine au plus vite.
— Il y a eu un mail d'une employée à la direction. Elle estime que vous ne devez pas vous habiller comme ça.
— C'est un ultimatum?
— Il ne faut pas le prendre comme ça.
Kiara était habitée par une sorte de démon, un démon japonais, qui lui donnait envie de le pousser dans ses retranchements. La colère de cette attaque qu'elle trouvait injustifiée, mais aussi le fait qu'il soit de plus en plus mal à l'aise.
— Il y a quand même quelque chose que j'aimerais savoir. Quelle est la véritable nature de nos relations ? Je me suis toujours posé des questions. On a passé des heures ensemble, au bureau, en dehors du bureau.On a été très très proches. Je suis une fille, tu(elle se rendit compte qu'elle venait de rebasculer sur le tutoiement, mais elle s'en fichait) es un homme, et je me suis toujours demandée si tu n'avais pas envie que quelque chose se passe entre nous. Mais évidemment, maintenant, tu ne pourras que le nier, puisque tu es d'un rang supérieur à moi, et donc tu ne peux pas te compromettre avec une inférieure. Et c'est vrai aussi que je ne t'intéresse sans doute plus. Je suis trop basse pour toi.
— Tu te trompes totalement sur ma démarche...
Il ne savait plus quoi dire. On aurait dit en tout cas, et ça s'affirmait de minute en minute, qu'il y avait une sorte de regret dans son attitude.
Assez ironiquement, ce jour-là, Kiara portait un kimono. Elle en avait trouvé plusieurs autres pièces, et elle était à la tête d'une belle collection. Celui-là, était magnifique, bleu azur avec dessus des séries de fleurs.
— Et celui-là de kimono, il te plaît, ou il ne te plaît pas ?
— Je n'ai pas d'opinion à donner. Je me dois d'être neutre dans ma fonction.
— Tu vois, le mail de l'employée serait encore pire si elle savait ce qu'elle ne sait pas.
— Tu fais référence à quoi?
En guise de réponse, Kiara défit la ceinture, nouée à sa taille, qui maintenait le kimono, serrant étroitement le tissu à son corps, et elle en écarta les pans. Largement.
Dessous, elle était entièrement nue. Son corps exhibé, offert à celui qui avait été son collègue, et qui était maintenant son supérieur hiérarchique. Pas de soutien-gorge, pas de slip, mais par contre des bas stay-up, et une paire d'escarpins qui lui donnaient une dizaine de centimètres en plus et la grandissaient.
A l'expression de Richard, elle vit qu'il était totalement perdu. Comme tout homme, sans aucun doute, il était troublé par sa nudité, mais allait sans aucun doute au-delà. Il y avait quelque chose qui remontait clairement, le désir qu'il avait pour elle depuis des mois, qu'il avait masqué, étouffé, et qui là explosait en lui.
C'était vrai que Kiara était une très jolie fille. Elle était très grande, avec des formes bien marquées, et qui là, étaient clairement révélées. Jusqu'à présent, il l'avait toujours vue à travers le prisme du vêtement. C'était la première fois qu'il prenait sa nudité de plein fouet.
— Tu vois ce qu'il y a sous mon kimono. Ca te plaît?
De la provocation à l'état pur. Richard ne savait plus quoi dire. Son regard glissait sur elle. Ses seins lourds et fermes, aux pointes dressées, ses hanches pleines, la toison qui marquait son pubis, brune et brillante comme ses cheveux, ses jambes, impeccablement dessinées. Elle était féminine, sensuelle et désirable.
— Je ne mets jamais rien sous un kimono quand j'en porte un. Je me sens totalement habillée avec sans avoir besoin d'un autre parement. J'aime sentir son soyeux, son poids contre moi. Si elle le savait. Elle tomberait raide morte.
Elle était au milieu du bureau. Elle s'approcha, contourna la pièce métallique. Il était totalement perdu. Elle vint se poser juste près de lui.
— Tu peux regarder autant que tu veux, mais aussi toucher. Ca te dit?
Elle n'agissait pas que par provocation. Elle en avait aussi envie.
