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L'ardente chevauchée

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Lue : 8807 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/11/2011

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Le soleil brillait pleinement, pas un nuage ne tachait le ciel de saphir. Heian arriva près de l’Aaran, la rivière qui prenait sa source dans le bois de Chondal et qui se jetait dans le Bief-de-Vihlon.

A l’instant où il allait franchir le pont, le jeune guerrier perçût un chant céleste semblant provenir de la forêt qui bordait le chemin. Il tendit l’oreille et écouta attentivement pour soudainement être charmé par une irrésistible envie de s’y engager. Attiré par la légère mélodie qui se perdait dans l’infinie verdoyant, il s’enfonça dans les méandres labyrinthiques du bois. A mesure qu’il progressait, le chant amplifiait et devenait de plus en plus obsédant. En vérité il s’agissait d’un appel harmonique, d’un ramage en guise d’invite. Bientôt il parvint à la lisière d’une clairière baignée de fulgurances rougeoyantes du soleil ponant.

La voix était maintenant accompagnée du grondement sourd d’une chute d’eau mais elle n’en restait pas moins claire et limpide. Emoustillé de la tête au pied il écarta quelques branches et se figea les yeux grands ouverts.

Un être à la taille et la corpulence d’une femme elfe se baignait dans une cours d’eau alimenté par une cataracte écumeuse. La beauté de cette créature était telle que les mots manquaient pour la décrire. Elle était captivante et sensuelle. Des longs cheveux cuivrés tombaient en cascade sur sa peau dont la perfection égalait un magnifique bois mat. Son visage taillé de finesse et masqué de beauté se dessinait de grands yeux noirs en amande, se fendait de pulpeuses lèvres épaisses et se parait de longues oreilles effilées.
Elle était nue.

Heian resta longuement inanimé, le regard égaré dans la grâce et la vénusté à l’état pur. Il sentit une caresse lui glisser dans le dos. Lorsqu’il voulut s’approcher pour mieux l’épier, il manqua d’habileté et de discrétion, il piétina une branche qui se brisa dans un craquement sec et perdit l’équilibre pour finalement trébucher hors de sa cachette, à découvert. Brusquement arrachée de l’intimité, la nymphe se retourna et saisit une étoffe de soie blanche posée sur une pierre pour dissimuler son corps. Le tissu, ayant été arrosé par la cascade, était devenu transparent, on devinait ainsi encore une ombre nébuleuse juste en dessous de son nombril. Heian se releva tout gêné d’avoir crevé la solitude de la baigneuse.
- je suis désolé, je… balbutia–t’il.
A ces mots l’elfe plissa tendrement les yeux et sortit de l’eau, elle paraissait étonnée. Elle s’avança gracieusement en se pavanant comme une tigresse, ses empreintes légères inclinaient en silence l’herbe tendre. Heian ne bougea pas, ensorcelé par les charmes de la féline démarche et du corps ruisselant de perles d’eau qui s’avançait. La baigneuse l’observa de la tête au pied en souriant timidement et ne se soucia plus de sa pudeur. Après une minute qui sembla durer des heures, la nymphe fit un pas en avant, elle était à présent tellement proche du jeune homme que ce dernier pouvait sentir son odeur parfumée. Elle effleura son cou du nez et soupira longuement. Puis dans un long mouvement elle colla son corps contre le sien et lui susurra à l’oreille :
- ô séduisant mâle à la divine beauté, est-tu un adonis ?
Heian fut surpris, la nymphe le prenait pour un adonis, les alter ego masculin des nymphes. Voilà qui flatta grandement sa virilité. Suivit de ces mots, la belle elfe déposa un baiser dans le cou du garçon et ajouta dans un murmure aussi doux que le miel :
- fais moi l’amour puissant fauve.
Une véritable caresse intime fit frissonner l’échine d’Heian, il fut envahit par une douce félicité. Il s’abandonna aux émotions et se laissa guider par son instinct masculin. Le désir prit le contrôle de ses mouvements et la magnifique danse de l’accouplement débuta.

Il caressa avec délicatesse son sein, la nymphe laissa échapper un soupire lorsque la paume chaude de sa main effleura sa mamelle pointue. Attiré l’un vers l’autre, dans un silence seulement rompu par le grondement de la cascade, ils s’embrassèrent langoureusement, mêlant leur langues et leurs subtils saveurs sucrées, s’insufflant la braise de leur souffles. Ils s’étendirent l’un sur l’autre, dans l’herbe, le visage caressé par la brise d’été, le corps enlacé par les chauds rayons du soleil. Ils batifolèrent dans la verdure, les yeux dans les yeux, un sourire d’amusement aux lèvres, ils rigolaient au rythme de leur lutte. Chacun tentait de maîtriser l’autre. Finalement, à la suite de quelques folles roulades, ils s’arrêtèrent à l’ombre d’un grand chêne.

