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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 26/10/2024
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L'associée - 2
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L’ASSOCIÉE – 2
Louis arrive 15 minutes avant l’heure fixée et, anxieux, observe la demeure luxueuse derrière le mur de pierres. Il a prévu une bouteille de vin et quelques fleurs comme cadeau d’hôtesse. À l’heure dite, il sonne à la porte en prenant une grande respiration. La porte s’ouvre après quelques secondes et un homme grand et bien vêtu dans une tenue sport lui tend la main avec un grand sourire.
- Bonjour Louis. Je suis Laurent le mari de Dominique. Entre, je t’en prie.
Surpris, il se trouve ridicule en regardant ses fleurs. Voyant son embarras, il appelle sa femme en insistant sur l’attention délicate d’avoir apporté des fleurs et du vin. Dominique est vêtue de façon classique mais avec une jupe plus courte qu’au bureau et a coiffé ses cheveux en queue de cheval. Elle lui tend la main. Il retrouve la douceur qu’il a découvert il y a quelques jours et la serre doucement. Elle le remercie pour les fleurs et le vin et quitte avec les cadeaux. Laurent le prend par les épaules et le fait pénétrer au salon. Cette familiarité le rassure.
Au milieu de cette vaste pièce bien meublée se tient une jeune fille d’une beauté incroyable. Elle a les cheveux châtains mi-long et les yeux bleus et est de la même grandeur que lui avec ses sandales à talons aiguilles. Elle porte un pantalon taille basse et un croc-top laissant voir amplement son ventre plat orné d’un petit nombril, mais sans vulgarité. Elle a l’air plutôt timide et réservée. Aussitôt Louis ressent un choc électrique dans son pénis. Laurent lui dit :
- Louis, je te présente Sarah, notre fille.
Il ne peut quitter des yeux cette magnifique vision qui s’offre à lui, mais se garde bien de trop insister et lui tend la main en reprenant une certaine contenance. Une domestique arrive avec des coupes de champagne. Chacun se sert et la conversation s’engage entre les quatre sur des sujets légers. Laurent, afin de détendre l’atmosphère, suggère que tout le monde se tutoie en disant qu’ici il n’y a pas de patrons ou d’employés. Les quatre s’avancent à la table, Laurent et Dominique d’un côté et Louis et Sarah de l’autre. Les plats apportés par la domestique se succèdent et le repas est agréable. Louis est perplexe par ce repas. Il aurait cru qu’il y aurait des rapprochements et Dominique, mais la présence du mari et de la fille lui indique que ce n’était pas dans les plans de sa patronne. Il apprend que Laurent est PDG d’une importante société et que Sarah est en dernière année d’université.
Une fois le repas terminé, la domestique et le cuisinier quittent après des remerciements et des félicitations pour les mets et le service. Les quatre quittent et se retrouvent au salon. Laurent sert les digestifs et la conversation reprend. Laurent invite Louis à visiter la maison, laissant les femmes à leur discussion. Les pièces géantes se succèdent. Il est particulièrement impressionné par l’immense chambre des maîtres avec son lit géant et ne peut s’empêcher d’avoir une pensée cochonne. Sarah a conservé sa chambre de petite fille décorée en rose. Ils reviennent au salon et prennent place face à face dans deux causeuses, Laurent et Dominique sur l’une et Louis et Sarah dans l’autre. Un autre verre est servi. Une musique en sourdine accompagne ce moment.
Après quelques temps, Dominique se lève et met une musique latino et dit qu’elle désire danser. Laurent se lève aussitôt et l’accompagne. Louis et Sarah préfère préfèrent continuer à discuter. Louis ne cesse de lancer des regards discrets au ventre et à la poitrine de Sarah. Les deux regardent le couple de danseurs qui se déhanchent devant eux au milieu du salon.
Dominique est particulièrement expressive dans ses déhanchements. Elle fait face à Louis. Elle lève les bras dans les airs et ondule son bassin en pliant tranquillement les jambes à la manière d’une pole-dancer. Les genoux sont écartés et laissent apparaître l’entre-jambe. À sa grande surprise, elle ne porte pas de culottes et sa chatte apparaît dans toute sa splendeur. Dominique le regarde droit dans les yeux avec un sourire diabolique. Il jette un coup d’œil à Sarah qui ne lui semble nullement étonnée et lui envoie un sourire timide.