Il y eut un moment de flottement. Pour l'inciter à agir, sans doute, Kiara se pencha sur lui. Sa queue en pleine érection faisait une bosse énorme, d'autant plus visible qu'il portait un pantalon de survêtement. Kiara empoigna la verge à travers le tissu, la trouvant charnue et déjà bien raide, et la massa doucement. Richard poussa un gémissement.
Il se redressa et vint poser ses mains sur la chair de la jeune femme. Kiara ressentit du plaisir dès les premières secondes. Ses mains étaient douces, chaudes, et il savait caresser. Apparemment, à en juger par son expression, Richard éprouvait aussi du plaisir à avoir sa chair au bout des doigts. Il explorait son corps avec l'envie d'aller partout, de découvrir mais aussi de caresser.
Ils en avaient sans doute envie autant l'un que l'autre depuis trop longtemps. Il avait fallu ce moment de tension pour que ça bascule entre eux. Un mal pour un bien finalement.
Ses épaules, ses seins dont il vint frotter les tétons qui étaient déjà durs, ses hanches, ses cuisses...Avec timidité, il vint se balader dans sa toison, avant de descendre jusqu'à son sexe.
— Tu peux mettre tes doigts partout, l'encouragea Kiara. Dessus et dedans.
Ça le libéra de ses hésitations et de sa timidité. De la main, il partit à la découverte d'un sexe féminin que l'excitation avait déjà bien dilaté. Caressa les lèvres qui se gorgeaient de sang, remonta sur le gland clitoridien qui s'était décalotté, vint à l'entrée de sa fente, qui se dilatait. Elle attrapa sa main, en récupéra deux doigts, l'index et le majeur, qu'elle réunit et fit glisser en elle, aller et venir, comme s'il s'était agi d'une queue rudimentaire. Elle gémit, et il sentit autour de ses doigts qu'elle ruisselait littéralement, trempant sa main de liquides qui vinrent couler sur son poignet puis le long de son avant-bras, tachant la manche du hoodie.
Parce qu'elle avait envie de la voir, de la toucher, de la caresser avec plus de précision, Kiara baissa son pantalon pour mettre sa verge à nu. Elle découvrit avec bonheur une queue aussi charnue que longue. A l'idée de pouvoir jouer avec, de pouvoir la prendre en elle, elle se sentait toute chose, le ventre en feu et la chatte dégoulinante.
Pris par la contrainte sociale, ils avaient trop voulu refouler ce qui était une évidence dans leur relation.
— Je vais te caresser avec ma bouche, tu es d'accord?
Son silence avait valeur d'acquiescement.
Kiara avait posé ses fesses sur le bord du bureau et elle s'était penchée sur la queue. Décidée à donner le meilleur d'elle-même. Mais elle avait déjà accompli pas mal de fellations, et elle se sentait capable de faire de ce moment un moment magistral.
Il poussa un gémissement quand sa langue vint effleurer son gland, avant d'y rester, lapant le liquide qui sortait de son méat, d'abord peu abondant, puis dans les proportions d'une véritable fontaine.
— C'est trop bon, gémit Richard.
— Tu en avais envie...
— Depuis le début je crois. Je t'ai tout de suite trouvée hyper attirante, précisa-t-il pendant qu'elle gainait son gland de sa bouche, avalait un peu plus de sa queue, et faisait aller et venir sa bouche dessus, sa bouche et sa gorge se remplissant de liquide pré-sécrétif.
Elle le suça ainsi pendant un moment, avant de descendre sur deux grosses couilles toutes gonflées et de les mordiller délicatement. Il se passa quelque chose, la caresse était sans doute inattendue, inédite peut-être, car il balança des traits de sperme dans les airs, sans pour autant débander.
— Tu as un autre rendez-vous?
— Non, rien cet après-midi. Mais il vaudrait peut-être mieux bloquer la porte.
— J'ai envie de sentir ta queue dans ma chatte...Ca te dit de continuer?
— Comment dire non?
Elle alla fermer, le kimono flottant autour d'elle. En se posant la question d'une quelconque protection, mais, en revenant vers lui, elle se rendit compte qu'il avait ouvert un tiroir de son bureau et posé sur la table une boite de préservatifs, dont elle avait tiré un élément, qu'elle faisait coulisser sur sa queue. Ca arrangeait tout, au final.
