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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/11/2024
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Lassociée 3
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L’ASSOCIÉE - 3
Nus tous les deux, ils entrent vitement dans la chambre de poupée de Sarah et se lancent sur le lit immense. Sentant que Louis a de multiples interrogations, elle prend les devants et lui explique la situation :
- Je vais tenter de répondre à tout ce que tu peux te poser comme questions. Mais je t’en prie laisse-moi finir avant de dire quoique ce soit.
Après avoir retiré les épaisses couvertures et couettes, les deux s’assoient en tailleur de sorte que chacun a une vue imprenable sur les organes génitaux de l’autre, ce qui n’est pas sans ravir Louis qui n’en a pas eu assez à son goût.
- Comme tu as pu t’en apercevoir quand tu es arrivé chez nous, je suis d’un tempérament gêné et timide et je ne suis pas capable d’approcher un inconnu à cause de l’éducation reçue qui prônait de ne pas parler aux inconnus. Sauf que j’ai gardé cette crainte en vieillissant. De sorte que mes parents ont toujours dû faire les premiers pas autant pour les filles que pour les garçons depuis mon plus jeune âge. En vieillissant, mes parents voyaient que j’arrivais à l’âge adulte et que je n’avais jamais eu de copains, seulement des amies de filles. Il y avait donc un manque au niveau des relations avec les garçons. Ma mère se mit à faire les premières démarches avec d’éventuels prétendants et se faisant prendre au jeu, devint une vraie cougar. Comme tu l’as toi-même vécu, elle ne faisait pas seulement connaissance au niveau personnalité, mais aussi au niveau sexuel et autant papa que moi étions d’accord afin de me permettre de trouver le bon prétendant.
Conscients de mon manque d’expérience avec les garçons, mes parents se mirent d’accord pour que papa agisse avec moi comme un copain le ferait avec sa copine. Eh oui. Ça incluait les relations sexuelles. Papa m’a donc défloré devant maman qui me réconfortait et me caressais les seins et le clito pendant ce moment stressant et un peu douloureux. Mais la douceur de papa et les caresses de maman firent que ce moment fut formidable contrairement à ce que mes amies me racontaient de leur première expérience. À ce jour, mon papa est le seul qui m’a pénétré. Mes relations sexuelles avec mes parents, parce que je m’amusais aussi avec maman, ont toujours continuées depuis cette première fois.
Puis maman t’a recruté pour un emploi dans son cabinet, mais s’est vite aperçue que tu étais un garçon sérieux, responsable et attentionné. Ne rougis pas, c’est l’impression que j’ai eue quand je t’ai vu avec les fleurs. Donc maman nous parlait souvent de toi et nous disait comment tu étais. Sans te connaître, j’éprouvais déjà beaucoup d’attirance pour toi. Puis elle est passée à l’acte dimanche dernier avec toi sans que ce soit vraiment planifié. Elle nous raconta en détail comment ce moment s’est déroulé dans les moindres détails. Et je peux te dire que nous étions tous les trois tellement excités après ce récit, que nous avons baisé pendant toute la soirée ensemble.
Voilà, tu connais l’histoire de ma vie et de ma famille. Si tu veux maintenant reculer et t’enfuir, je ne t’en voudrai pas.
En disant cela, Sarah baissa les yeux.
- Mais tu bandes. Cochon. Mon histoire t’a excité.
- C’est évident. J’ai le goût de te baiser. C’est tellement excitant. C’est certain que je veux continuer avec toi. Tu me plais et nous avons tellement de choses à découvrir ensemble.
- Oh merci, lui dit-elle en le serrant dans ses bras. Mais je veux mettre une dernière chose au point. Je ne suis pas jalouse de ma mère et vous pourrez continuer vos séances de baises ensemble, que je sois présente ou pas ou que mon père soit présent ou pas. Mais bien que tu baiseras avec elle, avec moi, je veux que tu me fasses l’amour et non pas seulement me baiser. Mais tu pourras mettre la même fougue que si tu me baisais. Il en sera ainsi pour moi-même; je baiserai avec eux, mais je ne ferai pas l’amour puisque c’est pour toi que j’ai des sentiments.
