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L'amour sincere est le plus fort 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/12/2022

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Marion est une femme qui supporte de plus en plus mal les aventures amoureuses de son mari volage, il rentre à des heures pas possibles et souvent lui fait une scène. Marion est au bout du rouleau, elle n'en peut plus. Son fils Morgan, encore étudiant, est au courant de la situation. Il la console du mieux qu'il peut. Pour lui changer les idées, bras dessus bras dessous comme des amoureux, il fait avec elle de longs shoppings en ville. Lorsqu'elle est avec lui, Marion semble revivre, elle est plus souriante et se confie plus volontiers à son fils.

Fréquemment, Morgan embrasse les mains de sa maman, les caresse de longues minutes. Elle est rayonnante de bonheur, très touchée des attentions de son fils, elle lui sourit. Généralement le gredin lui donne une multitude de baisers sur le visage, les dérapages fréquents, atterrissent à la commissure des lèvres de la maman. Marion le regarde en lui faisant les gros yeux, il l'amadoue avec des paroles mielleuses. Leurs étreintes deviennent de plus en plus fréquentes, quelques fois Morgan, frôle, la poitrine de sa maman. Elle se cabre en pensant que ses attouchements ne peuvent être qu'un volontaire Au fil des jours les liens de plus en plus fort se nouent entre eux.

Un soir, le papa entre tardivement, il rejoint sa femme dans la chambre, et comme souvent, une scène éclate. Morgan serre les poings, il ronge son frein pour ne pas intervenir, il a mal pour sa maman. Marion sort en nuisette en claquant la porte, elle sanglote, elle descend l'escalier quatre à quatre et va se réfugier dans le salon, elle s'assied sur le canapé.
Morgan saute de son lit, il sort de sa chambre et rejoint sa maman effondrée sur le canapé. Il l'enlace, lui donne plusieurs baisers et tente de la réconforter du mieux qu'il peut. La maman est très touchée, par les gestes tendres de son fils. Les deux se serrent très fort, les yeux larmoyant de la maman croisent ceux de son fils, leurs lèvres sont très proches, les soufflent se mêlent. Marion dit entre deux reniflements :


- Je vais prendre une douche, mon chéri, cela me calmera !

Elle se lève, Morgan écarquille les yeux, il distingue, à travers le fin tissu de la nuisette, la fine toison, il observe également les mamelons qui appuient fortement sur le tissu comme pour le forer. La maman passe devant lui, il manque de défaillir, en apercevant les fesses rebondies qui se balancent à chacun de ses pas. La démarche féline de Marion déstabilise Morgan. Le bougre vient seulement maintenant de s'apercevoir que sa maman à un corps de rêve.
Il entend l'eau couler. Discrètement, il entre dans la salle de bain, malgré la buée qui recouvre les parois translucides, il reste estomaqué devant le corps sublime de sa maman. Elle a les yeux fermés et la tête relevée. Le jet d'eau agresse son visage. Morgan pousse de nombreux soupirs en regardant ce corps d'une beauté d'ange. Sa queue se dresse doucement dans son pyjama, il arrive à contenir avec peine son désir d'ouvrir la porte et d'étreindre sa maman.


Désormais, ce qu'il ressent, n'est plus un amour platonique, mais bien au contraire, il aime sa maman d'un amour sincère. Il ne peut détacher son regarde des formes magnifiques de sa maman, il déglutit bruyamment. Marion ferme le robinet d'eau et ouvre brusquement la porte de la douche. Il se retrouve face à face avec son fils qui, sans lui laisser le temps de réagir, se jette dans ses bras. Elle sursaute et demande avec inquiétude :

-Qu'est-ce qu'il se passe mon chéri !

Il répond en sanglotant :

-Maman, je t'aime, je t'aime, tu me rends fou !

Surprise, elle répond :

-Mais moi aussi, je t'aime mon chéri !

Il la serre très fort et réplique :

-Moi, je t'aime d'un amour sincère, pas platonique !
Je veux que tu sois à moi, papa, ne t'aime pas, MOI, Oui, je suis fou de toi !

Marion reste sans voix un instant, les paroles de son fils l'ont assommées. Elle réagit enfin :

-Mais mon chéri, tu débloques, c'est impossible ce que tu me demandes, je suis ta maman !

Il répond d'un ton éploré :

-Donc, tu ne m'aimes pas comme moi, je t'aime !

Avec des trémolos dans la voix et beaucoup d'émotion, Marion dit :

-Je n'ai pas dit ça, cela serai immoral et malsain, tu te rends compte de ce que tu me demandes mon chéri, j'ai plus du double de ton âge, soit raisonnable, aller n'y pense plus, va te recoucher !

