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L'associée - 4
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L’ASSOCIÉE - 4
Après la jouissance qui a laissé une quantité impressionnante de sperme dans son vagin, Sarah se retourne vers Louis et le regarde dans les yeux.
- Tu sais Louis, je t’ai dit que papa a été le premier et le seul à me pénétrer et me baiser et à me faire jouir. Mais jamais je n’ai ressenti avec lui ce que je ressens avec toi quand nous faisons l’amour. Il m’a défloré et m’a fait vivre plusieurs expériences avec maman. Ils m’ont enseigné les vulgarités à dire et quand les dire pour augmenter l’excitation des partenaires, comme tu as pu t’en rendre compte avec papa. Mais je n’ai jamais à leurs soirées échangistes. Je leur réservais l’exclusivité. Mais une chose qu’ils ne m’ont jamais demandé et que je ne leur aurais jamais permis, c’est de prendre la virginité de mon cul. Je la réserve à l’élu de mon cœur quand je l’aurai trouvé.
- Je comprends et je respecterai ta décision. D’ailleurs, je n’ai jamais pénétré l’anus d’une femme et …
- Veux-tu me laisser finir ce que je veux te dire, lui dit-elle en mettant sa main sur sa bouche.
Il lui fit signe que oui de la tête, pensant qu’il avait gaffé. Baissant sa main, elle continua.
- Louis, ce que je voulais dire, c’est que j’aimerais vraiment que tu m’encules. Je veux que ce soit toi qui me fasses connaître les joies d’une enculade et, si c’est possible de jouir. Et crois-moi, si tu acceptes, je te laisserai l’exclusivité de mon anus.
Abasourdi, il ne savait comment réagir. Il restait figé.
- Aller. Dit quelque chose. Je t’ai blessé? Louis tu m’inquiètes.
- Tu me combles avec la confiance que tu me témoignes et le plaisir d’être l’élu de ton cœur. Sache que j’ai réfléchi et qu’il en est de même pour moi. Merci de me donner l’exclusivité de ton petit conduit. Crois-moi, j’en prendrai grand soin et pour te le prouver, on va commencer tout de suite.
- Je n’en attendais pas moins de toi. Fais-moi l’amour dans le cul. Encule-moi.
Sur ce, elle décalotte le gland, le suce, le masturbe avec avidité et lui redonne ainsi la rigidité nécessaire afin de pénétrer son petit conduit pour la première fois. Elle se met en position, à quatre pattes et baisse la tête dans ses bras sur le matelas et cambre les hanches. Louis reste abasourdi et ne sait trop quoi faire pour cette initiation aux relations anales pour tous les deux. Se fiant sur son instinct, il se place derrière elle et commence à promener sa langue sur sa vulve sans oublier son clitoris dans ses caresses buccales. Il pénètre profondément son vagin avec sa langue, lui procurant un afflux de cyprine. Sarah se tortille du cul tant c’est bon, mais aussi appeler de l’attention à sa rondelle plissée.
La jugeant assez excitée, il remonte et explore le sillon fessier avec sa langue. Il monte et descend entre les fesses qu’il écarte à deux mains. La sensation nouvelle ressentie par Sarah est intense. Elle profite de ces caresses, mais appréhende un peu la suite. Elle décide de profiter du moment présent et de ne pas s’en faire. Elle sait qu’il sera doux pour la première fois. Louis prend un plaisir malin à lécher le cul de sa compagne et surtout la sensation de sa langue sur la rosette plissée. Il prend de l’assurance et pénètre l’antre avec sa langue. Elle sursaute mais découvre vite la douce sensation qui lui procure des frissons. Il enfonce sa langue profondément et apprécie la pression qu’exerce l’anus.
Avant de perdre son érection, qu’il a quand même entretenue en se caressant doucement, et pour lubrifier son engin, il quitte à regret le cul et pénètre le vagin d’un seul coup. Cri de surprise de Sarah, suivi de gémissements. Dans cette position, elle sent le membre de son compagnon atteindre l’utérus et lui donner l’impression qu’il lui laboure le ventre. Loin d’abandonner l’idée de lui entrer dans le cul, Louis avait pris soin de tremper ses doigts dans la cyprine. Il badigeonne l’anus de son jus gluant. Sarah se raidit sachant ce qui s’en vient. Il l’invite à se détendre et la rassure en lui disant qu’il sera doux et prendra son temps. Malgré ce qu’il vient de dire, il ne peut résister à l’envie de lui donner une claque retentissante sur chacune des fesses, les faisant rougir. Elle crie fortement et le traite de sadique. En riant, il reprend sa besogne au niveau du cul.