- Moi aussi lorsque je t’ai vu j’ai eu de gros papillons au ventre et, contrairement à toi, je ne savais même pas que tu existais avant. Moi aussi j’ai des sentiments pour toi. Et sache que bien que j’aie couché avec quelques femmes, j’ai seulement baisé. Je n’ai jamais fait l’amour. Puis pour ce qui est de l’inceste, le principe est très attirant, même si cela peut paraitre immoral et cela me donne une idée que je partagerai avec vous demain matin. Ça éveille mon instinct pervers, lui dit-il avec un clin d’œil.
Elle prit un oreiller dans ses mains et lui en fouta un bon coup qui le fit chavirer sur le dos. Elle se coucha immédiatement sur lui et lui demanda de lui faire l’amour en enfouissant sa tête dans son épaule et se mit à sangloter tellement elle était heureuse. Il la renversa et se coucha à son tour sur elle, lui lécha toutes les larmes qui coulaient. Il lui donna plusieurs baisers dans le coût, dans les oreilles et téta ses lobes d’oreilles à tour de rôle pendant plusieurs minutes. Elle se tortillait sous lui tellement des chatouillements lui parcouraient le corps.
- J’ai le goût de toi. Je veux te faire l’amour.
Sa queue avait repris toute sa vigueur et oscillait entre les cuisses ouvertes de Sarah. Il avança lentement son bassin et son gland entre finalement en contact avec les grandes lèvres humides de Sarah. Il continua sa progression lente. Elle lève ses jambes, entoure sa proie et avec ses pieds tente de l’attirer plus rapidement en elle. Il ne se laisse pas à l’envie qu’il a de s’insérer immédiatement en entier en elle. Finalement il est en entier en elle et prend le temps de sentir ses parois mouillées et qui palpitent. Elle sent sa verge qui palpite dans son antre. Elle sent couler sa cyprine comme une source vive.
Il ressort doucement et retourne au plus profond. Sans brusquerie, il opère un va-et-vient qui leur procure des sensations inconnues de part et d’autre. Les gémissements emplissent la chambre témoignant de la communion des corps qui s’y déroule. Les gémissements de Sarah se transforment en respirations rapides et bruyantes à l’approche de l’orgasme. Sans retenue, elle lâche un cri sourd au moment où l’orgasme l’atteint. Tout son corps se met alors à trembler et à sauter de tous côtés. Son vagin ne cesse d’émettre des jus qui inonde les draps. Par respect, il cesse ses mouvements en restant à l’intérieur. Il n’a pas joui. Les tremblements diminuent mais avant qu’ils ne cessent complètement, Louis reprend ses aller-retours avec plus de vitesse. Les cris de Sarah reprennent là où ils avaient cessé. Elle ne cesse de crier bien alors que la vitesse des mouvements sans y aller avec toute la puissance dont il se sait capable. Il réserve cette démonstration pour plus tard.
Sarah n’en peu plus et part dans un autre orgasme. La jouissance dure et dure alors que Louis ne cesse ses mouvements. Elle le frappe de ses poings dans le dos et bat des jambes dans les airs. Loin de se décourager, il la pilonne avec régularité de toute la longueur de son membre. Elle jouit encore une fois, mais cette fois-ci elle croit s’évanouir. Elle est complètement amorphe et les bras et jambes tombent lourdement sur le matelas. Les yeux vides regardent son pourfendeur et des larmes coulent de ses yeux. Il n’en peut plus de se retenir et dans un cri de bûcheron, il lâche sa décharge à l’intérieur du nid accueillant.
Il se relève sur les coudes et la regarde pendant qu’elle reprend ses esprits. Elle lui sourit et il en fait de même. Les deux réalisent que faire l’amour, en plus d’apporter un plaisir physique aussi intense qu’une baise, apporte un plaisir qui fait appelle à tous les sens. Il roule à ses côtés. Elle sent le liquide de leurs jus s’écouler hors de son vagin. Son pénis gluant repose sur son ventre. Dans un ultime effort, elle se relève et vient engloutir sa queue dans sa bouche afin de goûter leurs jus qui la recouvre. Il en profite pour la prendre par la taille et donner à son sexe le même traitement qu’elle lui donne. Il lape les liquides épais et gluants qui suintent de sa grotte. Il en avale la majeure partie. Elle se retourne et vient l’embrasser à pleine bouche pour qu’ils partagent leur salive et les liquides visqueux. Leur embrassade dure une éternité jusqu’au moment ou elle roule sur le côté en laissant sa tête dans le creux de son épaule et s’endort heureuse. Il prend quelques minutes pour ressasser les événements des dernières heures et s’endort lui aussi heureux.
