L'apprentissage de Séverine 16

Au final, ce soir là, nous sommes allées nous coucher aussitôt le départ de Patrice. Le mari de Séverine était reparti sans demander son reste, me laissant sa femme.

Les filles étaient exténuées, elle avait énormément données ce soir, mais aussi beaucoup pris ! Et je voulais les laisser se reposer, je leurs laissais donc mon lit, et prit le sofa pour moi, la couchette était trop petite pour nous trois. Elles s’écroulèrent de fatigue et s’endormirent aussitôt être couché, ce qui était étonnant vu l’état de Séverine.

Le dimanche matin, encore endormi, je sentais de douces caresses sur mon corps, doucement, elles descendaient et se concentraient sur mon bas ventre, j’ouvrais les yeux et vit la chevelure brune de Séverine en train de me m’embrasser le pénis, celui-ci commençait à prendre la vigueur matinale, elle le mit en bouche, tendrement ses lèvres glissèrent le long de ma tige, elle remonta, faisant une succion sur mon gland, puis sa langue me le caressa doucement avant de redescendre ma tige, jusqu’aux couilles sur lesquelles elle déposa un tendre baisé, remonta faisant tourner sa lavette autour de mon chibre tendu licha de nouveau mon gland, passant bien dans le méat, avant de le remettre au fond de sa gorge. Elle leva les yeux vers moi et vit que j’étais réveillé, elle commença alors un lent va-et-vient, puis augmenta la cadence, je me laissais bercé par le flux et reflux de ses douces lèvres le long de ma hampe, sa langue tournoyait autour de mon gland et lorsqu’elle sentit que j’allais jouir, elle me laissa au fond dans sa bouche, récoltant toute ma semence qu’elle garda en bouche avant d’avaler.

Elle repris la parole la première.

« -j’ai bien réfléchie ce matin en me réveillant, je ne sais pas si je veux retourner chez moi, je suis si bien avec toi ! »

À ce moment Jennifer se levait et entrait dans la pièce.

« -tu parle d’un con ce mec !

- ok les filles, je vous mais je vous avais promis un nouveau jouet, le voilà, laissez moi faire ! Maintenant j’ai quelques questions à vous poser .

- vas-y, demandes nous ce que tu veux !

- comment était le début de soirée hier ?

- fantastique, tu nous as fait nous surpassées !

- êtes vous prêtes à tous pour moi ?

- oui !

- à m’appartenir ?

- oui ! Dirent-elles en cœur. »

Ce jour là, nous sommes rester enfermé toute la journée à faire l’amour tout les trois, mais j’avais d’autres projets pour la suite.

Nous avions décidés qu’elles logeraient chez moi pour le moment, aucuns vêtements ne seraient autorisés et les rideaux resteraient ouverts. Chaque matin, l’une d‘elle réveillera les autres avec sa bouche, le dimanche, ce serait mon tour après avoir été cherché les croissants. Séverine avait renvoyé un texto à son mari « attends de mes nouvelles, pour le moment, pour toi c’est boulot et maison direct ! Je réapparaîtrai au moment où tu t’y attendras le moins et tu devras obéir à mes désirs. Des ouvriers passeront aménager les combles, ne les gênes pas ! Si tu ne réponds pas à ce message, je considère que c’est ok pour toi, si tu y réponds, je te quitte ! ».

Son fils était partit à l’étranger plusieurs mois pour ses études.

Au travail, l’ambiance devenait plus calme, Jibé était maintenant d’humeur joviale et ma brune adorée le laissait parler …

Ce samedi, j’emmenais les filles chez un tatoueur et leur fit graver quelques millimètre au dessus de leur clitoris mes initiales « CB » en lettres entrelacées et très fine d’à peine plus d’un centimètre de haut, je voulais se tatouage discret pour ne pas casser la douceur de leur courbe pelvienne mais cela voulais bien dire qu’elles m’appartenaient !

Cela faisait maintenant deux mois qu’avais eu lieu cette orgie, nous avons reçu confirmation de l’entreprise que les travaux étaient fini chez Séverine, elle envoya donc à ma demande un nouveau texto demandant à son mari de nous rejoindre à une adresse précise ce samedi matin.