- Ma mère devient terriblement excitée quand elle danse sur de la musique latine.
Dominique a baissé les bras et se caresse actuellement les cuisses. Quittant ses cuisses, elle saisit la fermeture-éclair de son mari et le descend rapidement pour s’emparer de son membre encore mou. Louis est complètement ébahi, mais commence à être excité Il ne quitte pas le couple des yeux et n’ose pas bouger. Dominique a saisi la verge de Laurent et le masturbe d’une main pendant qu’elle-même caresse doucement sa vulve. Laurent a obtenu son érection totale te sa femme l’engouffre d’un seul coup, jusqu’au plus profond de sa gorge. Louis se rappelle de la douce sensation qu’il avait ressentie il y a quelques jours. Son érection se manifeste lentement. Il n’ose pas regarder Sarah, assise à sa gauche, tellement il est mal à l’aise.
Pour le rassurer, Sarah déplace sa main doucement sur sa hanche et caresse doucement sa queue. Louis baisse ses yeux vers les longs doigts vermeils parfaitement manucurés qui se promènent sur la bosse dans son pantalon. L’autre main de la coquine est entre ses cuisses et frotte sa vulve à travers ses pantalons. Une tache humide se développe. Louis se tourne de côté et caresse doucement les seins de Sarah à travers son croc-top. Il passe dessous le tissu et sens la fermeté des seins. Prenant de l’assurance, il enlève le croc-top et voit la paire de seins qui s’offrent à sa vue. De la grosseur d’une orange les aréoles pâles sont surmontées de magnifique mamelons érigés et qui pointent vers le ciel. Il plonge la bouche sur le sein droit et caresse le sein droit avec sa main, parfois doucement, parfois en les pressant fermement. Il pince et étire les mamelons avec ses doigts et fait de même avec sa bouche sur l’autre sein. Sa poitrine monte et descend à la vitesse de sa respiration bruyante. Il a complètement oublié la présence des parents tant il est absorbé par le plaisir de Sarah.
Sarah profite de ce qu’il est concentré sur sa poitrine pour glisser sa main dans le pantalon de Louis et lui saisir la queue.
- Ouh maman. Tu avais raison. Il a une bite de belle dimension et il est talentueux pour me sucer les seins. Je vais jouir des seins.
Il réalise alors qu’il est en présence des parents et arrête ses caresses et relève sa tête. Aussitôt elle lui rabaisse comme on le fait avec un bébé qui a échappé le sein qu’il tétait. Il décide de ne plus se poser de questions et de s’affairer à leur plaisir mutuel. Il change de sein avec sa bouche, attaquant le gauche et prenant le droit avec sa main gauche et glisse la main droite dans son pantalon. Il est ravi de s’apercevoir qu’elle ne porte pas et caresse son duvet trempé sans toucher aux lèvres pour l’instant. Un soupir s’échappe de Sarah. Encouragé, il quitte les seins, se lance entre ses jambes lui enlève prestement ses pantalons et plonge sa tête sur sa vulve. Il lui administre le meilleur broutage qu’il n’a jamais donné, alternant la lenteur et la vitesse folle de sa langue. Celle-ci se promène sur les grandes lèvres, les petites et s’insinue dans son canal d’amour. Les effluves qui s’écoulent en abondance de son antre inonde la bouche de Louis qui tente de tout avaler.
Soudain, elle se cabre et cri sa jouissance à tue-tête en se raidissant et soulevant son bassin. Elle tremble de tous ses membres. Elle retombe lourdement dans le sofa et tente de reprendre son souffle. Louis continue ses caresses buccales doucement pour la maintenir dans un état d’extase.
- Wow. Maman. C’est encore meilleur que ce que m’a décrit. Jamais je n’ai été mangé comme ça. C’est un vrai bouffeur de chatte.
Sa mère est trop occupée avec la magistrale pipe qu’elle administre à son mari. Elle bave en coulissant sur le chibre dur comme de l’acier. Louis et Sarah prennent une pose et savoure le spectacle que les aînés leur offrent. Dominique engouffre le manche jusqu’au plus profond de sa gorge et le maintien en place. De la bave coule de tout côtés et elle est proche de s’étouffer.
