L'éducateur

Je m’appelle Séléna, j’ai 18 ans, je suis brune, yeux brun 1m55 42kg. Je fais un joli 85B. Je suis en dernière année d’étude, j’étudie pour devenir éducatrice pour jeunes enfants handicapés. Ca m’a toujours touchée ces pauvres enfants, j’aimerai leur redonner le moral et être à leur écoute. Enfin… pour le moment, j’aimerai que quelqu’un soit à mon écoute…

J’ai beaucoup de problèmes familiaux, d’ailleurs, c’est pour cela que je suis encore en retard aujourd’hui. Je passe par le bureau des éducateurs pour faire signer mon arrivée tardive. Je suis reçue par mon éducateur, monsieur Garcia, 1m65, environs 70kg, châtain, yeux gris-vert, bien roulé…
- Séléna, encore en retard ?
- Ouais désolé, mais j’ai beaucoup de soucis en ce moment dis-je presque les larmes aux yeux.

Monsieur Garcia se leva, contourna le bureau et venu vers moi. Il me tint les épaules et me regarda droit dans les yeux.
- Je sais que ce n’est pas facile pour toi en ce moment, ma porte reste ouverte à tout moment pour toi.

Il me sera dans ses bras. Je pu sentir à travers sa chemise, un ventre dur, je sentis son parfum. Il me frotta le dos avec ses mains, puis descendis un peu plus bas pour arriver au dessus de mes fesses que ma jupe en jean moulait.
- Je suis désolé, mais j’ai vu que tu avais atteint la limite des notes de retard, je suis obligé de te mettre une retenue, tu nettoieras la cour après l’école.
- Ok…

Il me mit ma note, me fis un sourire en coin puis je parti en cours. Les cours passèrent d’une lenteur incroyable. Mais arrivé à la fin de la journée, je me rendis dans le local de nettoyage où ce trouvaient les femmes d’ouvrages, l’une d’elle me tendit un chariot, où il y avait des sacs poubelles, du produit pour vitre, une pince, des gants… Elle m’indiqua la cour des grands que je devais nettoyer. Je commençai par changer les poubelles, ramasser les crasses laissées par les élèves durant la journée. Je nettoyai le miroir des toilettes, je vis mon éducateur entré, il me fit bonjour, regarda au passage mon décolleté dans le miroir lorsque je me penchais, entra dans une toilette et en ressorti quelques secondes après. Il s’arrêta derrière moi. Mis ses mains sur mes hanches, je le regardai pétrifiée dans le miroir. Il se pencha vers moi et me glissa à l’oreille « je sais comment te remonter le moral, n’ai pas peur ». Il me retourna pour que je sois face à lui. Il passa sa main doucement sur ma joue, en descendant vers mon coup, mon chemisier noir, il fit le tour de mes seins puis en empoigna un à travers le tissu. Je ressentis une vague de plaisir, je le laissai faire. Il déboutonna mon chemisier ce qui laissa apparaître mon soutien gorge blanc.
- On risque de nous voir dit-il, vient.

Il me tira vers une cabine de toilette. Il reprit son jeu de main, il sorti mes seins de mon soutien gorge, les malaxa à pleine puissance, les prit en bouche. Je fermi les yeux et laissa sortir un gémissement.
- Tu aimes hein perverse dit-il.

Je me décontractai peu à peu, et laissa place au plaisir. Depuis la rupture avec mon copain il y a 2 mois, je n’avais pas eu de rapport sexuel, je me masturbais tous les soirs, mais c’est vrai que la chair humaine me manquait.
Il tira sur la tirette de ma jupe, celle-ci tomba d’un seul cou et laissa apparaître un string en dentelle rouge qu’il retira. Il se colla à moi, je pus sentir sa verge gonflée. Il m’embrassa à pleine bouche, faisant virevolter sa langue dans ma bouche. Il descendit sa main et commença à me caresser la chatte.
- Mmm, j’aime quand elle est rasée.

Il frôla volontairement mon clito, un deuxième gémissement un peu plus fort m’échappa. Il rentra un de ses doigts, je me tortillais.
- Tu mouilles hein cochonne, tiens goûte.