Kiara vint se positionner au-dessus de la verge, qui palpitait de désir. Elle avait très envie, elle s'en rendait compte, mais lui aussi. Ils auraient sans doute du laisser libre cours à leurs envies plus tôt, mais ils n'étaient pas forcément conscients de celles-ci, les refoulant. Il avait fallu cette histoire de kimono pour qu'ils basculent.
Elle se laissa glisser sur la verge congestionnée, jusqu'à ce que celle-ci vienne cogner contre son utérus. Depuis combien de temps ils avaient envie de l'autre, sans vraiment le dire? Le début, ou c'était venu progressivement? Difficile de le savoir, il aurait fallu qu'ils soient plus au clair avec eux-mêmes.
Ce qui était clair pour le moment c'est qu'il y avait ces deux sexes emboîtés, et le plaisir qui s'étalait autour d'eux, quelque chose de paisible, de rassurant, la satisfaction, enfin, d'une envie, et la venue d'une jouissance qui finit par exploser en eux, elle d'abord, lui ensuite.
Elle se dégagea de sur cette verge qui demeurait très dure. Il aurait sans doute bien pris qu'ils aillent plus loin. Dans le contexte du travail, c'était trop risqué. Ils avaient déjà bien joué, trop joué sur l'élément temps.
Il la regarda se remballer dans l'élément du délit, et resserrer la ceinture qui permettait au vêtement de tenir.
— Si tu y réfléchis bien, je suis sans doute la plus pudique ici. Je ne dévoile rien. Et je continuerai de porter des kimonos. Ce sera à toi et à tes supérieurs de voir ce que vous faites.
Elle ferma la porte du bureau, laissant Richard totalement décontenancé.
Elle frappa à la porte. Rituel et nécessité pour se voir accéder l'accès au bureau de celui qui était son supérieur.
— Oui?
Il était installé derrière sa table de travail annotant des rapports.
— Tu voulais me parler?
— Effectivement.
Difficile qu'il y ait un rapport apaisé quand on a été collègues jusqu'à deux mois plus tôt et que l'un a une promo et devient le supérieur hiérarchique de l'autre.
Cela implique forcément qu'une relation basée sur des positions identiques bascule sur autre chose. Un autre chose pas forcément très positif. Ou alors il fallait avoir l'intelligence de séparer la relation humaine et la relation hiérarchique fraîchement développée.
Richard et elle avaient été vraiment proches. Ils travaillaient ensemble, dans le même bureau, mais ils passaient aussi pas mal d'heures libres ensemble. Ils avaient été manger ensemble, ils avaient fait du sport ensemble, ils avaient aussi géré des sorties ensemble...
Elle avait vite compris. Se maudissant d'être naïve en espérant tout d'abord que cette relation chaleureuse, dans une réelle bonne entente, se maintiendrait.
Depuis le jour où il était devenu son chef, il ne l'avait plus jamais contactée. Restant bien à distance, et lui transmettant des ordres par mail. Elle avait été sidérée, puis peinée.
Cela faisait quatre mois qu'ils ne s'étaient même pas vus. Son nouveau bureau était à l'étage au dessus. Elle ne l'avait même pas croisé dans l'ascenseur. Et encore moins dans les couloirs. Ils n'appartenaient plus au même monde.
Et voilà que, toujours par mail, il la convoquait. Un mail comme toujours, sec et laconique, alors qu'il aurait pu descendre un étage et venir la trouver.
Je souhaite te voir.
Signé par ses initiales.
Kiara se demandait bien ce qu'il lui voulait. Une tâche à lui confier? Des reproches concernant son travail. En d'autres temps, quand ils travaillaient ensemble, il lui avait dit : 'Je n'ai jamais eu une collègue comme toi, aussi consciencieuse et investie.'
Mais ça, c'était avant.
Elle poussa la porte derrière elle. De plus en plus curieuse de savoir pourquoi il l'avait contactée. Quatre mois sans se voir, sans se parler.
Il était fidèle à lui-même. Il était vraiment BEAU. La nature l'avait doté de cartes majeures. Même s'il était aussi vrai que la beauté était et restait subjective. Aux goûts de Kiara, il était incontestablement très attirant. Un visage harmonieux et un corps entretenu par le sport, dont elle avait pu avoir pas mal d'aperçus quand ils jouaient au tennis par exemple.
