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L'associée - 1
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L’ASSOCIÉE - 1
Dimanche, fin d’après-midi. Je suis toujours au bureau. Belle façon pour passer son week-end pour un célibataire de 22 ans. Je m’appelle Louis P. Depuis peu, j’ai obtenu le poste de stagiaire dans un bureau de professionnel. Puisque j’ai acquis de l’expérience en informatique à l’extérieur de mon cursus scolaire, l’associée responsable, Mme Dominique T. d’un dossier important de la firme pour l’aider à finaliser un rapport qui doit être présenté demain matin au client. Le reste de l’équipe avait terminé la veille et j’avais passé toute la journée avec elle à travailler sous pression du délai.
Grâce à mes recherches sur le web, je sais qu’elle a 40 ans, est la première femme associée dans cette firme importante de professionnels et a gravi les échelons grâce à sa fermeté, sa détermination et son sérieux. À mes yeux, toutefois, c’est une femme froide, autoritaire, avare de compliments et qui n’entend pas à rire. Bien que joli, elle s’habille en fonction de son statut, soit des lunettes noires, un éternel chignon attachant des cheveux noirs comme ses yeux, vêtue d’éternels tailleurs qui camouffle ses formes et chaussé de talons hauts qui en rajoute à sa grande taille élancée pour en ajouter à sa domination sur ses collaborateurs.
Pour ma part, malgré ma grande taille et mon corps bien développé, je m’écrase et je transpire lorsque vient le temps d’être en sa présence ou de m’adresser à elle. C’est donc avec soulagement que j’accueilli la fin de notre travail lorsqu’elle dit :
- Ça me semble bien. On se retrouve demain matin à 7 heures chez le client pour la présentation. Apporte ton portable au cas où nous devrions apporter des correctifs.
Je ne croyais pas que je devais l’accompagner, mais bon. À ce moment, j’entends un son étouffé que j’assimile au déplacement de sa chaise. Mais une odeur distinctive me permet d’identifier la source comme étant un gaz qu’elle n’a pu retenir. Je reste discret sur cet égarement et évite son regard. Mais malgré ses efforts, elle ne peut se contrôler son rire. Comme plusieurs personnes, et cela demeure un mystère, ce fait provoque un fou-rire. Les épaules sautillantes, les larmes aux yeux elle ne peut retenir son rire. Soudain, elle se lève et fait quelques pas en direction de la porte. Rendu à ma hauteur elle stoppe et s’exclame en disant « oh non ». Elle serre les jambes, plie les genoux mais ne peut arrêter la nature. Sa jupe s’humidifie et un liquide coule sur ses bas de nylons et dans ses chaussures. Elle pisse dans son slip. Je suis au moins autant gênée qu’elle, mais je ne peux détourner mon regard.
Elle se redresse et me fusille de son regard perçant. J’imagine que je vais subir ses foudres et me faire dire de taire cet incident au risque de représailles. Mais non. Elle passe ses mains sous sa jupe et saisi ses bas-culottes pour les faire descendre. Je suis hypnotisé et figé sur place. Je contemple ce que je vois et elle ne dit mot. Son habileté lui permet de baisser ses bas sans que je vois quoique ce soit de plus haut que le début de ses cuisses. Elle ôte ses souliers, les vide et finit de retirer ses bas. Elle remonte ses mains et saisit sa culotte et la retire doucement, toujours en laissant son intimité cachée. Elle va rejoindre ses bas. Je suis dans l’expectative de ce qui va se passer et je suis inquiet.
Sans que je puisse deviner, elle enlève son veston et elle vient s’asseoir sur la table de travail face à moi et pose ses pieds sur les appuie-bras de ma chaise en écartant les jambes. Je suis aux premières loges pour admirer cette chatte ornée d’une touffe de poils bien taillée. Je ne sais quoi faire.
- Vas-y. Laisse-toi aller à tes désirs.
