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L'appartement - 1
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L’APPARTEMENT - 1
Sylvain et Céline venaient de graduer. Il avait eu son diplôme en comptabilité et elle avait été promue professeur. Les deux avaient eu un emploi en banlieue d’une grande ville, lui commençant immédiatement et elle seulement à l’automne. Nous étions en mai Ils étaient grands, élancés, châtains et distingués. Le genre que tout veut avoir comme enfant ou comme bru ou gendre.
Puisque les études étaient terminées et que les vivres étaient coupés du côté des parents nourriciers, ils se résignèrent à louer un appartement en attendant que Céline commence son emploi à temps plein (elle travaillait à temps partiel entretemps) et qu’à deux salaires ils puissent enfin acheter leur demeure, même si cette dépense ralentirait leur projet. Ce projet était leur objectif et tout était fait en conséquence.
Ils avaient trouvé un grand appartement où le propriétaire occupait le deuxième étage. Ils avaient donc accès à la cour et à la piscine en autant qu’ils s’occupent de l’entretien. Le sous-sol servait de débarras au propriétaire. Le soir, ils faisaient le tour des pièces, en s’adonnant à des jeux et des explorations sexuelles comme deux nouveaux tourtereaux. Les journées de Céline étaient consacrées à la baignade, les séances de bronzage en bikini et à la lecture.
Rapidement, elle s’aperçut que le propriétaire, prénommé Joseph, retraité de la construction, la regardait discrètement de sa fenêtre au deuxième étage. Jour après jour, le même manège recommençait. Elle était quelque peu mal à l’aise mais ne changea pas ses habitudes. Au contraire, elle essayait de prendre des poses plus suggestives, allant même à dégrafer son haut de bikini alors qu’elle était sur le dos et que son buste était quelque peu relevé pou laisser apparaître le début d’un sein. Céline entra après sa séance de bronzage juste un peu exhibitionniste. Pratiquement aussitôt, elle entendit des pas dans l’escalier et un cognement à la porte de l’appartement. Elle s’approcha et s’enquit de qui était là, sachant bien de qu’il s’agissait de Joseph. Une fois informée de l’identité, elle ouvra, oubliant qu’elle n’avait rien revêtue par-dessus son bikini. Les yeux écarquillés de Joseph lui rappelèrent son oubli.
- Bonjour Mme Céline, lui dit-il en tendant la main
Elle serra la main rugueuse d’un retraité de la construction, veuf, bien conservé et qui devait être vers la fin de la soixantaine. Jamais elle ne l’avait rencontré car Sylvain s’était occupé de tout.
- J’imagine que vous êtes venu chercher le chèque du loyer, puisque nous sommes le 1er du mois.
- Euh oui, c’est ça, bredouilla-t-il en tentant de regarder Céline dans les yeux, mais en baissant le regard souvent vers le haut du bikini.
- Je vais le chercher, Sylvain l’a préparé, dit-elle en le quittant et en exagérant un peu le balancement de son postérieur. Mais venez vous asseoir dans la cuisine en attendant. Vous prendrez bien une limonade.
- C’est bien gentil. Il fait tellement chaud en ce début d’été. Il fait tellement chaud en ce début d’été.
Elle lui apportera un grand verre de limonade fraîche et exagéra en se penchant plus que requis pour le déposer devant lui sur la table, de sorte qu’il avait la plus belle vue de ses magnifique seins naturels de la grosseur de pamplemousse.
- Oh, je suis désolée. Je ne suis pas dans une tenue convenable. Je vais aller revêtir quelque chose de plus convenant.
- N’en faite rien. Un vieux retraité et veuf en plus, n’a pas souvent l’occasion d’admirer quelque chose d’aussi beau. D’ailleurs, j’ai honte de vous l’avouer, je vous regarde lors de vos séances de bronzette.
- J’avais cru m’apercevoir de votre voyeurisme.
- Mais ne vous en faites pas. Je ne suis pas un mononcle cochon. Je ne suis pas dangereux Je sais me contrôler.
