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L'apprentissage de Séverine 17

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Lue : 5577 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/09/2012

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Carole & Chantal

Cela faisait six mois que je vivais avec Séverine et son mari, elle vivait toujours nue dans sa grande maison et chaque matin, après m’avoir réveillé par une fellation, elle allait plonger dans sa piscine faire quelques longueur. Les beaux jours revenait, la piscine n’était plus couverte et sans aucune gêne, elle continuait à se baigner nue. Chaque jour, j’allais la rejoindre et bien souvent, nous y faisions l’amour lorsque son mari, « le chien » nous apportai les cafés et pains frais du matin.

Il m’arrivait souvent de la prendre dans l’eau mais depuis que les température s’adoucissait, nous aimions forniquer sur la terrasse, à l’air libre, à portée de cris des voisins.

Ensuite, nous nous rendions au travail, séparément, nos collègues ne connaissant pas la vérité sur nos nuits, et là, je pouvais encore profiter de son corps, ou en faire profiter quelque autre, elle se donnait sans concession, aimant le sexe sous toutes ses formes.

Le mois dernier, Jennifer nous avait quitté, je l’avais « libérer » afin qu’elle puisse vivre une belle histoire avec Bernard, son chef en chirurgie qui l’avait reconnu lors de notre orgie, mais ça, c’est une autre histoire… toutefois, et je sentais que quelque chose tourmentait ma belle. Je lui posait alors la question.
« -ce n’est pas grand chose Chris tu vois, mais tu te rappelles de mon premier gang bang ?
- oui, bien sur !
- durant cette formidable soirée, je me suis fait prendre partout, et cela était fantastique mais je me sens gênée et un peu honteuse maintenant.
- honte de quoi, d’avoir pris un pied énorme avec plusieurs hommes ?
- non, cela j’adore toujours, et lorsque nous remettons ça ici maintenant, j’éprouve encore plus plaisir, j’aime sentir tout ces hommes me désirer, me posséder en avoir un dans la chatte pendant qu’un autre, voir deux, me sodomise. Avoir toutes ces bites autour de moi et ce foutre qui coule sur mon visage, dans ma bouche ou sur mon corps me rempli de joie, mais ce soir là, je connaissais les hommes et surtout leurs femmes ! Et maintenant, lorsque je les ai au téléphone, j’ai cette image en moi de cette salope qui a fait de ces femmes des cocues.
-je comprends, pourquoi ne leur dirais-tu pas ?
- je ne sais pas si..
-..Cela t’avais fais quoi lorsque tu l’as appris
-très mal, une grosse envie de vomir, de trouver ses pétasses et de me venger
-Ce n’était pas leur faute à elles, c’est lui qui t’a trompé, pas elles !et là, tu l’as ta vengeance maintenant ! » lui disais-je en lui montrant son mari toujours enchaîné.

Depuis qu’il avait dit qu’il trompait Séverine, nous lui avions fait poser des piercings. Un sur le frein cadenassé avec un autre sur son scrotum, impossible de bander si nous n’ouvrions pas le cadenas dont seul Séverine et moi possédions la clé. De plus, ils étaient reliés par une fine chaînette aux tétons, percés eux aussi, sur laquelle était accrochée une médaille rappelant son rôle de « chien ». Dans la propriété, elle le promenait souvent en laisse, le libérant pour aller à son travail ou le laisser aller nous faire les courses. Depuis peu, nous avions rajouté un petit boîtier électronique qui pouvait lui envoyer une petite décharge électrique soit dans l’anus, au niveau de la prostate, déclenchant souvent une éjaculation soit sur le gland, ce qui était plutôt douloureux. Elle pouvait déclencher l’une ou l’autre depuis son téléphone et s’amusait avec, il rentrait souvent du travail ou des courses le pantalon maculé de foutre.

Elle sourit et me demanda :
« - d’accord, mais pour leur « vengeance », j’ai un service à te demander.
- pas de soucis, tu sais que tu peux compter sur moi, mais ensuite, tu connais la règle : tu auras un châtiment en échange.
- oui, je le sais, et je m’y plierai Monsieur Chris. »

Elle le savait bien, c’était le jeu. Elle était libre de me quitter, ou plutôt de me jeter de chez elle, mais elle adorait que je profite d’elle. Le samedi soir suivant, elle dînait avec les collègues de son mari et surtout leurs femmes.

Ce soir là, je suis resté dans nos combles, seul. Il ne fallait pas que les hommes me voient ils m’auraient sûrement reconnu. J’avais installé ma petite oreillette sur Patrice pour guetter ses paroles, surtout lorsqu’il serait seul avec ses collègues afin d’être sur qu’il ne vendrait pas la mèche. À la moindre parole suspecte, je lui envoyais une décharge sur le gland. De plus, il avait comme mission de parler de cette orgie à laquelle ils avaient participés quelques mois plus tôt À la fin de la soirée, Séverine me rejoint pour me faire un rapport détaillé.
« - comme tu as pu le constater, les invités sont arrivés à l’heure, je portais les vêtements que tu m’avais préparés : une jupe rouge taille basse arrivant à mi cuisse, fendue à l’arrière, des bas dentelles blancs, escarpins rouge et guêpière rouge laissant mes épaules nues et mettant ma poitrine en avant. Les hommes ne pouvais me quitter du regard, et les femmes m’ont complimentées immédiatement, me trouvant radieuse.

Très vite, nous sommes passés au salon prendre l’apéritif. Je leur servais le cocktail que tu nous avais préparé ce sacré soir, mais il manquait l’ingrédient principal : ma cyprine ou celle de Jen, et pendant que les hommes se désaltéraient, je disais à mes amies qu’il manquait quelque chose. Ils souriaient dans leurs coin.