Samedi matin, à l’heure dite, Patrice arrive comme prévu en voiture dans la rue , il sorti de la voiture habillé comme indiqué : un long manteau. Il s’approcha de la boutique, les filles et moi le guettions depuis le tabac en face, Séverine l’appela sur son portable.

« - bien, tu es à l’heure pour une fois ! Tu as tout fais comme on te l’a demandé ?

-oui !

- oui maitresse S, maintenant, je serais pour toi Maitresse S et Maitresse J pour mon amie rousse !

- tu n’es pas sérieuse là !

- si et tu me dis vous sinon !

-comme vous voudrez !

-Comme vous voudrez qui ?

-Maitresse S
-Bien, tu apprends vite le chien ! Maintenant, tu va nous montrer que tout est comme on te l’a demandé, tournes toi et regarde le bar en face, tu le vois le chien ?


- oui

- oui qui ?

- oui maitresse S

- cela va pour cette fois, mais la prochaine fois que tu oubli, tu seras puni ! Alors maintenant, ouvre ce manteau que l’on se rend compte par nous même ! »

Résigné, il compris qu’il n’avait d’autre choix que d’ouvrir sa pelisse pour prouver sa nudité en dessous, il avait bien été voir Vanessa la veille, elle me l’avait confirmé et on découvrait ce corps rondouillard totalement imberbe.

« -très bien le chien, maintenant entre dans la boutique et présente toi, ils t’attendent et savent quoi faire, lorsque ce sera fini, tu viendras nous rejoindre ! »

Une fois Patrice dans l’échoppe, nous avons pris la voiture à l’aide du double des clés que Séverine avait été chercher chez elle quelques jours auparavant, tout en laissant au serveur un message à l’intention de Patrice et un gracieux pourboire.

Nous sommes alors directement allés chez Séverine, elle habitait une grande propriété de l’est parisien. Une vaste demeure sur trois niveau avec un grand jardin autour. Piscine couverte, terrasse mais surtout depuis peu, des combles aménagés. Le grenier était devenu accessible depuis un ascenseur discret qui partait d’un appentis collé au bâtiment et qui empruntait un ancien conduit de cheminé, bien sur, il était plutôt petit mais en arrivant à l’étage, nous avions une surface totale d’environ 120m2, parquet, moquettes et miroirs et grand sofa, quelques alcôves protégées par des rideaux. Puis il y avait une cage centrale en verre spécial, d’environ 40 m2 comprenant en son centre un grand lit, suffisamment de place pour trois, un autre, plus petit était à coté et en fonction de ce que l’on désirait, nous pouvions être entourés de glace sans teint, permettant aux occupant de la pièce principale de voir ce qu’il se passait à l’intérieur de celle-ci, tandis que les occupants se voyaient dans tout les miroirs, soit elle pouvaient être opacifiées, laissant les occupants du lit voir vers l’extérieur sans être vus… Séverine était fière d’elle, le terrain de tennis attendra, elle avait mis une sacrée somme dans ces aménagements mais ils en valaient la peine.

En début d’après midi, nous guettions le retour de son mari, il avait du rentrer en transport habillés de la même façon qu’à l’allée, sauf qu’il sortait de chez le poseur de piercing, on lui en avait fait placer un sur le prépuce, prés du frein, un autre sur le scrotum, et enfin un sur chaque tétons. Nous lui avions fléché le chemin à prendre pour se rendre à la pièce « secrète » où nous l’attendions.

« - alors te voilà le chien, à partir de maintenant, nous dormirons ici, tout les 4, ça, c’est ton lit, mais il faudra surtout respecter les nouvelles règles de la maison.

-oui maitresse S

- bien, alors d’abord, tu devras toujours être nu ici, et ce à partir de tout de suite !

Il ôta son manteau.

- très bien le chien, je vois que le bijoutier à fait du bon boulot, approche !