- Mais j’aime bien les mononcles cochons. J’aime les exciter, lui dit-elle en s’assoyant sur la table devant lui et en écartant les jambes. Regarde mon « cameltoe ». Ça t’excite mon petit voyeur. Elle enleva alors son haut de bikini. Regarde mes seins. Les trouves-tu beaux.
- Votre « cameltoe » est très excitant et vos seins sont superbes. J’ai le goût de les caresser, lui dit-il en levant les mains vers elle
- Pas tout de suite chéri. Et tu vas me tutoyer. Tu dois me laver un peu car je suis sale. Sens ma culotte.
Il se pencha et approcha son nez à quelques millimètres de la culotte et pris une grande inspiration.
- Est-ce que ma chatte sens bon. Elle a transpiré et mon cul aussi.
- Ça sent bon. Tu sens la pisse et transpiration du cul. J’aimerais bien goûter à ce mélange.
- Pas tout de suite. Tu dois d’abord me laver les pieds. Et garde tes mains sous la table.
Elle leva son pied droit et lui mit sous le nez. Aussitôt, il sortit la langue et se mit en devoir de faire tel qu’elle voulait. Il commença avec le dessus du pied qu’il lécha méticuleusement, puis lava de la même façon les chevilles pour finir par la plante des pieds qu’il couvra avec des grands coups de langue appuyés pour éviter de la chatouiller. Elle lui présenta alors l’autre pied avec lequel il prit le même soin à nettoyer. Il bavait le plus qu’il pouvait en aspirant sa salive déjà étendue à laquelle il ajoutait de la nouvelle. Il s’appliquait afin de pouvoir passer à l’étape suivante et voir ce qui se cachait derrière le bas du bikini.
Au moment où il pensait avoir terminé avec cette besogne qu’il avait néanmoins adorée, elle lui représenta le premier pied;
- Et les orteils. Penses-tu qu’il sont propres eux. Envoie qu’on en finisse et qu’on lave ailleurs.
Il passa sa langue entre chacun des orteils et fit des allers-retours de gauche à droite et vice-versa plusieurs, puis un à un et en commençant par le gros, il les téta chacun longuement. Elle appréciait cette sensation et des chatouillements commençaient à l’envahir au niveau du ventre et même un peu plus bas.
Une fois les pieds et les orteils bien nettoyées, Elle se pencha vers l’arrière, enleva sa culotte et après l’avoir sentie elle-même, lui mis sur le nez. Il la saisit et renifla longuement l’arôme qui s’en dégageait. Pendant qu’il sentait l’objet de ses désirs, il ne quittait pas des yeux la chatte totalement épilée. Il n’en avait jamais vu en vrai.
- Est-ce que je peux la garder. Je vais vous, t’en payer une nouvelle.
- Tu es vraiment cochon toi. Oui tu peux la garder, mais ça va te coûter quelques dollars.
- Pas de problème. Je vais dormir avec.
- Mais là, ma vessie est pleine et je vais devoir aller… Oh non! Trop tard.
Écartant les cuisses encore plus, elle se mit à lui pisser dessus. La pisse arrosait copieusement sa chemise jusqu’à ce qu’il se penche pour boire à la source même.
- C’est ça mon grand, boit bien toute ma pisse, mais tu ne me touches pas encore.
Il avait la bouche grande ouverte afin de recueillir la plus grande quantité et tentait d’avaler sans s’étouffer. Il était détrempé et il aimait tellement ce qui lui arrivait. Elle était complètement remuée de voir un homme qui aimait ces pratiques et qui assouvissait quelques-uns des fantasmes qu’elle gardait secret, sauf pour Sylvain seul afin de garder sa réputation de jeune fille distinguée de bonne famille aux yeux de tout le monde. Lui aussi lui avait divulgué les siens, mais ni l’un ni l’autre n’avait jamais osé les assouvir avec l’autre par gêne ou par respect mutuel, pour l’instant. Mais là elle jouissait mentalement de ces moments que lui offrait Joseph. Elle anticipait avec impatience ce les autres fantasmes qu’elle pourrait réaliser.
Avant de descendre de la table, elle lui intima l’ordre de nettoyer la flaque de pisse qui reposait sur la table, sans oser tout de même lui demander la même chose pour le plancher souillé. Elle descendit avec précaution pour ne pas glisser dans la flaque de liquide jaunâtre.