D'ailleurs, il était difficile de ne pas savoir qu'il avait du charme. C'était l'un des sujets de discussion des filles de l'entreprise, quand elles parlaient entre elles. Dans les couloirs, à la machine à café, à la cantine. Avec des mots parfois très crus. 'J'ai passé la soirée à me branler en pensant à lui.' Ou encore: 'Je donnerais n'importe quoi pour lui sucer la queue.' Ou bien 'Il me fait mouiller. Quand je le vois, je suis toute trempée. Je prends toujours un voire plusieurs slips de rechange.' Et même: 'Quand j'ai une queue dans le ventre, j'imagine que c'est la sienne.'
Kiara pouvait-elle dire qu'elle ressentait les mêmes sentiments? Difficile à dire. Ils avaient été très proches. Elle ne s'était pas posé de questions. Il ne s'était rien passé de sexuel entre eux, même s'ils étaient vraiment très souvent ensemble.
— Je dois vous dire tu ou vous?, elle demanda avec pas mal d'ironie dans la voix, une fois qu'elle eut avancé jusqu'à son bureau.
Pas un sourire. Il s'était visiblement adapté à sa fonction.
Elle fut très surprise de l'entendre lui répondre:
— Je pense qu'on peut continuer à se tutoyer.
— Je n'en suis pas sûre, répondit Kiara. Je vois bien que vous êtes un rang au dessus de moi. Et que cela implique un changement radical dans nos relations.
Il sembla embarrassé par ce qui était pourtant une évidence. Il lui répondit, s'engageant sur un terrain qu'elle n'avait pas abordé, elle pensait juste à des rapports formels.
— C'est que...Je me retrouve avec beaucoup de responsabilités. Je n'ai plus le temps de voir personne.
Il y eut un blanc. Il semblait réellement regretter cet état de fait. Et elle se rendit compte que c'était aussi le cas pour elle. Mais il se reprit, et retrouva sa posture de chef.
Elle aurait pu utiliser une phrase cliché, mais qu'elle trouvait vraie. 'C'était le bon temps.' Et pourtant ce cliché se révélait vrai. Ils avaient passé de bons moments ensemble.
Elle choisit de continuer sur le 'vous'. Histoire de le déstabiliser encore plus.
— Vous vouliez me voir?
— Oui, je...Enfin, on m'a demandé d'évoquer avec vous(Il avait choisi lui aussi, vu son attitude, de rester sur le vous)...Vos tenues...
Kiara fut décontenancée. Elle s'attendait à tout...Sauf à ça...
— Mes tenues?
— Elles détonnent. Et on en parle.
— J'avais cru comprendre qu'ici le casual clothing avait adopté par tout le monde. Vous même, il me semble que vous portez un pantalon de survêtement et un hoodie, non ?
— Des tenues décontractées, la liberté de s'habiller, tant que l'on reste correct.
— Je serais...Indécente?...Je ne le pense pas.
— Je suis neutre. Mais ce n'est pas le cas de tout le monde.
Il semblait tendu. Kiara comprenait bien qu'il trouvait la situation peu évidente. Même en montant d'un cran, difficile d'oublier tous les bons moments qu'ils avaient eu ensemble. Il se sentait mal à l'aise, ça voyait bien.
— Vous vous souvenez de Fanny? Elle est aujourd'hui sur un autre lieu. Elle portait des tenues...Qui mettaient les hommes dans tous leurs états...Des tissus à même la peau...Et rien dessous...Non, ce que je dis n'est pas vrai. Elle avait toujours un soutien-gorge, parce qu'elle avait une poitrine lourde, et elle était obsédée par le fait qu'elle puisse devenir tombante. Une fois, elle était assise près de moi, on préparait un dossier ensemble, elle avait une jupe courte qui était remontée, je peux vous dire qu'elle était cul nu dessous et qu'on voyait bien sa moule.
La meilleure défense c'est sans doute l'attaque. D'autant que Kiara ne voyait sincèrement pas ce qu'on pouvait lui reprocher. Elle avait toujours été très pudique, et à mille lieux de Fanny.
Il semblait de plus en plus mal à l'aise. Son nouveau poste devait lui plaire, mais sans doute pas les responsabilités qui allaient avec. On aurait dit quelqu'un qui doit plonger dans une piscine, mais qui n'aime pas l'eau, et qui hésite, hésite.
