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L'écoute-bébé

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Lue : 13596 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/06/2011

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Quand mon ami Alexandre, directeur d’un foyer pour jeunes travailleurs célibataires m’a demandé d’accueillir provisoirement un agent de sécurité de la centrale atomique voisine, j’ai hésité. Faute de place dans son foyer il a insisté et m’a promis de choisir un jeune homme bien sous tout rapport. Dès qu’une chambre se libérerait au foyer, il le reprendrait. Gina, ma jeune épouse se montra encore plus réticente que moi. Je dus faire valoir l’apport financier de ce type d’hébergement temporaire. Le loyer paierait une bonne partie de nos charges de chauffage. Trois de nos quatre chambres étant libres, nous pouvions en mettre une à la disposition d’un étranger et lui donner accès à notre cuisine d’été au rez-de-chaussée sans inconvénient. Enfin selon Alexandre le jeune homme travaillait régulièrement de six à quatorze heures: il ne serait jamais seul dans la maison puisque Gina travaillait de huit heures à midi.

Se présente un garçon de belle taille, aux cheveux courts et propres, très poli mais aussi très timide. Julien a entre vingt et vingt-deux ans. Il nous remercie de bien vouloir le loger, se montre content des dimensions et de l’ameublement des deux pièces, satisfait du loyer par ailleurs fixé en accord avec Alexandre et se dit tout disposé à donner un coup de main pour les travaux d’entretien de la maison ou du jardin. Gina le juge charmant et cesse ses récriminations. Bientôt elle sympathise avec l’arrivant, se fait maternelle en raison des huit ans de différence d’âge et lui offre assez régulièrement un café à 16 heures. A mon retour du travail vers 17 heures, il m’arrive de les trouver ensemble au salon, lui regardant la télévision alors que Gina repasse notre linge ou celui de Julien, désormais considéré comme membre de la famille.

Ce soir là, Gina connaît un regain de passion. Après son bain elle s’est parfumée à l’ambre, a revêtu une nuisette transparente et se montre douce, caressante, amoureuse. La bouderie qui avait accompagné l’annonce de l’arrivée d’un hôte est oubliée. Elle prend l’initiative, m’embrasse avec ferveur, se couche sur moi, me retire mon pyjama, saisit mon sexe, le caresse, le prend en bouche, le traite royalement de la langue et des lèvres. Comme par miracle je retrouve l’épouse ardente. La routine avait un peu émoussé les élans des premières années de mariage. Je suis heureux de constater l’influence bénéfique de la présence d’un autre mâle sous notre toit. La succion dure, je suis aspiré au fond de la gorge dans un lac de salive, pressé entre les lèvres, frotté à l’intérieur des joues. Son nez collé aux poils de mon pubis envoie sur mon ventre un souffle chaud. De la main droite elle masse la base de mon sexe pour le maintenir droit et fort.
Elle se couche sur le dos, remonte ses talons à la limite des globes de ses fesses, genoux relevés et largement écartés, offerte, vulve béante, à la pénétration. Je m’installe en elle, me repose sur le moelleux coussin de son corps puis relève mon bassin et commence l’interminable et savoureux va-et-vient qui fait monter le plaisir dans le vagin et dans le pénis. Prenant appui sur les talons elle jette son ventre à la rencontre du mien et nous restons quelques secondes suspendus et unis au maximum. Elle me fait avec tendresse et détermination un festival des positions préférées, me retient en elle au moment de la première éjaculation et des suivantes. Je nage et glisse dans mon sperme mêlé à ses sécrétions.
Nos bouches se cherchent, ouvertes, dévorantes. C’est un véritable renouveau de notre union. Les draps absorbent la transpiration. Emu par l’attitude de Gina, je réponds à tous ses élans. Vient le moment de l’épuisement, où l’on se retrouve couchés sur le côté, face à face, yeux dans les yeux, souffles saccadés, heureux, apaisés.