Le lendemain matin, le soleil pénètre à plein dans la chambre et Louis se réveille le premier. Sarah est couchée en position fœtale en lui faisant dos. De son côté, il a eu une nuit réparatrice peuplée de rêves pornographiques. Comme à tous les jours, son réveil s’accompagne d’une bandaison matinale qui est plus grosse et plus dure que d’habitude. Il n’a qu’à regarder à ses côtés le corps parfait celle qui y repose et se remémorer le début de nuit pour comprendre son état de surexcitation. Il s’approche du corps de déesse de Sarah, décalotte son gland et pose son membre contre la chatte humide de son amante. Il pousse lentement pour ne pas lui faire mal, ignorant le degré d’humidité du canal, mais se rend compte rapidement que le conduit est bien lubrifié. D’un coup, il finit de s’enfoncer. Surprise par ce réveil brutal, elle crie de surprise plus que par douleur.
- Bonjour chérie. Je ne voulais pas te réveiller. J’espère que tu as bien dormi, lui dit-il avec un sourire et en accélérant ses mouvements.
- Salaud. Tu m’as fait peur. Mais quel beau réveil. Promets-moi de toujours me réveiller de cette façon les fois où nous dormirons ensemble.
- Sarah, je veux me réveiller à tes côtés à tous les matins et te réveiller à tous les matins de cette façon si tu es d’accord pour que nous restions ensemble, ses mouvements continuant dans ses fondements.
Elle se met à pleurer et à sangloter et les larmes se remirent à couler. Malgré la sensation délicieuse que son corps lui procurait avec la pénétration, elle ne pouvait arrêter les pleurs de bonheur qui coulaient. Il lui prend la jambe et la porte dans les airs pour accentuer la profondeur de la pénétration. Il retrouve le conduit doux, chaud et humide qu’il avait quitté quelques plus tôt. Il lui caresse les seins en même sans les ménager. De sa position, elle ne peut que se laisser faire et se laisser aller au plaisir. Excité par ce qui se vit et ce qui vient de se dire, les deux jouissent rapidement simultanément dans des râles de plaisirs.
Nus tous les deux, ils entrent vitement dans la chambre de poupée de Sarah et se lancent sur le lit immense. Sentant que Louis a de multiples interrogations, elle prend les devants et lui explique la situation :
- Je vais tenter de répondre à tout ce que tu peux te poser comme questions. Mais je t’en prie laisse-moi finir avant de dire quoique ce soit.
Après avoir retiré les épaisses couvertures et couettes, les deux s’assoient en tailleur de sorte que chacun a une vue imprenable sur les organes génitaux de l’autre, ce qui n’est pas sans ravir Louis qui n’en a pas eu assez à son goût.
- Comme tu as pu t’en apercevoir quand tu es arrivé chez nous, je suis d’un tempérament gêné et timide et je ne suis pas capable d’approcher un inconnu à cause de l’éducation reçue qui prônait de ne pas parler aux inconnus. Sauf que j’ai gardé cette crainte en vieillissant. De sorte que mes parents ont toujours dû faire les premiers pas autant pour les filles que pour les garçons depuis mon plus jeune âge. En vieillissant, mes parents voyaient que j’arrivais à l’âge adulte et que je n’avais jamais eu de copains, seulement des amies de filles. Il y avait donc un manque au niveau des relations avec les garçons. Ma mère se mit à faire les premières démarches avec d’éventuels prétendants et se faisant prendre au jeu, devint une vraie cougar. Comme tu l’as toi-même vécu, elle ne faisait pas seulement connaissance au niveau personnalité, mais aussi au niveau sexuel et autant papa que moi étions d’accord afin de me permettre de trouver le bon prétendant.
Conscients de mon manque d’expérience avec les garçons, mes parents se mirent d’accord pour que papa agisse avec moi comme un copain le ferait avec sa copine. Eh oui. Ça incluait les relations sexuelles. Papa m’a donc défloré devant maman qui me réconfortait et me caressais les seins et le clito pendant ce moment stressant et un peu douloureux. Mais la douceur de papa et les caresses de maman firent que ce moment fut formidable contrairement à ce que mes amies me racontaient de leur première expérience. À ce jour, mon papa est le seul qui m’a pénétré. Mes relations sexuelles avec mes parents, parce que je m’amusais aussi avec maman, ont toujours continuées depuis cette première fois.