Je lève les yeux et pour la première fois depuis que je travaille pour elle, je vois un sourire bienveillant dans son visage. Par gêne, par respect ou pour notre plaisir mutuel, je décide d’y aller tranquillement plutôt que de me lancer à corps perdu comme mon instinct me le demande. Je m’avance doucement vers ce trésor suintant. Calmement je m’approche en déposant des baisers à partir de ses genoux, alternativement sur ses deux jambes. Je progresse sur ses cuisses avec des baisers. J’arrive du but, mais je m’attarde sur la peau des cuisses dans l’aine et qui est à mon avis, l’endroit de la femme où la peau est la plus douce. Je caresse cette peau avec ma langue en glissant sur ce velours. J’en profite pour humer son entre-jambe où j’y perçoit une légère odeur d’urine et un parfum pimenté des sucs qui perle sur ses lèvres vaginale, signe que mon travail porte fruit.
Sa respiration s’accélère et de légers gémissements accompagnés de soubresauts de ses cuisses m’avertis que son excitation va en augmentant avec mes caresses qui s’apparentent à des chatouillements. Du coin de l’œil, je regarde l’objet de ma convoitise. Je quitte la région de l’aine et atteint les grandes lèvres. Je fais le contour des lèvres en laissant des traces de salive tout le long. Je prends soin d’éviter le renflement formé par le capuchon renfermant la perle de plaisir Ce n’est que partie remise. Je m’amuse à livrer un combat aux grandes lèvres en les fouettant avec ma langue. Dominique fait bouger son bassin avec un peu plus de vigueur dans le but évident d’avoir un contact plus direct avec ma bouche. Mais je m’en tiens à ma tactique première.
Mais pour ne pas l’impatienter, je lui prends les hanches avec mes mains et je la tire à moi en la faisant glisser sur la table. C’est au tour des petites lèvres de subir le même sort que les grandes. De légers tremblements parcourent son corps et le flot de liquide augmente et se mélange à ma salive qui coulent entre ses fesses. J’abrège la procédure afin qu’elle ne pense pas que je veux seulement l’exciter et qu’elle ait, à tort, que je veux prendre le dessus sur elle. Je veux demeurer un gentleman. Je pose ma bouche à l’entrée de son vagin et je fais glisser ma langue à l’intérieur.
- Ahhhhhhh! J’attendais ce cunni depuis longtemps. Ouiiiii. Mange-moi salaud.
Oh! Madame est vulgaire à ses heures ou bien ce sont mes talents qui l’amènent à ce niveau. L’avenir me le dira. Pour l’instant, je me concentre à pénétrer son tunnel aussi loin que je peux et je fais des allers-retours et des rotations à l’intérieur et à l’extérieur. Je bois ses jus. Mes mains ne restent pas inactives et détachent un à un les boutons de sa blouse. Impatiente, elle se dépêche de détacher ceux qui restent, enlève sa blouse et arrache presque son soutien-gorge. J’avais interrompu mes succions et je la regardais avec étonnement. Une magnifique poitrine que l’on ne devinait pas dans ses vêtements sévères m’apparut. Ses seins de la grosseur de pamplemousses se sont affaissés à peine malgré son âge. Ses mamelons granuleux étaient d’une belle largeur et ses tétons érigés d’une longueur appréciable.
Elle se recoucha sur la table, maintenant qu’elle avait le haut du corps complètement dénudé. Ses magnifiques seins s’affaissèrent à peine suite au mouvement. J’étais impatient de les caresser, mais pour l’instant, j’avais une autre préoccupation. Pendant que je reprenais les caresses buccales, je dû détacher ma ceinture et mon pantalon, descendre ma fermeture-éclair et libérer mon pénis qui arborait une érection inconfortable et près de la douleur. Après quelques caresses sur mon membre, je remonte mes mains jusqu’à sa poitrine, sans cesser le léchage en règle de sa vulve, sans toutefois toucher encore à son clitoris. Je prends chacun de ses seins dans mes mains et les malaxe avec douceur en augmentant tranquillement la pression sans qu’elle ne proteste. Puis, je prends chacun de ses mamelons entre mon pouce et mon index et commence un mouvement de haut en bas.