Pendant qu’il la pénètre dans la chatte, il caresse l’anneau plissé avec son index. Largement lubrifiée par son anulingus, lentement, il le fait pénétrer d’un centimètre. La belle resserre instinctivement son sphincter empêchement toute progression. Pour éviter la douleur, elle s’efforce de détendre son muscle qu’elle peine à contrôler. Le muscle se détend et laisse le doigt continuer sa progression. Loin d’être douloureuse, la pénétration de l’intrus lui procure une agréable sensation toute nouvelle. Il va et vient et tourne son doigt.
Maintenant que le chemin est inauguré, il ressort et fait entrer son majeur. Nouvelle légère résistance, mais l’intrusion va bien. Cette fois, le doigt va plus loin et elle respire afin de chasser une petite douleur de courte durée. En plus de le faire pénétrer au plus profond, il augmente la vitesse des entrées et sorties et des rotations. Sarah gémit. Louis ressort son doigt et crache dans le trou de cul resté légèrement ouvert après le retrait. Après un autre jet de salive, Louis prend ses deux doigts se promènent allègrement dans son fondement. Elle complètement détendue et la sensation est grandiose. Elle se demande même pourquoi elle ne s’était jamais doigté le cul tellement elle ça et que tout coulisse facilement quand on se détend. Elle est rassurée pour la suite. Louis aussi est rassuré de sentir ses doigts bouger facilement dans le cul. Sa queue, bien que plus grosse que deux doigts, devrait pénétrer relativement aisément. Il a hâte mais ne veut pas précipiter les choses. Il crache encore de la salive dans le sillon et accélère le mouvement et agrandit le trou. Il n’y a plus de résistance. Seulement un cul qui accueille facilement deux doigts et invite à plus gros.
Il retire ses doigts et redonne des couleurs aux fesses avec une claque retentissante. Nouveau cri de Sarah, mais moins convaincant. La diablesse semble aimer ce traitement. Tout le temps que les doigts farfouillaient l’antre, il continuait les mouvements de sa queue dans le sexe de Sarah. Sans lui procurer d’orgasme, il avait maintenu son excitation au maximum, ce qui amoindrirait la douleur de la défloraison anale. Il retire son engin lubrifié du vagin et pose le gland sur la rondelle plissée qui ne s’est pas totalement refermée. L’anus vibre. Sarah est dans l’expectative de la pénétration. Malgré la facilité d’intromission des doigts, elle doute que celle du chibre et surtout du gland se fasse sans douleur.
Il prend une grande respiration et pousse son gland sur l’anneau. Celui-ci résiste et refuse de laisser passer l’intrus. Louis pousse plus fort et fini pas faire passer le gland qui n’a jamais été aussi gros tant l’excitation était grande. Sarah, enfoui sa tête dans son oreiller et ses poumons laissent sortir un cri strident. Elle regrette d’avoir demandé à Louis de l’enculer tant la douleur est intense. Elle est certaine qu’il l’a déchirée et que le sang gicle. Même si son pourfendeur ne bouge plus, et elle non plus d’ailleurs, la douleur ne s’amenuise pas. Elle pleure à chaude larme et veut mourir. De son côté, Louis voit son gland engouffré dans le cul de Sarah et il est rassuré de voir qu’outre la douleur physique qu’elle exprime à plein poumon, heureusement étouffés par l’oreiller, il n’y a pas de dommage à l’anneau culier. Celui-ci a résisté et prend de digérer cette entrée.
La douleur diminue et les cris cessent. Louis entre ses doigts dans la chatte de Sarah et récupère de la cyprine. Il en enduit son membre pour le lubrifier. Il replonge ses doigts encore une fois, mais pour le déguster cette fois-ci. Il recrache ensuite sur le cul de Sarah pour la suite.
- Est-ce que tu veux que j’arrête là et que je me retire
- Comme le plus gros est passé et que la douleur a diminué, tu peux continuer. Merci de l’avoir demandé.
