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La nuit d'Emma -6 partie

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 28/04/2023

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La nuit d’Emma
6ième partie



L’intermède masturbation terminé, je souhaite à nouveau être baisée par ces sexes à la vigueur quasi inépuisable. Mon regard va de l’un à l’autre. Antoine est le premier à réagir.

- Je te veux, me dit-il d’une voix rauque. Tu es prête pour un autre rodéo ?

- Vous verrez bien !

- Alors je vais chercher ce qu’il nous faut, me dit-il.

Il se lève et se dirige vers le tas de vêtements et de boxers jetés en vrac sur le parquet. Fouille dedans et récupère sa veste de laquelle il sort un spray. Il revient s’asseoir en tailleur en face de moi. Je ne peux pas éviter de fixer mon regard sur son sexe majestueux. Il m’explique que ce qu’il tient est un retardateur d’orgasme. Il contient un produit qui insensibilise le gland pendant environ 20 minutes, peut-être un peu plus, ce qui me laissera largement le temps de jouir plusieurs fois avant que les sensations ne se réveillent chez lui et déclenchent son propre plaisir. Il prend son sexe d’une main et vaporise une bonne dose de produit sur le gland puis l’étale avec un doigt.

- Il fera effet dans cinq minutes.

- Vous allez tous vous en servir ?

- Bien entendu. Ça va être environ un peu moins de deux heures de baise en continue. Après, nous te doucherons et nous rentrerons chez nous, émerveillés par la nuit passée.

Presque deux heures de baise effrénée. Ils vont finir par avoir ma peau à ce petit jeu-là. Mon minou se délecte de cette nouvelle en mouillant abondamment. L’odeur caractéristique remonte jusqu’à mes narines.

- Ce programme semble te plaire, dis donc, me demande Frédéric. Tu sens bon le sexe.

Je ne lui dis rien mais je lui fais un sourire éclatant.

Antoine bouge vers mes jambes qu’il tire pour me mettre en position allongée. Il positionne un coussin sous ma tête et un autre sous mes fesses pour surélever mon bassin. Il récupère les 2 paires de menottes et m’attache les bras en croix puis il m’écarte largement les jambes et fixe mes chevilles au cadre du sommier. Heureuse de la tournure des évènements, je me laisse faire.
Je suis une fois de plus totalement à la merci de ces trois hommes. Antoine se glisse entre mes jambes et me lèche le sexe en l’enduisant de beaucoup de salive. Lorsqu’il juge que c’est suffisant, il étale sa salive sur son gland et l’essuie consciencieusement sur le drap. Les cinq minutes semblent être passées. Il se positionne au-dessus de moi et me pénètre en douceur. Mon vagin s’élargit au fur et à mesure de sa poussée. C’est un délice de le sentir forcer une nouvelle fois mes chairs intimes.

J’imagine son gland entrer dans ma grotte toute humide, frotter mes parois, récupérer mon liquide puis ressortir avant de rentrer à nouveau un peu plus loin, un peu plus fort et ainsi de suite jusqu’au moment où il se déversera tout au fond de moi. Pour le moment, il me baise doucement, par petits aller-retours de quelques centimètres seulement. Je dois reconnaitre que c’est très agréable. Je sais que sa sollicitude à l’égard de mon vagin ne va pas durer longtemps. Appuyé sur ses coudes, il me lèche les seins à tour de rôle, mâchouille mes tétons, les mords assez fort pour que je me cambre et que je m’empale un peu plus sur son membre. Entre la douleur à mes tétons et la douceur de son sexe en moi, mon ventre retrouve vie.

Les deux autres amis me regardent me faire baiser tout en se masturbant et en se caressant les couilles pour garder leur érection. Antoine accélère ses va et vient. Je savais qu’il ne resterait pas gentil très longtemps. Je sens aussi que je vais prendre cher mais c’est ce que je veux. Maintenant il va de plus en plus vite. Il se relève et en appui sur ses bras, commence à me défoncer sérieusement. À chaque coup de reins, j’ai l’impression qu’il m’ouvre un peu plus.