- Viens, il faut que tu finisses ce que tu as commencé. Il reste des parties de mon corps à nettoyer. Mais avant, tu vas prendre une douche et te savonner complètement. Je crois que tu pues et je déteste. Tu viendras me rejoindre dans la chambre quand tu auras fini.
Elle était assise les jambes croisées pudiquement, mais toujours complètement nue sur le bord du lit extra-grand depuis seulement deux ou trois minutes quand il fit son apparition entièrement nu dans le cadre de porte. Il n’était pas un Apollon, mais pour son âge, il avait gardé un corps sans embonpoint marqué, ce qui évita que Céline le repousse. Il remarqua l’immense lit et les miroirs qui ornaient le meuble de femme et l’armoire de rangement.
- Couche sur le dos en travers du lit, les jambes pendantes sur le bord du matelas. Tu vas terminer ce que tu as commencé, lui dit-elle en se levant.
Trop heureux d’obéir à ces ordres coquins et non dominateurs, il s’exécuta rapidement. Elle le rejoint rapidement et se positionna face à la porte de la chambre les genoux de chaque côté de sa tête. Elle descendit son bassin sans précaution sur son visage.
- Maintenant, tu me nettoie la chatte et le cul. Et ne ménage pas les traitements de ta bouche et de ta langue.
N’osant bouger aucun membre, il commença son nettoyage en léchant les grandes lèvres qui reposaient sur sa bouche, pendant qu’il avait le nez dans les fesses de Céline. L’odeur qu’il respirait des fesses le saoulait et le poussait à manger la chatte pours la nettoyer en profondeur. Sa langue et sa bouche se promenait sur les grandes lèvres de Céline et les aspirait. Il les suçait et les pressait entre ses lèvres. Céline remuait du bassin et des frissons lui parcourait tout le corps. Il savait y faire le vieux. Il avait de l’expérience.
- Oui. Vas-y vieux cochon. Tu me laves bien. Ta langue est bonne. Oui comme ça. Tu me manges comme un affamé. Lave-moi le cul maintenant.
Basculant la tête un peu en arrière, il se mit à promener sa langue autour du petit trou brun si odorant et goûteux. Rapidement, il s’attaqua directement à l’œillet et après quelques coups de langue, il pénétra son cul avec sa langue. Il faisait des va-et-vient dans le cul avec sa langue. Céline se frottait le clitoris pendant qu’il explorait son fondement avec sa langue.
- Prends-moi les seins.
Par derrière, il lui empoigna chacun des seins avec ses mains rugueuse. Ce contact rude, envoya un frisson dans tout le corps de Céline. Il lui pinçait les mamelons et les étiraient jusqu’au bord de la douleur.
- C’est bon vieux voyeur. Pince-les. Ta langue est bonne. Elle glisse bien dans mon cul et dans ma chatte. Oui mange-moi la plote. C’est tellement jouissif.
Elle faisait aller son bassin d’avant en arrière à une vitesse incroyable, se frottant sur son menton et son nez en passant sur sa bouche. Soudain, son premier orgasme la saisit. Il lapait les jus abondants qui coulaient à flot du sexe largement ouvert. Elle s’affaissa sur le torse de son bienfaiteur. C’est alors qu’elle réalisa qu’il n’avait pas d’érection. Pendant ce temps, il continuait ses soins à la vulve et au cul. Il quitta temporairement le vagin et s’attaqua au clitoris.
- Non arrête. C’est trop sensible. Arrête.
Il ne prêta aucune attention aux cris de Céline, et continuait à le pincer entre ses lèvres et à l’aspirer fortement. Il libéra sa main droite et lui enfila le pouce dans le vagin et le majeur dans le cul.
- Oui. Continue. C’est trop bon. Qu’est-ce que tu me fais. Ahhhhhhhh.
Deuxième orgasme et nouveau flot de cyprine. Toujours avachie sur le torse de Joseph, elle tourna les yeux pour constater l’état du membre de Joseph, mais croisa le regard et le sourire en coin de Sylvain dans le cadre de porte.