Gina profite de ce retour au calme

-Te souviens-tu chéri de la proposition que tu m’as faite il y a environ un an? Non? Pour redonner vie à notre amour, pour fouetter nos sens tu avais suggéré que nous invitions un tiers qui m’aurait fait l’amour devant toi. Ca te revient?

-Je me souviens surtout du refus sans appel que tu m’avais opposé, me traitant de vilain obsédé et menaçant de me quitter si j’insistais. Et ce soir, après la formidable séance que nous venons de vivre, je reconnais que tu avais bien raison. Nous venons de faire l’amour de façon divine sans recours à un intervenant. C’est tellement merveilleux que je te prie d’excuser l’idée saugrenue qui m’avait visité. Continue à m’aimer de cette façon et ce fantasme idiot ne renaîtra jamais. D’ailleurs, si tu veux te mettre à quatre pattes, je vais te prouver que tu m’inspires sans artifice, point n’est besoin d’un boute entrain.

Gina prend place de bonne grâce, croupe haute, tête sur les avant-bras allongés et présente à mon érection retrouvée la fente chaude et accueillante sous l‘œil noir du trou du cul interdit.. C’est sa position préférée. Je pénètre à nouveau le sexe, m’enfonce et me retire en un long mouvement des chairs rose clair, je sors mon gland à la limite et plonge jusqu’à toucher le fond, mes bourses collées aux fesses de Gina. Plus j’accélère, plus elle gémit, plus elle souffle bruyamment. Son orgasme se crie, me serre et me maintient en elle. Je crains que le célibataire du rez-de-chaussée n’entende le chant d’amour de ma femme.

-Dis, ne crie pas si fort, tu vas émouvoir le malheureux Julien s’il t’entend clamer ton bonheur.

-Justement, j’ai quelque chose à te demander à propos de Julien. Il est jeune, célibataire et ne connaît pas encore de fille du pays. De plus, comme tu l’as déjà constaté, il est extrêmement réservé. En discutant avec lui, j’ai deviné qu’il est toujours puceau. Il rêve de trouver une petite fiancée, mais il craint de ne pas savoir s’y prendre avec une femme. C’est un cercle vicieux.

-Apparemment il s’y prend plutôt bien avec toi, s’il te fait ce genre de confidences. Ne me dis pas que tu t’es sacrifiée pour le déniaiser.

-Que vas-tu imaginer? Je suis ta femme et jamais je ne te tromperai. Mais en repensant à cette introduction d’un tiers dans notre couple, telle que tu l’avais suggérée naguère, je me suis dit que nous pourrions faire d’une pierre deux coups. Si tu le voulais, je pourrais faire l’éducation sexuelle de ce brave garçon et uniquement en ta présence. Ainsi tu assisterais aux quelques leçons que je lui donnerais et tu y puiserais de l’intérêt pour moi. Il y gagnerait de l’assurance, profiterait de notre expérience et aurait plus de chance de trouver chaussure à son pied.

-Combien m’a-t-il fallu de leçons pour apprendre à te faire l’amour? Cela se découvre progressivement. ; on n’a pas besoin d’avoir un professeur, un partenaire suffit! C’est naturel, sinon nous n’existerions pas. Ton puceau trouvera chaussure à son pied sans toi, s’il ne l’a pas déjà fait. Tu me sembles bien naïve. Et toi, tu aurais la triple satisfaction de me faire plaisir, de former un amoureux et de satisfaire ton fantasme… A mourir de rire. Est-ce là l’origine de ta forme présente. Aurais-tu déjà donné un premier cours?

-En aucun cas. J’agirai avec ton accord et en ta présence, sauf peut-être pour la mise en route, afin d’épargner sa timidité.

