ACCUEIL > Divers > Récit : L'amour sincere est le plus fort 2
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/12/2022
Histoire précèdente <<<
L'amour sincere est le plus fort 2
+7
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/12/2022
Découvrez les filles coquines près de chez vous :
La bouche avide de Morgan s'acharne sur la vulve en ébullition de sa maman, son clito est gonflé terriblement, cela fait des mois qu'elle se refuse à son mari volage, comme elle dit, elle ne veut pas avoir les restes des autres, elle a sa fierté. Là, c'est le contraire, elle jouit sous la bouche de son fils qui lui fait redécouvrir les plaisirs charnels qu'elle avait presque oubliée.
Sa chatte est détrempée, la cyprine s'écoule sur ses cuisses tremblantes. Morgan dévore le bouton magique avec une voracité inouïe. Sa maman se cabre et jouit encore une fois. Sa jouissance est tellement intense, qu'elle repousse brusquement son fils, plaque sa main sur sa chatte en serrant fortement les cuisses, elle geint :
-Mon chéri, tu me fais mourir, mon Dieu, mon Dieu, je suis une maman indigne !
Morgan rapidement retire son pyjama, sa queue, jaillit du pantalon, se tend et oscille sur son bas-ventre. Sa maman regarde avec étonnement le manche aux veines apparentes. Morgan se penche sur sa poitrine, il les petrit les seins en enfonçant profondément ses doigts dans la chair souple. Sa maman grimace, elle serre les dents, elle sursaute lorsque le fils amoureux lui gobe un mamelon et le tète comme un bébé le fait pour s'alimenter. Marion rejette sa tête en arrière, ses yeux sont nébuleux, à chaque succion, elle se cabre. Le coquin alterne les mamelons, les bouts très sollicités font geindre fortement la maman. Morgan s'acharne sur les bouts devenus larges et épais, il les devore avec rage. La respiration de sa maman est rapide, son cœur bat à se rompre dans sa poitrine. Elle grogne comme une bête blessée, sa chatte laisse échapper en abondance sa cyprine.
Elle dit en soufflant fortement :
-Prends-moi mon chéri, prends-moi !
Il répond fébrilement :
-Suce-moi avant maman, suce-moi !
Laissant tous les tabous de côté, la maman, maintenant, se donne sans retenue à son fils. Le bonheur les rend fous l'un de l'autre. Il offre aux lèvres charnues de sa maman son gland qu'il a pris soin de décalotter. Marion saisit d'une main la verge bien raide, ouvre la bouche et gobe le gland violacé. Elle le suce et le tète comme une affamée, sa bouche, fait merveille sur le gland. Le fiston geint de bonheur en répétant :
-Oh maman, oh, maman, toi, toi, comme je t'aime !
Il se bloque et envoie plusieurs giclées de sperme dans la bouche de la suceuse, qui repousse le jouisseur en grimaçant, elle déglutit et finit par tout avaler, d'un revers de la main, elle s'essuie les lèvres. Elle ouvre largement les cuisses, en implorant son fils :
-Prends-moi mon chéri, prends-moi, j'en puis plus !
Morgan prend place entre les jambes écartées de sa maman, il présente son gland gluant à la fente humide, qui palpite d'impatience. Il enfonce son pieu dans le ventre de sa maman d'un seul coup de reins. Elle se cabre en poussant un long râle. Elle est heureuse comme elle ne la jamais été. Son abstinence volontaire, de ces longs mois passés, prend fin entre les bras de son fils.
Son corps délaissé un long moment revit enfin. La verge puissante de son jeune amant coulisse avec vigueur dans sa gaine trop longtemps ignorée. Elle est au summum du bonheur. Chaque enfoncement du mandrin de son fils dans son ventre la fait gémir de plaisir. La vitesse de pénétration augmente en intensité, les râles de la maman aussi.
Sa verge, large et épaisse, rabote les parois du vagin en produisant un effet monstrueux dans le corps de sa maman. Elle s'accroche à son fils comme un animal sur sa proie, se cabre terriblement et jouit en poussant un long gémissement presque inhumain. Le fils volontaire redouble ses coups de boutoir, la maman a plusieurs orgasmes à la suite, ses jouissances à répétitions, font gémir Marion, comme une bête en rut, son corps tremble sans cesse. Ses yeux sont embrumés, ses spasmes incessants, la font délirer, elle halète fortement. Morgan se bloque, et remplit le ventre de sa maman avec sa semence abondante. Il se cabre et répète :
-Je t'aime maman, je t'aime, mon Dieu ce que tu es bonne, je ne comprends pas papa, qui va voir ailleurs ce con !
Encore sous l'effet de la jouissance, elle dit entre deux souffles :
-Moi aussi, je t'aime mon chéri, et je n'ai plus peur de te le dire, je t'aime, je t'aime !
Toujours soudés, l'un à l'autre, les deux amants, s'embrassent fougueusement. Le baiser est si brulant, que seuls des amoureux véritables peuvent le donner.
Sa chatte est détrempée, la cyprine s'écoule sur ses cuisses tremblantes. Morgan dévore le bouton magique avec une voracité inouïe. Sa maman se cabre et jouit encore une fois. Sa jouissance est tellement intense, qu'elle repousse brusquement son fils, plaque sa main sur sa chatte en serrant fortement les cuisses, elle geint :
-Mon chéri, tu me fais mourir, mon Dieu, mon Dieu, je suis une maman indigne !
