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L'anniversaire de Sylvie

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Lue : 11307 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 16/09/2011

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Sylvie et moi nous connaissons depuis 15 ans. Nous ne vivons pas ensemble mais nous voyons aussi souvent que possible. Nous nous connaissons bien sur le plan physique et devons redoubler d'imagination pour raviver le désir, après autant d'années de galipettes. Ce n'était pas facile, d'autant que Sylvie n'aime pas parler de sexe :
« Je préfère agir plutôt que d'en parler » répète-t-elle souvent.
Il n'est donc pas facile de lui faire parler de ses fantasmes dans ces conditions. Un soir où j'avais entrepris de lui lécher sa délicieuse fente, je trouvais une astuce. Elle me disait de ne surtout pas arrêter ce que je faisais car elle adorait ça. Je lui ai alors dit qu'elle devait me parler des ses fantasmes si elle ne voulait pas que ma langue cesse de lui fouiller l'entrecuisse. Bien que timide et peu bavarde, l'excitation la poussa à se livrer, ou plus exactement à être moins discrète sur ses envies.
Tandis qu'elle me léchait les doigts, je lui demandais si elle ne préférerait pas que ce soit une bonne bite à la place. Elle répondit sans attendre par un « oui » franc. Ensuite, quand sa chatte fut bien humide et accueillante, je la pénétrai et lui demandai si elle avait envie de sucer pendant que je la baisais. Si elle ne répondit pas, ma question l'excita et lui fit prendre son pied l'instant juste après. J'avais fait mouche, je le sentais, je tenais au moins un de ses fantasmes.

L'idée me vint un jour d'été, pendant que je réfléchissais à son anniversaire de plus en plus proche. Le casse-tête habituel pour tout mâle qui se respecte... C'est en allant sur un site d'exhibitionnisme sur lequel nous avions posté quelques photos d'elle en bikini sur la plage, et plus précisément en lisant les commentaires des visiteurs à propos de ces photos, que j'eus cette idée, même si je la trouvais très osée.

Je répondis donc à chacun de ceux qui avait commenté afin de connaître leur profil exact, afin de faire une première sélection. Trois hommes correspondaient à mes critères, je leur expliquais donc ce que j'envisageais : une aventure à trois avec mon amie. Je leur annonçais de la façon suivante :
« Ma chérie aimerait se retrouver avec deux hommes pour une 1ère expérience, fellation uniquement pour le partenaire inconnu. »
Le décor était planté. Et je ne comptais évidemment ne pas en parler à ma Sylvie. Le week-end suivant, je la mis tout de même sur la piste :
« Tu te rappelles, l'autre soir de ce que tu m'as dit ?
- De quel soir parles-tu ? me demanda-t-elle.
- Rappelle-toi... quand je t'ai poussé à me faire des confidences.
- Ouh! Je ne me rappelle pas de tous les détails, me dit-elle d'un air coquin.
- C'est dommage, ça a à voir avec ton cadeau d'anniversaire", lui lâchais-je, l'air mystérieux.
Elle tenta tout pour me faire avouer ce que je prévoyais mais je gardai tout pour moi, ou presque...
« Un indice : c'est sexuel, et c'est... comment dirais-je ? osé de ma part et j'espère juste que ça te plaira. »
Elle essaya de me contraindre à lui dire sous prétexte que j'avais déjà trop parlé mais il n'en fut rien. Je contactais de nouveau les internautes qui avaient si bien commenté les courbes de ma chérie sur ces photos pour leur demander des clichés d'eux habillés puis nus. Tant qu'à voir ma belle s'envoyer une autre queue dans la bouche que la mienne, autant qu'elle soit grosse et que le garçon lui plaise, non ? Peu de jours après, toutes les photos étaient sur ma boîte courriel et j'avais alors un choix à faire et il fut rapide : Jules, 36 ans, métis et bien monté, 22 centimètres selon ses dires, beau gosse, il se ferait un plaisir de se faire sucer par ma Sylvie affirmait-il, ben tiens !
La date de l'anniversaire approchait à grand pas et je me voyais mal réussir à lui faire franchir le pas du fantasme à la réalité, je décidai donc de lui en parler afin qu'elle fasse un choix.
« Pour ton cadeau d'anniversaire... Je te préviens, ce que j'ai prévu est très... spécial !
- Tu m'as prévenu que c'était sexuel, c'est pas un gode au moins ?
- Eh bien pour t'avouer franchement, pas vraiment.
- Alors c'est quoi ? Tu veux me le dire ?
- Oui, car je crains un peu ta réaction. Saches d'abord que je t'aime et que je ne veux que ton bonheur. Ensuite, tu n'as pas vraiment tort quand tu parles de gode, sauf que celui-ci est vivant si tu vois ce que je veux dire... »
Elle eût un sursaut :
« Tu veux dire... un homme ? Pour mon anniversaire ?
- En fait, deux : un homme et un autre, moi ! » Je n'imaginais pas du tout sa réaction, bonne ou mauvaise, c'était un peu la loterie !
« Depuis que tu m'as dit quand on faisait l'amour l'autre soir que tu voulais sucer pendant que je te prends, l'idée a fait son chemin dans ma tête et j'ai contacté des hommes qui ont laissé des commentaires au sujet de tes photos, et avant que tu ne dises quoi que ce soit, j'aimerais que tu regardes ce courriel que j'ai reçu. »
Elle faisait la gueule, ne sachant trop quoi penser, mais elle se détendit quand je lui montrai les photos de Jules, d'abord habillé, puis nu avec une demi-gaule prometteuse.
« Beau gosse hein? Il a très envie de nous rencontrer, toi particulièrement, tu t'en doutes. Je veux que tu saches que c'est pour te faire plaisir que je te propose ce cadeau, très osé j'en conviens, et tu as le droit de refuser, je ne t'en voudrais pas."
- J'aurais jamais cru ça de toi, me dit-elle, l'air étonné. Alors tu as pris ça au sérieux ? Ce n'était que des mots...
- Des mots qui semblaient beaucoup t'exciter, lui dis-je.
- Eh bien c'est non, je ne suis pas une salope, saches-le. Et tu peux te la mettre sur l'oreille jusqu'à nouvel ordre ! » claqua-t-elle avant de s'enfuir prendre sa douche.
Me voilà bien... Ça aurait pu être pire, je m'en tirais pour quelques jours à me satisfaire en mode manuel... et de soupe à la grimace. À peu près une semaine après, n'en pouvant plus de cette situation ridicule - après tout je l'avais prévenue que ma proposition était gonflée et elle avait finalement voulu savoir - je revins à l'attaque pour crever l'abcès. Tout s'arrangea lorsque je m'expliquai, aidé de quelques caresses. Elle me fit bien comprendre qu'elle ne m'en voulait plus.
Au contraire, cette semaine sans se toucher l'un l'autre l'avait un peu frustrée, ce que je compris très vite quand elle mit sa main dans mon pantalon. Sans rentrer dans les détails, elle me suça ensuite longuement puis nous fîmes l'amour fougueusement avant de nous endormir. En 5 minutes chrono, tout était bâclé. Pensez donc, une semaine !