La femelle avait prit le dessus, elle enserrait son prisonnier avec ses cuisses luisantes. Elle commença à défaire de ses doigts de fée le lacet qui tenait fermé sa chemise. La vue qu’offrait cette position sur le corps de l’elfe était simplement magique. Le mâle admirait les courbes de sa silhouette finement dessinée, ses yeux brillants pareils à deux spinelles brunes, ses seins tombant, aux mamelles pourpres de désirs, son petit ventre délicat et brillant et son magnifique duvet pubien. Bientôt elle ôta le vêtement, mettant à nu un superbe poitrail bombé, tapissé d’une fine couche de poils soyeux. La nymphe s’émerveilla devant la puissance de ce torse musculeux. Elle laissa courir ses doigts le long de l’abdomen ondulé avant de couvrir de baisers tous plus tendre les uns que les autres, le divin corps nubile qu’elle venait de découvrir. Heian encore tout étonné se laissait faire docilement, il emmêlait ses doigts dans la magnifique chevelure boisée qui lui chatouillait le buste. Il sourit et ne pu s’empêcher de rire un brin, ce qui encouragea la femelle à continuer. Elle redoubla de fougue et lécha avec gourmandise les tétons éveillés du mâle. Hébété par ce traitement d’une extrême douceur, il renforça l’intimité en effleurant les reins de l’elfe puis se dirigea vers ses parties charnues. Au moment où il allait toucher son fessier rebondi, la jeune femme se redressa le visage plus passionné que jamais. Elle passa ses mains dans les poils légèrement humides de salive en ronronnant doucement telle une panthère. Sans quitter des yeux le jeune homme, elle s’empara d’une petite fiole d’huile parfumée posée au pied de l’arbre d’un geste lascif. Elle en versa un filet sur la poitrine d’Heian puis l’étala lentement. La Senteur épicée d’écorce et les caresses crémeuses détendirent complètement le mâle. L’huile sur les mains chaudes de l’elfe lustrait le corps masculin, ses muscles saillaient avec plus de fringance, chaque centimètre de sa peau tannée devenait plus appétissant et simplement irrésistible. La nymphe souffla sur son buste et le vit frémir. Après quoi, dans un mouvement félin, elle changea de posture. Elle s’assit sur les chevilles d’Heian et commença à manipuler sa ceinture de cuir. Le jeune homme contracta ses abdominaux rutilant et se releva lui aussi, prenant appui sur ses coudes. L’elfe retira son pantalon avec délicatesse, dévoilant de puissantes jambes laineuses qu’elle s’empressa de caresser. Heian leva la tête et ferma les yeux. S’adonnant aux sensations, il devinait les attouchements habiles de sa maîtresse. Celle-ci flattait tout son corps, ses mains étaient aussi légères et douces que de la soie. Et soudain, au plus près de son sexe, le jeune homme sentit se posée la bouche enflammée de la nymphe. La femelle édifia ainsi, une colonne qui déforma sa culotte.
Heian était à présent ivre d’envie, il s’étendit à nouveau dans la pelucheuse couche d’herbe, les mains derrière la tête en signe suggestif qu’il délaisse son corps entier aux doigts experts de la nymphe. D’ailleurs pour sa plus grande aise celle-ci fit glisser sa culotte le long de ses cuisses. Charmée, la belle frisa l’intime virilité de sa bouche. Si près de cette vie, elle pouvait percevoir et entendre la sève pulser à l’intérieur. Elle goûta cette masculinité gorgée de vigueur et la puissance en laissant le long fruit entrouvrir ses lèvres.

Pour que la graine de la vie soit semée, son arbre doit être soignée par la nature. Son feuillage doit être agité par son souffle, son tronc ravivé par la rafraîchissante caresse de la pluie, et son gland savouré par le palet forestier ; Pour qu’enfin, la semence s’implante en son sein. La nymphe s’agenouilla, croupe retroussée, le visage calé entre les cuisses du bel animal maintenant dompté. Ses longs cheveux en désordre lui caressaient le ventre. La queue de l’étalon en bouche, elle inspirait à s’en rendre ivre, une myriade de fragrances enivrantes, exhalée de la crinière pubienne. Le pénis vibrait et grossissait sous les coups de sa langue, elle pouvait sentir le cœur battre à intérieur. Terrassé par le plaisir, le beau cheval de sang pur se laissait traire le sexe.

Heian hennissait, il déploya le creux de ses aisselles et agrippa fermement les branches et le tronc du chêne pour ne pas dériver dans l’inconscience de l’orgasme. Ses flancs musculeux palpitaient tel ceux d’un étalon se roulant impétueusement dans la sciure. Maître de sa monture, la dompteuse arrachait le plaisir de son corps.

Encore.

Et encore.