Étant attachée, je n’ai pas beaucoup de marge de manœuvre mais j’essaie de trouver un angle de pénétration qui peut mieux masser mon clitoris. Il comprend ce que je veux et s’avance un peu en se penchant sur moi. C’est tout bon. Il se redresse pour apercevoir mon clitoris et se rend compte qu’il est sous son capuchon. D’une main il le fait sortir et reprend sa position et son mouvement. La sensation est au rendez-vous. Lorsqu’il me pénètre, sa queue frotte dessus ainsi que son pubis lorsqu’il est entièrement en moi. Ma chatte raffole de ce traitement et me le fait comprendre rapidement. Je sens les prémices d’un orgasme et j’explose pour la première fois.

Il continue de me baiser à un rythme d’enfer avec la précision d’un métronome. Il est increvable. Il me fait jouir plusieurs fois avant que je l’entende dire à Frédéric de se préparer. Le produit anesthésiant doit commencer à perdre de son effet. Ses coups de reins sont fantastiques et m’arrachent des cris de plaisir. Nous ne nous quittons pas du regard. Il transpire sous l’effort. Heureusement que je suis solidement attachée au lit car il m’aurait très rapidement poussée en dehors.

Son ventre claque contre le mien, ses couilles tapent sur mes fesses, le bruit que fait son sexe lorsqu’il me pénètre, le lit qui vibre sous ses coups, tout cela concourt à mon plaisir. Je jouis encore une fois avant de le voir se crisper, serrer la mâchoire et lever la tête.

- Vas-y ! Jouis en moi ! Tout au fond. Maintenant !

Il résiste encore un peu puis cède et je sens un jet de sperme éclater au fond de mon vagin. Je le serre avec mes muscles intimes. Je perçois les soubresauts de sa queue. Il s’affale sur moi, épuisé par l’effort qu’il vient de fournir et par sa jouissance. Il pose ses lèvres sur les miennes et m’embrasse avec une douceur déconcertante après cet ouragan de sexe. Il se retire doucement et s’écarte de moi.

Frédéric prend immédiatement sa place et se met à genoux devant moi. Il s’introduit petit à petit et me dit de ne pas m’inquiéter. Je suis tellement lubrifiée par les orgasmes donnés par Antoine et par son sperme qu’il rentre sans aucun problème. Il continue sa pénétration, trouve la bonne position, attrape mes hanches et commence à me défoncer sans aucune retenue. J’en ai le souffle coupé. Déjà prête grâce à Antoine, je recommence de gémir de plus en plus fort jusqu’à mon premier orgasme. Frédéric continue comme si de rien n’était. Sa queue fait des miracles dans mon vagin. Je jouis encore et encore. Je vais devenir folle tellement c’est bon. Je lui demande de m’en donner plus, ce qu’il fait merveilleusement.

Frédéric regarde Matthieu qui attend sagement son tour en se branlant à côté de ma tête et lui demande de s’occuper de mes tétons. Il saute dessus et les tortures sans pitié. Tirés, tordus, mordus, pincés, ils ont droit à tout ce qui se fait en la matière.

J’explose encore plusieurs fois. Frédéric ne s’arrête pas pour autant mais demande à Matthieu de se préparer. Antoine vient à la rescousse et caresse avec vigueur mon clitoris toujours décalotté. Je me cambre une nouvelle fois sous ce contact viril. Je hurle comme une folle et cet orgasme est tellement violent que je retombe inanimée pendant quelques secondes. J’ai encore éjaculé de plaisir. Je reviens à moi. Je ne sais pas si les garçons s’en sont rendu compte car ils continuent leurs caresses. Je n’en peux plus et je sais que ce n’est pas fini.

Frédéric serre ses doigts plus fortement sur mes hanches et jouit dans mon vagin. Je sens son sexe grossir encore. Comme avec Antoine, je contracte mes muscles intimes pour l’aider à se vider complètement. Il grogne de plaisir. Après quelques autres allers-retours, il m’embrasse et se retire. En m’enjambant, quelques gouttes de sperme tombent sur ma cuisse. Il les récupère avec un doigt qu’il me fait sucer. Matthieu est déjà entre mes jambes. Il prend la même position que Frédéric et me pénètre lui aussi d’un seul coup de reins.