Morgan rapidement retire son pyjama, sa queue, jaillit du pantalon, se tend et oscille sur son bas-ventre. Sa maman regarde avec étonnement le manche aux veines apparentes. Morgan se penche sur sa poitrine, il les petrit les seins en enfonçant profondément ses doigts dans la chair souple. Sa maman grimace, elle serre les dents, elle sursaute lorsque le fils amoureux lui gobe un mamelon et le tète comme un bébé le fait pour s'alimenter. Marion rejette sa tête en arrière, ses yeux sont nébuleux, à chaque succion, elle se cabre. Le coquin alterne les mamelons, les bouts très sollicités font geindre fortement la maman. Morgan s'acharne sur les bouts devenus larges et épais, il les devore avec rage. La respiration de sa maman est rapide, son cœur bat à se rompre dans sa poitrine. Elle grogne comme une bête blessée, sa chatte laisse échapper en abondance sa cyprine.
Elle dit en soufflant fortement :
-Prends-moi mon chéri, prends-moi !
Il répond fébrilement :
-Suce-moi avant maman, suce-moi !
Laissant tous les tabous de côté, la maman, maintenant, se donne sans retenue à son fils. Le bonheur les rend fous l'un de l'autre. Il offre aux lèvres charnues de sa maman son gland qu'il a pris soin de décalotter. Marion saisit d'une main la verge bien raide, ouvre la bouche et gobe le gland violacé. Elle le suce et le tète comme une affamée, sa bouche, fait merveille sur le gland. Le fiston geint de bonheur en répétant :
-Oh maman, oh, maman, toi, toi, comme je t'aime !
Il se bloque et envoie plusieurs giclées de sperme dans la bouche de la suceuse, qui repousse le jouisseur en grimaçant, elle déglutit et finit par tout avaler, d'un revers de la main, elle s'essuie les lèvres. Elle ouvre largement les cuisses, en implorant son fils :
-Prends-moi mon chéri, prends-moi, j'en puis plus !
Morgan prend place entre les jambes écartées de sa maman, il présente son gland gluant à la fente humide, qui palpite d'impatience. Il enfonce son pieu dans le ventre de sa maman d'un seul coup de reins. Elle se cabre en poussant un long râle. Elle est heureuse comme elle ne la jamais été. Son abstinence volontaire, de ces longs mois passés, prend fin entre les bras de son fils.
Son corps délaissé un long moment revit enfin. La verge puissante de son jeune amant coulisse avec vigueur dans sa gaine trop longtemps ignorée. Elle est au summum du bonheur. Chaque enfoncement du mandrin de son fils dans son ventre la fait gémir de plaisir. La vitesse de pénétration augmente en intensité, les râles de la maman aussi.
Sa verge, large et épaisse, rabote les parois du vagin en produisant un effet monstrueux dans le corps de sa maman. Elle s'accroche à son fils comme un animal sur sa proie, se cabre terriblement et jouit en poussant un long gémissement presque inhumain. Le fils volontaire redouble ses coups de boutoir, la maman a plusieurs orgasmes à la suite, ses jouissances à répétitions, font gémir Marion, comme une bête en rut, son corps tremble sans cesse. Ses yeux sont embrumés, ses spasmes incessants, la font délirer, elle halète fortement. Morgan se bloque, et remplit le ventre de sa maman avec sa semence abondante. Il se cabre et répète :
-Je t'aime maman, je t'aime, mon Dieu ce que tu es bonne, je ne comprends pas papa, qui va voir ailleurs ce con !
Encore sous l'effet de la jouissance, elle dit entre deux souffles :
-Moi aussi, je t'aime mon chéri, et je n'ai plus peur de te le dire, je t'aime, je t'aime !
Toujours soudés, l'un à l'autre, les deux amants, s'embrassent fougueusement. Le baiser est si brulant, que seuls des amoureux véritables peuvent le donner.
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : L'amour sincere est le plus fort 2
Le 21/07/2023 - 14:57 par Balista1
C'est à ce moment que le père apparait au sommet de l'escalier, la bite à l'air, l'oeil complétement éclaté, le regard mauvais. - Enfin je comprends pourquoi tu te refuses à moi et que je suis obligé d'aller voir ailleurs. Le jeune fils, se dressant comme un coq protégeant sa poule: - Arrête! je n'ai fait que te remplacer car tu ignores le trésor que tu as à la maison alors tu n'as rien à dire. Le père encore un peu saoul voit son fils, qui le dépasse d'une tête, avoir l'air résolu d'en découdre.
C'est à ce moment que le père apparait au sommet de l'escalier, la bite à l'air, l'oeil complétement éclaté, le regard mauvais. - Enfin je comprends pourquoi tu te refuses à moi et que je suis obligé d'aller voir ailleurs. Le jeune fils, se dressant comme un coq protégeant sa poule: - Arrête! je n'ai fait que te remplacer car tu ignores le trésor que tu as à la maison alors tu n'as rien à dire. Le père encore un peu saoul voit son fils, qui le dépasse d'une tête, avoir l'air résolu d'en découdre.
Histoire précèdente <<<