-Il y a entre nous un malentendu profond. Quand je parlais de te regarder faire l’amour avec un autre homme pour réveiller mon désir, je pensais te présenter une fois un inconnu qui aurait ensuite disparu, pour me laisser la place entière. Je souhaitais voir ton comportement dans l’union avec un anonyme. Or Julien n’est pas un inconnu et il ne disparaîtra pas le lendemain de la séance d’apprentissage. Tu prévois une mise en route puis une ou des leçons en ma présence. Et après cette éducation sexuelle il restera sous notre toit. Ce n’est pas la même chose. Souhaites-tu te mijoter un amant à domicile? Mon fantasme n’était pas de t’offrir à un amant et de vous voir sous mon toit filer le parfait amour. Tu peux vouloir déniaiser ton puceau pour d‘autres motifs, mais pas au nom de ce fantasme ancien

-Ne sois pas rigide d’esprit. Je ferai l’éducation de Julien et ensuite il volera de ses propres ailes. Tu auras l’excitation du spectacle. J’y trouverai certainement du plaisir pour récompense de mon dévouement et ensuite nous serons plus unis que jamais. Si tu m’aimes, tu dois chasser toute forme de soupçon de jalousie. Evidemment je n’agirai pas sans ton accord.

-J’ai reçu ce soir la preuve que le projet te donnait des ailes. Tu as été parfaite J’espère faire le même constat au cours de l’expérience et après. Tu as le droit d’avoir toi aussi des fantasmes et d’essayer de les satisfaire. Rassure-moi: tu limiteras tes interventions en nombre, dans le temps et aux heures où je serai à la maison? Tu considéreras Julien comme un élève et non comme un amant quelle que soit la sympathie qu’il t’inspire?

-Je te jure de ne jamais entreprendre une leçon avec lui si tu n’es pas là. Il suffira que tu me demandes d’arrêter pour que je cesse. Ca te va, tu me donnes ton accord? As-tu encore une question?

-Effectivement. La séance la plus importante à mes yeux est celle de la mise en route dont tu souhaites m’exclure pour ménager sa timidité. Si vous acceptez ma présence tu pourras commencer demain avec ma bénédiction. Je m’engage à être un spectateur silencieux, à ne jamais intervenir. Mais je veux dire moi-même à cet heureux élu mon accord pour que tu fasses son éducation sexuelle théorique et pratique et je veux lui rappeler de vive voix ma situation privilégiée de mari et de propriétaire de la maison.

-Eh! Bien, je te remercie pour lui. Il ne sait rien de notre discussion. En quoi le propriétaire est-il intéressé?

-En cas de débordement, j’expulserais le locataire. Et tu devras assumer ta conduite

-Ne t’inquiète pas, je respecterai les limites.

-Demain à 17 heures sois prête, en tenue excitante. Essaie de le faire venir au salon et de l‘y garder, propose lui ton aide. A mon retour du travail je vous donnerai le feu vert. Pour le moment canapé et fauteuils, chaises, table, tapis devraient suffire pour accueillir vos ébats. Sois une bonne instructrice. Je veux être fier de toi et de ton enseignement. En l’absence de certificat de bonne santé, je te recommande l’usage de protection d’usage courant. Protège-toi et protège-moi. Ton angelot pourrait avoir contracté une vilaine maladie au cours d’un premier ou d’un second dépucelage.

-Non, je le crois sincère. Mais ne t’inquiète pas, le « sortez couvert » fait partie d’une éducation bien menée.

Gina me saute au cou, m’embrasse follement, cale un genou de chaque côté de mon bassin, attrape ma queue ramollie, se retourne, me reprend en bouche tout chargé des écoulements précédents et me remercie en redonnant vie à un pieu présentable. De nouveau tournée vers moi, heureuse et reconnaissante, elle me tient droit sous la chatte qui s’abaisse pour m’emprisonner et me soumettre au galop de son ventre avide. Elle me chevauche avec force et énergie et je finis par me demander si je ne viens pas de lui accorder le droit d’aimer le jeune et de le baiser à volonté avec ma bénédiction. Quant à ce qu’elle fera pendant mes heures de travail…Saura-t-elle s’arrêter si je le demande? Julien n’est-il pas déjà son amant de cœur? Ne suis-je pas en train de creuser la tombe de notre amour? Aura-t-elle encore besoin de mon accord pour s’installer en éducatrice spécialisée à domicile pour d‘autres jeunes gens en détresse sexuelle? Il y a tant de jeunes garçons timides à rassurer. En cette époque de chômage voilà une création d’emploi toute indiquée. Gina a déjà un emploi, à mi-temps certes, mais c‘est son choix!. N’ai-je pas présumé de mes forces, saurai-je étouffer les bouffées de jalousie? Comment Gina me fera-t-elle l’amour demain ou dans six mois? Cette mise en concurrence physique pourrait un jour tourner à mon désavantage.

