L'apprentissage de Séverine 19

Chantal

Cela faisait maintenant 5 jours que Carole était passé nous voir et je n’avais toujours pas eu de nouvelles de Chantal .J’avais peur qu’elle ne m’appelle pas. Lorsque, ce vendredi matin je reçu un bref texto de sa part sur mon mobile :
« Je vois quel genre d’homme vous êtes, Carole m’a raconté, je pense que vous avez un plan pour nos maris. Je le suis à condition que l’on se rencontre ce soir. Je fixerais certaines règles et ensuite vous ferez ce que vous voudrez de moi. Rendez-vous à 20h précises, venez seul, si vous ne venez pas, oubliez moi ! Si vous venez …. » S’en suivait l’adresse de l’hôtel où je devais la rejoindre.

Ce n’était pas bien sûr, ce que j’avais prévu. Néanmoins, je me présentais à l’heure dite dans le bar de l’hôtel. Il était peu fréquenté encore et je ne vis qu’une femme assise sur un saphir, elle devait avoir une petite cinquantaine et on devinait qu’elle avait été une belle femme, toujours coquette, le temps commençait son œuvre, ses cheveux bouclés grisonnant et formant sur sa tête une sorte de casque, elle portait un tailleur rose mais son corps prenait du volume. Elle me fixa du regard et m’invita à m’asseoir à ses côtés : « Bonsoir Chris, - bonsoir Chantal, alors, que voulez-vous ? -ce soir, vous n’êtes pas le dominant, alors je vais vous commander un verre, si vous le buvez, vous accepter de monter avec moi. Et là tout, je dis bien tout, peut arriver, et ensuite seulement vous pourrez me poser des questions et, comme je vous l’ai écrit ce matin, vous pourrez me demander ce que vous voudrez ! Garçon ! Un whisky ! »
Elle avait parlé avec rudesse, et commandé le verre sans me demander ce que je voulais, lorsqu’il arriva, bien que je ne suis pas un amateur de ce breuvage, je le bu pour voir jusqu’où elle irai, par curiosité et par défi.

Une fois le verre vide, je la suivi dans les couloirs de l’hôtel, elle m’entraîna vers une chambre où elle m’invita à entrer, à ma grande surprise, celle-ci n’était pas vide : le lit était occupé par un jeune homme qui se leva à notre arrivée. Il devait avoir la vingtaine, il se tenait là, nu, son corps musclé et imberbe se dressait à côté du lit, ses mains jointes dans le dos laissait son sexe encore au repos apparent. Chantal me poussa alors dans la pièce, m’entraînant vers l’inconnu :
« Hé bien voilà Chris, Séverine n’est pas la seule à avoir un amant vois-tu, mais je les préfère plus jeune… Par contre, il a certain désirs que je ne veux pas lui satisfaire, peur de mal faire, tu vas donc me montrer comment il faut s’y prendre, après ça, je te l’ai dit, tu pourras me demander ce que tu veux ! »

En disant ces mots, elle me mit face à lui et commença a appuyer sur mes épaules, je résistais un peu : « Ne résiste pas ! »
Son ton devint encore plus sec, elle mit un coup de pied précis juste derrière mon genou qui me fit chanceler, je me retrouvais maintenant face au sexe de l’homme : « Tu vois Kader, Chris aime bien aussi se faire sucer, on m’a dit qu’il aime bien qu’on avale sa semence, il va devoir me montrer comment faire ! »

Sans me montrer vaincu, je posais mes lèvres sur le gland de Kader, puis commença à aspirer la hampe comme j’aimais qu’on me le fasse. Rapidement, il prit de la vigueur, grossissant dans ma bouche, avec ma main droite, je commençais à le branler. Je n’étais pas expert, c’était la première fois que je mettais un attribut masculin dans ma bouche et le sentir grossir me donnait plus d’ardeur à la tâche, mes caresses buccales excitaient donc ce jeune garçon et je m’appliquais de plus en plus avec ma langue.

Dans mon dos, je sentais Chantal ne perdre aucune miette du spectacle. Elle se glissa sur le côté pour mieux voir, je tournais donc légèrement la tête afin de lui dégager la vue et la fixais du regard en pompant sur le pieu maintenant bien raide. Son visage exprimait la curiosité, elle guettait mes moindres mouvements, j’étais en train d’apprendre à cette femme l’art de la fellation.