Ensuite, à table, nous avons discuté de choses et d’autres, échangés des banalités pour arriver au dessert que j’allais chercher dans la cuisine : la mousse au chocolat. En revenant vers mes convives, je leur dit : « mousse au chocolat, je crois que tout le monde aime ! Je viens avec le plat si certains veulent le lécher ! » je regardais attentivement les hommes qui ont bien sur échangés un regard complice, je jubilait, j’était totalement excité moi aussi en portant le plat que je sentais ma mouille dégouliner le long de mes cuisses.

À la fin du repas, les femmes m’ont aidé à débarrasser la table, laissant nos mari seuls, m’accompagnant dans la cuisine. Nous avons commencer à discuter entres filles.
« -c’est très joli ce que tu portes, me dit Carole, la femme de Paul.

Chantal, mariée à Jérôme me dévisageait
- tu veux dire osé ! Je répondais

Elles ne savaient quoi me répondre, je pouvais continuer à les provoquer.
-c’est mon amant qui m’a dit comment m’habiller ce soir »

Elles sont restées sans voix.
« -d’ailleurs, c’est toujours lui qui me dit quoi mettre, qu’y a-t-il les filles, je ne vous entends plus ! Vous qui d’habitude êtes de vraies commères !
- tu trompes Patrice !
- tu crois qu’il se gêne lui, enfin, qu’il se gênait ? Et vos maris, vous pensez bien les connaître ? » .

Ça y était, je venais de capter leur attention, et je passais les vingt minutes qui ont suivi à leur raconter notre relation en détail. Je leur parlais sans pudeur de moi te suçant dans cet ascenseur, ou pour la première fois j’ai avalé ton sperme, de cette soirée où tu m’as rasé et ma première sodomie. Toutes ces nouvelles sensations que tu m’as faites découvrir et qui ont fait de moi ce que je suis devenue : je t’appartiens, et je baissais le haut de ma jupe pour leur montrer mon tatouage pubien prouvant que j’étais entièrement à toi. Ensuite, je leur ai parlé de l’orgie, de cette fois où avec Jen, ma maîtresse, tu nous as laissé avec 9 hommes, la bestialité de leurs actes, leurs pénétrations, elles m’écoutaient à la fois horrifiées et curieuses. Et lorsque je leurs ai dit que leurs maris faisaient partie du groupe, elles eut un mouvement de dégout, incrédules, elles sont rester quelques minutes à me regarder restant sans voix.

Je leur narrais alors la fin de la soirée, expliquant que Patrice était là aussi, et ce qu’on a fait de lui depuis..

Je leur ai donné ton numéro de téléphone, elles peuvent t’appeler quand elles le souhaitent et j’espère qu’elles le feront. ».

Elle avait commencer à raconter toute cette soirée en étant debout, nue face à moi,, toujours les cuisses légèrement écartées, les bras croisés dans le dos, le torse bombé pour faire sortir sa poitrine, ses seins lourd et bien ronds se tenaient bien droit et les reins bien cambrés. Au fur et à mesure de sa narration, je lui avait fait signe de s’approcher, si bien qu’elle la finissait alors que je glissait un doigt dans sa fente humide.
« - très bien Séverine, maintenant que tu as bien travaillée, nous allons attendre qu’elles appellent, en attendant attaches « le chien », lui aussi a bien fait son devoir, il serra récompensé ! Ensuite, viens me rejoindre. »

Elle a gentiment obéit à mes doléances et tendrement, elle s’est rapprochée du lit où je commençais par lui tendre mon doigt encore trempé de sa mouille, elle le lécha avec délice tout en prenant mon sexe en main et alors qu’elle s’agenouillait pour le prendre en bouche, je regardais son mari dans les yeux. À chaque fois, cela provoquait chez elle la même fougue, elle levait la tête pour capter mon regard, elle savait ce que je fixais et elle enfonçait mon gland au plus profond de sa gorge. Une fois ma queue bien enduite de salive, je l’ai faite se relever, elle est montée sur le lit, a passé ses jambes de chaque coté de mes cuisses et est venue s’asseoir sur mon sexe ainsi lubrifié. Je la laissais monter et descendre le long de ma tige, imprimer le rythme du coït, puis, une fois que je jugeai que c’était assez, je montais les genoux, l’empêchant de redescendre et nous bascula sur le coté. Je la contournai en la plaçant face à son mari. Une fois placé derrière elle, toujours allongés sur le coté, je lui écartais les jambes pour retourner dans son vagin si accueillant. Ma main droite se glissa sous son torse afin de pouvoir lui caresser les seins et tout en jouant avec les tétons, je fixais le flux et reflux de mon chibre en la regardant dans le miroir qui nous faisait face dans le dos de son mari. Elle aussi profitait de la vue, toisant son « chien », elle ne quittait pas la glace des yeux, savourant chaque disparition de mon bâton dans son intimité, accompagnant le mouvement d‘un miaulement. Je sortis alors complètement et poussa ses fesses de façon à rendre son petit œillet visible dans le réflecteur, y présenta mon gland et sans quitter l’homme dus yeux y exerça une légère pression. Lentement, ma tige progressa dans cet étroit tuyaux et une fois bien au fond, elle cria « ho oui, encule mon devant ce chien, c’est si bon ta bite dans mon cul », et tandis que je la sodomisais, Patrice, asservi, contemplai le spectacle de sa femme ainsi possédée par son amant.

À suivre …….
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Histoire de jeanmimel

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