C’était un fantasme. Cela devient un problème. Qui sème le vent récolte la tempête: un jour lointain j’ai émis une idée stupide, elle me revient en pleine gueule comme un boomerang. Aucun de mes arguments ne l’a convaincue: ni l’observation du bon état actuel de notre relation, ni le qualificatif « saugrenu » à propos de ma proposition, ni le rappel du recours à un inconnu et non à un familier. Gina m’a imposé son désir d’accomplir sa bonne action au profit de gueule d’ange. Son enthousiasme a bousculé mes résistances, elle semble trop y tenir pour m’entendre et accepter de renoncer à son rôle de formatrice. Si l’agneau est aussi blanc qu’elle le croit, elle pourrait l’effrayer avec trop d’ardeur. Je suis très mal à l’aise, fâché avec moi-même! De l’imaginer bourrée par le petit jeune, grande ouverte, ouvrant son sexe pour l’accueillir puis recouverte de son sperme, je perds le sommeil.

J’ai du mal à avaler que ce garçon puisse être vierge. Il est grand, beau, bien fait, intelligent, livré même malgré lui et sa prétendue timidité à la convoitise des demoiselles. Il aura su apitoyer Gina pour lui ouvrir les bras et les jambes en lui racontant une fable, une histoire autant de fois exploitée qu’il a rencontré de fleurs bleues au cœur généreux et au corps attirant. Et les bonnes âmes prises de pitié l’ont délivré de l’horrible tare en écartant les cuisses dans un formidable élan de générosité. Si cela se trouve, après chaque conquête, le jeune homme bien sous tout rapport renaît puceau pour recommencer. Allez dormir quand ce genre d’idée née d’un excès de reconnaissance de votre femme vous trotte dans la tête. Je pourrais admettre que ma femme ait une aventure extra conjugale, elle ne serait ni la première ni la dernière, mais je serais furieux d’apprendre qu’elle a été abusée par un godelureau et qui plus est avec ma bénédiction. Maudit soit le jour où je lui ai confié mon fantasme.

Je suis arrivé au travail, j’ai posé des RTT à raison de quinze demi-journées pour ne pas gêner le service en cette période d’activité ralentie et me voici dans un magasin spécialisé pour enfants en train d’acheter un écoute-bébé sous l’œil attendri d’une vendeuse prête à répandre la nouvelle de la grossesse de ma femme. L’émetteur se déclenche à la voix, le récepteur mobile capte les sons jusqu’à mille mètres.
La maison est vide. Je dissimule l’émetteur derrière un vase monumental chargé de grandes fleurs artificielles dans un coin du salon. Je reviendrai après quatorze heures, quand Gina et Julien occuperont la maison.

Dans ma poche le vibreur donne l’alerte. Je me mets à l’écoute. Gina est d’humeur joyeuse et chante à tue-tête.

-Bonjour Julien, c’est toi mon amour?

Du doute je passe à l’évidence. La réponse est plus lointaine:

-Mais oui ma chérie: je me suis dépêché pour venir au résultat.

Ils doivent être au salon et j’entends distinctement la conversation.

-Alors, tu as parlé à ton mari? En tout cas-tu n’as pas ménagé ta peine. Tu aurais pu penser au malheureux obligé de se boucher les oreilles pour calmer son excitation. Louis est aussi vigoureux ou tu exagères tes réactions pour le tromper sur la violence de ton orgasme. Tu simulais ou tu as vraiment joui aussi fort?