Dominique se met à gémir encore plus fort. Enhardie par cette réaction, je les pince er les étire è en faire lever le sein au maximum. Sa tête bouge d’un côté à l’autre et un cri sort de sa gorge indiquant une jouissance. Toujours la bouche sur sa vulve, j’accueille ce flot de cyprine qui confirme une jouissance intense. J’essaie tant bien que mal de boire tous les jus, mais je n’y parviens pas malgré que j’aie avalé la majorité. Son bassin qui s’était relevé pendant l’orgasme se rabaissa lourdement sur la table dans la flaque laissée par le surplus de jus.
Je reprends mon attaque en règle sur sa vulve en ne ménageant pas les mouvements de ma tête dans tous les sens pour maximiser contacts, forts ou doux, et en me réservant le clito pour mes doigts. J’abaisse le capuchon protecteur, trempe deux doigt dans son humidité et je me mets à masser doucement son bouton de chair en mettant plus ou moins de pression. Voyant son visage se déformer et sa respiration, j’augmente la vitesse et la pression en pinçant entre mon pouce et mon index la perle jouissive. Ma langue et ma bouche ne se lasse pas et elle repart dans un orgasme dévastateur. Une main pinçant les mamelons, une autre pinçant le clitoris et la buche qui s’active sur son puits d’amour je fais durer son orgasme de longs instants. Elle continue à laisser échapper de grandes quantités de fluide qui s’épanchent sur la table. Ses cris ne peuvent plus être retenus et elle se laisse aller. Par chance, il n’y a personne au bureau en ce dimanche après-midi. Sa figure est rouge et enflée. Si quelqu’un entrait, personne ne la reconnaîtrait tant ses multiples orgasmes la défigurait.
Pour la laisser se calmer et reprendre son souffle et ses esprits, je quitte à regret sa chatte, relève la tête mais continue de lentes et délicates caresses avec ma main sur son sexe pour garder vivante son excitation. Mon autre main continue ses caresses incessantes sur ses seins. Quelques minutes plus tard, elle me dit :
- Tu m’as fait jouir comme une folle. Je me suis sentie comme une vraie saloppe en me laissant aller comme ça avec mon stagiaire. Mais je ne regrette pas et je vais te le prouver.
En disant cela, elle se précipite à genoux à terre devant moi entre mes jambes, m’enlève mes pantalons et mes boxers et se jette sur ma queue, la bouche grande ouverte. Pas préliminaires, pas de tendresse inutile, pas de retenue. Elle m’englobe en entier et descend jusqu’à la base sans prendre le soin de me décalotter. Elle est affamée et je ne m’en plains pas, loin de là. La chaleur de sa bouche et la salive abondante me comble de satisfaction. Après quelques montées et descentes de sa tête, elle sort mon membre en entier de sa bouche, me décalotte et reprend sa succion violente, mais uniquement sur mon gland cette fois-ci et en tenant ma queue dans sa main et en me masturbant rapidement. La sensation est presque insoutenable tant les chocs électriques parcourent mon gland. Je me tords sur ma chaise et je respire avec grand bruit tellement c’est délicieux. Jamais on ne m’a sucé de cette façon, bien que je n’aie pas une grande expérience en relations sexuelles.
N’y tenant plus, je veux sortir ma queue de sa bouche avant de jouir, mais elle s’emploie avec encore plus d’avidité à me sucer le gland et à me branler. Je lui envoie toute ma décharge dans la bouche. Elle reçoit entièrement toute ma purée et en avale une partie. Elle se relève brusquement et vient s’asseoir à cheval sur mes jambes et m’embrasse en faisant pénétrer sa langue dans ma bouche. Je n’avais jamais goûté à mon sperme, mais c’était une belle sensation. Chaud, gluant, onctueux, le liquide se promenait entre nos bouches grâce au combat que se livraient nos langues. Je ne reconnaissais plus l’associée hautaine et sérieuse avec qui je travaillais.