Sylvain et Céline venaient de graduer. Il avait eu son diplôme en comptabilité et elle avait été promue professeur. Les deux avaient eu un emploi en banlieue d’une grande ville, lui commençant immédiatement et elle seulement à l’automne. Nous étions en mai Ils étaient grands, élancés, châtains et distingués. Le genre que tout veut avoir comme enfant ou comme bru ou gendre.
Puisque les études étaient terminées et que les vivres étaient coupés du côté des parents nourriciers, ils se résignèrent à louer un appartement en attendant que Céline commence son emploi à temps plein (elle travaillait à temps partiel entretemps) et qu’à deux salaires ils puissent enfin acheter leur demeure, même si cette dépense ralentirait leur projet. Ce projet était leur objectif et tout était fait en conséquence.
Ils avaient trouvé un grand appartement où le propriétaire occupait le deuxième étage. Ils avaient donc accès à la cour et à la piscine en autant qu’ils s’occupent de l’entretien. Le sous-sol servait de débarras au propriétaire. Le soir, ils faisaient le tour des pièces, en s’adonnant à des jeux et des explorations sexuelles comme deux nouveaux tourtereaux. Les journées de Céline étaient consacrées à la baignade, les séances de bronzage en bikini et à la lecture.
Rapidement, elle s’aperçut que le propriétaire, prénommé Joseph, retraité de la construction, la regardait discrètement de sa fenêtre au deuxième étage. Jour après jour, le même manège recommençait. Elle était quelque peu mal à l’aise mais ne changea pas ses habitudes. Au contraire, elle essayait de prendre des poses plus suggestives, allant même à dégrafer son haut de bikini alors qu’elle était sur le dos et que son buste était quelque peu relevé pou laisser apparaître le début d’un sein. Céline entra après sa séance de bronzage juste un peu exhibitionniste. Pratiquement aussitôt, elle entendit des pas dans l’escalier et un cognement à la porte de l’appartement. Elle s’approcha et s’enquit de qui était là, sachant bien de qu’il s’agissait de Joseph. Une fois informée de l’identité, elle ouvra, oubliant qu’elle n’avait rien revêtue par-dessus son bikini. Les yeux écarquillés de Joseph lui rappelèrent son oubli.
- Bonjour Mme Céline, lui dit-il en tendant la main
Elle serra la main rugueuse d’un retraité de la construction, veuf, bien conservé et qui devait être vers la fin de la soixantaine. Jamais elle ne l’avait rencontré car Sylvain s’était occupé de tout.
- J’imagine que vous êtes venu chercher le chèque du loyer, puisque nous sommes le 1er du mois.
- Euh oui, c’est ça, bredouilla-t-il en tentant de regarder Céline dans les yeux, mais en baissant le regard souvent vers le haut du bikini.
- Je vais le chercher, Sylvain l’a préparé, dit-elle en le quittant et en exagérant un peu le balancement de son postérieur. Mais venez vous asseoir dans la cuisine en attendant. Vous prendrez bien une limonade.
- C’est bien gentil. Il fait tellement chaud en ce début d’été. Il fait tellement chaud en ce début d’été.
Elle lui apportera un grand verre de limonade fraîche et exagéra en se penchant plus que requis pour le déposer devant lui sur la table, de sorte qu’il avait la plus belle vue de ses magnifique seins naturels de la grosseur de pamplemousse.
- Oh, je suis désolée. Je ne suis pas dans une tenue convenable. Je vais aller revêtir quelque chose de plus convenant.
- N’en faite rien. Un vieux retraité et veuf en plus, n’a pas souvent l’occasion d’admirer quelque chose d’aussi beau. D’ailleurs, j’ai honte de vous l’avouer, je vous regarde lors de vos séances de bronzette.
- J’avais cru m’apercevoir de votre voyeurisme.
- Mais ne vous en faites pas. Je ne suis pas un mononcle cochon. Je ne suis pas dangereux Je sais me contrôler.