Il pousse son pénis plus à l’avant par petites avancées, la laissant respirer. Elle a repris ses pleurs, mais ses hurlements intenses se sont transformés en petits cris à chaque centimètre d’avancées. Après un moment qui lui a semblé des heures, elle sent enfin les couilles de Louis frapper ses fesses. Elle ne cesse de respirer et de sangloter.
Elle se demande vraiment pourquoi elle a demandé cette enculade. C’était si bon avec ses doigts, pourquoi sa grosse queue lui fait si mal. C’est certain que c’est la dernière fois que je vais accepter de me faire enculer, se dit-elle. Mais il est tellement doux. Pendant qu’elle pense à tout ça, il a cessé de bouger et attend que la douleur de Sarah disparaisse. Puis elle avance son cul et la queue de Louis ressort lentement. Déçu qu’elle veuille interrompe la relation anale, mais compréhensif, il ne bouge pas attendant qu’elle fasse ressortir son sexe d’elle-même pour éviter qu’il n’augmente la douleur en brusquant la sortie. Il voit son pénis sortir du corps, espérant qu’il pourra se reprendre à une autre occasion.
Alors qu’il approche de la sortie de sa tête de champignon, elle recule son cul pour refaire entrer le membre en entier. Surpris, il demeure immobile. Une fois qu’il est complètement empalé, elle avance et recule, provoquant elle-même la pénétration. Elle continue pendant quelques instants avec ces mouvements jusqu’à son muscle anal soit complétement détendu et que la douleur soit supportable. Louis en est ravi et son chibre reprend encore plus de vigueur. Elle stoppe ses mouvements et attend que son enculeur prenne la relève. Il comprend immédiatement et continue ou elle s’est arrêtée. Elle glisse sa main sous elle et commence à se caresser. Le plaisir va en croissant de même que la vitesse de pénétration. Les deux découvrent cette nouvelle pratique et en apprécient le plaisir.
Sarah commence se donne un puissant orgasme suite à sa masturbation et une vague de liquide éclabousse les cuisses de Louis. Profitant de ces effluves, il sort du cul et pénètre d’un seul coup la chatte de sa nymphe qui émet un grognement profond. Il en ressort aussitôt amplement lubrifié et replonge d’un seul coup au plus profond de son cul dont l’ouverture était restée béante pendant son exploration vaginale. Le grognement de sa charmante est encore plus fort. Il ne retient plus et la pénètre allègrement, sans toutefois être violent. Maintenant que le tunnel est bien lubrifié et ouvert, il ne soucie plus de la douleur de sa compagne et s’en donne à cœur joie en se concentrant sur ce qu’il ressent dans ce conduit serré. De son côté, elle continue à se branler et se fait jouir une nouvelle fois dans un gémissement qui ne cesse pas tellement le plaisir provenant de la combinaison de la masturbation et de l’enculade est inattendue et intense.
Comme un tsunami qui se voit venir, elle ressent un nouvel orgasme qui vient. Elle redouble d’effort sur son clito d’une main et introduit plusieurs doigts de son autre main dans son vagin, sa tête reposant sur l’oreiller. De son côté, il ressent les vibrations des parois anales qui augmentent son plaisir. Il sent l’inévitable arriver et se cabre alors qu’il éjacule toute sa semence chaude et gluante dans les intestins de Sarah. Sentant le liquide chaud couler dans ses intestins, Sarah repart dans un orgasme dont elle ne peut identifier la localisation, tellement il envahi tout son corps. Elle part dans des tremblements, des gémissements et des convulsions s’apparentant à une crise d’épilepsie. Inquiet, il ressort et regarde impuissant le corps sursauter devant lui. Inquiet, il n’ose bouger tellement les secousses subies par Sarah sont intenses.
Elle est couchée sur le dos et ses yeux sont clos pendant que ses membres tremblent. Il est à genoux entre ses jambes et essui les coups causés par ses contractions. Alors qu’il se prépare au pire, elle se calme et retrouve une respiration plus normale. Elle a connu sa première jouissance du cul. Elle ouvre les yeux et lui tend les bras. Il se couche sur elle et se donnent un baiser fougueux, les langues se donnant une caresse sensuelle.