- Ta mère me mange comme une vraie putain. Elle va me faire juter bientôt. Ça y est je décharge.
Dominique ouvre grand la bouche et reçoit le sperme blanc, chaud et onctueux dans sa bouche. Une fois que l’éruption est terminée, elle replonge sur le membre pour le nettoyer en continuant à s’astiquer le clito jusqu’à ce qu’elle atteigne un orgasme bruyant qui la jette par terre. Louis n’en revient pas des mots que le père a utilisé et la façon dont la mère a donné sa fellation. Sarah descend de la causeuse et se à met à prodiguer le même traitement à Louis. Elle le prend en bouche alors qu’il s’étend sur le dos. La douceur de la langue de Sarah est divine. Elle le suce après l’avoir décalotté et entreprend un suçage en règle du gland de la même façon qu’il lui avait mangé les seins. Sa main le branle à toutes vitesse. Excité comme il l’est, sa semence monte dans ses canaux et en averti la suceuse par politesse. Elle ne tient pas compte de l’avertissement et l’engouffre en entier pour que la semence lui coule directement dans la gorge. Elle s’étouffe et recrache une partie du jus sur le ventre de Louis. Avidement, elle se lance et lèche toute la décharge qui y repose. Satisfaite, elle s’avance vers sa bouche et lui donne un baiser où se mélange sa salive et son sperme. Il a droit au même traitement que ce que lui a donné sa mère.
- Puis Louis, est-ce que ma fille suce aussi bien que moi.
Surpris, il voit les parents qui les observe pendant la fellation. Il ne répond pas par crainte de blesser quelqu’un et se demande où il est tombé malgré qu’il adore. Les deux couples sont fatigués. Les parents montent à la chambre et Louis commence à ramasser ses vêtements pour partir. Sarah le prend tendrement par la main et lui donne un rapide baiser sur la bouche. En le regardant dans les yeux, elle lui dit :
- J’aimerais beaucoup que tu passes la nuit avec moi, lui dit-elle en le prenant par la main et lui donnant un baiser passionné.
Il laisse tomber ses vêtements en tas et les deux partent main dans la main vers la chambre de Sarah, situé à l’étage non loin de la chambre des parents.
Louis arrive 15 minutes avant l’heure fixée et, anxieux, observe la demeure luxueuse derrière le mur de pierres. Il a prévu une bouteille de vin et quelques fleurs comme cadeau d’hôtesse. À l’heure dite, il sonne à la porte en prenant une grande respiration. La porte s’ouvre après quelques secondes et un homme grand et bien vêtu dans une tenue sport lui tend la main avec un grand sourire.
- Bonjour Louis. Je suis Laurent le mari de Dominique. Entre, je t’en prie.
Surpris, il se trouve ridicule en regardant ses fleurs. Voyant son embarras, il appelle sa femme en insistant sur l’attention délicate d’avoir apporté des fleurs et du vin. Dominique est vêtue de façon classique mais avec une jupe plus courte qu’au bureau et a coiffé ses cheveux en queue de cheval. Elle lui tend la main. Il retrouve la douceur qu’il a découvert il y a quelques jours et la serre doucement. Elle le remercie pour les fleurs et le vin et quitte avec les cadeaux. Laurent le prend par les épaules et le fait pénétrer au salon. Cette familiarité le rassure.
Au milieu de cette vaste pièce bien meublée se tient une jeune fille d’une beauté incroyable. Elle a les cheveux châtains mi-long et les yeux bleus et est de la même grandeur que lui avec ses sandales à talons aiguilles. Elle porte un pantalon taille basse et un croc-top laissant voir amplement son ventre plat orné d’un petit nombril, mais sans vulgarité. Elle a l’air plutôt timide et réservée. Aussitôt Louis ressent un choc électrique dans son pénis. Laurent lui dit :
- Louis, je te présente Sarah, notre fille.