Loin d’avoir débandé, ma queue frappait chacun de nos bas-ventres pendant ce baiser pour le moins baveux. Elle la prit en main, se releva quelques peu et introduisit ma verge dans son vagin resté humide. Elle resserra l’étreinte de ses bras autour de mon cou et se mis à me chevaucher doucement. La furie dont elle avait fait preuve auparavant se calma et elle montait. Notre baiser continuait, mais il avait pris une direction plus sensuelle et douce. On aurait pu dire un tendre baiser entre amoureux. Nos deux sexes se caressaient mutuellement et la sensation de douceur calmait les rougeurs que sa succion précédente avait infligé à ma queue. Puisque j’avais déjà joui, je savais que je durerais longtemps. Nos sexes allaient à la rencontre l’un de l’autre et la chevauchée était partie pour durer longtemps.
Pendant que nous nous regardions droit dans les yeux tous les deux pendant ce moment de douceur, elle ferma les yeux et émis un cri sourd provenant du plus profond d’elle-même. Elle s’affaissa sur ma poitrine, son corps tremblant de tous ses membres. Elle venait de connaître un orgasme puissant qui dura plusieurs secondes. N’osant interrompre ce moment d’extase, je reste sans bouger. Elle en profite pour contracter et détendre les muscles de son vagin, me procurant un massage de ma verge. Quelle sensation elle me faisait vivre. Le massage de ses parois vaginales m’envoya au septième ciel et je déchargeai une quantité importante de sperme dans un cri sourd de bûcheron.
Nous étions comblés tous les deux et profitions de ce moment de relaxation. Elle se releva tranquillement et nous nous sommes rhabillés. Reprenant son attitude de patronne, elle me dit :
- On se revoit demain chez le client.
Un peu déçu de cette fin abrupte, je me résilie à ramasser mes choses et à quitter le bureau. Le lendemain, la présentation se déroule très bien et le client est totalement satisfait. Dominique me dit :
- Merci pour ton travail. Pour te remercier, je t’invite à venir chez nous samedi soir prochain pour un repas. Arrive à 19hres. Tu demanderas l’adresse à ma secrétaire.
L’invitation se fait tellement froidement que je suis tenté de refuser, mais je me souviens de nos ébats de la veille et je la remercie en lui promettant que je serai à l’heure. Pendant toute la semaine, elle ne m’adresse pas la parole, et ne me porte pas attention. Je suis perplexe.
Dimanche, fin d’après-midi. Je suis toujours au bureau. Belle façon pour passer son week-end pour un célibataire de 22 ans. Je m’appelle Louis P. Depuis peu, j’ai obtenu le poste de stagiaire dans un bureau de professionnel. Puisque j’ai acquis de l’expérience en informatique à l’extérieur de mon cursus scolaire, l’associée responsable, Mme Dominique T. d’un dossier important de la firme pour l’aider à finaliser un rapport qui doit être présenté demain matin au client. Le reste de l’équipe avait terminé la veille et j’avais passé toute la journée avec elle à travailler sous pression du délai.
Grâce à mes recherches sur le web, je sais qu’elle a 40 ans, est la première femme associée dans cette firme importante de professionnels et a gravi les échelons grâce à sa fermeté, sa détermination et son sérieux. À mes yeux, toutefois, c’est une femme froide, autoritaire, avare de compliments et qui n’entend pas à rire. Bien que joli, elle s’habille en fonction de son statut, soit des lunettes noires, un éternel chignon attachant des cheveux noirs comme ses yeux, vêtue d’éternels tailleurs qui camouffle ses formes et chaussé de talons hauts qui en rajoute à sa grande taille élancée pour en ajouter à sa domination sur ses collaborateurs.
Pour ma part, malgré ma grande taille et mon corps bien développé, je m’écrase et je transpire lorsque vient le temps d’être en sa présence ou de m’adresser à elle. C’est donc avec soulagement que j’accueilli la fin de notre travail lorsqu’elle dit :
- Ça me semble bien. On se retrouve demain matin à 7 heures chez le client pour la présentation. Apporte ton portable au cas où nous devrions apporter des correctifs.