Après la jouissance qui a laissé une quantité impressionnante de sperme dans son vagin, Sarah se retourne vers Louis et le regarde dans les yeux.
- Tu sais Louis, je t’ai dit que papa a été le premier et le seul à me pénétrer et me baiser et à me faire jouir. Mais jamais je n’ai ressenti avec lui ce que je ressens avec toi quand nous faisons l’amour. Il m’a défloré et m’a fait vivre plusieurs expériences avec maman. Ils m’ont enseigné les vulgarités à dire et quand les dire pour augmenter l’excitation des partenaires, comme tu as pu t’en rendre compte avec papa. Mais je n’ai jamais à leurs soirées échangistes. Je leur réservais l’exclusivité. Mais une chose qu’ils ne m’ont jamais demandé et que je ne leur aurais jamais permis, c’est de prendre la virginité de mon cul. Je la réserve à l’élu de mon cœur quand je l’aurai trouvé.
- Je comprends et je respecterai ta décision. D’ailleurs, je n’ai jamais pénétré l’anus d’une femme et …
- Veux-tu me laisser finir ce que je veux te dire, lui dit-elle en mettant sa main sur sa bouche.
Il lui fit signe que oui de la tête, pensant qu’il avait gaffé. Baissant sa main, elle continua.
- Louis, ce que je voulais dire, c’est que j’aimerais vraiment que tu m’encules. Je veux que ce soit toi qui me fasses connaître les joies d’une enculade et, si c’est possible de jouir. Et crois-moi, si tu acceptes, je te laisserai l’exclusivité de mon anus.
Abasourdi, il ne savait comment réagir. Il restait figé.
- Aller. Dit quelque chose. Je t’ai blessé? Louis tu m’inquiètes.
- Tu me combles avec la confiance que tu me témoignes et le plaisir d’être l’élu de ton cœur. Sache que j’ai réfléchi et qu’il en est de même pour moi. Merci de me donner l’exclusivité de ton petit conduit. Crois-moi, j’en prendrai grand soin et pour te le prouver, on va commencer tout de suite.
- Je n’en attendais pas moins de toi. Fais-moi l’amour dans le cul. Encule-moi.
Sur ce, elle décalotte le gland, le suce, le masturbe avec avidité et lui redonne ainsi la rigidité nécessaire afin de pénétrer son petit conduit pour la première fois. Elle se met en position, à quatre pattes et baisse la tête dans ses bras sur le matelas et cambre les hanches. Louis reste abasourdi et ne sait trop quoi faire pour cette initiation aux relations anales pour tous les deux. Se fiant sur son instinct, il se place derrière elle et commence à promener sa langue sur sa vulve sans oublier son clitoris dans ses caresses buccales. Il pénètre profondément son vagin avec sa langue, lui procurant un afflux de cyprine. Sarah se tortille du cul tant c’est bon, mais aussi appeler de l’attention à sa rondelle plissée.
La jugeant assez excitée, il remonte et explore le sillon fessier avec sa langue. Il monte et descend entre les fesses qu’il écarte à deux mains. La sensation nouvelle ressentie par Sarah est intense. Elle profite de ces caresses, mais appréhende un peu la suite. Elle décide de profiter du moment présent et de ne pas s’en faire. Elle sait qu’il sera doux pour la première fois. Louis prend un plaisir malin à lécher le cul de sa compagne et surtout la sensation de sa langue sur la rosette plissée. Il prend de l’assurance et pénètre l’antre avec sa langue. Elle sursaute mais découvre vite la douce sensation qui lui procure des frissons. Il enfonce sa langue profondément et apprécie la pression qu’exerce l’anus.
Avant de perdre son érection, qu’il a quand même entretenue en se caressant doucement, et pour lubrifier son engin, il quitte à regret le cul et pénètre le vagin d’un seul coup. Cri de surprise de Sarah, suivi de gémissements. Dans cette position, elle sent le membre de son compagnon atteindre l’utérus et lui donner l’impression qu’il lui laboure le ventre. Loin d’abandonner l’idée de lui entrer dans le cul, Louis avait pris soin de tremper ses doigts dans la cyprine. Il badigeonne l’anus de son jus gluant. Sarah se raidit sachant ce qui s’en vient. Il l’invite à se détendre et la rassure en lui disant qu’il sera doux et prendra son temps. Malgré ce qu’il vient de dire, il ne peut résister à l’envie de lui donner une claque retentissante sur chacune des fesses, les faisant rougir. Elle crie fortement et le traite de sadique. En riant, il reprend sa besogne au niveau du cul.