Le lendemain matin, je me levai vers 9h, fidèle à mes habitudes. Je pris mon petit-déjeuner, puis, encore un peu au radar, je me rendis vers la salle de bains. Je vis tout de suite le mot que ma chérie avait laissé sur le miroir avant de partir, une heure plus tôt :
« Pour mon annif, c'est d'accord ! »
Toute la journée, mes collègues de bureau m'ont trouvé bien pensif, au point qu'ils pensaient que j'étais malade et que je devais rentrer chez moi et ingurgiter toute la pharmacopée ! Il n'en était rien, la réponse de Sylvie me troublait on ne peut plus. Quand nous rentrâmes le soir à la maison, je lui dis juste :
« J'ai bien pris note ! »
Elle eut un petit rire nerveux en guise de réponse. De mon côté, j'avais joint Jules au téléphone pour lui dire de réserver sa soirée du 3 août, et de se comporter comme un gentleman, Sylvie ayant horreur de la vulgarité et aimant les hommes bien soignés. J'avais réservé une table pour trois dans un restaurant sur la côte, je pensais que c'était un bon moment pour faire connaissance avec notre invité. La date approchait, plus que deux jours avant ses 38 ans et son cadeau "très"original.
« Comment veux-tu t'habiller mon chéri ? Veux-tu que j'envoie ton costume au pressing ?
- Non merci, j'irais juste en chemise, décontracté quoi ! Et toi tu t'habilleras comment ?
- C' est une surprise ! fit-elle en allongeant intentionnellement le dernier mot. À chacun son tour... » ajouta-t-elle d'un air mutin. Puis elle me glissa à l'oreille en riant :
« J’espère que vous serez performants ! » Elle se prenait au jeu, c'est sûr, et elle avait hâte d'y être. En ce qui me concerne, j'avais un peu le trac mais je finis par le ravaler puisque c'était avant tout mon idée.

Enfin le jeudi soir. Sylvie était dans la salle de bains depuis bientôt une heure quand elle en sortit. Et effectivement sa tenue était une agréable surprise. Elle portait une jupe moulante bien courte de cuir rouge et un haut tout aussi moulant, noir, légèrement transparent, au travers duquel on distinguait son soutien-gorge à balconnets qui lui remontait bien sa poitrine généreuse. C'est sûr, elle voulait faire un bon effet devant notre invité.
Celui-ci nous rejoignit plus tard au restaurant à une table située au fond de la salle. C'était un bel homme, bien bâti et présentant bien. Il nous salua et nous commençâmes à faire connaissance. Sylvie, un peu distante et tendue au début, s'intéressait de plus en plus à Jules en lui demandant s'il était marié, ce qu'il faisait dans la vie, etc. Je me mis un peu en retrait de la conversation afin de la laisser se familiariser avec la personnalité de ce bel homme, car je la savais déjà conquise parce qu'elle avait vu sur les courriels.