- Mais j’aime bien les mononcles cochons. J’aime les exciter, lui dit-elle en s’assoyant sur la table devant lui et en écartant les jambes. Regarde mon « cameltoe ». Ça t’excite mon petit voyeur. Elle enleva alors son haut de bikini. Regarde mes seins. Les trouves-tu beaux.
- Votre « cameltoe » est très excitant et vos seins sont superbes. J’ai le goût de les caresser, lui dit-il en levant les mains vers elle
- Pas tout de suite chéri. Et tu vas me tutoyer. Tu dois me laver un peu car je suis sale. Sens ma culotte.
Il se pencha et approcha son nez à quelques millimètres de la culotte et pris une grande inspiration.
- Est-ce que ma chatte sens bon. Elle a transpiré et mon cul aussi.
- Ça sent bon. Tu sens la pisse et transpiration du cul. J’aimerais bien goûter à ce mélange.
- Pas tout de suite. Tu dois d’abord me laver les pieds. Et garde tes mains sous la table.
Elle leva son pied droit et lui mit sous le nez. Aussitôt, il sortit la langue et se mit en devoir de faire tel qu’elle voulait. Il commença avec le dessus du pied qu’il lécha méticuleusement, puis lava de la même façon les chevilles pour finir par la plante des pieds qu’il couvra avec des grands coups de langue appuyés pour éviter de la chatouiller. Elle lui présenta alors l’autre pied avec lequel il prit le même soin à nettoyer. Il bavait le plus qu’il pouvait en aspirant sa salive déjà étendue à laquelle il ajoutait de la nouvelle. Il s’appliquait afin de pouvoir passer à l’étape suivante et voir ce qui se cachait derrière le bas du bikini.
Au moment où il pensait avoir terminé avec cette besogne qu’il avait néanmoins adorée, elle lui représenta le premier pied;
- Et les orteils. Penses-tu qu’il sont propres eux. Envoie qu’on en finisse et qu’on lave ailleurs.
Il passa sa langue entre chacun des orteils et fit des allers-retours de gauche à droite et vice-versa plusieurs, puis un à un et en commençant par le gros, il les téta chacun longuement. Elle appréciait cette sensation et des chatouillements commençaient à l’envahir au niveau du ventre et même un peu plus bas.
Une fois les pieds et les orteils bien nettoyées, Elle se pencha vers l’arrière, enleva sa culotte et après l’avoir sentie elle-même, lui mis sur le nez. Il la saisit et renifla longuement l’arôme qui s’en dégageait. Pendant qu’il sentait l’objet de ses désirs, il ne quittait pas des yeux la chatte totalement épilée. Il n’en avait jamais vu en vrai.
- Est-ce que je peux la garder. Je vais vous, t’en payer une nouvelle.
- Tu es vraiment cochon toi. Oui tu peux la garder, mais ça va te coûter quelques dollars.
- Pas de problème. Je vais dormir avec.
- Mais là, ma vessie est pleine et je vais devoir aller… Oh non! Trop tard.
Écartant les cuisses encore plus, elle se mit à lui pisser dessus. La pisse arrosait copieusement sa chemise jusqu’à ce qu’il se penche pour boire à la source même.
- C’est ça mon grand, boit bien toute ma pisse, mais tu ne me touches pas encore.
Il avait la bouche grande ouverte afin de recueillir la plus grande quantité et tentait d’avaler sans s’étouffer. Il était détrempé et il aimait tellement ce qui lui arrivait. Elle était complètement remuée de voir un homme qui aimait ces pratiques et qui assouvissait quelques-uns des fantasmes qu’elle gardait secret, sauf pour Sylvain seul afin de garder sa réputation de jeune fille distinguée de bonne famille aux yeux de tout le monde. Lui aussi lui avait divulgué les siens, mais ni l’un ni l’autre n’avait jamais osé les assouvir avec l’autre par gêne ou par respect mutuel, pour l’instant. Mais là elle jouissait mentalement de ces moments que lui offrait Joseph. Elle anticipait avec impatience ce les autres fantasmes qu’elle pourrait réaliser.
Avant de descendre de la table, elle lui intima l’ordre de nettoyer la flaque de pisse qui reposait sur la table, sans oser tout de même lui demander la même chose pour le plancher souillé. Elle descendit avec précaution pour ne pas glisser dans la flaque de liquide jaunâtre.