Pendant qu’il la pénètre dans la chatte, il caresse l’anneau plissé avec son index. Largement lubrifiée par son anulingus, lentement, il le fait pénétrer d’un centimètre. La belle resserre instinctivement son sphincter empêchement toute progression. Pour éviter la douleur, elle s’efforce de détendre son muscle qu’elle peine à contrôler. Le muscle se détend et laisse le doigt continuer sa progression. Loin d’être douloureuse, la pénétration de l’intrus lui procure une agréable sensation toute nouvelle. Il va et vient et tourne son doigt.
Maintenant que le chemin est inauguré, il ressort et fait entrer son majeur. Nouvelle légère résistance, mais l’intrusion va bien. Cette fois, le doigt va plus loin et elle respire afin de chasser une petite douleur de courte durée. En plus de le faire pénétrer au plus profond, il augmente la vitesse des entrées et sorties et des rotations. Sarah gémit. Louis ressort son doigt et crache dans le trou de cul resté légèrement ouvert après le retrait. Après un autre jet de salive, Louis prend ses deux doigts se promènent allègrement dans son fondement. Elle complètement détendue et la sensation est grandiose. Elle se demande même pourquoi elle ne s’était jamais doigté le cul tellement elle ça et que tout coulisse facilement quand on se détend. Elle est rassurée pour la suite. Louis aussi est rassuré de sentir ses doigts bouger facilement dans le cul. Sa queue, bien que plus grosse que deux doigts, devrait pénétrer relativement aisément. Il a hâte mais ne veut pas précipiter les choses. Il crache encore de la salive dans le sillon et accélère le mouvement et agrandit le trou. Il n’y a plus de résistance. Seulement un cul qui accueille facilement deux doigts et invite à plus gros.
Il retire ses doigts et redonne des couleurs aux fesses avec une claque retentissante. Nouveau cri de Sarah, mais moins convaincant. La diablesse semble aimer ce traitement. Tout le temps que les doigts farfouillaient l’antre, il continuait les mouvements de sa queue dans le sexe de Sarah. Sans lui procurer d’orgasme, il avait maintenu son excitation au maximum, ce qui amoindrirait la douleur de la défloraison anale. Il retire son engin lubrifié du vagin et pose le gland sur la rondelle plissée qui ne s’est pas totalement refermée. L’anus vibre. Sarah est dans l’expectative de la pénétration. Malgré la facilité d’intromission des doigts, elle doute que celle du chibre et surtout du gland se fasse sans douleur.
Il prend une grande respiration et pousse son gland sur l’anneau. Celui-ci résiste et refuse de laisser passer l’intrus. Louis pousse plus fort et fini pas faire passer le gland qui n’a jamais été aussi gros tant l’excitation était grande. Sarah, enfoui sa tête dans son oreiller et ses poumons laissent sortir un cri strident. Elle regrette d’avoir demandé à Louis de l’enculer tant la douleur est intense. Elle est certaine qu’il l’a déchirée et que le sang gicle. Même si son pourfendeur ne bouge plus, et elle non plus d’ailleurs, la douleur ne s’amenuise pas. Elle pleure à chaude larme et veut mourir. De son côté, Louis voit son gland engouffré dans le cul de Sarah et il est rassuré de voir qu’outre la douleur physique qu’elle exprime à plein poumon, heureusement étouffés par l’oreiller, il n’y a pas de dommage à l’anneau culier. Celui-ci a résisté et prend de digérer cette entrée.
La douleur diminue et les cris cessent. Louis entre ses doigts dans la chatte de Sarah et récupère de la cyprine. Il en enduit son membre pour le lubrifier. Il replonge ses doigts encore une fois, mais pour le déguster cette fois-ci. Il recrache ensuite sur le cul de Sarah pour la suite.
- Est-ce que tu veux que j’arrête là et que je me retire
- Comme le plus gros est passé et que la douleur a diminué, tu peux continuer. Merci de l’avoir demandé.