Il ne peut quitter des yeux cette magnifique vision qui s’offre à lui, mais se garde bien de trop insister et lui tend la main en reprenant une certaine contenance. Une domestique arrive avec des coupes de champagne. Chacun se sert et la conversation s’engage entre les quatre sur des sujets légers. Laurent, afin de détendre l’atmosphère, suggère que tout le monde se tutoie en disant qu’ici il n’y a pas de patrons ou d’employés. Les quatre s’avancent à la table, Laurent et Dominique d’un côté et Louis et Sarah de l’autre. Les plats apportés par la domestique se succèdent et le repas est agréable. Louis est perplexe par ce repas. Il aurait cru qu’il y aurait des rapprochements et Dominique, mais la présence du mari et de la fille lui indique que ce n’était pas dans les plans de sa patronne. Il apprend que Laurent est PDG d’une importante société et que Sarah est en dernière année d’université.
Une fois le repas terminé, la domestique et le cuisinier quittent après des remerciements et des félicitations pour les mets et le service. Les quatre quittent et se retrouvent au salon. Laurent sert les digestifs et la conversation reprend. Laurent invite Louis à visiter la maison, laissant les femmes à leur discussion. Les pièces géantes se succèdent. Il est particulièrement impressionné par l’immense chambre des maîtres avec son lit géant et ne peut s’empêcher d’avoir une pensée cochonne. Sarah a conservé sa chambre de petite fille décorée en rose. Ils reviennent au salon et prennent place face à face dans deux causeuses, Laurent et Dominique sur l’une et Louis et Sarah dans l’autre. Un autre verre est servi. Une musique en sourdine accompagne ce moment.
Après quelques temps, Dominique se lève et met une musique latino et dit qu’elle désire danser. Laurent se lève aussitôt et l’accompagne. Louis et Sarah préfère préfèrent continuer à discuter. Louis ne cesse de lancer des regards discrets au ventre et à la poitrine de Sarah. Les deux regardent le couple de danseurs qui se déhanchent devant eux au milieu du salon.
Dominique est particulièrement expressive dans ses déhanchements. Elle fait face à Louis. Elle lève les bras dans les airs et ondule son bassin en pliant tranquillement les jambes à la manière d’une pole-dancer. Les genoux sont écartés et laissent apparaître l’entre-jambe. À sa grande surprise, elle ne porte pas de culottes et sa chatte apparaît dans toute sa splendeur. Dominique le regarde droit dans les yeux avec un sourire diabolique. Il jette un coup d’œil à Sarah qui ne lui semble nullement étonnée et lui envoie un sourire timide.
- Ma mère devient terriblement excitée quand elle danse sur de la musique latine.
Dominique a baissé les bras et se caresse actuellement les cuisses. Quittant ses cuisses, elle saisit la fermeture-éclair de son mari et le descend rapidement pour s’emparer de son membre encore mou. Louis est complètement ébahi, mais commence à être excité Il ne quitte pas le couple des yeux et n’ose pas bouger. Dominique a saisi la verge de Laurent et le masturbe d’une main pendant qu’elle-même caresse doucement sa vulve. Laurent a obtenu son érection totale te sa femme l’engouffre d’un seul coup, jusqu’au plus profond de sa gorge. Louis se rappelle de la douce sensation qu’il avait ressentie il y a quelques jours. Son érection se manifeste lentement. Il n’ose pas regarder Sarah, assise à sa gauche, tellement il est mal à l’aise.
Pour le rassurer, Sarah déplace sa main doucement sur sa hanche et caresse doucement sa queue. Louis baisse ses yeux vers les longs doigts vermeils parfaitement manucurés qui se promènent sur la bosse dans son pantalon. L’autre main de la coquine est entre ses cuisses et frotte sa vulve à travers ses pantalons. Une tache humide se développe. Louis se tourne de côté et caresse doucement les seins de Sarah à travers son croc-top. Il passe dessous le tissu et sens la fermeté des seins. Prenant de l’assurance, il enlève le croc-top et voit la paire de seins qui s’offrent à sa vue. De la grosseur d’une orange les aréoles pâles sont surmontées de magnifique mamelons érigés et qui pointent vers le ciel. Il plonge la bouche sur le sein droit et caresse le sein droit avec sa main, parfois doucement, parfois en les pressant fermement. Il pince et étire les mamelons avec ses doigts et fait de même avec sa bouche sur l’autre sein. Sa poitrine monte et descend à la vitesse de sa respiration bruyante. Il a complètement oublié la présence des parents tant il est absorbé par le plaisir de Sarah.
Sarah profite de ce qu’il est concentré sur sa poitrine pour glisser sa main dans le pantalon de Louis et lui saisir la queue.