Je ne croyais pas que je devais l’accompagner, mais bon. À ce moment, j’entends un son étouffé que j’assimile au déplacement de sa chaise. Mais une odeur distinctive me permet d’identifier la source comme étant un gaz qu’elle n’a pu retenir. Je reste discret sur cet égarement et évite son regard. Mais malgré ses efforts, elle ne peut se contrôler son rire. Comme plusieurs personnes, et cela demeure un mystère, ce fait provoque un fou-rire. Les épaules sautillantes, les larmes aux yeux elle ne peut retenir son rire. Soudain, elle se lève et fait quelques pas en direction de la porte. Rendu à ma hauteur elle stoppe et s’exclame en disant « oh non ». Elle serre les jambes, plie les genoux mais ne peut arrêter la nature. Sa jupe s’humidifie et un liquide coule sur ses bas de nylons et dans ses chaussures. Elle pisse dans son slip. Je suis au moins autant gênée qu’elle, mais je ne peux détourner mon regard.
Elle se redresse et me fusille de son regard perçant. J’imagine que je vais subir ses foudres et me faire dire de taire cet incident au risque de représailles. Mais non. Elle passe ses mains sous sa jupe et saisi ses bas-culottes pour les faire descendre. Je suis hypnotisé et figé sur place. Je contemple ce que je vois et elle ne dit mot. Son habileté lui permet de baisser ses bas sans que je vois quoique ce soit de plus haut que le début de ses cuisses. Elle ôte ses souliers, les vide et finit de retirer ses bas. Elle remonte ses mains et saisit sa culotte et la retire doucement, toujours en laissant son intimité cachée. Elle va rejoindre ses bas. Je suis dans l’expectative de ce qui va se passer et je suis inquiet.
Sans que je puisse deviner, elle enlève son veston et elle vient s’asseoir sur la table de travail face à moi et pose ses pieds sur les appuie-bras de ma chaise en écartant les jambes. Je suis aux premières loges pour admirer cette chatte ornée d’une touffe de poils bien taillée. Je ne sais quoi faire.
- Vas-y. Laisse-toi aller à tes désirs.
Je lève les yeux et pour la première fois depuis que je travaille pour elle, je vois un sourire bienveillant dans son visage. Par gêne, par respect ou pour notre plaisir mutuel, je décide d’y aller tranquillement plutôt que de me lancer à corps perdu comme mon instinct me le demande. Je m’avance doucement vers ce trésor suintant. Calmement je m’approche en déposant des baisers à partir de ses genoux, alternativement sur ses deux jambes. Je progresse sur ses cuisses avec des baisers. J’arrive du but, mais je m’attarde sur la peau des cuisses dans l’aine et qui est à mon avis, l’endroit de la femme où la peau est la plus douce. Je caresse cette peau avec ma langue en glissant sur ce velours. J’en profite pour humer son entre-jambe où j’y perçoit une légère odeur d’urine et un parfum pimenté des sucs qui perle sur ses lèvres vaginale, signe que mon travail porte fruit.
Sa respiration s’accélère et de légers gémissements accompagnés de soubresauts de ses cuisses m’avertis que son excitation va en augmentant avec mes caresses qui s’apparentent à des chatouillements. Du coin de l’œil, je regarde l’objet de ma convoitise. Je quitte la région de l’aine et atteint les grandes lèvres. Je fais le contour des lèvres en laissant des traces de salive tout le long. Je prends soin d’éviter le renflement formé par le capuchon renfermant la perle de plaisir Ce n’est que partie remise. Je m’amuse à livrer un combat aux grandes lèvres en les fouettant avec ma langue. Dominique fait bouger son bassin avec un peu plus de vigueur dans le but évident d’avoir un contact plus direct avec ma bouche. Mais je m’en tiens à ma tactique première.
Mais pour ne pas l’impatienter, je lui prends les hanches avec mes mains et je la tire à moi en la faisant glisser sur la table. C’est au tour des petites lèvres de subir le même sort que les grandes. De légers tremblements parcourent son corps et le flot de liquide augmente et se mélange à ma salive qui coulent entre ses fesses. J’abrège la procédure afin qu’elle ne pense pas que je veux seulement l’exciter et qu’elle ait, à tort, que je veux prendre le dessus sur elle. Je veux demeurer un gentleman. Je pose ma bouche à l’entrée de son vagin et je fais glisser ma langue à l’intérieur.