- Viens, il faut que tu finisses ce que tu as commencé. Il reste des parties de mon corps à nettoyer. Mais avant, tu vas prendre une douche et te savonner complètement. Je crois que tu pues et je déteste. Tu viendras me rejoindre dans la chambre quand tu auras fini.
Elle était assise les jambes croisées pudiquement, mais toujours complètement nue sur le bord du lit extra-grand depuis seulement deux ou trois minutes quand il fit son apparition entièrement nu dans le cadre de porte. Il n’était pas un Apollon, mais pour son âge, il avait gardé un corps sans embonpoint marqué, ce qui évita que Céline le repousse. Il remarqua l’immense lit et les miroirs qui ornaient le meuble de femme et l’armoire de rangement.
- Couche sur le dos en travers du lit, les jambes pendantes sur le bord du matelas. Tu vas terminer ce que tu as commencé, lui dit-elle en se levant.
Trop heureux d’obéir à ces ordres coquins et non dominateurs, il s’exécuta rapidement. Elle le rejoint rapidement et se positionna face à la porte de la chambre les genoux de chaque côté de sa tête. Elle descendit son bassin sans précaution sur son visage.
- Maintenant, tu me nettoie la chatte et le cul. Et ne ménage pas les traitements de ta bouche et de ta langue.
N’osant bouger aucun membre, il commença son nettoyage en léchant les grandes lèvres qui reposaient sur sa bouche, pendant qu’il avait le nez dans les fesses de Céline. L’odeur qu’il respirait des fesses le saoulait et le poussait à manger la chatte pours la nettoyer en profondeur. Sa langue et sa bouche se promenait sur les grandes lèvres de Céline et les aspirait. Il les suçait et les pressait entre ses lèvres. Céline remuait du bassin et des frissons lui parcourait tout le corps. Il savait y faire le vieux. Il avait de l’expérience.
- Oui. Vas-y vieux cochon. Tu me laves bien. Ta langue est bonne. Oui comme ça. Tu me manges comme un affamé. Lave-moi le cul maintenant.
Basculant la tête un peu en arrière, il se mit à promener sa langue autour du petit trou brun si odorant et goûteux. Rapidement, il s’attaqua directement à l’œillet et après quelques coups de langue, il pénétra son cul avec sa langue. Il faisait des va-et-vient dans le cul avec sa langue. Céline se frottait le clitoris pendant qu’il explorait son fondement avec sa langue.
- Prends-moi les seins.
Par derrière, il lui empoigna chacun des seins avec ses mains rugueuse. Ce contact rude, envoya un frisson dans tout le corps de Céline. Il lui pinçait les mamelons et les étiraient jusqu’au bord de la douleur.
- C’est bon vieux voyeur. Pince-les. Ta langue est bonne. Elle glisse bien dans mon cul et dans ma chatte. Oui mange-moi la plote. C’est tellement jouissif.
Elle faisait aller son bassin d’avant en arrière à une vitesse incroyable, se frottant sur son menton et son nez en passant sur sa bouche. Soudain, son premier orgasme la saisit. Il lapait les jus abondants qui coulaient à flot du sexe largement ouvert. Elle s’affaissa sur le torse de son bienfaiteur. C’est alors qu’elle réalisa qu’il n’avait pas d’érection. Pendant ce temps, il continuait ses soins à la vulve et au cul. Il quitta temporairement le vagin et s’attaqua au clitoris.
- Non arrête. C’est trop sensible. Arrête.
Il ne prêta aucune attention aux cris de Céline, et continuait à le pincer entre ses lèvres et à l’aspirer fortement. Il libéra sa main droite et lui enfila le pouce dans le vagin et le majeur dans le cul.
- Oui. Continue. C’est trop bon. Qu’est-ce que tu me fais. Ahhhhhhhh.
Deuxième orgasme et nouveau flot de cyprine. Toujours avachie sur le torse de Joseph, elle tourna les yeux pour constater l’état du membre de Joseph, mais croisa le regard et le sourire en coin de Sylvain dans le cadre de porte.
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Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
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