Puis maman t’a recruté pour un emploi dans son cabinet, mais s’est vite aperçue que tu étais un garçon sérieux, responsable et attentionné. Ne rougis pas, c’est l’impression que j’ai eue quand je t’ai vu avec les fleurs. Donc maman nous parlait souvent de toi et nous disait comment tu étais. Sans te connaître, j’éprouvais déjà beaucoup d’attirance pour toi. Puis elle est passée à l’acte dimanche dernier avec toi sans que ce soit vraiment planifié. Elle nous raconta en détail comment ce moment s’est déroulé dans les moindres détails. Et je peux te dire que nous étions tous les trois tellement excités après ce récit, que nous avons baisé pendant toute la soirée ensemble.
Voilà, tu connais l’histoire de ma vie et de ma famille. Si tu veux maintenant reculer et t’enfuir, je ne t’en voudrai pas.
En disant cela, Sarah baissa les yeux.
- Mais tu bandes. Cochon. Mon histoire t’a excité.
- C’est évident. J’ai le goût de te baiser. C’est tellement excitant. C’est certain que je veux continuer avec toi. Tu me plais et nous avons tellement de choses à découvrir ensemble.
- Oh merci, lui dit-elle en le serrant dans ses bras. Mais je veux mettre une dernière chose au point. Je ne suis pas jalouse de ma mère et vous pourrez continuer vos séances de baises ensemble, que je sois présente ou pas ou que mon père soit présent ou pas. Mais bien que tu baiseras avec elle, avec moi, je veux que tu me fasses l’amour et non pas seulement me baiser. Mais tu pourras mettre la même fougue que si tu me baisais. Il en sera ainsi pour moi-même; je baiserai avec eux, mais je ne ferai pas l’amour puisque c’est pour toi que j’ai des sentiments.
- Moi aussi lorsque je t’ai vu j’ai eu de gros papillons au ventre et, contrairement à toi, je ne savais même pas que tu existais avant. Moi aussi j’ai des sentiments pour toi. Et sache que bien que j’aie couché avec quelques femmes, j’ai seulement baisé. Je n’ai jamais fait l’amour. Puis pour ce qui est de l’inceste, le principe est très attirant, même si cela peut paraitre immoral et cela me donne une idée que je partagerai avec vous demain matin. Ça éveille mon instinct pervers, lui dit-il avec un clin d’œil.
Elle prit un oreiller dans ses mains et lui en fouta un bon coup qui le fit chavirer sur le dos. Elle se coucha immédiatement sur lui et lui demanda de lui faire l’amour en enfouissant sa tête dans son épaule et se mit à sangloter tellement elle était heureuse. Il la renversa et se coucha à son tour sur elle, lui lécha toutes les larmes qui coulaient. Il lui donna plusieurs baisers dans le coût, dans les oreilles et téta ses lobes d’oreilles à tour de rôle pendant plusieurs minutes. Elle se tortillait sous lui tellement des chatouillements lui parcouraient le corps.
- J’ai le goût de toi. Je veux te faire l’amour.
Sa queue avait repris toute sa vigueur et oscillait entre les cuisses ouvertes de Sarah. Il avança lentement son bassin et son gland entre finalement en contact avec les grandes lèvres humides de Sarah. Il continua sa progression lente. Elle lève ses jambes, entoure sa proie et avec ses pieds tente de l’attirer plus rapidement en elle. Il ne se laisse pas à l’envie qu’il a de s’insérer immédiatement en entier en elle. Finalement il est en entier en elle et prend le temps de sentir ses parois mouillées et qui palpitent. Elle sent sa verge qui palpite dans son antre. Elle sent couler sa cyprine comme une source vive.
Il ressort doucement et retourne au plus profond. Sans brusquerie, il opère un va-et-vient qui leur procure des sensations inconnues de part et d’autre. Les gémissements emplissent la chambre témoignant de la communion des corps qui s’y déroule. Les gémissements de Sarah se transforment en respirations rapides et bruyantes à l’approche de l’orgasme. Sans retenue, elle lâche un cri sourd au moment où l’orgasme l’atteint. Tout son corps se met alors à trembler et à sauter de tous côtés. Son vagin ne cesse d’émettre des jus qui inonde les draps. Par respect, il cesse ses mouvements en restant à l’intérieur. Il n’a pas joui. Les tremblements diminuent mais avant qu’ils ne cessent complètement, Louis reprend ses aller-retours avec plus de vitesse. Les cris de Sarah reprennent là où ils avaient cessé. Elle ne cesse de crier bien alors que la vitesse des mouvements sans y aller avec toute la puissance dont il se sait capable. Il réserve cette démonstration pour plus tard.