- Ahhhhhhh! J’attendais ce cunni depuis longtemps. Ouiiiii. Mange-moi salaud.
Oh! Madame est vulgaire à ses heures ou bien ce sont mes talents qui l’amènent à ce niveau. L’avenir me le dira. Pour l’instant, je me concentre à pénétrer son tunnel aussi loin que je peux et je fais des allers-retours et des rotations à l’intérieur et à l’extérieur. Je bois ses jus. Mes mains ne restent pas inactives et détachent un à un les boutons de sa blouse. Impatiente, elle se dépêche de détacher ceux qui restent, enlève sa blouse et arrache presque son soutien-gorge. J’avais interrompu mes succions et je la regardais avec étonnement. Une magnifique poitrine que l’on ne devinait pas dans ses vêtements sévères m’apparut. Ses seins de la grosseur de pamplemousses se sont affaissés à peine malgré son âge. Ses mamelons granuleux étaient d’une belle largeur et ses tétons érigés d’une longueur appréciable.
Elle se recoucha sur la table, maintenant qu’elle avait le haut du corps complètement dénudé. Ses magnifiques seins s’affaissèrent à peine suite au mouvement. J’étais impatient de les caresser, mais pour l’instant, j’avais une autre préoccupation. Pendant que je reprenais les caresses buccales, je dû détacher ma ceinture et mon pantalon, descendre ma fermeture-éclair et libérer mon pénis qui arborait une érection inconfortable et près de la douleur. Après quelques caresses sur mon membre, je remonte mes mains jusqu’à sa poitrine, sans cesser le léchage en règle de sa vulve, sans toutefois toucher encore à son clitoris. Je prends chacun de ses seins dans mes mains et les malaxe avec douceur en augmentant tranquillement la pression sans qu’elle ne proteste. Puis, je prends chacun de ses mamelons entre mon pouce et mon index et commence un mouvement de haut en bas.
Dominique se met à gémir encore plus fort. Enhardie par cette réaction, je les pince er les étire è en faire lever le sein au maximum. Sa tête bouge d’un côté à l’autre et un cri sort de sa gorge indiquant une jouissance. Toujours la bouche sur sa vulve, j’accueille ce flot de cyprine qui confirme une jouissance intense. J’essaie tant bien que mal de boire tous les jus, mais je n’y parviens pas malgré que j’aie avalé la majorité. Son bassin qui s’était relevé pendant l’orgasme se rabaissa lourdement sur la table dans la flaque laissée par le surplus de jus.
Je reprends mon attaque en règle sur sa vulve en ne ménageant pas les mouvements de ma tête dans tous les sens pour maximiser contacts, forts ou doux, et en me réservant le clito pour mes doigts. J’abaisse le capuchon protecteur, trempe deux doigt dans son humidité et je me mets à masser doucement son bouton de chair en mettant plus ou moins de pression. Voyant son visage se déformer et sa respiration, j’augmente la vitesse et la pression en pinçant entre mon pouce et mon index la perle jouissive. Ma langue et ma bouche ne se lasse pas et elle repart dans un orgasme dévastateur. Une main pinçant les mamelons, une autre pinçant le clitoris et la buche qui s’active sur son puits d’amour je fais durer son orgasme de longs instants. Elle continue à laisser échapper de grandes quantités de fluide qui s’épanchent sur la table. Ses cris ne peuvent plus être retenus et elle se laisse aller. Par chance, il n’y a personne au bureau en ce dimanche après-midi. Sa figure est rouge et enflée. Si quelqu’un entrait, personne ne la reconnaîtrait tant ses multiples orgasmes la défigurait.
Pour la laisser se calmer et reprendre son souffle et ses esprits, je quitte à regret sa chatte, relève la tête mais continue de lentes et délicates caresses avec ma main sur son sexe pour garder vivante son excitation. Mon autre main continue ses caresses incessantes sur ses seins. Quelques minutes plus tard, elle me dit :
- Tu m’as fait jouir comme une folle. Je me suis sentie comme une vraie saloppe en me laissant aller comme ça avec mon stagiaire. Mais je ne regrette pas et je vais te le prouver.