- Ouh maman. Tu avais raison. Il a une bite de belle dimension et il est talentueux pour me sucer les seins. Je vais jouir des seins.
Il réalise alors qu’il est en présence des parents et arrête ses caresses et relève sa tête. Aussitôt elle lui rabaisse comme on le fait avec un bébé qui a échappé le sein qu’il tétait. Il décide de ne plus se poser de questions et de s’affairer à leur plaisir mutuel. Il change de sein avec sa bouche, attaquant le gauche et prenant le droit avec sa main gauche et glisse la main droite dans son pantalon. Il est ravi de s’apercevoir qu’elle ne porte pas et caresse son duvet trempé sans toucher aux lèvres pour l’instant. Un soupir s’échappe de Sarah. Encouragé, il quitte les seins, se lance entre ses jambes lui enlève prestement ses pantalons et plonge sa tête sur sa vulve. Il lui administre le meilleur broutage qu’il n’a jamais donné, alternant la lenteur et la vitesse folle de sa langue. Celle-ci se promène sur les grandes lèvres, les petites et s’insinue dans son canal d’amour. Les effluves qui s’écoulent en abondance de son antre inonde la bouche de Louis qui tente de tout avaler.
Soudain, elle se cabre et cri sa jouissance à tue-tête en se raidissant et soulevant son bassin. Elle tremble de tous ses membres. Elle retombe lourdement dans le sofa et tente de reprendre son souffle. Louis continue ses caresses buccales doucement pour la maintenir dans un état d’extase.
- Wow. Maman. C’est encore meilleur que ce que m’a décrit. Jamais je n’ai été mangé comme ça. C’est un vrai bouffeur de chatte.
Sa mère est trop occupée avec la magistrale pipe qu’elle administre à son mari. Elle bave en coulissant sur le chibre dur comme de l’acier. Louis et Sarah prennent une pose et savoure le spectacle que les aînés leur offrent. Dominique engouffre le manche jusqu’au plus profond de sa gorge et le maintien en place. De la bave coule de tout côtés et elle est proche de s’étouffer.
- Ta mère me mange comme une vraie putain. Elle va me faire juter bientôt. Ça y est je décharge.
Dominique ouvre grand la bouche et reçoit le sperme blanc, chaud et onctueux dans sa bouche. Une fois que l’éruption est terminée, elle replonge sur le membre pour le nettoyer en continuant à s’astiquer le clito jusqu’à ce qu’elle atteigne un orgasme bruyant qui la jette par terre. Louis n’en revient pas des mots que le père a utilisé et la façon dont la mère a donné sa fellation. Sarah descend de la causeuse et se à met à prodiguer le même traitement à Louis. Elle le prend en bouche alors qu’il s’étend sur le dos. La douceur de la langue de Sarah est divine. Elle le suce après l’avoir décalotté et entreprend un suçage en règle du gland de la même façon qu’il lui avait mangé les seins. Sa main le branle à toutes vitesse. Excité comme il l’est, sa semence monte dans ses canaux et en averti la suceuse par politesse. Elle ne tient pas compte de l’avertissement et l’engouffre en entier pour que la semence lui coule directement dans la gorge. Elle s’étouffe et recrache une partie du jus sur le ventre de Louis. Avidement, elle se lance et lèche toute la décharge qui y repose. Satisfaite, elle s’avance vers sa bouche et lui donne un baiser où se mélange sa salive et son sperme. Il a droit au même traitement que ce que lui a donné sa mère.
- Puis Louis, est-ce que ma fille suce aussi bien que moi.
Surpris, il voit les parents qui les observe pendant la fellation. Il ne répond pas par crainte de blesser quelqu’un et se demande où il est tombé malgré qu’il adore. Les deux couples sont fatigués. Les parents montent à la chambre et Louis commence à ramasser ses vêtements pour partir. Sarah le prend tendrement par la main et lui donne un rapide baiser sur la bouche. En le regardant dans les yeux, elle lui dit :
- J’aimerais beaucoup que tu passes la nuit avec moi, lui dit-elle en le prenant par la main et lui donnant un baiser passionné.
Il laisse tomber ses vêtements en tas et les deux partent main dans la main vers la chambre de Sarah, situé à l’étage non loin de la chambre des parents.
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