Une fois au chaud, bien au fond, il ne bouge plus. Il tend ses mains et Antoine lui donne une ceinture de peignoir de bain et un vibromasseur clitoridien que je reconnais car c’est le mien. Il fixe la ceinture autour de mon pubis et glisse le vibro en prenant bien soin de le positionner exactement sur mon clitoris toujours décalotté puis me regarde.

- Emma, je veux que tu me préviennes juste avant que tu ne jouisses. C’est tout ce que je te demande. Tu es d’accord ?

Je ne suis pas idiote. Je sais ce à quoi je dois m’attendre. Les deux premiers garçons m’ont baisée chacun longuement, il n’y a aucune raison pour que Matthieu ne le fasse pas. Le jeu qu’il veut faire va me mettre complètement à plat mais c’est terminer en apothéose cette nuit de sexe.

- Je suis d’accord !

Il sourit et met en marche le vibro sur le premier niveau. Immédiatement je sais que je vais partir très vite. Mon clito est très sensible en temps normal alors avec tous les traitements qu’il a subi depuis hier soir, je ne sais pas trop si je vais résister. Sa queue bien plantée dans mon vagin, Matthieu ne bouge pas. Il attend. Déjà le premier orgasme s’annonce dans mon sexe. Il monte petit à petit mais sûrement. Je me crispe un peu. Je respire un peu fort. J’essaie de me calmer mais c’est illusoire. Ça y est, il est bientôt là !

- Maintenant !

Matthieu se met en mouvement et me pilonne comme s’il voulait sortir dans mon dos. La double jouissance vaginale et clitoridienne me surprend. Je crie mon plaisir. Il me regarde tout en continuant de me pénétrer. Je me calme. Il s’arrête et attend. Il augmente les vibrations et me sourit. Je ferme les yeux et me concentre sur mon ressenti. La chaleur annonciatrice revient vite dans mon ventre. J’ondule sous la caresse des vibrations. Ma respiration est brève, j’ouvre la bouche.

- Oui, oui, maintenant !

Il reprend ses coups de butoir tout en me regardant. Je soutiens son regard. J’espère qu’il y voit briller le début de jouissance qui subitement me fait exploser. Je crie, cambrée. Il continue de me baiser à grands coups jusqu’à ce que je me calme de nouveau puis s’arrête. Il me sourit et met les vibrations au plus haut niveau. Je n’ai pas le temps de le prévenir mais mon corps parle pour moi. J’ouvre la bouche en grand, cherchant de l’air. Il comprend très vite et reprend ses coups de bélier dans mon vagin. Je hurle de plaisir.

Mon ventre et mon sexe explosent en même temps pour mon plus grand bonheur. J’éjacule. Il continue. Il laisse le vibro sur le maximum et ne s’arrête plus de me posséder. Les orgasmes se suivent à un rythme effréné. Mon cerveau ne commande plus mon corps. De toute façon, même si le voulais ce serait impossible. Je suis attachée, bras et jambes écartelés, j’ai un sexe planté en moi qui me défonce avec vigueur et un vibro attaché sur mon clito. Que puis-je gérer ? Rien ! Alors je laisse mon corps se débrouiller tout seul et il le fait divinement bien. Je gémis, je crie, je hurle, je me cambre sous les vagues de mes jouissances successives et je serre mes poings à m’enfoncer les ongles dans mes paumes.

Matthieu continue de s’activer en moi avec force. Un orgasme plus violent que les autres arrive. Il monte, monte, monte, n’arrête pas de monter. Je pressens que son intensité va être extrême. Je retiens mon souffle. Au moment où il éclate, il me transperce de part en part. J’ouvre la bouche pour hurler mais aucun son n’en sort. Les muscles de mes jambes et de mes bras sont tétanisés. La jouissance que je ressens à ce moment est indescriptible.

Pour la seconde fois ma vessie me lâche et j’urine sur Matthieu qui ne s’arrête pas pour autant et continue de me baiser de façon magistrale. Et puis il y en a un autre puis un autre et encore un autre. Je n’en peux plus mais c’est tellement bon ! Au bout d’un long moment Matthieu à son tour pousse un rugissement et déverse son sperme dans mon vagin totalement détruit. Il fait encore cinq ou six va et vient puis se retire doucement, enlève la ceinture de ma taille et coupe le vibro.