Il se lança enfin.
— Le problème, ce sont vos kimonos.
— Mes kimonos?
Elle s'attendait à tout sauf à ça.
Cela faisait des années qu'elle était fascinée par la culture japonaise. Elle avait lu des tonnes d'ouvrages sur le sujet. Elle avait enfin décidé d'économiser pour se payer un voyage au Japon. Se disant que c'était maintenant ou jamais, à 33 ans.
Deux semaines qu'elle ne risquait pas d'oublier. Elle y pensait encore, et très souvent. La beauté des lieux, cette culture autre...Elle avait aimé ces échos constants entre ce qu'elle savait et ce qu'elle découvrait.
Dans l'argent qu'elle avait économisé, elle avait réservé une somme pour s'acheter des kimonos. De vrais kimonos, qu'elle avait ramenés. Son premier contact avec la culture japonaise, ça avait été un album qu'elle avait eu petite, intitulé kimonos, qu'elle avait feuilleté, refeuilleté...Et qu'elle avait toujours.
Plusieurs robes traditionnelles. De toute beauté.
Le hasard avait fait que, de retour en Europe, elle avait trouvé dans une friperie, selon la patronne, laissés par une jeune femme japonaise qui avait vécu en France un moment, avant de rentrer chez elle, une série de kimonos en très bon état, dont elle avait aussi fait l'acquisition.
De la sorte, elle se trouvait à la tête d'un vestiaire japonais.
Et depuis, cela faisait deux ans maintenant, elle se partageait entre des tenues à l'européenne et ces kimonos.
Ca n'avait jamais dérangé personne. Jusqu'à maintenant. Et même pas lui quand, quelques mois plus tôt, elle était sa collègue.
Ainsi elle se sentait japonaise, et tout en étant ici, elle repartait là-bas. Le Japon n'était pas le paradis absolu, loin de là, mais elle aurait aimé y séjourner plus souvent.
— Et je pense savoir pourquoi cela pose problème...
En elle, une colère froide, qui tenait à plusieurs éléments, qui s'additionnaient.
— Le kimono appartient à la culture japonaise et certains estiment qu'il n'est pas à sa place ici.
— Il me semble que les cartes-mère que nous fabriquons sont vendues dans 40 pays. Dont le Japon...
Clairement, il était de plus en plus désemparé. Il obéissait à une obligation qui lui avait été faite, mais il s'en mordait les doigts maintenant. Il aurait souhaité ne jamais l'avoir convoquée. Et maintenant que ça se termine au plus vite.
— Il y a eu un mail d'une employée à la direction. Elle estime que vous ne devez pas vous habiller comme ça.
— C'est un ultimatum?
— Il ne faut pas le prendre comme ça.
Kiara était habitée par une sorte de démon, un démon japonais, qui lui donnait envie de le pousser dans ses retranchements. La colère de cette attaque qu'elle trouvait injustifiée, mais aussi le fait qu'il soit de plus en plus mal à l'aise.
— Il y a quand même quelque chose que j'aimerais savoir. Quelle est la véritable nature de nos relations ? Je me suis toujours posé des questions. On a passé des heures ensemble, au bureau, en dehors du bureau.On a été très très proches. Je suis une fille, tu(elle se rendit compte qu'elle venait de rebasculer sur le tutoiement, mais elle s'en fichait) es un homme, et je me suis toujours demandée si tu n'avais pas envie que quelque chose se passe entre nous. Mais évidemment, maintenant, tu ne pourras que le nier, puisque tu es d'un rang supérieur à moi, et donc tu ne peux pas te compromettre avec une inférieure. Et c'est vrai aussi que je ne t'intéresse sans doute plus. Je suis trop basse pour toi.
— Tu te trompes totalement sur ma démarche...
Il ne savait plus quoi dire. On aurait dit en tout cas, et ça s'affirmait de minute en minute, qu'il y avait une sorte de regret dans son attitude.
Assez ironiquement, ce jour-là, Kiara portait un kimono. Elle en avait trouvé plusieurs autres pièces, et elle était à la tête d'une belle collection. Celui-là, était magnifique, bleu azur avec dessus des séries de fleurs.