Séverine était devenue experte dans un premier temps en regardant des vidéos porno sur le net, puis petit à petit, je l’avais guidé pour donner du plaisir à son partenaire. J’appliquais consciencieusement les conseils que je lui avais prodiguée, encerclant le chibre de mes lèvres, je l’aspirais, le recrachais et passais ma langue sur le gland découvert, l’insérant dans le méat avant de faire replonger le tout au fond de ma gorge, le gland venait buter mes amygdales. Ma mâchoire écartelée, je sentais le corps de Kader se contracter, il commençait à haleter de plaisir, émettant de petits gémissements, puis tout son corps se contracta et ma gorge fut inondée d’un liquide visqueux. Je m’appliquais à ne rien perdre de son foutre qu’il continuait à envoyer dans ma bouche par grande saccade, une fois qu’il eut finit de jouir, je me tournais vers Chantal, montrant le fruit de mon labeur qui dégoulinait à la commissure de mes lèvres, elle approcha la bouche et trempa sa langue dans la mienne, goutant le jus de son amant : « Hé bien, dit-elle en se reculant, maintenant, je crois que tu aimes que ces dames avalent ! Allez mon grand un effort ! »

J’avais déjà gouté à mon propre sperme, le plus souvent en léchant le minou de Séverine après l’amour, ou bien elle aimait m’embrasser après une longue fellation. Mais là, c’était celui d’un autre homme qui coulait dans ma gorge, jamais une telle quantité ne m’avait été offerte. Je déglutissais et avalais le tout tandis que Chantal, repassait derrière moi, commençant à arracher ma chemise, elle fit sauter tous les boutons avant de défaire mon ceinturon et elle me projeta violemment à plat ventre sur le lit : « Tu vois comme il est goûteux, mais en plus, il est très endurant le petit, infatigable et insatiable… »

À peine avait-elle finit de prononcer ces mots que je sentis sa langue sur mon anus, elle le léchait tendrement provoquant des décharges électriques dans tout mon bas ventre. M’écartant bien les fesses de ses mains, sa lape s’insinua dans mon petit trou, bientôt suivi par un doigt et lorsque les chairs furent attendrit, elle y posa le sexe tendu de Kader : « Ne t’inquiètes pas, il est sain ! »

Lentement, la bite de son amant entra en moi, se frayant un passage dans mes boyaux, pour la première fois, une verge me pénétrai, un homme m’enculait. La chaleur de ce sexe doux changeait du contact froid du gode employé par Séverine, en plus je le sentais battre dans mes intestins et lorsqu’il commença son va-et-vient j’éjaculais sur les draps. « Voilà, repris Chantal, profites mon Amour, de ce que j’ai pour le moment refusé, mon petit trou, prend celui de cet homme, encules-le à fond, j’aime voir ta belle bite défoncer ce petit trou, il a joui le salaud ! Allez, bourres lui le cul ! »

Je la voyais en train de se caresser alors que la queue de son amant coulissait en moi, elle ne perdait pas une miette du spectacle, assise à mes côtés. Le visage planté sur mes fesses et ses cuisses largement écartées devant mon nez, elle avait passé sa main sous sa jupe et faisait glisser ses doigts sur sa fente humide. Je ne pus m’empêcher de placer ma main sur sa cuisse, faisant remonter le pan de la robe. Je découvrais un pubis fourni d’une épaisse toison, ses doigts lissaient les poils avant de s’enfoncer dans son sexe trempé et alors que Kader continuait de me bourrer le cul, faisant taper son gland de plus en plus fort au fond de mes intestins, je déposais ma langue sur le clitoris caché de sa maîtresse, aspirant le petit bouton turgescent. Elle gémit de plaisir. Un liquide coula de son sexe et je l’avalai, me délectant du nectar qu’elle me donnait, soudain, un autre liquide envahie mes entrailles, dans un profond râle, Kader vidait ses couilles dans mon fondements, les deux amants avaient jouit en même temps….

Après cet épisode, Chantal me promis de faire ce que je voudrais d’elle. Elle devait donc s’épiler la chatte et le rendez-vous était pris pour le vendredi suivant chez moi, avec Carole et les maris....