L'anniversaire mémorable de Léa 1

Pour l'anniversaire de sa femme Léa, Julien lui prépare une surprise. Elle qui est très chaude au lit, est un peu réservée avec son entourage. Enfin le jour arrive, Julien a mis les petits plats dans les grands. Pour l'occasion, il a invité un couple d'ami, Gisèle, Marc et le leur fils Gaëtan, qui a la réputation d'être un étalon formidable. Léa passe un long moment à la salle de bain, avant d'enfiler, une jupe légère, et d'un chemisier échancré, qui laisse voir le haut des lobes admirablement gonflés. Malgré ses cinquante-cinq ans, Léa est une belle plante avec des formes généreuses, qui ne laisse pas indifférentes son entourage.

Le soleil est de la partie, Julien a dressé la table à l'ombre sous un arbre, il ne manque que les invités. Enfin, il arrivent. Gisèle porte une jupe qui lui arrive à mi-cuisses, un top met en valeur sa poitrine, étrangement les trois hommes portent un short et un t-shirt. Ils souhaitent l'anniversaire à Léa en lui offrant quelques paquets, qu'elle ne doit ouvrir qu'après le gâteau. Une fois installé, c'est l'heure de l'apéro. Il coule à flot, même Léa s'y met. Très souriante, elle trinque avec ses amis. Julien fait le service, avec chaque plat un vin différent est servi, ce qui ravit le gosier des invités. L'ambiance est bonne, les blagues fusent ainsi que les rires. Léa est radieuse, elle se lève pour rejoindre son mari à la cuisine. Elle l'enlace et le remercie pour les préparatifs, elle cherche ses lèvres et les deux échangent un baiser d'enfer. La main de Julien se glisse sous le fin tissu de la jupe et taquine quelques instants la vulve fraîchement rasée de sa femme. Elle soupire et dit :

-Ce soir, mon chéri soit patient, je serai à toi corps et âme !

Le bougre, avant de la libérer, lui passe plusieurs fois ses doigts, en insistant sur la fente qui n'a que seul rempart la culotte. Léa se met à frissonner, sa fente commence à suinter. Elle se degage en souriant et rejoint ses amis. Elle avale une grosse rasade de vin pour éteindre le début d'incendie qu'a allumé son mari. Entre chaque plat, Julien a eu la merveilleuse idée de mettre de la musique. Marc et Gisèle s'en donnent à cœur joie, ils évoluent tant bien que mal sur l'herbe tendre, fortement collé l'un à l'autre. Gaétan n'a d'yeux que pour Léa, il se lève et l'invite. Il l'enlace et la serre fermement contre lui. Les bassins en contactent ondulent sous la douce musique. Julien lui remplit les verres, pendant que sa femme se trouve en galante compagnie. Elle sent sur sa joue le souffle chaud de son danseur, de temps en temps le coquin lui lèche le lobe de l'oreille. Léa frémit sans oser rechigner, l'alcool aidant, elle est sous le charme du jeune homme. Elle se cabre lorsque les lèvres brulantes de Gaétan se posent sur son cou et lui donne de multiples petits baisers. Julien regarde en souriant l'évolution de la situation. Il regagne la cuisine, se frotte les mains, ravi de la tournure que prennent les choses.


Le cœur de Léa bat la chamade, sa respiration est saccadée, le bas ventre de Gaétan qui ondule contre le sien la trouble énormément. Elle sent contre son ventre l'érection naissante du coquin. Les deux se regardent longuement, leurs yeux brillent, leurs lèvres se frôlent. Léa ravale sa salive, elle est dans un si fébrile, que son corps tremble. Gaétan la serre encore plus contre lui, sa verge est tendue au maximum, il l'appuie fortement contre le bas ventre de Léa qui déglutie bruyamment. La danse se termine, Léa reste un moment rêveuse avant de rejoindre sa place, sa chatte est en feu. Gaétan ne cesse de lui sourire, Léa semble hypnotisée par ce jeune mâle en rut. Julien amène enfin le gâteau, il est tout souriant, il fait un clin d'œil à Marc. Il se lève et dit en riant :

-Pour ton anniversaire Léa, ma petite famille et moi, nous t'offrons un petit spectacle !

