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L'apprentissage de Séverine 18

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Lue : 4300 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/09/2012

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Carole.

Ce dimanche matin, alors que nous étions Séverine et moi au bord de la piscine à prendre nos petit déjeuner, mon téléphone sonna, je laissais sonner et décrochais avant de passer sur messagerie.
« -allô, Carole, bien dormi ?
- heu…………..
- vous êtes rentré assez tard hier, ton mari devait être bien excité après la bonne soirée qu’il a passé avec ses amis, et toi ?
-……..
-je sais qu’ils ont parlé cul, une certaine soirée, et vous aussi vous en avez parlé les filles. Il était tellement excité qu’en rentrant je suis sur qu’il t’a fait l’amour.
-……
- allez Carole ma douce, n’est pas peur de l’avouer, il t’a prise hier soir ?
---- oui….répondit elle timidement.
- et là, tu te poses des questions, tu es seule ?
- oui, il est parti emmener notre fils au foot, il fait son footing en l’attendant.
- et Paul devrait rentrer vers quelle heure ?
- en général, pas avant 11h30

Il était 10h00, j’avais du temps.
-et là, tu es habillée ?
-en pyjama
-très bien, je suppose que si tu m’appelles, c’est que tu souhaite aller plus loin.
- heu….. Oui…. C’est à dire
-chut, ma douce, ne t’inquiète pas, tu sais ce que je voudrais que tu fasses là, tout de suite ?
- non
- que tu mettes le téléphone en main libre et que tu le pose à coté de toi…. Voilà.. C’est fait ?
- oui
- maintenant, passe ta main droite sur le haut de ton pyjama, il est comment ?
- c’est un pyjama deux pièces, un chemisier et un pantalon.
- en coton ?
- oui !
- pas très glamour ça, tu sais que Séverine dort toujours nue, bien, ta main droite est toujours sur ta chemise.
-oui
- doucement, tu va passer la paume de ta main sur ta poitrine.
-mais….
-fais simplement ce que je te dis, si tu veux aller plus loin. »

Je parlais d’une voix douce, tendre et rassurante à la fois, un léger soupir m’indiqua qu’elle se soumettait à mes doléances.
« - bien, tu sens ton téton se durcir c’est ça ?
- mmmm
- maintenant, tu vas doucement avec ta main droite ouvrir les boutons, voilà, n’ouvre pas tout de suite les pans de ta chemise, non, continue de te caresser à travers l’étoffe. Tu en veux plus hein, tu te masturbe souvent quand ton mari n’est pas là ?
- non, jamais, mmmm
-tu vas faire la cochonne aujourd’hui, tu es dans quelle pièce de la maison ?
- la chambre.
- bien va dans le salon, voilà, tu y es, alors assieds toi là où ton mari s’assoit pour regarder la télé, très bien, je veux que tu suce ton index et ton majeur droits, tu es bien assise, ouvres doucement ta chemise et passes les sur tes seins, pinces ton téton en érection avec, c’est bon ça hein ?
- ooohh
- poses ta main gauche sur ta cuisse, remonte la doucement, écartes légèrement les jambes et caresses toi le pubis à travers le tissus, tu commences à mouiller ?
- ouiiiiiiii.
- bien, passes bien ton majeur le long de ta fente, tu sens tes lèvres s’ouvrir ? »

J’entendais sa respiration se faire plus saccadée.
« - maintenant, lèches toi les doigt de la main droite ! Ensuite tu va passer la main sous ton pantalon de pyjama maintenant, et tendrement placer ton petit clitoris entre tes doigts lubrifié, vas-y ma douce, caresses le, tourne autour. »

Elle émettait une série de petits feulements aigus.
« - enfonces un doigt. »

J’entendis un long râle.
« -un autre !
-hhaannn ouiiiii
- tu voudrais autre chose que tes doigts en ce moment ?
- ouiiiiiiiii !
- que voudrais-tu ? »