Une fois arrivés au café, Jules proposa une tournée de digestifs. J'acceptai volontiers, connaissant l'effet désinhibant de l'alcool sur Sylvie, qui avait bu au moins 4 coupes de champagne. C'est alors que je sentis sa main droite se coller contre mon pantalon, puis aller et venir sur ma verge. La coquine était maintenant très excitée. Elle se tourna vers moi avec un grand sourire et me dit tout bas :
« Devine ce que j'ai dans ma main gauche... » Je regardais à sa gauche, là où était assis Jules. Son bras était tendu sous la table alors que Jules commençait à avoir le souffle court. Moi qui pensais que je devrais prendre l'initiative ! Elle s'attaquait déjà au manche de Jules et au mien et entreprit de nous branler entre ses mains agiles. Le champagne a un effet magique sur elle, décidément !
« Alors, quel est le programme pour la suite ? »demanda-t-elle à Jules, tout en continuant de nous branler doucement.
« Eh bien si vous aimez danser, je connais un bar de nuit avec de la bonne musique, suggéra-t-il.
- Bonne idée », dit-elle. Elle repoussa alors le pendant de la nappe pour pouvoir sortir l'engin de Jules de sous la table et le regarda avec admiration.
« Chéri, me dit-elle, j'ai de la chance ! Pour mon anniversaire, elle est encore plus grosse que sur la photo !
- J'espère que ton cadeau te plaît ma chérie, et que tu en feras bon usage. Tu aimes avoir une queue dans chaque main ?
- C'est la 1ère fois, c'est trop excitant, je voudrais les avaler maintenant, vous voulez bien Jules ?
- Ce n'est pas l'envie qui m'en manque, mais ce n'est pas discret ici. Je crois d'ailleurs que la table derrière a remarqué votre manège... » En effet, deux femmes assises derrière pouvaient voir les bras de Sylvie disparaître de chaque côté, en direction de nos entrecuisses, laissant peu d'équivoque sur ce qu'elle faisait. Je croisais même un regard jaloux mêlé d'envie d'une de ces deux célibataires.
« Demandons l 'addition et allons danser ! » lançai-je.

Nous prîmes la route pour ce bar dont Jules parlait. Le Seventies porte bien son nom, c'est un bar plutôt coquet où on y passe de la musique rythmée, orientale, un peu psychédélique. Les banquettes ornées d'une multitude de coussins invitent à la détente. Il y a peu de monde ce soir mais Sylvie, qui est entrée la première, nous emmène tout au fond de la salle, à une table d'où nous avons une vue imprenable sur la piste de danse. Je laisse Jules et Sylvie s'installer pendant que je commande des verres au bar. Une fois mes verres servis, je vais pour les rejoindre quand je me rends compte qu'ils sont tous les deux sur la piste en train de danser. Ces deux-là s'entendent bien, aucun doute qu'ils iront jusqu'au bout, me dis-je.

Ils revinrent un instant après, tout souriant.
« La piste de danse pour nous, c'est génial ! » s'exclama ma douce.
Nous étions depuis une demie heure dans ce bar quand elle dit :
« Tu peux regarder un peu aux alentours si personne ne regarde s'il te plaît ? » Puis elle se pencha sur Jules, lui dégrafa les boutons de son pantalon et sortit sa queue, encore molle.
« Elle n'est pas très présentable comme ça, plaisanta Jules.
- Mais elle va l'être très bientôt j'en suis sûre ! »répondit-elle, pleine de conviction. Elle recommença à le branler comme au restaurant et se tourna vers moi :
« Ça t'excite de me voir branler cette grosse queue bébé ?
- J'adore ça ma chérie, et toi ça te plaît ?
- Oh oui, j'ai hâte de savoir quel goût elle a.
- Bon anniversaire ma chérie, c'est la 1ère fois que tu vas sucer une si grosse bougie, ris-je.
- J'espère que la cire va couler à flots ce soir » et elle m'embrassa à pleine bouche tout en continuant de branler Jules, qui n'en pouvait plus.

« Allons-y ! dit-il. Je crois qu'il est temps que nous trouvions un endroit plus calme, non ? »
Suivant sa suggestion, nous quittions le bar pour regagner nos voitures sur le parking.
« Si nous rentrions à la maison ? Proposai-je.
- Oui, dit Jules, est-ce que tu peux faire la route avec moi s'il te plaît Éric ? J'ai peur de me perdre en route.
- Si ça ne gêne pas Sylvie de faire la route seule...
- Non, tout ira bien, à tout à l'heure. » fit-elle, rassurante.
Nous prîmes la route pour la maison et Jules et moi en profitâmes pour livrer nos impressions.
« Sylvie est une femme très séduisante, dit Jules, et en plus elle sait prendre les choses en mains !
- Je suis très surpris de sa réaction, c'est vrai que l'alcool aide à se détendre, mais je crois que tu lui plais beaucoup aussi. Sur l'annonce, j'avais juste parlé d'une fellation, mais, à mon avis, elle ne résistera pas longtemps à l'envie de s'enfourner ton engin, on aura qu'à lui tendre la perche ! Si je puis dire... ». Nous rîmes longtemps, impatients de ce qui nous attendait à l'arrivée.