Ses deux copains me détachent les bras et jambes et je reste dans cette position quelques minutes. J’apprécie le calme revenu dans mon corps après la tempête que Matthieu y a déclenché. Il se penche sur moi, lèche la sueur qui coule entre mes seins et m’embrasse lentement. Les trois hommes me font maintenant face, assis en tailleur sur le lit. Je reste toujours allongée, en croix. Je n’ai pas la force de bouger. Ils regardent mon corps qu’ils ont baisé pendant de longues heures, chacun à leur tour. Autant j’ai eu peur de me donner à eux, autant maintenant je ne le regrette pas une seule minute avec peut-être au fond de moi-même le regret que ce soit terminé. Je regarde avec tendresse mon mari qui n’a rien perdu du spectacle.

- Emma, il est presque cinq heures et demie. Bientôt nous te rendrons à Benjamin comme convenu. Viens prendre une bonne douche. Nous allons te laver.

Ils m’aident à descendre du lit et nous nous dirigeons vers ma salle de bains. J’ai une grande douche à l’italienne où nous tenons largement tous les quatre. Une fois sous l’eau chaude, Antoine s’occupe de me laver le dos et les fesses, Frédéric les cheveux et la poitrine et Matthieu les jambes et le sexe. Leurs gestes sont très doux et efficaces. Sentir ces six mains d’hommes sur mon corps est très agréable. Une fois fait, Antoine et Frédéric me demandent de passer mes bras autour de leurs épaules, me soulèvent en passant chacun un bras dans le pli des genoux et m’écartent bien les jambes. Je décolle du sol de la douche.

Matthieu me demanda quel produit j’utilise pour mon hygiène intime. Je lui montre le flacon. Il s’en saisit et en verse une grande quantité dans ses mains. Il savonne très délicatement mon sexe et s’attarde un peu plus longtemps sur mon clitoris et surtout sur l’entrée de mon vagin.
Ses gestes sont très doux comparés à tout ce qu’ils m’ont fait depuis hier soir. Il insère deux doigts qu’il enfonce tout doucement. Il les fait tourner plusieurs fois afin de bien me nettoyer. Il ressort et recommence avec trois doigts. Dilatée comme je suis et avec l’aide du savon, ils rentrent sans problème. Il commence un lent mouvement de masturbation

Il est doux. J’aime bien ce qu’il me fait. Je laisse tomber ma tête sur l’épaule de Frédéric et j’écarte un peu plus les jambes. Il ressort sa main, fait couler à nouveau du gel intime sur ses doigts et les réinsèrent tout doucement et commence un lent mouvement de va et vient. Je m’offre encore plus. Frédéric et Antoine me soutiennent fermement. Je commence à gémir. Ses doigts dilatent mon vagin et la pression sur mes parois intimes est fantastique. Son pouce caresse mon clitoris. De sa main de libre il me caresse les fesses, ouvre ma raie et me caresse l’anus.

Je gémis de plus belle. Avec le traitement qu’il fait dans mon sexe, je suis sur le point de jouir. Il continue de plus belle. L’orgasme qui me submerge est nouveau au niveau des sensations. Matthieu me laisse terminer mon plaisir et très lentement se retire de mon corps. Je le regarde, les yeux remplis de larmes de plaisir.

- Emma, ceci est le cadeau que nous voulions te donner pour te remercier de cette fantastique nuit avec toi. Tu as été magnifique. Ce qui s’est passé entre nous est exceptionnel et restera gravé dans nos mémoires. Tu as accepté tout ce que nous t’avons proposé et tu nous as fait jouir à la perfection. Benjamin peut être fier de toi.

- Merci pour tout ce que vous avez fait, les garçons. J’ai vécu moi aussi des moments inoubliables. Vous pouvez également être fiers de vous, vous savez faire jouir une femme de façon magistrale.

Ils m’embrassent tous les trois et nous retournons dans ma chambre. Ils se rhabillent lentement. Benjamin nous attend. Il a changé les draps pendant qu’ils me lavaient. Je me suis allongée dessus, totalement nue. Tout mon corps devient douloureux. Même le fait de garder mes paupières ouvertes me fait mal. Je les ferme doucement bercée par les voix graves de mes amants et de mon mari. Il ne me faut pas plus que quelques secondes pour m’endormir profondément dans un sommeil réparateur.