Silence gêné
« - réponds !
-un homme
- mais quoi plus précisément ?
-hhhoooo une belle grosse bite ouiiiiiiiii
-bien, tu as vu le pubis de Séverine hier ?
-oui
-et ?
-elle est imberbe.
-oui, je n’aime pas les poils, alors avant que ton mari ne rentre, tu va aller dans la salle de bain, prendre son rasoir et t’occuper de défricher tout ça, cette après-midi, viens chez Séverine à 14h30 précise et on verra si on te trouve la belle grosse bite dont tu as envie. »

À l’heure dite, elle sonna au portail, je pris l’interphone :
« -tu es ponctuelle, c’est très bien, entres ta voiture et gares la dans la cours, ensuite viens nous rejoindre dans la véranda. »

Elle ne tarda pas çà nous rejoindre au bord de la piscine, ce dimanche de printemps était frais pour la saison si bien que nous avait fais refermer la verrière. Elle entra d’un pas peu assuré, son regard noir de quelqu’un en colère recherchait son amie qui faisait quelques longueurs alors que je me tenais assis dans un des fauteuils. Pour ne pas l’effaroucher j’avais enfilé un boxer noir et une chemise blanche dont je n‘avais pas fermée les boutons. Ses cheveux noirs ébène étaient attachés en queue de cheval et retombaient sur son épaule droite. Elle portait un petit pull mauve au col en V ouvert sur un buste somme toute assez plat, elle avait de tout petits seins et de ce fait ne portait pas de soutien-gorge. Ses hanches assez fortes étaient emprisonnées dans un pantalon blanc. Elle eu un sourire courtois en me voyant.
« Bonjour Carole, ravi de te voir enfin, la matinée fut elle agréable ?
-heu oui, me répondit-elle un brin gêné
-voyons, ne rougis pas, Séverine, ton amie est là, tu viens lui dire bonjour ! »

À ces mots, la brune se dirigea vers les escaliers du bassin et se leva, l‘eau ruisselait le long de son corps nu aux formes généreuses, de grosses gouttes se formaient sur ses tétons et se laissaient tomber au sol, de long filet d’eau de formaient le long de ses hanches et se regroupaient le long du V de son bas ventre lisse, ne trouvant aucune chose à laquelle se raccrocher, ils s’écoulaient le long de ses jambes fuselée. Carole eu un sursaut de surprise voyant la tenue de son hôte.
« -Salut Carole, comment ça va depuis hier soir ?
-je, heu…
-je te présente Christian, mon amant, je crois que tu as déjà fais sa connaissance au téléphone! »

Cette fois elle rougit carrément.
« -il m’a dit qu’hier soir Paul t’avais sauté. Tu parle avec ce qu’ils ont dû se raconter entre hommes, il a dû rentrer fort excité !
- heu….
-tu sais que nous aussi on a baisé, je lui ai d’abord raconté ma soirée avec vous pendant que je me tenais debout nue devant lui, il avait glissé un doigt dans ma chatte, ensuite, je l’ai sucé puis nous avons fais l’amour sur le lit, devant notre « chien » qui nous regardait, pour finir, il m’a sodomisé comme j’aime qu’il le fasse ! »

Elle était sur le point d’exploser. Entendre sa camarade raconter de façon aussi crue l’intimité de sa soirée la troublait au plus au point, surtout qu’en lui parlant Séverine s’approcha de moi et maintenant, elle m’embrassait à pleine bouche, enroulant langoureusement sa langue autour de la mienne.
« - mais tu es toute mouillée, lançais-je.
-toujours avec toi répondit-elle en se collant à moi.
-ma chemise est trempée maintenant ! Enlèves-la moi ! »

Instantanément, elle attrapa les deux pan ouvert et fit glisser le tissus le long de mes épaules et l’accompagna vers le sol pour finalement s’accroupir à mes cotés.