Sylvie était déjà rentrée quand nous arrivâmes, les pneus de la BMW étaient bien chauds, comme à son habitude, elle avait largement dépassé la vitesse autorisée.
« Mais où est-elle ? demandai-je en faisant le tour du rez-de-chaussée.
- Ici ! » lança-t-elle sur un ton aguicheur. Elle descendit les escaliers, vêtue d'un simple peignoir
« Je voulais me changer mais vous êtes arrivés avant que j'ai fini, se plaignit-elle.
- Attends, je vais t'aider, lui répondis-je en l'emmenant vers notre chambre. Je te propose d'enfiler le maillot de bain que tu avais sur ces photos qui l'ont tant séduit, proposai-je.
- Bonne idée, même si ça m'étonnerait que je le garde longtemps ! » rit-elle.
Son maillot était jaune, le haut lui remontait bien les seins et moulait ses tétons, sa culotte lui compressait la chatte et on apercevait sa délicieuse petite fente.
« Je veux que tu te lâches, c'est ton anniversaire, alors fais honneur à ton cadeau.
- Merci mon chéri, ça va être ma fête ce soir ! chanta-t-elle tout en enfilant son maillot de bain. Attendez-moi en bas, d'accord ? » Je descendis alors au frigo y prélever une bouteille de Champagne, m'emparai de trois coupes et rejoignit Jules, assis sur le canapé.
C'est alors qu'elle descendit les escaliers, habillée d'un court peignoir en satin. Sans dire un mot, elle se saisit d'une flûte de Champagne, se l'enfila d'un trait puis s'assit entre Jules et moi. Jules n'en pouvait plus, par deux fois elle l'avait fait triquer à mort pour l'abandonner ensuite, le pauvre devait avoir les couilles pleines à ras bord. Il l'embrassa et lui massa vigoureusement les seins. Sylvie, si sensible de la poitrine, en souffla de plaisir. Elle se redressa ensuite face à Jules, toujours assis, et défit lentement le nœud de son peignoir qu'elle fit tomber à ses pieds, dévoilant son joli corps ambré habillé seulement de ce fameux bikini.

« Wahooouu !, poussa Jules. Je reconnais ce bikini ! plaisanta-t-il. Il m'a fait un sacré effet devant mon ordinateur mais là, c'est puissance mille !
- Et ce qui est à l'intérieur est à nous pour toute la nuit », répondis-je. Sylvie se pencha sur Jules avec un grand sourire, lui regardant sa braguette, et dit :
« Alors il y a quelque chose pour moi là-dedans il paraît ? Est-ce que je peux déballer mon cadeau, chéri ?
- Vas-y ma belle, enlève moi cet emballage ! » Elle embrassa Jules et lui déboutonna sa chemise, puis son pantalon. Il ne restait plus que son boxer qui moulait son énorme membre en érection.

« Chéri, ce serait dommage un si bel anniversaire sans photos souvenirs, n'est-ce-pas ?
- Oh oui, c'est vrai ça ! » répondis-je avant d'aller chercher mon Canon dans le meuble du salon. Quand j'en revins, Sylvie s'était assise à côté de Jules et, de dos, je la voyais penchée sur le sexe de Jules. Je vis en m'approchant, que, du bout de sa langue, elle léchait son gland au travers du boxer tout en le fixant du regard. Je n'en attendis pas plus pour faire mon 1er cliché.

Elle se redressa, abaissa le boxer de Jules et contempla cette belle sucette.
« C'est la 1ère fois que je vais sucer mon cadeau d'anniversaire » rit-elle. Elle était très excitée, le bout de ses tétons pointaient au travers de son bikini et sa culotte commençait à être mouillée. Elle s'assit de nouveau, puis, tout en le branlant, elle faisait aller et venir sa langue de la garde jusqu'au gland. Après une minute de ce manège, elle l'engouffra dans sa bouche tout en me fixant. Je n'en perdais pas une miette et mon Canon non plus. Elle essaya de l 'avaler tout entière, en vain. Elle se releva et dit à Jules :
« Elle te plaît la jolie fille que tu as vue en bikini sur Internet ? lui dit-elle tout en continuant à le branler.
- Enormément, vous êtes tellement plus belle en vrai !
- Je vais te sucer ta belle queue jusqu'à ce que tu jouisses. Tu veux bien bébé ? me demande-t-elle aussitôt.
- Vas-y ma chérie, je te regarde. »
Sans se faire prier, elle actionna le mode pipe profonde et roulage de langue autour du gland, que je connais bien et auquel je n'ai jamais pu résister plus de 5 minutes. Elle gémissait de plaisir et au bout d'un instant, Jules, qui était resté bien sage, lui cramponna les cheveux pour lui tenir la tête et baisa sa bouche. Il chercha à y engouffrer toute sa queue, vainement, si bien qu'elle s'étouffa un peu et se retira.

« Elle a bon goût cette queue alors ma chérie ?
- Oh oui ! Elle est bonne et grosse cette queue ». Elle la reprit en main, la branla, puis s'assit.
« Viens m'embrasser chéri ! » Je l'embrassai sur les lèvres mais elle me prit la tête et me roula une grosse galoche.
« Alors maintenant, tu vois qu'elle a bon goût sa queue ? » Sylvie était déchaînée, jamais je ne l'avais connue si vicieuse que ce soir. Jules s'approcha, s'agenouilla devant son visage et lui remit sa queue entre ses lèvres.
« Fais toi plaisir Jules, baise lui sa bouche et remplis-la ! »
Sylvie était maintenant coincée entre le canapé et Jules.
« Serre bien tes lèvres ma belle », lui ordonna-t-il. J'avais une petite idée pour la suite des événements, que je chuchotai à l'oreille de Jules :
« Laisse la venir sur toi, je vais la baiser pendant ce temps-là. »
Alors, ils intervertirent de nouveau les rôles, lui se retrouva assis et elle à quatre pattes sur le canapé. Jules, qui avait le champ libre, lui sortit les seins de son bikini et commença à les masser. De mon côté, je baissai mon pantalon, mon caleçon, puis en sortis ma bite bien dure. Je m'installai derrière elle et m'introduit dans sa chatte ouverte et trempée sans sommation. Elle se mit à gémir de plus en plus fort. Jules n'en pouvait plus, je sentais qu'il allait bientôt jouir. Alors je pris une flûte de champagne à moitié remplie et lui tendis.