Il me mit ma mouille en bouche, je commençai à sucer son doigt. J’enlevai sa chemise, détacha la ceinture de son pantalon. Je vis une bosse formé dans le boxer. Il appuya sur mes épaules, très vite je compris ce qu’il voulait. Je lui abaissai son boxer jusqu’aux chevilles, je vis ce libéré une belle queue, qui devait faire 17 cm assez large. Je commençai par lui lécher les couilles, ayant l’habitude, je ne tournai pas autour du pot, et lui mordilla délicatement ses testicules. J’aspirai ses boules, j’avais envie de les mangés tellement elles avaient bon goût. Je remontai vers sa verge en faisant des baisés, arrivé au dessus, je titillai son gland du bout de ma langue, ce qui donna des frissons à mon bel éducateur. Il prit ma tête entre ses mains et s’enfonça dans ma bouche, il y alla d’abord délicatement, puis ses mouvements de bassin ce firent de plus en plus rapide, il poussa des cris. Je dis me retirer, pour ne pas qu’il explose.
- Pas maintenant, tenez encore lui dis-je.
- Appelle moi Luc me dit-il entre deux gémissements.

J’arrêtai un peu et revenu sur sa bouche, on s’embrassa avec fureur. Il se frottait à moi, je sentais son calibre frotter contre ma chatte. C’était dur, chaud et humide de ma salive.
- Assez ! dit-il en prenant sa voix quand il gronde un élève. J’ai envie de te baiser jusqu’à ce que tu cries le plus fort possible. Tu es une petite pute à ce que tes camarades m’ont dit, donc tu dois avoir l’habitude de crier fort.

Il devenait violant, mais j’aimais ça. J’aimais à ce qu’on me domine, j’aime faire l’objet sexuel de mes conquêtes masculines.
Il m’empoigna les fesses et me souleva afin que je m’agrippe à lui. Il me plaqua violemment sur la porte de la toilette et me porta. Je sentais sa verge au bord de ma grotte, d’un seul coup de rein, il entra en moi, je ne pu m’empêcher de pousser un cri. Il commença par de petit mouvement, puis ses mouvements se firent de plus en plus fort et de plus en plus sec, je me collai à lui, lui fis des bisous dans le cou, lui mordilla l’oreille, lui me malaxa les fesses en faisant entrer et sortir sa verge.
- Tu aimes hein petite pute.
- Oui oui mmm
- T’en veux encore ?
- Oui… Plus… Plus vite Luc.

Mon vœux fut exaucer, il accéléra ses mouvements. Je sentais l’orgasme arriver, je le lui fis comprendre, il me reposa à terre.
- Mes tes mains sur la planche des cuvettes, je vais te prendre en levrette.

Je m’exécutai, et d’un coup, il me pénétra. Ses mouvements ce firent sec, il m’agrippa les hanches en me frappant les fesses.
- Crie ! Je veux t’entendre crier !
- Ah ah ouiiiii…. Plus vite….
- Mais c’est quel en redemande cette cochonne !

Il entra et sorti en moi de plus en plus vite, ses couilles claquaient mes fesses, je me touchais le clito, je ne pouvais arrêter de gémir.
- Mmmmmmm ah ah ouiiiii ouiiiiiii

J’allais arriver à l’orgasme, je ne me sentais plus, mes jambes en tremblaient, mon souffle ce coupait, je voyais des étoiles, je sentais son calibre me défoncer le vagin. Je commençai à crier plus fort qu’avant. Je fus prise de spasmes, à ce moment là, Luc me claqua les fesses de plus en plus fort, j’avais des marques rouges, il criait lui aussi.
- Je viens dit-il.

Il me retourna et me fis mettre à genou, à peine remise de mon orgasme, je devais avaler tout son sperme. J’ouvris la bouche, il se branla de plus en plus vite, il penchait sa tête en arrière les yeux fermer, il criait. Et tout d’un coup, un long et grand jet vint tout droit dans ma bouche, je m’efforçai de tout avaler. Il avait bon goût, ce ne fut pas un supplice, mais un réelle plaisir. Je commençai à faire des va-et-vient avec ma bouge pour bien le vider, je malaxai ses couilles afin qu’il n’en reste plus une goutte. Je le nettoyai, il nous fallut quelques secondes pour nous remettre de nos émotions, on se rhabilla sans un mot. Je sorti la première des toilettes, pris mon chariot, alla le ramener, alla dans le bureau de Luc afin de récupéré mon journal de classe. Avant de partir, je le regardai et lui dis :
- A demain, j’ai une charge au réfectoire à midi…