— Et celui-là de kimono, il te plaît, ou il ne te plaît pas ?
— Je n'ai pas d'opinion à donner. Je me dois d'être neutre dans ma fonction.
— Tu vois, le mail de l'employée serait encore pire si elle savait ce qu'elle ne sait pas.
— Tu fais référence à quoi?
En guise de réponse, Kiara défit la ceinture, nouée à sa taille, qui maintenait le kimono, serrant étroitement le tissu à son corps, et elle en écarta les pans. Largement.
Dessous, elle était entièrement nue. Son corps exhibé, offert à celui qui avait été son collègue, et qui était maintenant son supérieur hiérarchique. Pas de soutien-gorge, pas de slip, mais par contre des bas stay-up, et une paire d'escarpins qui lui donnaient une dizaine de centimètres en plus et la grandissaient.
A l'expression de Richard, elle vit qu'il était totalement perdu. Comme tout homme, sans aucun doute, il était troublé par sa nudité, mais allait sans aucun doute au-delà. Il y avait quelque chose qui remontait clairement, le désir qu'il avait pour elle depuis des mois, qu'il avait masqué, étouffé, et qui là explosait en lui.
C'était vrai que Kiara était une très jolie fille. Elle était très grande, avec des formes bien marquées, et qui là, étaient clairement révélées. Jusqu'à présent, il l'avait toujours vue à travers le prisme du vêtement. C'était la première fois qu'il prenait sa nudité de plein fouet.
— Tu vois ce qu'il y a sous mon kimono. Ca te plaît?
De la provocation à l'état pur. Richard ne savait plus quoi dire. Son regard glissait sur elle. Ses seins lourds et fermes, aux pointes dressées, ses hanches pleines, la toison qui marquait son pubis, brune et brillante comme ses cheveux, ses jambes, impeccablement dessinées. Elle était féminine, sensuelle et désirable.
— Je ne mets jamais rien sous un kimono quand j'en porte un. Je me sens totalement habillée avec sans avoir besoin d'un autre parement. J'aime sentir son soyeux, son poids contre moi. Si elle le savait. Elle tomberait raide morte.
Elle était au milieu du bureau. Elle s'approcha, contourna la pièce métallique. Il était totalement perdu. Elle vint se poser juste près de lui.
— Tu peux regarder autant que tu veux, mais aussi toucher. Ca te dit?
Elle n'agissait pas que par provocation. Elle en avait aussi envie.
Il y eut un moment de flottement. Pour l'inciter à agir, sans doute, Kiara se pencha sur lui. Sa queue en pleine érection faisait une bosse énorme, d'autant plus visible qu'il portait un pantalon de survêtement. Kiara empoigna la verge à travers le tissu, la trouvant charnue et déjà bien raide, et la massa doucement. Richard poussa un gémissement.
Il se redressa et vint poser ses mains sur la chair de la jeune femme. Kiara ressentit du plaisir dès les premières secondes. Ses mains étaient douces, chaudes, et il savait caresser. Apparemment, à en juger par son expression, Richard éprouvait aussi du plaisir à avoir sa chair au bout des doigts. Il explorait son corps avec l'envie d'aller partout, de découvrir mais aussi de caresser.
Ils en avaient sans doute envie autant l'un que l'autre depuis trop longtemps. Il avait fallu ce moment de tension pour que ça bascule entre eux. Un mal pour un bien finalement.
Ses épaules, ses seins dont il vint frotter les tétons qui étaient déjà durs, ses hanches, ses cuisses...Avec timidité, il vint se balader dans sa toison, avant de descendre jusqu'à son sexe.
— Tu peux mettre tes doigts partout, l'encouragea Kiara. Dessus et dedans.
Ça le libéra de ses hésitations et de sa timidité. De la main, il partit à la découverte d'un sexe féminin que l'excitation avait déjà bien dilaté. Caressa les lèvres qui se gorgeaient de sang, remonta sur le gland clitoridien qui s'était décalotté, vint à l'entrée de sa fente, qui se dilatait. Elle attrapa sa main, en récupéra deux doigts, l'index et le majeur, qu'elle réunit et fit glisser en elle, aller et venir, comme s'il s'était agi d'une queue rudimentaire. Elle gémit, et il sentit autour de ses doigts qu'elle ruisselait littéralement, trempant sa main de liquides qui vinrent couler sur son poignet puis le long de son avant-bras, tachant la manche du hoodie.