« Vide toi dans ce verre, ma chérie adore le champagne, à nous d'y rajouter la crème ! dis-je tout en continuant de la limer.
- Ah ! Je vais jouir ! » clama soudain Jules. Suivant mon conseil, il se retira de la bouche de ma belle, s'agenouilla en présentant son gland devant le verre et cria tout en crachant de longs jets de sperme qui rendaient les bords de la flûte opaques. Il éjacula en quantité tant il avait les couilles pleines et son sperme tombait maintenant en filaments au fond du verre puis remontait sous l action des bulles. Une fois terminé, Jules tendit à son tour la flûte à Sylvie.
« Je crois que c'est pour vous ma chère. J'espère que vous aimerez.
- Sans aucun doute, c'est son élixir d'amour préféré. N'est ce pas chérie ?
- Oh oui mes 2 étalons, j'adore le kir royal au sperme. J'espère que celui de Jules est aussi bon que le tien mon chéri ! se réjouit-elle. Et si on mélangeait les 2 ? proposa-t-elle ensuite.
- Dans ce cas, tu risques d'avoir plus de crème que de champagne, plaisantai-je. Mais d'accord, va pour un cocktail ! »

Jules, qui avait repris ses esprits, massait les seins de Sylvie et l'embrassait pendant que je la prenais sauvagement.
« Voilà le dernier ingrédient de ton cocktail, ma petite salope ! »
Je pris le verre des mains de Jules et retirai mon sexe du vagin trempé et dilaté de Sylvie. Je me branlai pour me finir, verre en main, prêt à gicler.
« Alors comment allons nous appeler ce cocktail ma chérie ? Le Sylvie ?
- Plutôt Jules et Éric je crois ! répondit Jules.
- Parfait, alors un Jules et Éric pour ma chérie ! »

J'accélérais une nouvelle fois mon mouvement de va-et-vient sur mon gland et crachais toute ma purée dans le mélange déjà épais. Je le remplis à ras bord de champagne puis le donnais à ma chérie, qui s'était rassise. Elle le prit puis commença à le boire doucement.
« Alors comment est ta boisson ma chérie ? »
Elle l'approcha de mes lèvres pour me tester, je ne me dégonflai pas, le prit et en but une gorgée, surtout histoire de la surprendre.

« Hé, bois pas tout, c'est à moi ! »
Elle but une lampée de ce breuvage et embrassa Jules afin qu'il goûte lui aussi à ce « jus d'amour ».
« J'adore mon cadeau chéri, me dit-elle, il a une belle bite et il fournit les boissons »
Nous rîmes tous les trois tandis que Sylvie terminait son verre. Jules, de son côté, partit prendre une douche, histoire de se remettre les idées en place. Sylvie n'arrêtait pas de m'embrasser, sa bouche et ses lèvres toutes gluantes de champagne mêlé au foutre.

« C'est pas fini ma puce, je te préviens que tu vas en prendre de la bite, toute la nuit ! Ne me dis pas que tu n'as pas envie de te prendre celle de Jules dans ta belle fente ?
- Si elle est aussi bonne dans ma chatte que dans ma bouche, ça promet !
- Ça ne tient qu'à toi, si tu veux qu'il te baise, je suis d'accord, consentai-je.
- C'est vrai mon chéri ?
- Oui, et je crois que je vais adorer voir ça".
Son haleine sentait le sperme, elle s'en rendit compte et rejoignit Jules dans la salle de bains pour s'y laver les dents. Un peu fatigué par nos ébats, je m'assoupis un instant sur le canapé.

Pendant ce temps, Sylvie se lavait les dents devant le miroir. Elle ne pouvait s'empêcher de jeter un coup d'œil curieux vers ce bel étalon dans le reflet. Le corps d'ébène dont la grosse queue ballottait au gré des mouvements transparaissait dans la vitre de la douche et elle se disait qu'elle adorerait la voir glisser entre ses cuisses, entre ses seins, sur tout son corps... Elle commença à se masturber en regardant ce beau black bien monté. Un instant plus tard, ce dernier arrêta la douche, sortit et se retrouva nez à nez avec Sylvie qui, appuyée sur le lavabo, continuait à se caresser face à lui.
« J'ai envie de ta queue, lui dit-elle.
- Et moi de ta belle chatte... »

Elle s'approcha de lui avec une serviette et commença à le sécher. Rapidement, elle enroula la serviette autour de sa queue et imprima un va-et-vient tout en l'embrassant fougueusement sur la bouche.
« Tu iras doucement, jamais rien d'aussi gros n'y est entré ! demanda-t-elle, moitié excitée, moitié inquiète.
- Tout est question de préparation, répondit Jules. Et je viens bien te préparer. »
Il la prit dans ses bras, la souleva, la posa sur le lavabo, lui écarta les cuisses et plongea son visage dans la fente de Sylvie. Il lui lécha goulûment son clitoris tout en introduisant deux doigts dans le vagin et un dans l'anus.

Toujours dans le canapé, je fus réveillé soudainement par des feulements de plaisir qui provenaient de la salle de bains. Je me levai pour aller voir et par, l'entrebâillement de la porte, j'aperçus Sylvie, les cuisses écartées. Je poussai un peu la porte discrètement afin de ne pas révéler ma présence. Jules était en train de lécher l'anus de Sylvie tandis qu'il avait trois doigts dans sa chatte allant et venant.
« Voilà, tu es prête maintenant, je vais chercher une capote et je reviens te faire ta fête !
- Dépêche toi ! » lui répondit-elle.
J0ules sortant de la salle de bains, je le croisai tout naturellement.