-Je ne simule jamais, tu devrais le savoir. Et je me suis donnée à fond pour obtenir gain de cause. Réjouis-toi, dès ce soir nous allons pouvoir nous aimer comme des fous après la bénédiction de Louis. Il souhaitait me voir faire l’amour avec un étranger, il va être servi. Simplement il exige d’assister à ton dépucelage. Je lui ai fait comprendre qu’il faudrait une progression dans ton éducation sexuelle de manière à justifier quelques séances.

-Il a gobé ça. C’est un faux dur. Il faut être naïf pour me croire puceau, complètement déjanté pour te donner la permission de passer aux travaux pratiques avec moi, un peu con pour croire à une progression. Il était temps de trouver un homme pour combler tes envies, je suis là. Tu n’en as pas marre de vivre avec ce cocu bienheureux?

-Dis, tu as bien su en profiter jusqu’à maintenant. De plus pourquoi cocu bienheureux? Tu es mon premier faux pas. Et il ignore que j’ai eu pitié de ta vie amoureuse vide. Tu sais je l’ai vraiment aimé et je l’aime encore. Il est mon pilier. Tu passeras à d’autres, lui me restera. Tu es jeune et volage, lui m’épousera. Oui je l’aime.

Elle s’est fait avoir, elle a eu pitié. Mais elle s’est payé ma tête, hier soir, avec son histoire de puceau. Je suis naïf, déjanté et con: je suis surtout furieux.

Tu l’aimes plus que moi? Je croyais que tu m’aimais. Dis, viens là et prouve-moi ta préférence. A genoux, vieille peau, suceuse de jeunes bites, avaleuse de sperme, sac à foutre. Alors quand lui annonceras-tu que tu le fous à la porte et que tu veux vivre avec moi?

-Je suis comme mariée avec lui et je compte le rester. Un jour tu t’en iras, je le sais. Tu es trop beau pour être fidèle. Je serai heureuse de continuer à côté de mon Louis. De plus c’est lui le propriétaire.

- Ton cocu n’est pas moche. A l’oreille il baise bien. Suce et écoute ma grosse cochonne. En ce moment tu as gagné du temps pour quelques séances; mais après, s’il veut que tu arrêtes, comment ferons-nous? Tu me répètes tous les jours « Je ne peux plus me passer de toi, baise-moi ». Le meilleur moyen de continuer c’est de te mettre en ménage avec moi. Tu adores ma queue, tu en veux toujours plus, il faut choisir ou tu seras en manque.

-Tu m’as pourtant entendue hier soir. Louis me convient. Puisqu’il n’a rien remarqué, nous pourrons continuer comme toujours quand il est au travail, quand il va au sport, quand il fait les courses: ta chambre et ta cuisine sont inviolables pour lui. S’il m’en voit sortir je pourrai toujours prétendre avoir fait du rangement chez notre célibataire désordonné.

Elle érige le mensonge en système de communication avec moi. Je ne m’étais rendu compte de rien, chaque absence leur profite, ce n’est pas d’hier. Elle pense m’aimer, c’est incroyable. Elle s’est installée confortablement dans l’adultère et espère faire durer cette situation à mon nez et à ma barbe. Elle a commis une erreur en se cachant derrière mon fantasme oublié.

-Tais-toi et suce. Oui, comme ça, lèche mes couilles, par-dessous, remonte, avale, suce le gland, passe la langue. Oh! L’adorable vieille salope. Tu as un vrai sac à mensonges en réserve, je t’admire et je plains le pauvre type que tu exploites. Oui, mes couilles au chaud dans ta bouche. Tu es la reine des tailleuses de pipe, j’adore, c’est trop bon. Putain de salope.

-Ho! Un peu de respect ou va en voir une autre. Bon, Louis rentre dans deux heures. Alors mettons-nous d’accord. Tu auras à jouer un rôle. Tu n’auras pas le droit à l’erreur. Tu dois être crédible dans ton personnage de puceau: timide, naïf, au bord du refus pour ne pas détruire un couple uni, mais finalement soumis, reconnaissant. Souviens-toi, tu ne sais rien, tu découvres petit à petit le baiser, les caresses, les parties cachées comme les seins ou le ventre etcetera. Surtout ne va pas trop vite ou Louis aura vite fait de découvrir la supercherie.