Léa reste sans voit et regarde les trois d'amis se déhancher sur la pelouse au son d'une douce musique bien choisit. Gisèle, Marc et Gaétan, avec un synchronisme parfait, s'effeuillent lentement. Léa écarquille les yeux, elle suit du regard les vêtements qui un à un tombent sur l'herbe. Mais lorsqu'elle voit la verge tendue de Gaétan, son souffle se coupe. Le bougre porte bien son surnom d'étalon, son membre parait redoutable. Gisèle est très bien gaulée aussi, lorsqu'elle ouvre ses jambes bien galbées pour exhiber sa chatte soyeuse, Julien ne la quitte pas des yeux. Marc entreprend une danse sensuelle, sa queue se balance sur son bas ventre, il emlace sa femme. Les deux se frottent sexe contre sexe. Léa semble tétanisée par le spectacle inattendu de ses amis. Gisèle pose ses mains sur sol et offre sa croupe aux mains de son mari. Les mains qui passent sans cesse dans le sillon profond, font couiner Gisèle qui, mécaniquement, agite sa croupe.


Gaétan ondule du bassin, en regardant Léa. Sa verge, ornées de grosses couilles velues, oscille sur son bas ventre. Le coquin s'avance vers ses parents, il saisit son braquemart et le frotte sur les lèvres de sa maman, qui reste bouche fermée, tout en serrant les dents. Marc lui donne une tape sur les fesses, ce geste brutal fait changer d'avis à Gisèle, elle ouvre la bouche et gobe la verge de Gaétan. Elle suce le membre avec rage, en le tenant d'une main. Léa n'en croit pas ses yeux, Gisèle qui suce la bite de son fils, c'est inimaginable, sa chatte coule comme une fontaine. Soudain Gisèle pousse un cri, Marc vient de lui planter sa queue dans la chatte et la ramone comme un forcené. Elle recrache la bite de son fils pour pouvoir geindre comme un animal. Gaétan, frustré, s'avance vers Léa, puis, regarde Julien qui lui fait un signe approbateur de la tête. Il pose sa main sur la cuisse de Léa et lui retrousse la jupe. Le coquin prend plaisir à frotter sa queue sur la cuisse dénudée de Léa qui ne quitte pas des yeux le mat vivant. Brusquement, comme pour se défendre, elle saisit la verge et la serre très fortement dans sa main. Elle regarde son mari qui ne cesse de sourire. Elle ne sait que faire, elle est très mal à l'aise.


Léa se lève rapidement de sa chaise comme pour fuir, mais elle ne lache pas le pieu de chair. Elle le regard, sa main tremble, ses yeux s'embrument. Sans savoir pourquoi, elle se laisse tomber à genoux, sa respiration est très rapide, elle serre tellement fort la verge de Gaëtan qu'il grimace. Il lui saisit les cheveux et tire doucement, petit à petit la tête de Léa s'approche de son manche gorgé de sang. Ses lèvres butent contre le gland violacé. Elle deglutie sensiblement, la tentation est trop belle, la coquine cède. Elle ouvre la bouche et gobe le gland, Julien pousse un ouf de soulagement en voyant sa femme absorber le champignon épais du jeune mâle. Maintenant, il sait qu'elle va se livrer totalement. Marc défonce sa femme à grands coups de reins, la coquine, excitée à mort hurle :


-Julien, Julien, donne-moi ta queue !

Julien n'hésite pas, il retire son short et saisit d'une main sa queue qui est deja tendue, et l'offre aux lèvres charnues de la demandeuse, qui l'avale comme une affamée sans de mander son reste. Marc donne de violents coups de boutoir, sa femme est au bord de la jouissance. Elle agite sa croupe comme une hystérique, tout en dévorant la queue de Julien qui grogne de plaisir. Léa s'active sur la queue de Gaétan qui couine de bonheur. Tout en suçant la bite de son jeune amant, elle se caresse la chatte à travers sa culotte détrempée. Gisèle reçoit dans la bouche plusieurs giclées de semence que lui offre généreusement Julien, soudain, elle le repousse, un cri inhumain sort de sa gorge, elle jouit comme une malade. Marc ne désarme pas, il lui plonne le ventre comme un soudard. Ses coups deviennent de plus en plus violents, il se bloque et rugit comme un fauve, et remplit de sa semence le ventre de sa femme qui geint toujours de plaisir.


Pour Léa, c'est sa plus belle fellation, elle s'appuique pour ne pas décevoir son amant. Le bougre grogne, il se cabre et envoie son sperme gluant dans la bouche de la suceuse avide, qui l'avale sans se poser de questions. Marc s'approche et, avec habileté, retire les vêtements de Léa, car il est temps de passer à l'étape suivante.