Cette fois, la brune aux cheveux d’ébène ne tenait plus, je m’adressa de nouveau à elle directement.
« -bien, je crois que tu voulais quelque chose de particulier ce matin, peux-tu me le rappeler ?
- heu, oui, je heu voulais hum« » elle toussota et pris le fauteuil face à moi.
« je ne t’ai pas dit de t’asseoir, il, s’agissait d’une belle grosse …?
- heu… b…..
-oui, allez, ne fait pas ta timide, tu l’as gueulé bien fort ce matin avec tes doigts dans la chatte !
- un belle grosse bitte ! »

À ses mots, Séverine qui depuis un moment me caressait la cuisse attrapa l’élastique de mon boxer et l’ouvrit largement, laissant sortir ma queue, et y déposa un tendre baisé. Je levais légèrement mes fesses et elle fit glisser le sous vêtement qui alla rapidement rejoindre ma chemise sur le sol.
-bien , tu vois, et tu as fais ce que je t’ai demandé ?
- oui.
-oui Monsieur Chris s’il te plaît !
-oui Monsieur Chris.
- oui quoi ?
- Oui Mr Chris, je me suis rasé
- Rasé quoi, les jambes ? »

Mon ton était plus sec que le matin au téléphone, elle baissait les yeux pour me répondre, mais elle voyait son amie commencer à gober mon dard, de sa position dominante, elle ne pouvait rien rater de la scène et elle les releva immédiatement.
« - non, la chatte Mr Chris
- bien, tu apprends vite, il y a plusieurs choses que je n’aime pas, les poils et voir une belle femme en pantalon, c’est qu’elle a ses règles ! As tu les tiennes ?
- heu, non
- non qui ?, non quoi ?
-Non Mr Chris, je n’ai pas mes règles.
-alors enlèves moi ça et baisses les yeux quand tu me parles ! »

Immédiatement elle inclina la tête, son regard se posa sur Séverine qui faisait doucement entrer mon pieu dans sa bouche gourmande. Elle défit sa braguette, ouvrit le jean et le fit glisser le longs de ses cuisses, laissant apparaître une petite culotte de coton blanche. Elle ne pouvait plus quitter la scène des yeux, hypnotisée par le doux balancement de la tête de mon amante, la tendresse de ses baisés, puis de sa langue qui souvent venait s’enrouler autour de ma tige ou de mon gland découvert avant de l’enfoncer au fond de sa gorge. Elle me suçait et sans aucune gêne elle regardait tour à tour en ma direction et dans celle de Carole, lorsque mon sperme gicla dans sa bouche, elle prit bien soins de n’en perdre aucune goutte tout en montrant à notre invité le fruit de son labeur, laissant le liquide blanchâtre apparaître au bord de ses lèvres avant de l’avaler goulûment. Troublée, Carole commençait à se dandiner.
« - on dirait qu’il commence à faire chaud ici, si on allait se baigner ?
- je, heu , n’ai pas mon maillot de bain
-et bien, comme tu vois, nous non plus ! »

Je relevai la tête de Séverine, elle se redressa de tout son long et se dirigea vers la piscine où je ne tardais pas à la rejoindre. N’ayant pas d’autre choix, Carole ôtât son pull, découvrant une poitrine effectivement assez plate aux mamelons biens dessinés surmonté de petits tétons bruns. Puis elle commença à diriger ses mains vers son slip.
« -allez ma douce, enlèves moi ce tue l’amour, et montres moi comment tu as bien travaillé ce matin ! »

Lentement, elle fit glisser le dernier rempart qui protéger son intimité, nous dévoilant un bas ventre parfaitement glabre, laissant à la vue de tous deux grosses lèvres brunes.
« -joli travail ! Ne mets pas tes mains devant, non, soit fière de toi, de ton corps, viens nous rejoindre »

En moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire, elle était dans le bain, seul refuge qu’elle avait. Nous avons alors commencé à jouer dans l’eau, nous aspergeant mutuellement, tantôt chacun pour soit, tantôt 2 contre 1. Pris dans le jeu, elle commençait à oublier notre nudité à tous, c’est alors que Séverine alla s’asseoir sur le rebord du bassin, je m’approcha d’elle et glissa ma tête entre ses cuisses pour déposer un tendre baisé sur son pubis si doux, elle émit un petit gémissement, je descendis donc et passa mes lèvre sur de son clitoris, son ventre se contracta et je venais enrouler ma langue autour de son petit berlingot rougit pour doucement, continuant mon mouvement venir la glisser dans son puits humide. Mes mains vinrent se poser sur ses seins, chaque pouces et index occupés à pincer ses tétons si sensibles. De sa bouche sortait une successions de feulements, de miaulements, à chaque passage de ma lavette sur son petit abricot si sucré, son corps était traversé par des spasmes et lorsqu’elle s’introduit une nouvelle fois dans son sexe, elle cria son orgasme en dégoulinant de sa mouille dont je me délectait.

Contre toute attente, je trouvais Carole assise également sur le rebord, les cuisses écartée, elle avait assisté au cunnilingus en se masturbant vigoureusement. Elle n’avait pas encore joui lorsqu’elle s’aperçut que je la matais, elle resserra les jambes, gênée.
« - non, continues, ne te gênes pas ! Dis moi, ça te fais envie c’est ça ?
- heu.. Oui Mr Chris
- t’es-tu déjà fais sucé la chatte ?
- non Mr Chris
- avant ton mari, as-tu connu d’autres hommes ?
- oui Mr Chris, 2
- et aucun ne t’as fait se plaisir.
-non Mr Chris
-voudrais-tu le connaître aujourd’hui ?
- oh oui Mr Chris.
- très bien, Séverine, ton amie as un besoin à satisfaire ! »

Sans hésitations aucune, ma belle s ‘approcha de Carole qui parut surprise et eu un mouvement de recul.
« -alors ma douce, tu voulais savoir quelles sensations cela procuraient ou pas ?
- oui Mr Chris, mais c’est à dire que…
-et bien, laisses toi aller ! »

Séverine commença à l’embrasser tendrement, puis lentement sa bouche migra vers la grêle poitrine, enroulant sa langue autour des tétons qui pointèrent rapidement, elle continua sa lente progression vers son ventre pour enfin atteindre la zone désirée, tout en la couchant sur le bois de la terrasse, elle couvrait de baisé le pubis puis l’intérieur des cuisses, pour enfin poser sa langue sur le petit bouton sensible de sa partenaire qui expulsa un râle puisant, son corps se tordait sous le plaisir des assaut de langue de son amante. Elle la faisant tourner autour du clitoris et l’enfonçait profondément dans le vagin de Carole qui criait de plus en plus avant d’exploser en éjaculant une belle quantité de cyprine au visage de sa maîtresse.
« -ho mon dieu !dit elle, je n’ai jamais.. Je suis désolé ….
-mais tu n’as pas à être désolé de jouir, c’est bon un orgasme non ?
-ho oui Mr Chris.
-bien mais je crois que tu n’as pas encore eu tout ce que tu es venu chercher.
-euh, effectivement Mr Chris
-et jusqu’où penses-tu être capable d’aller ?
-jusqu’où vous voudrez Mr Chris
-bien, tu as regardé Séverine me sucer tout à l’heure, ça avait l’air de te dégoûter
-oui Mr Chris, un peu
-l’as tu déjà fais ?
-non Mr Chris
-et tu as remarqué quel plaisir une bouche peut donner.
-effectivement Mr Chris »

Avant même que je continuai, elle s’agenouillait devant moi et me pris en bouche. D’avoir bien regarder son amie lui avait montrer la façon de faire, elle se servait de sa langue mais avait du mal à me prendre entièrement, pour ma part, je lui caressais le dos, ma main glissa vers sa poitrine où je jouait un petit peu avec ses mamelons, puis descendit vers son sexe où j’introduis un doigt, il ressortait trempé et je le dirigeait vers son anus, elle attrapa mon poignet.
«- non, s’il vous plait Mr Chris, je ne crois pas pouvoir.
- bien, quand ton mari te saillit, cela dure environ combien de temps ?
- euh, je ne sais pas, dix minutes !
-……
-…Mr Chris, pardon.
- bien, occupe toi de moi, si dans vingt minutes je n’ai pas joui, tu devras me laisser ton petit trou!
-bien Mr Chris »