Elle alluma un feu caressant qui léchait ardemment le fond du bas ventre d’Heian, au gré de la salive qui coulait le long de sa verge et sur ses cuisses. Tout le plaisir était concentré en un point situé juste en dessus de son anus, au plus profond de sa chair. Il écarta irrémédiablement les cuisses, dans le besoin de le laisser jaillir, de libérer ce brasier qui enflammerait son corps jusqu’au bout des tétons.

La nymphe accueillit sur sa langue quelques perles de semence. Elle retira toute la longueur du sexe de sa bouche car il était trop tôt pour jouir.

Un peu désorientée, la nymphe déplia son corps élancé, frotta ses seins sur le pelage du fauve et rampa jusqu'à sa bouche en s’appuyant sur le roc villeux de son torse.

Elle l’embrassa à nouveau en pinçant ses lèvres avec les siennes. Les lèvres étaient soudées, elles accompagnaient le mouvement des visages, aucunes des deux ne voulaient se séparer du velours sur lequel elles venaient de se poser, chacun délectait la liqueur cristalline de leurs lèvres. Les effleurements des visages étaient enivrants, Heian caressa le minois céleste de la femelle et profita de l’étreinte pour reprendre le dessus, il retourna l’elfe de dos avec la plus grande délicatesse comme si il s’était agit d’une fragile moulure. La nymphe émit une petite plainte, car privée du contact facial, cependant elle ne fut que brièvement déçue : Heian se blottit tout contre elle et colla sa bouche dans le cou de la belle puis le lapa ardemment tout en aventurant ses paumes sur le velvet de ses fesses. Le jeune adonis la goûta gourmand comme un enfant, caressa son ventre pareil à un amant, harcela hardiment sa croupe tel un polisson, cajola ses seins et honora vaillamment sa féminité ainsi qu’un amoureux. Pendant l’exploration de son corps son pénis grossit et durcit davantage, révélant l’éveil d’une excitation maintenant incontrôlable. La nymphe, au bord de défaillir, murmura d’une voix tremblante :
- Bel étalon, laisse une trace dans mon corps, laisse ton odeur sur ma peau, fusionne ta chair à la mienne.
Heian fut envahit par la force de sa virilité, avec une violente douceur, il coucha son amante sur le coté, une jambe allongée, l’autre repliée. Il s’agenouilla à cheval sur sa cuisse étendue et redressa l’autre contre son torse, le pied vers son épaule, il arrima sa jambe avec son bras. La large ouverture des cuisses offrit à Heian une scène à la mesure de son érection. Il empoigna son pénis et le guida vers l’écrin humide de la femelle. Celle-ci poussa un gémissement lorsque la verge emplit ses entrailles. Avec la plus grande douceur et la plus extrême lenteur il imprima le rythme du va-et-vient. L’acte sexuel dans sa plus grande pureté eut tôt fait de faire réagir la nymphe. Elle ferma les yeux et se livra aux sensations extraordinaires que lui procurait le membre viril qu’elle accueillait en elle. La nymphe fut désorienté par la douceur de la pénétration, Heian lui enseigna une lenteur qu’elle ne connaissait pas. Ils s’aimèrent pendant des heures.

Le plaisir commença à grimper sérieusement, les délices se faisaient plus nombreux et plus intenses, le plaisir déposé s’évacuait par les gémissements et les cris. Dans un mouvement fébrile, la femelle s’agrippa à la verge du jeune homme comme pour ne pas succomber à la jouissance. Heian, lui, s’émerveillait du spectacle de son sexe planté dans celui de sa compagne, ainsi de voir que celui-ci y réagissait ouvertement.
Pour achever l’acte, Hein y mit toute la force du taureau : Les yeux dans les nuage, la femelle sentait les lourds sacs de semence se pétrir contre son postérieur et la peluche en nage astiquer ses fesses.

L’ardeur du corps musclé, ruisselant de sueur, du mâle brisa le contrôle de la femelle, ne pouvant plus se retenir, ses gémissements muèrent en hurlement pour enfin atteindre un puissant rugissement qui fit frémir les feuilles des arbres, chaque coup de reins la faisait jouir. L’extase qu’elle ressentait ne pouvait se traduire que par ses lèvres. Elle remuait sur l’herbe, ondulait son corps sous les spasmes foudroyants de l’orgasme. Cette féerie augmenta la volupté du sexe d’Heian, qui laissa jaillir sa semence. Il lança sa tête en arrière et jouît à l’unisson aves sa femelle. Son corps s’anima à son tour de convulsions. Pendant un instant tout s’arrêta. Ce fut le bruit de la cascade qui les ramena dans le monde réel. La femelle respirait bruyamment, elle pris Heian dans ses bras et se coucha contre lui. Le corps en feu, ils s’endormirent paisiblement sous l’arbre.


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