« Alors vous en êtes où ?
- Tu avais raison, elle veut que je la baise maintenant et je te cache pas que j'en meurs d'envie. Elle pense que tu dors par contre...
- Parfait ! dis-je, réjoui. J'ai une nouvelle idée, attends moi là ! »
Je courrais chercher un bandeau que je lui avais acheté pour qu'elle puisse dormir tard le matin de ses congés, malgré la lumière du jour. Je retrouvai ensuite Jules, paré pour régler son compte à ma Sylvie.

« Voilà le plan, tu lui bandes les yeux en prétendant que c'est pour jouer, et comme elle pense que je dors, elle ne pourra s'imaginer que je serai à côté en train de vous filmer ! »
Je retournai chercher mon appareil, et attendit que Jules ait rendue ma chérie aveugle. Un instant après, je les rejoignais. Sylvie avait les yeux bandés, assise sur le lavabo, et tenait ses cuisses surélevées afin de permettre le passage de l'engin de Jules. Ce dernier était debout et ajustait une dernière fois sa capote. J'étais alors à un mètre d'eux et j'avais une parfaite vue sur la queue de Jules, qui se trouvais maintenant juste devant l'entrée du vagin de Sylvie. Il caressa un moment son clito en y faisant glisser son gland bien dur. Sylvie soupirait déjà, impatiente et sans doute un peu anxieuse, elle qui n'avait jamais hébergé un si gros membre. Car c'est vrai qu'elle était grosse et paraissait disproportionnée par rapport à la petite chatte de Sylvie.

« C'est parti ! », annonça Jules en enfonçant doucement son gland. Il s'engouffra lentement, centimètre après centimètre, afin de tester les sensations de sa partenaire. Quand il eut mis un peu plus de la moitié de son sexe, il entama un rythme de va-et-vient et Sylvie commença à gémir. De mon côté, j'immortalisais ce beau moment : ma chérie allait se faire déboîter par cet engin dans un instant et je la filmais à son insu. Alors Jules accéléra la cadence, s'enfonçant un peu plus à chaque coup de butoir, si bien qu'après 2 minutes, il baisait ma Sylvie sans ménagement et jusqu'à la garde.

Sylvie prenait un pied fou, elle manquait parfois d'air, n'arrivant pas à reprendre sa respiration. De temps en temps, Jules jouait avec la caméra, se retirant parfois du vagin de Sylvie pour se renfoncer doucement, afin que l'on distingue bien la longueur de son sexe.
« Alors, tu vois que ça rentre tout seul, lui dit Jules, confiant et rassurant. Je t'ai bien préparée, hein ? Tu sais maintenant que tu peux te prendre des grosses queues !
- Oh oui et il y en aura d'autres ! C'est tellement bon, vas-y défonce moi ! S'emportait-elle.
- Tu veux qu'on rejoigne Éric ? proposait l'étalon noir.
- Pas cette fois, je te veux en privé rien que pour moi ! Je vais être une vraie chienne avec toi et je ne veux pas qu'il soit jaloux en le voyant ! Viens, allons dans la chambre d'amis à côté. Éric dort toujours ? finit-elle par demander.
- Comme un loir.
- Tant mieux, enfermons nous dans la chambre, il n'entendra pas comme ça » conclut-elle.

Il porta Sylvie, toujours les yeux bandés, jusque dans la chambre. Elle semblait si petite dans les bras de ce colosse et sa longue et épaisse verge bien raide contrastait avec les petits trous de ma chérie. Il l'allongea sur le lit puis ferma la porte derrière moi. Il s'agenouilla sur le matelas et promena doucement son sexe sur les seins, le cou et le nombril de Sylvie. Puis il lui donna quelques coups sur les seins, se servant de sa bite comme d'une matraque.

« Mets-la dans ma bouche ! ordonna-t-elle.
- Oui, fais moi bien bander que je te la remette dans ton minou » répondit-il.
Elle tétait son gland tout en le léchant et l'aspirant.
« Elle rentre en entier dans ma chatte, mais pas dans ma bouche, plaisanta-t-elle.
- D'ailleurs je crois qu'elle est à point maintenant. Mets toi à quatre pattes, en levrette, demanda Jules.
- Oh oui ! J'adore ça » fit-elle.

Et moi aussi j'adorais ça. La demoiselle devient une vraie salope une fois baisée en levrette, et avec cette bite, elle serait encore pire ! En une seconde, elle était à quatre pattes, attendant impatiemment que Jules la reprenne.
« J'espère que tu as bien fermé la porte, car je vais sans doute crier. »
Jules ne répondit pas. Il se cala derrière elle et s'introduisit d'un coup suivi d'un long gémissement aigu de Sylvie. Je fis signe à Jules de lui donner des claques sur les fesses et de lui cramponner les cheveux. Et il s'exécuta, de bon coeur, à tel point qu'après un moment, elle avait les fesses toutes rouges. Elle était toute soumise aux volontés de son amant qui se déchaînait littéralement dans sa chatte.