Il pousse son pénis plus à l’avant par petites avancées, la laissant respirer. Elle a repris ses pleurs, mais ses hurlements intenses se sont transformés en petits cris à chaque centimètre d’avancées. Après un moment qui lui a semblé des heures, elle sent enfin les couilles de Louis frapper ses fesses. Elle ne cesse de respirer et de sangloter.
Elle se demande vraiment pourquoi elle a demandé cette enculade. C’était si bon avec ses doigts, pourquoi sa grosse queue lui fait si mal. C’est certain que c’est la dernière fois que je vais accepter de me faire enculer, se dit-elle. Mais il est tellement doux. Pendant qu’elle pense à tout ça, il a cessé de bouger et attend que la douleur de Sarah disparaisse. Puis elle avance son cul et la queue de Louis ressort lentement. Déçu qu’elle veuille interrompe la relation anale, mais compréhensif, il ne bouge pas attendant qu’elle fasse ressortir son sexe d’elle-même pour éviter qu’il n’augmente la douleur en brusquant la sortie. Il voit son pénis sortir du corps, espérant qu’il pourra se reprendre à une autre occasion.
Alors qu’il approche de la sortie de sa tête de champignon, elle recule son cul pour refaire entrer le membre en entier. Surpris, il demeure immobile. Une fois qu’il est complètement empalé, elle avance et recule, provoquant elle-même la pénétration. Elle continue pendant quelques instants avec ces mouvements jusqu’à son muscle anal soit complétement détendu et que la douleur soit supportable. Louis en est ravi et son chibre reprend encore plus de vigueur. Elle stoppe ses mouvements et attend que son enculeur prenne la relève. Il comprend immédiatement et continue ou elle s’est arrêtée. Elle glisse sa main sous elle et commence à se caresser. Le plaisir va en croissant de même que la vitesse de pénétration. Les deux découvrent cette nouvelle pratique et en apprécient le plaisir.
Sarah commence se donne un puissant orgasme suite à sa masturbation et une vague de liquide éclabousse les cuisses de Louis. Profitant de ces effluves, il sort du cul et pénètre d’un seul coup la chatte de sa nymphe qui émet un grognement profond. Il en ressort aussitôt amplement lubrifié et replonge d’un seul coup au plus profond de son cul dont l’ouverture était restée béante pendant son exploration vaginale. Le grognement de sa charmante est encore plus fort. Il ne retient plus et la pénètre allègrement, sans toutefois être violent. Maintenant que le tunnel est bien lubrifié et ouvert, il ne soucie plus de la douleur de sa compagne et s’en donne à cœur joie en se concentrant sur ce qu’il ressent dans ce conduit serré. De son côté, elle continue à se branler et se fait jouir une nouvelle fois dans un gémissement qui ne cesse pas tellement le plaisir provenant de la combinaison de la masturbation et de l’enculade est inattendue et intense.
Comme un tsunami qui se voit venir, elle ressent un nouvel orgasme qui vient. Elle redouble d’effort sur son clito d’une main et introduit plusieurs doigts de son autre main dans son vagin, sa tête reposant sur l’oreiller. De son côté, il ressent les vibrations des parois anales qui augmentent son plaisir. Il sent l’inévitable arriver et se cabre alors qu’il éjacule toute sa semence chaude et gluante dans les intestins de Sarah. Sentant le liquide chaud couler dans ses intestins, Sarah repart dans un orgasme dont elle ne peut identifier la localisation, tellement il envahi tout son corps. Elle part dans des tremblements, des gémissements et des convulsions s’apparentant à une crise d’épilepsie. Inquiet, il ressort et regarde impuissant le corps sursauter devant lui. Inquiet, il n’ose bouger tellement les secousses subies par Sarah sont intenses.
Elle est couchée sur le dos et ses yeux sont clos pendant que ses membres tremblent. Il est à genoux entre ses jambes et essui les coups causés par ses contractions. Alors qu’il se prépare au pire, elle se calme et retrouve une respiration plus normale. Elle a connu sa première jouissance du cul. Elle ouvre les yeux et lui tend les bras. Il se couche sur elle et se donnent un baiser fougueux, les langues se donnant une caresse sensuelle.
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