-Je vais m’emmerder à cent sous de l’heure à ce jeu. Louis n’a rien remarqué jusqu’à présent, il est aveugle comme tous les cocus, donc il ne verra que du bleu à l’avenir. Il me fait presque pitié. Dis ma pute, tu ne pourrais pas calmer mes humeurs avant son retour.

-On verra si on est au point assez tôt. En premier tu cesses de m’appeler grosse vache, vieille pute, salope et compagnie et je ne veux plus entendre qu’un mot quand tu t’adresses à moi. Pour en prendre l’habitude…

-Comment veux-tu que je te respecte alors que tu trompes ton mari avec autant d’impudence. Tu n’es vraiment qu’une sacrée salope et c’est-ce que j’aime le plus en toi, ce caractère de vieille pute dégueulasse, menteuse et tricheuse, sans honneur. Tu es merveilleuse dans ce rôle de truie qui a le feu au cul. Ne change pas.

-Tu me méprises? Je reprends, tu dois m’appeler « maîtresse » et moi je t’appellerai « mon petit » ou « mon gentil puceau »

-Jamais de la vie je ne pourrai garder mon sérieux!

-Tu n’as pas le choix, c’est ça ou tu dégages. Ensuite il va falloir t’habituer à mettre un préservatif. Louis l’exige. A la réflexion, il a raison: avec le sida et les autres maladies je dois protéger ma santé. A l’avenir, devant mon mari ou autrement tu porteras un préservatif à moins de produire un certificat de bonne santé trimestriel.

-Bon, vous êtes devenus fous. Tu vas te chercher un autre consolateur, moi je vais me barrer vite fait.

-Dans ce cas, descends, prépare tes valises et bon voyage. Je dirai à Louis que tu refuses de t’offrir en spectacle. Allez, du vent, morveux. Je ne vais pas me casser la tête pour un ingrat.

-Ne te fâche pas. Je ne voudrais pour rien au monde rater la tronche de ton cocu quand je vais t’enfiler sous ses yeux, t‘en mettre plein le ventre, te faire hurler de plaisir. Ah! Le con, il va en avoir pour son argent. J’en jouis à l’avance. Bien maîtresse, je mettrai des préservatifs. Quoi encore?

-C’est beaucoup mieux mon petit puceau. Tu seras poli, couvert, patient, reconnaissant envers moi et mon mari, c’est l’essentiel. Pour le reste évite de contrarier mon homme si tu veux que cela dure. Dis toujours oui, nous nous rattraperons à nos heures. Dis-moi, est-ce que tu m’aimes un peu, belle queue?

-Tu sais combien je t’adore maîtresse. Et je suis prêt à te le prouver sur l’heure. Va, allonge-toi sur le canapé et tu vas la sentir passer. Ecarte, lève une jambe sur le dossier.

-Stop, tu as oublié quelque chose.

-Quoi donc? Le préservatif? Après tout ce que ton Louis t’a fourré la nuit passée, tu ne risques pas d’être enceinte de moi. Et de toute façon, si tu m’aimes comme tu le dis, ce serait un bonheur pour toi et une récompense pour le couillon qui veut bien me prêter sa femme pour me dépuceler.

-Quand voudras-tu comprendre jeune imbécile que tu dois m’obéir ou me perdre. Viens, faisons la découverte de la mise en place d’une capote: ce sera une répétition pour ce soir devant Louis

Donc, je suis cocu, mais j’ai encouragé ma femme à faire l’amour avec un autre. Elle entretient une liaison de quelques semaines avec ce coquin de locataire et se moque ouvertement de moi avec lui. Ils vont s’entraîner à placer un préservatif, cela sera donc le premier! Mon autorisation obtenue comme je sais, doit servir de couverture, elle a su exploiter au mieux mon fantasme. Je l’entends maintenant aspirer l’air et cracher des oh! à chaque coup de butoir. Vraiment cet écoute-bébé est une invention diabolique.