Il s’avança

-montres moi du respect le chien, baisse la tête, ne me regarde pas, les seules fois où tu nous regarderas maitresse J et moi sera quand Monsieur C nous fera l’amour ! Et ne cache pas ton sexe avec ta main, je sais qu’il est petit et qu’il ne m’a jamais fait jouir, mais tu dois le laisser visible ! »
Il baissa la tête

-bien maitresse S

Elle attrapa des chainettes, un petit cadenas et une médaille. Elle accrocha ensemble les boucles sortant du gland et des couilles verrouillant ainsi la tige collée au scrotum, empêchant toute érection car dès que le sexe allait enfler, les deux parties ainsi attachées ne pourront s’éloigner l’une de l’autre.

Enfin, elle relia son gland et les deux tétons avec la chainette, sans oublier d’y inclure le médaillon sur la poitrine. On pouvais y lire « LE CHIEN, propriété exclusive de Maitresse S et Maitresse J », une fois le bijoux mis en place, elle l’accrocha une boucle à une laisse qu’elle arrima au petit lit.

Ensuite, nous nous sommes mis tous les trois sur le grand pour y faire l’amour, les filles se déchainaient sur moi, me suçant, venant s’empaler à tour de rôle sur ma queue, tout en regardant bien notre chien dans les yeux. Lorsque je joui une première fois, elles se léchèrent le minou, puis nous avons remis cela, cette fois, j’éjaculais dans le vagin de Séverine qui criai son plaisir. Aussitôt, elle se releva et alla vers le petit lit.

« -attendez moi, j’ai un mari aussi, il faut que je fasse mon devoir de femme mariée ! »

Elle détacha les différentes boucles, le fit se lever, s’allongea sur le dos, écarta les cuisses, les lèvres encore dégoulinante de liquide blanchâtre, pour accueillir le sexe de son mari qui grossissait enfin libéré de sa prison. Elle éteignit alors la lumière, nous avons entendu le lit grincer, il venait de la pénétrer, elle n’émis aucun bruit, et une fois qu’il eu fait son affaire, elle ralluma.

« Voilà, j’ai bien fait mon devoir de femme sage, mais maintenant, tu ne crois tout de même pas avoir l’honneur que ton foutre à souiller mes invités ! Nettoies moi ça le chien ! »

Il activa sa langue pour lécher le sperme qui dégoulinait et une fois qu’elle fut bien propre, elle le rattacha avant de venir nous rejoindre pour une nouvelle partie fine, elle se déchaina encore plus, hurlant de plaisir à chaque orgasme que Jen et moi pouvions lui donner.

Le rituel commencé chez moi continuait ici, sauf que le dimanche, le chien allait chercher les croissants pendant que je réveillais sa femme par un magistral cunnilingus, parfois, lorsqu’il nous montait le petit déjeuner, j’étais en train de la sodomiser pendant que Jen, équipé du harnais lui limai la chatte.
Certains soir, nous rentrions accompagnés d’inconnu rencontrer lors de nos soirée et une fantastique orgie durait jusque tard dans la nuit.

Une fois par mois, Séverine faisait son travail « de gentille femme mariée », le rituel était immuable, elle se laissait prendre dans le noir, encore souillée de mon sperme et ne bronchait pas pendant qu‘il la pénétrait, et ensuite, après avoir été nettoyé, elle venait nous rejoindre.

Puis Jen vint me voir un soir, elle m’avoua que le beau Bernard l’avais reconnue pendant l’orgie, il avait l’habitude de la voir avec un masque.. Mais qu’il s’était montré très courtois, il lui faisait la cours depuis, et elle en était tombé amoureuse. Je la laissant partir avec plaisir. Nous nous sommes revu dernièrement, les rondeurs qu’elles avaient à l’époque se sont transformées, elles attendent un heureux évènement ! Elle a gardé son tatouage, mes initiale et celle de son mari étant les pratiquement les mêmes, un artiste avait réussi à modifier le « C » en « D ». Pour me remercier, elle me fit une proposition que j’acceptai, mais ça, c’est une autre histoire !



À suivre…. Ou pas.

J’ai vu que certains on apprécié cette histoire, il me reste 1 ou 2 chapitres en réserve.

Je sais que mon style est loin d’être parfait, mais laissez moi vos commentaires, j’ai envie d’écrire 2 autres histoires, je vais essayé de m’améliorer quant à la forme.

Merci