J'en profitai pour faire quelques gros plans sur la poutre de Jules s'enfonçant dans le sexe de Sylvie et sur le visage inondé tantôt de plaisir, tantôt de douleur de ma chérie.
« Tu es une drôle de salope toi tu sais ? J'ai jamais vu une fille avaler autant de sperme ! déclarait un Jules qui ne se retenait plus.
- J'adore ça, et pas seulement celui d'Éric. La semaine dernière, il était en déplacement et je voulais de la bite, raconta-t-elle. J'ai trouvé un mec sur un site à qui j'ai donné rendez-vous pendant la pause déjeuner. J'ai sucé ce mec et ses trois collègues dans un buisson et avalé leur sperme, ils étaient tellement ravis qu'ils ont insisté pour me payer !
- Petite garce, si ton mec savait ça ! » dit Jules en me faisant un clin d'œil.

En tous cas, j'étais fixé sur elle, ma petite salope faisait des confidences sexuelles tout en se faisant baiser en levrette et j'en apprenais de belles !
« Alors ? que penses tu de ma chatte beau gosse, elle te plaît ? demanda-t-elle à son tour.
- J'adore, tout à l'heure, elle me résistait, et maintenant, je la baise jusqu'à la garde ! répondit e beau black fièrement.
- Ah ça oui, tu me l'as élargie mon salaud. Défonces moi encore plus fort ! » cria-t-elle.
Jules ne se fit pas prier et accéléra ses coups de butoir, la baisant de plus en plus fort. Il était en sueur...

« Prends ça dans ton garage à bites salope ! Tu mouilles comme une chienne ! lança-t-il.
- Oh oui, ça glisse, j'aime ta queue tu sais ? Je veux la VOIR..."
Oups ! Voilà qu'elle se retournait, s'allongeait sur le dos, écartait grand les cuisses pour que Jules puisse la prendre en missionnaire et, évidemment, retirait son masque. Elle m'aperçut immédiatement et, feignant de ne pas être surprise, me demanda :
« Il y a longtemps que tu filmes ? Vous êtes des petits salauds tous les deux. »
Nous rîmes un moment et Sylvie m'invita à les rejoindre sur le lit. Je posais donc ma caméra sur la table pour continuer de filmer et commençais à me déshabiller.

« Reprenez où vous en étiez, je vous en prie ! »
Jules s'agenouilla devant Sylvie, allongée sur le dos, il lui mit sa verge dans sa fente, s'allongea sur elle et commença à la baiser doucement en l 'embrassant. Puis elle se cambra pour se redresser, elle voulait voir ce colosse s'enfoncer en elle.
« Regarde chéri comme c'est beau cette queue dans ma chatte, n'est ce pas ?
- Oh oui ma puce, Jules est un bon coup, répondis-je.
- Mon cadeau est parfait, il est beau, il a une grosse queue et j'adore son foutre. »

Je repris la caméra et filmai la vue qu'avait Sylvie : 20 centimètres d'une épaisse queue noire entrait et sortait de son vagin large et trempé. La bite luisante de Jules témoignait de l'excitation de ma demoiselle. Je lui fis alors sucer ma queue.
« Comme ça, elle va se taire un peu cette petite garce ! dis-je à Jules qui la défonçait.
- Et pour une garce, c'en est une ! Regarde cette chatte ! Plus je lui en mets, plus elle en veut ! Tu veux bien prendre le relais ? me demanda-t-il. Tu vas être bien sage, tu vas me sucer maintenant et ton mec va te baiser, d'accord ? dit-il à Sylvie ensuite.
- Oui, baisez moi à tour de rôle, faites de moi ce que vous voulez ! »

Jules se retira puis ôta sa capote pendant que je prenais sa place. Je m'introduis plus facilement que jamais dans Sylvie. Elle se mit aussitôt à sucer Jules.
« Enfin tu as la bouche et la chatte remplies en même temps. Ça te plaît deux bites, n'est ce pas ma chérie ? »
Elle tenta de répondre en sortant la queue de Jules de sa bouche mais il lui remit illico de sorte qu'elle ne put parler.

« Tais toi, espèce de garce et régale toi ! »
J'étais très excité d 'entendre Jules la traiter de traînée, même si j'en avais envie, je ne me le permettais pas avec Sylvie. En tous cas ça l 'excitait beaucoup à l'entendre gémir.
« Tu vas voir, bientôt, je vais t'envoyer encore ma semence et je ne veux pas te voir recracher une goutte !
- Je vais t'avaler tout entier, et avec plaisir ! parvint-elle à répondre
-Appliques toi sur sa queue ma puce, fais lui voir comment tu te sers de ta bouche comme pompe a sperme ! lui dis-je en la baisant comme une putain. Tu es notre pute à tous les deux ce soir, ma chérie, ajoutai-je. Allez, mets toi a quatre pattes ! »

Je me retirai, elle s'éxécuta.
« Enfile une capote à Jules, il va te baiser, ordonnais-je.
- Monsieur est trop bon de m'offrir sa chérie" dit Jules.
Il s'installa derrière elle et pendant qu'il la fourrait, je commençai à lui titiller l'anus avec mon majeur. Jules cracha sur mon doigt pour le lubrifier un peu puis je lui enfonçai en entier. Elle eut un gémissement sourd cette fois, presque rauque. Puis je retirai mon majeur et entepris de lui fouiller l'anus avec ma langue pendant que s'enfonçait la queue de Jules dans sa chatte. La proximité me paraissait étrange, mais que n'aurai-je fais pour entendre Sylvie jouir.