Le jeune, déçu, desserre son étreinte. Rassurée, la maman soupire, elle ne ressent plus contre son bas-ventre La pression de sa verge tendue de son fils.
Il se décolle du corps désiré de son amour, les yeux remplis de larmes. Son pyjama humide met en évidence la forte érection de son membre. Découragé, il rejoint sa chambre, Marion s'essuie et va s'étendre sur le canapé, enveloppée dans un peignoir de bain. L'aveu de son fils la torture, elle ne trouve pas le sommeil, elle s'agite. Malgré elle, elle se fait un film dans la tête. Elle s'imagine être la proie de son fils, et le plus étrange, cela la comble de bonheur, sa vulve mouille atrocement. Elle se sent coupable des images insensées et incestueuses qui lui traversent l'esprit, elle n'ose se l'avouer, que les bonnes attentions répétées son fils à son égare ne la laissent pas indifférente. Elle s'assoupit enfin, la tête pleine de fantasmes inavouables.

Morgan s'agite dans son lit, la tension est trop forte dans son corps, il n'en peut plus, sa maman la hante. Il se lève, et descend l'escalier en marmonnant. Il la voit étendue sur le canapé, son peignoir, entrouvert, dévoile outrageusement ses cuisses, il aperçoit aussi une partie de sa toison soyeuse. Son sang ne fait qu'un tour. Il s'assied doucement à côté du corps qu'il désire comme un malade. Ses yeux brillent de mille éclats. Il ne peut s'empêcher de poser délicatement une main sur la cuisse bien galbée de sa maman endormit, et de la faire glisser sur la peau laiteuse, en s'approchant de plus en plus près de la toison. Un doigt passe très lentement sur la fente. Pour ne pas réveiller sa maman, il retire son doigt. Morgan constate que l'abricot de sa maman est mouillée, ce sexe le rend fou, il lui prend l'envie de le dévorer. Sans se contrôler, il pose ses lèvres sur la cuisse de sa maman et, lui donne une multitude de petits baisers. Les doux baisers humides font ouvrir les yeux de la maman, elle sursaute de peur, en voyant un corps près d'elle. Elle se redresse et dit en soupirant fortement :


-C'est toi mon chéri, tu m'as fait peur, tu sais !
Mais qu'est-ce que tu fais encore debout à cette heure !

Sans lui relever la tête, il continue de lui embrasser la cuisse. Les doux baisers font frémir Marion, elle passe sa main dans la chevelure épaisse de son fils, et lui triturent en le sermonnant :

-Mais Morgan, tu n'as pas compris que je suis ta maman, ne rends pas plus difficile les choses, la situation est deja assez compliquée comme cela mon chéri, arrête, je t'en prie !

Le bougre ne répond pas, il arrive à plaquer sa bouche sur la vulve encore humide, cela causé par film incestueux que Marion, c'est fait. Elle se cabre, en se débattant faiblement, son peignoir s'ouvre grandement. La langue du garçon, incorrigible, glisse sur les grandes lèvres encore gonflées du désir immoral que sa maman refuse toujours d'avouer. Elle tente de se débattre maladroitement, mais, les forces lui manquent. La langue qui s'enfonce dans son intimité la fait grogner. Elle hurle fortement :

-Morgan, Morgan, non, non mon chéri !

L'excitation grandissante devient plus forte que la volonté de repousser le fils amoureux. Petit à petit, elle cède, inconsciemment, elle ouvre les cuisses. La bouche peut enfin œuvrer plus aisément. La vulve suinte abondamment, Marion geint de plaisir, en murmurant, entre deux souffles, elle dit, sans convictions :

-Mon, chéri, mon chéri, nous sommes fous, non, non, il ne faut pas !

La langue habile qui lui fouille les entrailles, la fait grogner comme elle ne l'a pas fait depuis longtemps, sa chatte est en feu. Elle appuie sur la tête de son fils en gémissant :

-Oh mon chéri, mon chéri !

Morgan redresse la tête, il regarde sa maman qui semble être ailleurs, il lui demande :


Si tu m'aimes maman, dis-le, dis-le !

Entre deux halètements, elle dit honteusement :

-Oui, oui, je t'aime, mais continu, mon chéri, continu !

Heureux de cet aveu, il replonge sa tête entre les cuisses fébriles de sa maman et lui dévore le clito avec une ardeur insoupçonnée. Les râles de Marion sont très bruyants, elle ne peut retenir sa jouissance.



À suivre.
















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Histoire de linsee

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Commentaires du récit : L'amour sincere est le plus fort 1

Le 12/12/2022 - 15:37 par marilyne
histoire? fantasme ou vecu je sais je suis curieuse

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