-Cesse de faire la brute, ne passe pas ta rage sur moi, arrête, tu me fais mal, arrête, arrête, non!

Je pourrais intervenir, mais s’il se charge de la corriger, pourquoi montrer que j’ai découvert l’ombre de mes cornes? Les autres jours Julien fait d’elle ce qu’elle veut bien admettre ou supporter. Que Gina se débrouille avec sa petite frappe. A moi d’organiser désormais les festivités. Puisque Gina a déterré ce vieux fantasme, autant voir ce qui se passe dans mon salon. J’entre sans bruit. Les amants ne se sont pas souciés de fermer les portes des pièces. J’approche pour voir. Si je venais à être vu, je n’aurais pas à m’excuser.

Sur le canapé, dos à la porte et tête vers la fenêtre Gina a posé ses mains à plat sur l’extrémité de l’assise. Sa tête prend appui sur ses bras, ses seins s’enfoncent dans le siège et la calent, son torse les utilise comme amortisseurs.. Le dos dessine une courbe qui culmine au niveau des fesses au-dessus de son genou droit et soutenue par la jambe gauche dont le pied touche le sol devant le canapé. Elle présente ainsi sa croupe et son sexe à Julien qui balance son ventre contre elle à grands coups, par derrière, les jambes dans la même disposition que celles de ma femme. Et vlan, et vlan. Il cogne fort, sèchement. Sa verge va frapper à l’intérieur , ventre en avant, torse rejeté en arrière, dans un mouvement mécanique régulier, sur l‘axe des bras accrochés aux poignées d‘amour. Chaque choc provoque l’aplatissement des seins dans le coussin et est suivi d’un hon euh de Gina. Elle accuse le coup et aspire fort pour recracher un nouveau hon à l’attaque suivante.

-Alors, tu aimes, c’est bon? Tu me sens. Ton con est brûlant, tu as le ventre en feu, ma salope. Tiens et tiens.

-Hon, euh, hon, euh

-Tiens prends ça et ça

Le puceau s’applique, maintient les reins en creux de sa main gauche, parfois se penche pour retenir l’épaule droite de la femme de sa main droite. De derrière je vois le piston s’enfoncer puis ressortir entouré d’un bon centimètre de vagin retourné comme un gant formant un anneau autour de la hampe avant d’aller reprendre sa place intérieure sous la poussée suivante. Il faut voir comme il la secoue. Elle tend ses bras, relève torse et dos et ses seins se mettent en mouvement sous elle en cadence avec les assauts de l’homme. Il frappe, le sein recule; il se retire, le sein avance et de la pointe se frotte au siège. Julien pose son deuxième genou sur le canapé, pousse des deux pieds sur l‘accoudoir, soulève les genoux, monte en verticale au-dessus de la croupe, casse le dos de Gina en forçant d’une main et plonge en verticale dans l’orifice, se relève et se met à accélérer. Gina souffle plus fort, il sent venir les contractions du vagin, sait l’orgasme proche, frappe, frappe, frappe et les hon euh, hon euh se rapprochent puis finissent en un long feulement.

-Tu vois ma vieille, moi aussi je sais te faire gueuler de plaisir. Si on changeait de position. Je m’allonge sur le dos et tu vas t’asseoir sur moi en regardant la fenêtre. Tu t’accroupis et tu descends doucement sur ma queue. Je n’ai pas craché, je suis bien rade. On essaie un coup dans le cul, j’aimerais.

-Je t’ai dit non, c’est non, je ne veux pas d’hémorroïdes.

Bon, mais penche-toi en avant, baisse encore. Ca entre facile, tu es trempée. Tu vas monter et descendre et je vais suivre des yeux la danse de ton petit trou noir. Allez, bouge tes fesses. Tu as un beau cul majestueux, tu sais. Plus vite s’il te plaît. Va. Je peux gratouiller l’œillet? Comme ça. Si je mouille mon doigt? Non? Bon. Bouge mieux, plus haut. C’est sorti, je me replace, baisse.
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Histoire de Veilleur

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