Elle ne disait d'ailleurs plus un mot, elle se tortillait de plaisir et lâchait seulement un petit cri de temps en temps en mordant l'oreiller. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Jules, qui la baisait comme la dernière des salopes, lui dit :
« Ça va être le moment de me faire voir si ta pompe à sperme fonctionne bien !
- Tu vas voir, c'est le pied !" lui assurai-je.
Il se retira et Sylvie se mit sur le dos pour mieux accueillir ce beau membre noir dans sa bouche. J'en profitai pour reboucher la chatte béante laissée par Jules avec ma queue, en missionnaire, à contempler ma chérie le finir à la main et à la langue. Elle le branlait, le gland dans sa bouche en le fixant du regard, sa technique toujours aussi performante. Aussi, comme prévu, quelques instants après, Jules fit une grimace qui en disait long, puis il cria sa jouissance en s'abandonnant dans la bouche de Sylvie, qui saluait chaque salve de sperme par un gémissement de bonheur.

Elle garda la queue de Jules un bon moment, jusqu'à ce qu'il débande complètement. Quand Jules se retira enfin, un long fil de bave mêlé de sperme rattachait les lèvres de Sylvie au gland de notre partenaire au corps d'ébène.
« Qu'en penses-tu Jules ? lui demandai-je.
- Incroyable ! J'ai pris un pied terrible, elle m a complètement vidé ! répondit-il doucement.
- C'est bien ma chérie, ta technique est vraiment au point !" la félicitai-je.
Elle ouvrit alors légèrement la bouche pour me montrer qu'elle n'avait pas encore avalé la semence de Jules, puis elle en cracha un peu dans la paume de sa main et s'en tartina ma queue qui la tringlait. Quelle vicieuse !

Elle trempa de nouveau ses doigts pleins de foutre de Jules et me les fit lécher un à un, tout en jouant avec sa langue, à faire tourner le liquide épais dans sa bouche. Elle me prit ensuite par la tête et m'embrassa, répandant le précieux liquide dans nos gorges.
« Ah ! Merci Jules ! lui dit-elle en souriant. Je me suis régalée ! Et toi chéri ?
- Pas autant que toi petite garce, mais attends voir ma tournée !"
Je n'en pouvais plus, cette garce m'échauffait vraiment avec son regard de vicieuse et ses lèvres luisantes de foutre, il était temps de lui donner ce qu'elle voulait.

« Viens avec moi Jules! Allons à la cuisine !
- Qu'est ce que vous faites ? s'inquiéta Sylvie.
- On revient dans 30 secondes ma chérie ! »
Jules était surpris, pourquoi quitter Sylvie dans un moment pareil ? J'ouvris le frigo dans lequel je pris un carton qui contenait sa pâtisserie favorite, un gros macaron à la fraise, fourré de vanille.
« J'espère qu'il te reste encore un peu de jus, car nous allons fourrer un peu plus ce macaron pour ma chérie.
- Ça devrait le faire », m'assura Jules.

Quand nous rentrâmes dans la chambre, Sylvie était attentive :
« Qu'est ce que vous complotez encore vous deux ? demanda-t-elle, intriguée.
- Rien de grave, ma chérie, nous allons juste donner une petite touche finale à ton gâteau d'anniversaire ! »
Je posai le gâteau sur l'assiette que je disposai au milieu du lit. Jules et moi nous positionnons autour, à genoux. Je retirai alors le chapeau du macaron, dévoilant la crème.
« Branle nous maintenant et fais jaillir ce délicieux coulis que tu aimes tant sur ton gâteau d'anniversaire.
- Oh oui ! Plus mes deux bougies, j'ai vraiment de la chance !" se réjouit-elle.

Elle empoigna nos queues et les branla simultanément. De temps en temps, elle suçait Jules en me fixant du regard et en me faisant des clins d'œil.
« Allez les garçons, dépêchez-vous, j'ai hâte de manger mon gâteau à la crème de sperme !"
Je sentis que l'explosion était imminente, alors je mis ma queue bien au-dessus du gâteau.
« Oui mon chéri, je la sens qui se gonfle, vas-y bébé, vide toi à fond, je veux tout !" m'encourageait-elle.
Elle eut tout, de mémoire, je ne me suis jamais vu balancer autant de foutre, elle me branla jusqu'à extraire la dernière goutte de mon gland.

« À toi maintenant Monsieur Grosse queue ! Il t'en reste un peu pour moi ? Dit-elle à Jules. Tu m'as bien fait jouir tout à l'heure et ton sperme est délicieux ! Donnes m'en encore un peu s'il te plaît !" lui réclamait-elle.
Elle le branlait à fond, crachait sa salive dessus afin de bien la lubrifier. Au bout d'un moment, il grimaça de nouveau et de belles coulées de jus de couilles vinrent rejoindre le mien pour agrémenter la crème du macaron.

Sylvie ne se fit pas prier, elle remit le chapeau du gâteau, et le mangea tout dégoulinant de crème en quelques bouchées. Fatigués, Jules et moi nous sommes allongés à côté d'elle, histoire de reprendre nos esprits. Soudain, Sylvie, qui se caressait le sexe, nous dit :
« Merci les garçons, je n'ai jamais eu un tel cadeau d'anniversaire, c'était vraiment génial et grâce à toi, Éric, je ne suis pas prête d'oublier mes 38 ans ! »
Il est vrai qu'elle n'oubliera pas, mais je préparais déjà ses 40 ans...
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Histoire de denislamalice

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