Sarah n’en peu plus et part dans un autre orgasme. La jouissance dure et dure alors que Louis ne cesse ses mouvements. Elle le frappe de ses poings dans le dos et bat des jambes dans les airs. Loin de se décourager, il la pilonne avec régularité de toute la longueur de son membre. Elle jouit encore une fois, mais cette fois-ci elle croit s’évanouir. Elle est complètement amorphe et les bras et jambes tombent lourdement sur le matelas. Les yeux vides regardent son pourfendeur et des larmes coulent de ses yeux. Il n’en peut plus de se retenir et dans un cri de bûcheron, il lâche sa décharge à l’intérieur du nid accueillant.
Il se relève sur les coudes et la regarde pendant qu’elle reprend ses esprits. Elle lui sourit et il en fait de même. Les deux réalisent que faire l’amour, en plus d’apporter un plaisir physique aussi intense qu’une baise, apporte un plaisir qui fait appelle à tous les sens. Il roule à ses côtés. Elle sent le liquide de leurs jus s’écouler hors de son vagin. Son pénis gluant repose sur son ventre. Dans un ultime effort, elle se relève et vient engloutir sa queue dans sa bouche afin de goûter leurs jus qui la recouvre. Il en profite pour la prendre par la taille et donner à son sexe le même traitement qu’elle lui donne. Il lape les liquides épais et gluants qui suintent de sa grotte. Il en avale la majeure partie. Elle se retourne et vient l’embrasser à pleine bouche pour qu’ils partagent leur salive et les liquides visqueux. Leur embrassade dure une éternité jusqu’au moment ou elle roule sur le côté en laissant sa tête dans le creux de son épaule et s’endort heureuse. Il prend quelques minutes pour ressasser les événements des dernières heures et s’endort lui aussi heureux.
Le lendemain matin, le soleil pénètre à plein dans la chambre et Louis se réveille le premier. Sarah est couchée en position fœtale en lui faisant dos. De son côté, il a eu une nuit réparatrice peuplée de rêves pornographiques. Comme à tous les jours, son réveil s’accompagne d’une bandaison matinale qui est plus grosse et plus dure que d’habitude. Il n’a qu’à regarder à ses côtés le corps parfait celle qui y repose et se remémorer le début de nuit pour comprendre son état de surexcitation. Il s’approche du corps de déesse de Sarah, décalotte son gland et pose son membre contre la chatte humide de son amante. Il pousse lentement pour ne pas lui faire mal, ignorant le degré d’humidité du canal, mais se rend compte rapidement que le conduit est bien lubrifié. D’un coup, il finit de s’enfoncer. Surprise par ce réveil brutal, elle crie de surprise plus que par douleur.
- Bonjour chérie. Je ne voulais pas te réveiller. J’espère que tu as bien dormi, lui dit-il avec un sourire et en accélérant ses mouvements.
- Salaud. Tu m’as fait peur. Mais quel beau réveil. Promets-moi de toujours me réveiller de cette façon les fois où nous dormirons ensemble.
- Sarah, je veux me réveiller à tes côtés à tous les matins et te réveiller à tous les matins de cette façon si tu es d’accord pour que nous restions ensemble, ses mouvements continuant dans ses fondements.
Elle se met à pleurer et à sangloter et les larmes se remirent à couler. Malgré la sensation délicieuse que son corps lui procurait avec la pénétration, elle ne pouvait arrêter les pleurs de bonheur qui coulaient. Il lui prend la jambe et la porte dans les airs pour accentuer la profondeur de la pénétration. Il retrouve le conduit doux, chaud et humide qu’il avait quitté quelques plus tôt. Il lui caresse les seins en même sans les ménager. De sa position, elle ne peut que se laisser faire et se laisser aller au plaisir. Excité par ce qui se vit et ce qui vient de se dire, les deux jouissent rapidement simultanément dans des râles de plaisirs.
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Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
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