Parce qu'elle avait envie de la voir, de la toucher, de la caresser avec plus de précision, Kiara baissa son pantalon pour mettre sa verge à nu. Elle découvrit avec bonheur une queue aussi charnue que longue. A l'idée de pouvoir jouer avec, de pouvoir la prendre en elle, elle se sentait toute chose, le ventre en feu et la chatte dégoulinante.
Pris par la contrainte sociale, ils avaient trop voulu refouler ce qui était une évidence dans leur relation.
— Je vais te caresser avec ma bouche, tu es d'accord?
Son silence avait valeur d'acquiescement.
Kiara avait posé ses fesses sur le bord du bureau et elle s'était penchée sur la queue. Décidée à donner le meilleur d'elle-même. Mais elle avait déjà accompli pas mal de fellations, et elle se sentait capable de faire de ce moment un moment magistral.
Il poussa un gémissement quand sa langue vint effleurer son gland, avant d'y rester, lapant le liquide qui sortait de son méat, d'abord peu abondant, puis dans les proportions d'une véritable fontaine.
— C'est trop bon, gémit Richard.
— Tu en avais envie...
— Depuis le début je crois. Je t'ai tout de suite trouvée hyper attirante, précisa-t-il pendant qu'elle gainait son gland de sa bouche, avalait un peu plus de sa queue, et faisait aller et venir sa bouche dessus, sa bouche et sa gorge se remplissant de liquide pré-sécrétif.
Elle le suça ainsi pendant un moment, avant de descendre sur deux grosses couilles toutes gonflées et de les mordiller délicatement. Il se passa quelque chose, la caresse était sans doute inattendue, inédite peut-être, car il balança des traits de sperme dans les airs, sans pour autant débander.
— Tu as un autre rendez-vous?
— Non, rien cet après-midi. Mais il vaudrait peut-être mieux bloquer la porte.
— J'ai envie de sentir ta queue dans ma chatte...Ca te dit de continuer?
— Comment dire non?
Elle alla fermer, le kimono flottant autour d'elle. En se posant la question d'une quelconque protection, mais, en revenant vers lui, elle se rendit compte qu'il avait ouvert un tiroir de son bureau et posé sur la table une boite de préservatifs, dont elle avait tiré un élément, qu'elle faisait coulisser sur sa queue. Ca arrangeait tout, au final.
Kiara vint se positionner au-dessus de la verge, qui palpitait de désir. Elle avait très envie, elle s'en rendait compte, mais lui aussi. Ils auraient sans doute du laisser libre cours à leurs envies plus tôt, mais ils n'étaient pas forcément conscients de celles-ci, les refoulant. Il avait fallu cette histoire de kimono pour qu'ils basculent.
Elle se laissa glisser sur la verge congestionnée, jusqu'à ce que celle-ci vienne cogner contre son utérus. Depuis combien de temps ils avaient envie de l'autre, sans vraiment le dire? Le début, ou c'était venu progressivement? Difficile de le savoir, il aurait fallu qu'ils soient plus au clair avec eux-mêmes.
Ce qui était clair pour le moment c'est qu'il y avait ces deux sexes emboîtés, et le plaisir qui s'étalait autour d'eux, quelque chose de paisible, de rassurant, la satisfaction, enfin, d'une envie, et la venue d'une jouissance qui finit par exploser en eux, elle d'abord, lui ensuite.
Elle se dégagea de sur cette verge qui demeurait très dure. Il aurait sans doute bien pris qu'ils aillent plus loin. Dans le contexte du travail, c'était trop risqué. Ils avaient déjà bien joué, trop joué sur l'élément temps.
Il la regarda se remballer dans l'élément du délit, et resserrer la ceinture qui permettait au vêtement de tenir.
— Si tu y réfléchis bien, je suis sans doute la plus pudique ici. Je ne dévoile rien. Et je continuerai de porter des kimonos. Ce sera à toi et à tes supérieurs de voir ce que vous faites.
Elle ferma la porte du bureau, laissant Richard totalement décontenancé.
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