Le marché lui semblait si honnête qu’elle commença à s’acharner sur ma bitte, la gobant comme une damnée, elle enroula sa main droite le long de ma tige et sans que mon gland quitte sa douce bouche, elle me branlait vigoureusement. Au bout d’un bon moment de cet assaut, elle s’allongea sur moi et s’assit sur mon sexe dressé et commença de violents aller-retour. Séverine la regardait faire, et vint l’encourager.
« -oui carole, vas-y défonces toi sur cette belle queue, elle est bonne la bite de mon amant hein ? Redresses-toi un peu, tu la sentiras plus profond encore, attends, pour l’exciter encore plus, retournes-toi, montre lui ton cul. »

La pudibonde se releva et me tourna le dos sur les conseils de son effrontée d’amie puis attrapa mon chibre pour se l’enfoncer entre ses lèvres pulpeuses. Attrapant mes chevilles, elles se laissa coulisser et recommença ses coups de boutoir, faisant claquer ses fesses rebondies sur mon ventre, ahanant à chaque descente, se faisant jouir seule sur ma queue tendue pour elle.

Incapable d’obtenir résultat et voyant le temps tourner, elle le remit dans sa bouche, goûtant son jus qui dégoulinait à grosses gouttes. Elle l’avalait avec gourmandise l’enfonçait au plus profond de sa gorges, mais l’inévitable arriva, le compte à rebours sonna la fin des vingt minutes, annonçant la défaite de la prude dame.

Alors que je me relevais, elle se tourna, acceptant son échec et appuya ses coudes sur le dossier d’une chaise toute proche. Gentiment, je glissai ma main sur son sexe pour lui écarter légèrement les cuisses et glissa un doigt dans sa fente encore trempée, une fois bien lubrifié, je le remontais vers son petit trou serré où il s’engouffra sans peine, lui arracher un petit sursaut de surprise. Puis j’approchais mon gland et pénétra d’un coup se vagin déjà défoncé par vingt minutes de pénétration intense. Cette fois, j’imposais le rythme, lentement je ressortais, restait un peu en dehors, rentrait à nouveau petit à petit, accélérant le mouvement par moment, le rendant très lent à d’autre. Séverine rassura sa tendre amie
« - tu sais, une fois à deux pendant une heure, on a rien pu obtenir, il est plutôt endurant ! »

Alors que je continuais mes va-et-vient, mes doigts s’occupaient délicatement de son anus qui commençait à s’ouvrir. À mon signal, Séverine me passa le rosebud que j’avais préparé et le présenta à l’entrée secrète, j’écartais main et pressa le plug dans le conduit anal. Elle émit un long râle pendant que ma bitte quittait son sexe, et je la retournais sans ménagement, l’allongea sur le dos sur la table voisine et éjacula sur tout son ventre, de sa poitrine à son pubis.
« - Voilà ma douce, tu vas te rhabiller maintenant, si tu ne veux pas salir ton pull, tu peux racler avec ton doigt et lécher ou t’essuyer avec ta culotte. Tu vas garder se gode dans ton cul pour rentrer chez toi, ce soir, tu vas rester souillée et engodée jusqu’à la fin du film de cul que tu vas regarder avec ton mari ! Tu ne te doucheras qu’après ! Chaque soir à compter de ce jour, tu auras cet objet entre les fesses, je peux t’assurer qu’à ta première sodomie, tu n’aura pas mal ! Tu auras bientôt de mes nouvelles. »

Sur ces mots, je tournais les talons et sans un regard quittait la véranda suivie par ma belle Séverine, laissant Carole seule, dégoulinante de liquide séminale.
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Histoire de jeanmimel

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