Sans ouvrir les yeux, je cherche de la main Benjamin. J’ai beau tâter à sa place habituelle, je ne caresse pas sa peau chaude. D’habitude je suis plus matinale que lui, ce n’est pas normal qu’il ne soit plus dans le lit. Je me décide à ouvrir les yeux. La chambre est dans la pénombre. Je regarde au plafond l’heure projetée par le réveil. Il est 16 heures 45. Je m’assoie dans le lit. J’ai mal à tous mes muscles, de la plante des pieds à la mâchoire. Petit à petit les évènements de la nuit passée me reviennent en mémoire. Je descends sans prendre le temps de m’habiller. Mon mari, en short de bain, s’affaire dans la cuisine. Il sort de la piscine. Il a les cheveux encore mouillés. Je le rejoins. Il m’accueille avec un énorme sourire.

- Ça va mon ange ? Tu as bien dormi ?

- Euh, oui je te remercie.

Ma voix est encore un peu éraillée.

- Mon amour, Matthieu est passé pendant que tu dormais. Il m’a donné ceci pour toi.

Il me donne une toute petite boite emballée dans du papier cadeau. Je le regarde, étonnée.

- Ouvre, c’est pour toi, me dit-il avec un grand sourire.

Je déchire le papier et ouvre la boite. Elle contient une clé USB et un petit mot. « Pour Emma, en souvenir de cette magnifique nuit ». Je rougis.

- Non…Ce n’est pas ce que je pense…Dis-moi que je me trompe !

- Tu ne te trompe pas ma chérie. C’est le film de toute ta nuit de sexe avec eux. Tous tes ébats ont été filmés avec nos téléphones et la caméra de Frédéric mais tu étais bien trop occupée pour t’en rendre compte. Il a fait le montage vidéo des meilleurs moments ce matin et t’en fait cadeau. Il n’y a aucune autre copie. Il m’a donné l’original sur carte SD que j’ai détruite. L’image est parfaite, ainsi que le son…si tu vois ce que je veux dire. Nous pourrons le regarder très souvent.

Je me sens rougir. Je prends une grande bouffée d’air. J’ai du mal à respirer.

- Benjamin, je voudrais te dire que…

Il me coupe la parole.

- Tu as été géniale, mon amour. J’ai adoré cette soirée. Si tu le veux on pourra recommencer. Ils sont d’accord.

Mon malaise se dissipe. Je me blottis dans ses bras. Je ne peux lui résister. Je sens son érection à travers son short

- Tu en as envie ? osé-je lui demander.

- Oui, énormément. Mais cette fois, il est hors de question que je reste sur la touche, je participe, me dit-il avec son sourire ravageur. J’ai trop envié nos amis.

- Oui mon amour, je te veux moi aussi. Je ne peux que te remercier de ce magnifique moment que tu m’as permis de passer. Et j’ai quelque chose à te demander.

- Tout ce que tu voudras mon ange. C’est déjà accordé.

- Tu voudras bien me sodomiser ?

- Évidemment ! Tu es enfin décidée à sauter le pas ?

- Oui. J’ai bien réfléchi, je le veux !

- Qu’est-ce qui t’a décidé ?

- Tu m’as servi mon fantasme sur un plateau. A moi maintenant de te donner le tien.

- Tu vas beaucoup apprécier, je te le promets. Au fait, lorsque Matthieu est venu me donner ton cadeau, il m’a appris quelque chose de très étonnant.

- Ah bon, c’est quoi ?

- Tu savais qu’ils fréquentaient tous un club libertin ?

- Un club libertin ? Pas du tout !

- Et nous y sommes invités quand nous le voudrons. Ils nous proposent tout d’abord de tester l’échangisme chez eux, entre nos quatre couples.

Mais ça, c’est une autre histoire…
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Histoire de Emma.C

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Commentaires du récit : La nuit d'Emma -6 partie

Le 30/04/2023 - 22:00 par OlgaT
Merci pour ce récit d'une nuit mémorable!
Le 28/04/2023 - 16:38 par DBHB24
Très beau final d'une nuit qui restera grâce au film inoubliable pour Emma, pour le couple... Vivement une suite.

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