En disant cela, elle se précipite à genoux à terre devant moi entre mes jambes, m’enlève mes pantalons et mes boxers et se jette sur ma queue, la bouche grande ouverte. Pas préliminaires, pas de tendresse inutile, pas de retenue. Elle m’englobe en entier et descend jusqu’à la base sans prendre le soin de me décalotter. Elle est affamée et je ne m’en plains pas, loin de là. La chaleur de sa bouche et la salive abondante me comble de satisfaction. Après quelques montées et descentes de sa tête, elle sort mon membre en entier de sa bouche, me décalotte et reprend sa succion violente, mais uniquement sur mon gland cette fois-ci et en tenant ma queue dans sa main et en me masturbant rapidement. La sensation est presque insoutenable tant les chocs électriques parcourent mon gland. Je me tords sur ma chaise et je respire avec grand bruit tellement c’est délicieux. Jamais on ne m’a sucé de cette façon, bien que je n’aie pas une grande expérience en relations sexuelles.
N’y tenant plus, je veux sortir ma queue de sa bouche avant de jouir, mais elle s’emploie avec encore plus d’avidité à me sucer le gland et à me branler. Je lui envoie toute ma décharge dans la bouche. Elle reçoit entièrement toute ma purée et en avale une partie. Elle se relève brusquement et vient s’asseoir à cheval sur mes jambes et m’embrasse en faisant pénétrer sa langue dans ma bouche. Je n’avais jamais goûté à mon sperme, mais c’était une belle sensation. Chaud, gluant, onctueux, le liquide se promenait entre nos bouches grâce au combat que se livraient nos langues. Je ne reconnaissais plus l’associée hautaine et sérieuse avec qui je travaillais.
Loin d’avoir débandé, ma queue frappait chacun de nos bas-ventres pendant ce baiser pour le moins baveux. Elle la prit en main, se releva quelques peu et introduisit ma verge dans son vagin resté humide. Elle resserra l’étreinte de ses bras autour de mon cou et se mis à me chevaucher doucement. La furie dont elle avait fait preuve auparavant se calma et elle montait. Notre baiser continuait, mais il avait pris une direction plus sensuelle et douce. On aurait pu dire un tendre baiser entre amoureux. Nos deux sexes se caressaient mutuellement et la sensation de douceur calmait les rougeurs que sa succion précédente avait infligé à ma queue. Puisque j’avais déjà joui, je savais que je durerais longtemps. Nos sexes allaient à la rencontre l’un de l’autre et la chevauchée était partie pour durer longtemps.
Pendant que nous nous regardions droit dans les yeux tous les deux pendant ce moment de douceur, elle ferma les yeux et émis un cri sourd provenant du plus profond d’elle-même. Elle s’affaissa sur ma poitrine, son corps tremblant de tous ses membres. Elle venait de connaître un orgasme puissant qui dura plusieurs secondes. N’osant interrompre ce moment d’extase, je reste sans bouger. Elle en profite pour contracter et détendre les muscles de son vagin, me procurant un massage de ma verge. Quelle sensation elle me faisait vivre. Le massage de ses parois vaginales m’envoya au septième ciel et je déchargeai une quantité importante de sperme dans un cri sourd de bûcheron.
Nous étions comblés tous les deux et profitions de ce moment de relaxation. Elle se releva tranquillement et nous nous sommes rhabillés. Reprenant son attitude de patronne, elle me dit :
- On se revoit demain chez le client.
Un peu déçu de cette fin abrupte, je me résilie à ramasser mes choses et à quitter le bureau. Le lendemain, la présentation se déroule très bien et le client est totalement satisfait. Dominique me dit :
- Merci pour ton travail. Pour te remercier, je t’invite à venir chez nous samedi soir prochain pour un repas. Arrive à 19hres. Tu demanderas l’adresse à ma secrétaire.
L’invitation se fait tellement froidement que je suis tenté de refuser, mais je me souviens de nos ébats de la veille et je la remercie en lui promettant que je serai à l’heure. Pendant toute la semaine, elle ne m’adresse pas la parole, et ne me porte pas attention. Je suis perplexe.
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